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- Julie
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- Inscrit le 10 Feb 2013
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Bonjour à tous,
Je vais vous faire un petit topo rapide de ma situation sans vous gonfler avec des tonnes de détails.
Depuis 10 ans je suis sous Subu, je suis aujourd'hui à 2mg. J'avais ce matin RDV au Csapa agora avec mon addictologue et il m'a foutue dehors, m'a dit qu'il ne voulait plus me revoir. Il a réagit comme ça parce qu'à côté j'ai une grosse addiction au zolpidem, j'ai la sécu aux basques et il a été informé que j'étais retournée voir un médecin pour m'en faire prescrire. J'essaye de toutes mes forces d'arrêter le zolpi, croyez moi mais il y a des cas où je ne peux plus me raisonner. Enfin, ce n'est pas le sujet.
Le truc c'est qu'il m'a fichue dehors, que je n'ai pas de médecin traitant car la sécu a alerté tous les médecins que je courais d'un cabinet à l'autre pour avoir du zolpi.
Le problème ici, vous l'aurez compris, c'est qu'il m'a planté sans subutex. Il me reste en tout et pour tout 26 comprimés de 2mg. Je suis encore sous le choc de sa réaction d'une grande violence. Quand je me suis levée pour partir il s'est planté debout face à moi en me criant: " allez tirez vous, allez bien vous gaver de zolpidem", j'ai cru que j'allais en prendre une. Il a ouvert la porte en continuant à m'apostropher, les gens de la salle d'attente et les secrétaires n'en perdaient pas une miette, vive le secret médical.
Alors je me suis dit que j'allais enfin me lancer et faire ce que je reporte depuis des années: arrêter le subutex.
Sachant que j'ai un traitement de 60 mg de paroxétine par jours et que j'ai chez mois bcp de boites de Lysanxia, pourriez-vous me dire comment procéder pour que cet arrêt soit le plus indolore, ou plutôt le moins douloureux possible? Mon pb est que je fais de violentes attaques de panique.
Il faut donc que j'arrête le subutex avec tout ça. Il reste 26 comprimés et il n'y en a pas plus.
Je suis en demande de conseils, s'il vous plaît essayez de m'aider de la manière la plus positive possible! Si qqun a un témoignage positif par exemple?
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de me lire.
Je vais vous faire un petit topo rapide de ma situation sans vous gonfler avec des tonnes de détails.
Depuis 10 ans je suis sous Subu, je suis aujourd'hui à 2mg. J'avais ce matin RDV au Csapa agora avec mon addictologue et il m'a foutue dehors, m'a dit qu'il ne voulait plus me revoir. Il a réagit comme ça parce qu'à côté j'ai une grosse addiction au zolpidem, j'ai la sécu aux basques et il a été informé que j'étais retournée voir un médecin pour m'en faire prescrire. J'essaye de toutes mes forces d'arrêter le zolpi, croyez moi mais il y a des cas où je ne peux plus me raisonner. Enfin, ce n'est pas le sujet.
Le truc c'est qu'il m'a fichue dehors, que je n'ai pas de médecin traitant car la sécu a alerté tous les médecins que je courais d'un cabinet à l'autre pour avoir du zolpi.
Le problème ici, vous l'aurez compris, c'est qu'il m'a planté sans subutex. Il me reste en tout et pour tout 26 comprimés de 2mg. Je suis encore sous le choc de sa réaction d'une grande violence. Quand je me suis levée pour partir il s'est planté debout face à moi en me criant: " allez tirez vous, allez bien vous gaver de zolpidem", j'ai cru que j'allais en prendre une. Il a ouvert la porte en continuant à m'apostropher, les gens de la salle d'attente et les secrétaires n'en perdaient pas une miette, vive le secret médical.
Alors je me suis dit que j'allais enfin me lancer et faire ce que je reporte depuis des années: arrêter le subutex.
Sachant que j'ai un traitement de 60 mg de paroxétine par jours et que j'ai chez mois bcp de boites de Lysanxia, pourriez-vous me dire comment procéder pour que cet arrêt soit le plus indolore, ou plutôt le moins douloureux possible? Mon pb est que je fais de violentes attaques de panique.
Il faut donc que j'arrête le subutex avec tout ça. Il reste 26 comprimés et il n'y en a pas plus.
Je suis en demande de conseils, s'il vous plaît essayez de m'aider de la manière la plus positive possible! Si qqun a un témoignage positif par exemple?
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de me lire.
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La question est surtout, qui si tu fais un sevrage à cause de cela, cela me semble pas l'idéal.
Je ne connais pas les détails, si tu as fait du nomadisme médical ce n'est pas pour la buprenorphine mais pour du Zolpi ?
Donc, je ne vois pas pourquoi, tu ne pourrais pas trouver, un medecin généraliste pour la bupreborphine.
Après, dans certaines grandes villes, tu as des unités mobiles ( de distribution de TSO, PES etc...)
Moi en tout cas, ce serais : No way !!
Quitte à acheter de l' Héroïne Brown #3 autres Sub , metha au black.
Courage en tout cas!
Je ne connais pas les détails, si tu as fait du nomadisme médical ce n'est pas pour la buprenorphine mais pour du Zolpi ?
Donc, je ne vois pas pourquoi, tu ne pourrais pas trouver, un medecin généraliste pour la bupreborphine.
Après, dans certaines grandes villes, tu as des unités mobiles ( de distribution de TSO, PES etc...)
Moi en tout cas, ce serais : No way !!
Quitte à acheter de l' Héroïne Brown #3 autres Sub , metha au black.
Courage en tout cas!
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'L'avantage" entre-guillemets évidemment, c'est que tu as encore une cinquantaine de mg de sub, je sais pas si tu vas réussir a en rechoper mais ce que je veux dire c'est que tu peux envisager une diminution progressive.
Après ce qui me choque c'est le bordel qui 'il y a eu entre la prescription de sub et la conso de zolpidem, je veux dire :
encore qu'on te sucre ton zolpidem j'ai envie de dire c'est le jeu, tu savais que tu étais sur la corde raide et un jour fallait bien que ta "mascarade" tombe (sans aucun sens péjoratif) mais au bout d'un moment il aurait soit fallu que tu obtiennes une vraie prescription ou alors que cela cesse, tu ne pouvais pas continuer comme ça ad vitam eternam.
Mais cela dit c'est des malades de mélanger cette histoire avec ton TSO
POURQUOI !!??.
Ils aurairent du simplement te sucrer ton zolpidem mais ne rien changer au TSO.
au final tu te retrouves en chien sur les deux produits, je connais pas vraiment le zolpidem, encore moins au niveau "addiction" toussa, et j'ai de la métha en TSO, pas du sub donc mes conseils seront vagues.
Comme je le disais plus haut, tu as un mois pour te dépatouiller et trouver un prescripteur pour ton TSO, tu as :
-les médecins généralistes (avec une énorme chance)
-l'hopital de ville est (JE CROIS) habilité a établir des prescriptions de TSO
-Caruud/ASCODE, CSAPA
Sachant que cela n'est pas une primo-prescription, ça devrait pas être super dur, enfin je crois.
Je te conseille quand même en place une diminution progressive, comme ça tu libères du produits pour les derniers jours, consommer plus longtemps avec la même quantité quoi, et surtout surtout, tu diminueras les effets du sevrage si tu dois te sevrer en fin de cycle.
Essaye de passer à 01,75mg-01,50mg/J puis après tu essayeras de passer à 01,25-01,00mg/J puis 00,75mg/J etc...jusqu'à arriver au moment fatidique où tu ne prends quasiment plus rien et de là c'est beaucoup plus facile de ne plus y toucher.
Le problème c'est qu'à côté d'un sevrage c'est bien de pouvoir être accompagné, au moins pour avoir des relaxants, somnifère etc...ou au moins un contact médical fréquent, tu as du lysanxia, je connais pas bien mais c'est un benzo donc ça devrait faire le café, attention à ne pas en abuser, je sais ce que c'est, quand tu es en keum t'as envie de te déboiter la tête à t'endormir donc tu es tenté de prendre 50 000 benzo pour juste plus y penser...
En tout cas c'est une certaine chance d'avoir ça en stock, surtout si tu as tendances à faire des crises d'angoisses, tu peux t'en servir en cas de dites-crises, pour essayer de t'endormir etc...
Là ils t'ont mis au placard, tu as plus aucun interlocuteur, plus aucun prescription et des angoisses pleins la tête... C'est pas évident...Je ne sais pas tellement quoi dire de plus, si ce n'est de te souhaiter bon courage.
*
Y'a rien de giga positif dans ce que je te dis mais j'essaye de te montrer que tout n'est pas noir, même si c'est clair que j'aimerais pas être à ta place, je suis sûr que la lumière est au bout du tunnel, sur ce site on a tous (la plupart) traversé des sales moments, où t'as envie de te flinguer, que tout cesse, de prendre 10g de je sais pas quoi et d'envoyer le monde se faire foutre mais malheureusement c'est la vie...
Je vois que tu es inscrite depuis 2013 putain l'ancienne quoi, en 2013 j'avais 11 ans, c'est pas à toi que je vais apprendre la vie, si tu es dans les prod depuis à minima depuis 2013 alors c'est pas la première galère que tu traverses, lèves la tête et garde confiance !!
Cordialement, COURAGE !!
Après ce qui me choque c'est le bordel qui 'il y a eu entre la prescription de sub et la conso de zolpidem, je veux dire :
encore qu'on te sucre ton zolpidem j'ai envie de dire c'est le jeu, tu savais que tu étais sur la corde raide et un jour fallait bien que ta "mascarade" tombe (sans aucun sens péjoratif) mais au bout d'un moment il aurait soit fallu que tu obtiennes une vraie prescription ou alors que cela cesse, tu ne pouvais pas continuer comme ça ad vitam eternam.
Mais cela dit c'est des malades de mélanger cette histoire avec ton TSO
POURQUOI !!??.
Ils aurairent du simplement te sucrer ton zolpidem mais ne rien changer au TSO.
au final tu te retrouves en chien sur les deux produits, je connais pas vraiment le zolpidem, encore moins au niveau "addiction" toussa, et j'ai de la métha en TSO, pas du sub donc mes conseils seront vagues.
Comme je le disais plus haut, tu as un mois pour te dépatouiller et trouver un prescripteur pour ton TSO, tu as :
-les médecins généralistes (avec une énorme chance)
-l'hopital de ville est (JE CROIS) habilité a établir des prescriptions de TSO
-Caruud/ASCODE, CSAPA
Sachant que cela n'est pas une primo-prescription, ça devrait pas être super dur, enfin je crois.
Je te conseille quand même en place une diminution progressive, comme ça tu libères du produits pour les derniers jours, consommer plus longtemps avec la même quantité quoi, et surtout surtout, tu diminueras les effets du sevrage si tu dois te sevrer en fin de cycle.
Essaye de passer à 01,75mg-01,50mg/J puis après tu essayeras de passer à 01,25-01,00mg/J puis 00,75mg/J etc...jusqu'à arriver au moment fatidique où tu ne prends quasiment plus rien et de là c'est beaucoup plus facile de ne plus y toucher.
Le problème c'est qu'à côté d'un sevrage c'est bien de pouvoir être accompagné, au moins pour avoir des relaxants, somnifère etc...ou au moins un contact médical fréquent, tu as du lysanxia, je connais pas bien mais c'est un benzo donc ça devrait faire le café, attention à ne pas en abuser, je sais ce que c'est, quand tu es en keum t'as envie de te déboiter la tête à t'endormir donc tu es tenté de prendre 50 000 benzo pour juste plus y penser...
En tout cas c'est une certaine chance d'avoir ça en stock, surtout si tu as tendances à faire des crises d'angoisses, tu peux t'en servir en cas de dites-crises, pour essayer de t'endormir etc...
Là ils t'ont mis au placard, tu as plus aucun interlocuteur, plus aucun prescription et des angoisses pleins la tête... C'est pas évident...Je ne sais pas tellement quoi dire de plus, si ce n'est de te souhaiter bon courage.
*
Y'a rien de giga positif dans ce que je te dis mais j'essaye de te montrer que tout n'est pas noir, même si c'est clair que j'aimerais pas être à ta place, je suis sûr que la lumière est au bout du tunnel, sur ce site on a tous (la plupart) traversé des sales moments, où t'as envie de te flinguer, que tout cesse, de prendre 10g de je sais pas quoi et d'envoyer le monde se faire foutre mais malheureusement c'est la vie...
Je vois que tu es inscrite depuis 2013 putain l'ancienne quoi, en 2013 j'avais 11 ans, c'est pas à toi que je vais apprendre la vie, si tu es dans les prod depuis à minima depuis 2013 alors c'est pas la première galère que tu traverses, lèves la tête et garde confiance !!
Cordialement, COURAGE !!
Sainte Jeanne d’Arc louange, tu nous as libérés.
Sancta Johanna de Arc lauda te liberasti nos
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linec13 a écrit
Je veux pas dire de bêtises mais je crois que c’est dangereux d’arrêter d’un coup, sans sevrage progressif
Je sais pas si c’est « DANGEREUX » comme ça peut l’être pour l’alcool par exemple, où la mort peut carrément survenir mais par contre je sais que l’arrêt brutal de Zolpidem provoque des effets de sevrages psychologiques ET physiques, donc on est sur de réels symptômes de sevrage et non pas des symptômes psychologiques, psychosomatiques et situationnel.
Donc en effet comme l’a dit Linec13 il vaut mieux éviter un sevrage brutal.
Le problème n’est pas tant que ça soit dangereux ou quoi mais le soucis est surtout que tu risques de ne pas réussir et de repartir de plus belle derrière, genre un espèce d’effet rebond.
De toutes façons pour la grande majorité des produits on conseille de ne pas se sevrer d’un coup.
Et sinon j’suis d’accord avec toi, un beau spécimen d’enculé ce toubib.
Cordialement.
Sainte Jeanne d’Arc louange, tu nous as libérés.
Sancta Johanna de Arc lauda te liberasti nos
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- Julie
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- Inscrit le 10 Feb 2013
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Je vous remercie d'avoir pris le temps de me répondre.
On va pas se mentir je suis hyper mal, je ferme plus l'oeil de la nuit et rien ne va.
Effectivement j'ai fais bcp de nomadisme médical, je suis sur la liste noire de la sécu, si je donne ma carte vitale il est noté qu'ilest interdit de me prescrire ou de me délivrer du zolpidem donc chaque fois je fais le coup du "j'ai oublié ma carte vitale mais je peux vous donner l'attestation papier". ( sachant que le Zolpi est un stupéfiant, aucune pharmacie ne me le delivrera si je ne fourni rien).
A partir de là, le jeu de cache cache avec la sécu commence, je suis traquée comme si j'étais la pire des criminelles. Je ne peux voir un médecin qu'une seule fois et aller dans une pharmacie qu'une seule fois car dans les 3 jours suivant ma visite ils sont alertés que je suis une toxicomane qui va de médecin en médecin. Je ne peux pas faire autrement, dans la rue personne n'en vend, avant j'avais un site internet mais il a fermé et le dark, je n'y comprends rien.
Mais pour le subu, je n'ai jamais bougé d'une oreille, délivrance tous les 28 jours par l'addictologue du csapa, toujours dans la même pharmacie.
Doo-J , tu as raison, je savais que pour le zolpi ça allait mal tourner, c'est le jeu! Mais carrément me bloquer de tout, ne plus me prescrire mon subu ni mon anti dépresseur, c'est inhumain!
Et plus aucun médecin ne veut me voir car ils ont tous reçu les courriers/appels de la sécu donc ils me détestent ( c'est fou d'ailleurs, j'avoue, le nomadisme c'est pas cool mais certains le prennent vraiment personnellement, comme si j'avais fait ça contre eux!). J'avais essayé d'en revoir un pour m'expliquer, il ne m'a pas laissé en placer une, il a vidé son sac, puis s'est levé, m'a saisie par l'épaule et m'a mis dehors!
Donc vous pensez que je peux appeler l'hôpital? Je vais essayer.
franchement vous êtes top, j'en ai tellement marre de me faire juger et critiquer, je me sens comme la dernière des dernière.
On va pas se mentir je suis hyper mal, je ferme plus l'oeil de la nuit et rien ne va.
Effectivement j'ai fais bcp de nomadisme médical, je suis sur la liste noire de la sécu, si je donne ma carte vitale il est noté qu'ilest interdit de me prescrire ou de me délivrer du zolpidem donc chaque fois je fais le coup du "j'ai oublié ma carte vitale mais je peux vous donner l'attestation papier". ( sachant que le Zolpi est un stupéfiant, aucune pharmacie ne me le delivrera si je ne fourni rien).
A partir de là, le jeu de cache cache avec la sécu commence, je suis traquée comme si j'étais la pire des criminelles. Je ne peux voir un médecin qu'une seule fois et aller dans une pharmacie qu'une seule fois car dans les 3 jours suivant ma visite ils sont alertés que je suis une toxicomane qui va de médecin en médecin. Je ne peux pas faire autrement, dans la rue personne n'en vend, avant j'avais un site internet mais il a fermé et le dark, je n'y comprends rien.
Mais pour le subu, je n'ai jamais bougé d'une oreille, délivrance tous les 28 jours par l'addictologue du csapa, toujours dans la même pharmacie.
Doo-J , tu as raison, je savais que pour le zolpi ça allait mal tourner, c'est le jeu! Mais carrément me bloquer de tout, ne plus me prescrire mon subu ni mon anti dépresseur, c'est inhumain!
Et plus aucun médecin ne veut me voir car ils ont tous reçu les courriers/appels de la sécu donc ils me détestent ( c'est fou d'ailleurs, j'avoue, le nomadisme c'est pas cool mais certains le prennent vraiment personnellement, comme si j'avais fait ça contre eux!). J'avais essayé d'en revoir un pour m'expliquer, il ne m'a pas laissé en placer une, il a vidé son sac, puis s'est levé, m'a saisie par l'épaule et m'a mis dehors!
Donc vous pensez que je peux appeler l'hôpital? Je vais essayer.
franchement vous êtes top, j'en ai tellement marre de me faire juger et critiquer, je me sens comme la dernière des dernière.
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Bah c’est terrible la situation que tu décris, c’est triste de ne pas pouvoir t’aider autrement qu’en t’envoyant du soutien/reconfort à travers nos mots
A kiss makes my whole day, anal makes my hole weak
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