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2/ Antidouleurs : l'Amérique dévastée
En quelques années, les opioïdes, médicaments prescrits pour soulager la douleur mais extrêmement addictifs, ont inondé le marché américain et sont à l'origine d'une des plus graves crises sanitaires que le pays ait connue. Des patients ordinaires ont été filmés en pleine overdose.
3/ Opioïdes France
En France, douze millions de personnes prennent des médicaments opioïdes. Des patients devenus accros à ces antidouleurs témoignent.
Les médias tentent de tirer la couverture médiatique de ce scandale sanitaire et social.
N'oublions pas, qu'en France, des spécialistes de la douleur ne souhaitent pas prescrire du cannabis par peur d'effets secondaires supposés et trouvent plus logiques de donner des lourds traitements opioïdes avant d'avoir fait l'essai des cannabinoides qui eux ne font pas encourir un risque mortel.
https://www.latribune.fr/opinions/tribu … 06445.html
Trois fois plus d'hospitalisations pour overdose depuis 2000
En 2017, un million de Français ont reçu une délivrance d'un antalgique opioïde dit fort, soit deux fois plus qu'en 2004. L'oxycodone (Oxycontin, Oxynorm) et le fentanyl (Durogesic, Actiq, Abstral, Instanyl...) sont particulièrement concernés par cette hausse de prescription ainsi que, plus modestement, la morphine.
Le nombre de Français traités par tramadol (Topalgic, Contramal, Ixprim, Zaldiar), codéine(Codoliprane, Dafalgan codéine, Klipal, Prontalgine) ou poudre d'opium (Lamaline, Izalgi) a plus que doublé depuis l'annonce du retrait du marché du dextropropoxyphène(Diantalvic), en 2011. Neuf patients sur dix traités par antidouleurs opioïdes ne souffrent pas d'une pathologie cancéreuse.
Parallèlement à ces évolutions de prescriptions, il a été observé depuis 2 000 une hausse significative non seulement des hospitalisations pour overdose accidentelle (+167 %, au moins 7 intoxications par jour), mais aussi une augmentation des décès imputables à ces molécules (+146 %, soit au moins 4 décès par semaine).
http://sante.lefigaro.fr/article/la-con … en-france/
La consommation d’opioïdes en hausse en France
Un rapport fait le point sur les médicaments antidouleurs ayant des effets comparables à l’opium. Il détaille les prescriptions mais aussi les mésusages, et constate un nombre croissant de décès.
Les Français sont de plus en plus nombreux à prendre des médicaments antidouleur opioïdes, dont les effets sont comparables à ceux de l’opium. En 2015, près de dix millions de personnes ont reçu une prescription pour l’un de ces médicaments fortement addictogènes. Sur le podium des prescriptions se trouve le tramadol, suivi par la codéine et l’opium. Dans un rapport publié mercredi, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait pour la première fois un bilan de leur consommation en France. Un état des lieux très attendu à l’heure où ces substances sont à l’origine d’une crise sanitaire sans précédent en Amérique du Nord. Chaque jour, 115 Américains meurent d’un surdosage aux opioïdes.
De plus en plus d’intoxications
«La France n’est pas dans une situation comparable à celle des États-Unis, rassure d’emblée le Pr Nicolas Authier, chef du service de pharmacologie médicale du CHU de Clermont-Ferrand et directeur de l’Observatoire français des médicaments antalgiques. En revanche, l’augmentation rapide du nombre d’intoxications, d’hospitalisations et de décès montre que nous devons rester vigilants.» En dix ans, le nombre annuel d’intoxications par des antalgiques opioïdes a doublé. Au total, 2 762 accidents de ce type ont été signalés entre 2005 et 2016. Le nombre d’hospitalisations a augmenté de 167 % depuis 2000, concernant en 2017 près de 2 600 personnes. Quant au nombre de décès, il a connu un bond de 146 % entre 2000 et 2015. Désormais, quatre personnes meurent chaque semaine d’une surdose d’antidouleur opioïde. Parmi les médicaments les plus impliqués, on retrouve le tramadol (37 décès en 2016) suivi par la morphine (22 décès), la codéine (16 décès) et l’oxycodone (8 décès). «Les dommages sont faibles par rapport à l’Amérique du Nord, constate le Pr Authier. Mais il faut avoir en tête que ces chiffres sous-estiment la réalité.» Un point de vue partagé par Nathalie Richard, directrice adjointe des médicaments en neurologie, antalgie et stupéfiants à l’ANSM, qui a supervisé le rapport: «Nous n’avons pas de données exhaustives, mais ce qui est intéressant, c’est de suivre leur évolution.»
Contrairement aux autres antalgiques (paracétamol, aspirine…), les opioïdes peuvent entraîner une forte dépendance. Et une surdose peut provoquer la mort par arrêt respiratoire. Ils sont classés en deux catégories: les opioïdes faibles (tramadol, codéine, opium, par exemple) et les opioïdes forts (morphine, oxycodone, fentanyl), qui sont des stupéfiants. Qu’ils soient faibles ou forts, ils exposent tous aux mêmes risques. «Lorsque ces médicaments sont pris de façon chronique pendant plusieurs semaines, une dépendance physique peut s’installer», explique le Pr Authier. Après avoir développé une tolérance, le patient est contraint d’augmenter les doses pour ressentir les mêmes effets. «Nous voyons des patients qui peuvent prendre jusqu’à 50 ou 60 comprimés par jour, là où il ne faudrait pas excéder 6 ou 8 comprimés», confie le médecin.
En majorité des femmes
Quel est le profil des patients? Selon le rapport de l’ANSM, il s’agit le plus souvent de personnes souffrant de douleurs aiguës, chroniques, de maux de dos ou de douleurs liées à l’arthrose. L’âge moyen tourne autour de 52 ans pour les opioïdes faibles et 64 ans pour les opioïdes forts. Les patients sont en majorité des femmes. «Nos patients présentent systématiquement des facteurs de vulnérabilité», constate Nicolas Authier. Troubles anxieux, de l’humeur, traumatismes psychologiques ou antécédent d’addiction les incitent au mésusage de ces médicaments.«Ils s’aperçoivent assez vite que le médicament n’agit pas seulement sur leurs douleurs, mais aussi sur leurs émotions. Ils sont alors en quête de cet effet anxiolytique.»
Ceux qui tombent dans le piège de l’addiction se heurtent toutefois à un mur car il n’est pas facile de se procurer ces médicaments en France. Depuis juillet 2017 - date depuis laquelle la codéine n’est plus en vente libre -, tous les antalgiques opioïdes ne sont disponibles que sur prescription médicale. Quant aux opioïdes forts, ils ne sont délivrés que sur ordonnances sécurisées, traçables grâce à un numéro de lot et valables seulement 28 jours. Alors pour se procurer leur dose, les «accros» sont prêts à tout: tournée des cabinets médicaux et des pharmacies, falsifications d’ordonnances ou commande sur Internet. «L’un de mes patients avait besoin de 18 comprimés de tramadol par jour alors qu’il ne faut pas dépasser 4, raconte le Pr Authier. Après des années de nomadisme médical et pharmaceutique, il a fini par se procurer des boîtes de 100 comprimés sur Internet.»
«Ce rapport montre que la douleur est mieux prise en charge en France, mais cette amélioration s’accompagne d’un certain nombre de problèmes qu’il faut surveiller, conclut Nathalie Richard. Désormais, il faut mettre l’accent sur l’identification des patients à risque ainsi que sur l’information des professionnels de santé. Beaucoup de médecins ne savent pas que le tramadol est un opioïde.»
Dernière modification par Mister No (21 février 2019 à 08:21)
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Beaucoup de toubibs prescrivent surtout ça comme des ptis pains (encore plus facilement qu'ils ne prescrivaient, avant, la codéine...)Et j'en suis témoin tous les jours...Seule un vieux toubib avec qui je bosse n'en prescrit JAMAIS et n'en prescrira JAMAIS: texto, même pour un gosse, si besoin réel, elle préfère encore prescrire du skénan à petite dose que "cette saloperie" (dit elle) ou de la codéine ou de l'opium qu'elle préfère 1000 fois...Elle a toujours dit que cette molécule était une vraie cochonnerie dans le sens où, un effet insidieux sur la sérotonine n'était vraiment pas indispensable pour le type de douleur pour lequel on prescrit ce genre de médocs...
Mais, encore une fois, je crois que les labos ont bien fait leur boulot de forcing et de pub avec cette molécule "miraculeuse"depuis les années 2000 particulièrement
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Pire, le Mylan ne dure que 10 heures en LP et JE le trouve moins puissant que l'original en LP comme en LI
Les génériques contiennent bien le même pourcentage de principe actif, en revanche, pour leur commercialisation ont le droit à plus d'écarts de biodisponibilité que le princeps.
En fait, quand le générique provient de la même usine que le princeps, il est possible parfois qu'ils soient identiques.
Dans la réalité, les labos utilisent des excipients, une recette qui coute moins cher, quitte à utiliser des excipients de moins bonne qualité qui peuvent provoquer par exemple plus d'allergies.
C'est assez abominable que les génériques ne soient pas soumis aux même normes de biodisponibilité et d'ailleurs, dans certains cas, le médecin se refuse à l'utilisation du générique.
Ça fait bientot 2 ans que je suis sous oxy... Je trouve que c'est un excellent médicament !!!
J'ai eu recours à la morphine, pareil, heureusement, mon confort de vie a changé.
Perso, je pense que la prescription doit être mieux pensée, les patients mieux informés sur les risques.
Quand il s'agit d'un traitement pour des douleurs qui ne cessent pas, un suivi pour la douleur et une gestion de la dépendance doit opérer.
La dépendance n'est pas un souci, à partir du moment où on comprend ce qui nous arrive ou arrivera.
Ce qui est problématique, c'est l'addiction, le "non contrôle" des dosages et de la conso qui sort du cadre du traitement pur de la douleur.
Ce qui est dingue, c'est qu'à aucun moment, la prise en charge de la douleur par les cannabinoides n'a été évoquée même si une patiente française dit "gérer la douleur autrement".
Des études suggèrent que quand l'accès au cannabis thérapeutique est légal, le nombre d'OD et la mortalité liée aux opioïdes diminue.
Elyse Lucet aurait du penser à montrer l'histoire de cet homme à qui de la morphine a été prescrite et qui a pu prendre en charge sa douleur plus efficacement avec du chanvre sans risque d'addiction ni d'overdose. J'ai aperçu un de tes messages Reck pour illustrer la problématique des patients français qui parfois se retrouvent forts désemparés ici même.
Comme j'ai vu des images du forum, je propose une source supplémentaire à cette équipe de journalistes qui méritent bien leur nom, ce qui devient rare par les temps qui courent.
Déjà, les cannabinoides n'aident pas simplement à diminuer ou arrêter les opis seulement, mais les benzodiazépines également et ces pour la prescription de ces dernières nous sommes en pole position :
Science/Homme: Les usagers de cannabis à des fins médicales réduisent leur consommation de benzodiazépines
Selon une analyse de 146 patients sous cannabis médical utilisant des benzodiazépines, 30% ont cessé d'utiliser ces médicaments dans les 2 mois. Des chercheurs de la Faculté de Médecine de l’Université Dalhousie au Canada ont publié leurs recherches dans la revue partenaire de l’IACM, Cannabis and Cannabinoid Research.
L'âge moyen était de 47 ans, 61% de l'échantillon étaient des femmes, et 54% de l'échantillon ont déclaré avoir déjà consommé du cannabis. Après avoir terminé un cycle de prescription de cannabis médical de 2 mois en moyenne, 30,1% des patients avaient cessé de prendre des benzodiazépines. À la suite de deux prescriptions de cannabis, 65 patients au total (soit 44,5%) ont arrêté de prendre des benzodiazépines. Lors du dernier suivi, après trois cycles de prescription de cannabis médical, 66 patients au total (soit 45,2%) avaient cessé de prendre des benzodiazépines, ce qui correspond à un taux de cessation stable sur une période moyenne de six mois.
Purcell C, Davis A, Moolman N, Taylor SM. Reduction of Benzodiazepine Use in Patients Prescribed Medical Cannabis.Cannabis Cannabinoid Res. 2019 Jan 24. [in press]
Concernbant la réduction des quantités d'opioides et de la réduction du nombre de décès et d'OD :
Science/Homme: Selon une enquête, le cannabis pourrait être un analgésique efficace et un substitut des opioïdes
Selon une étude réalisée aux États-Unis auprès de 1 321 participants souffrant de douleur chronique, 53% ont substitué les opioïdes et 22% les benzodiazépines avec le cannabis.
Département d'Anesthésiologie, Faculté de Médecine de l'Université du Michigan, États-Unis.
Boehnke KF, et al. J Pain. 2019 Jan 25. [in press]
Science/Homme: La légalisation du cannabis à des fins médicales aux États-Unis est associée à une réduction de la consommation d'opioïdes
Selon une analyse effectuée aux États-Unis auprès de 4,8 millions de personnes vivant dans des États où le cannabis thérapeutique est légal, la légalisation serait associée à une réduction significative de la consommation d'opioïdes. Les scientifiques de Pharmerit International à Bethesda, aux États-Unis, ont publié les résultats de leur étude dans le Journal of General Internal Medicine. Un échantillon de 10% d'une base de données représentative de la population au niveau national a été utilisé pour recueillir des informations sur la consommation d'opioïdes, la consommation d'opioïdes chroniques et la consommation d'opioïdes à haut risque entre les années 2006 et 2014.
La légalisation du cannabis à des fins médicales s'avère être associée à une réduction des prescriptions d'opioïdes ; moins 5% pour des consommations d'opioïdes, moins 7% pour des consommations régulières d'opioïdes et moins 4% pour une consommation d'opioïdes à haut risque. Les auteurs ont conclu que " dans les États où la marijuana est disponible par le biais de circuits médicaux, un taux modestement moins élevé de prescription d'opioïdes et d'opioïdes à haut risque a été observé. Les responsables politiques pourraient envisager la légalisation de la marijuana à des fins médicales comme un outil susceptible de réduire modestement la consommation d'opioïdes chroniques et à haut risque. "
Shah A, Hayes CJ, Lakkad M, Martin BC. Impact of Medical Marijuana Legalization on Opioid Use, Chronic Opioid Use, and High-risk Opioid Use. J Gen Intern Med. 2019 Jan 25. [in press]
Le complot de la surprescription des opioïdes et de la diabolisation de l'usage médical des cannabinoides ne s'est pas arrêté devant les frontières françaises comme le nuage de Tchernobyl...
Elyse, ce site compte des enseignants chercheurs, des formateurs auxquels tu devrais faire appel afin de compléter ce dossier dont on entendra encore parler vu que ce reportage électrochoc va délier des langues.
Big pharma s’apprête à commercialiser le sufentanyl en patchs, soit une molécule 10 fois plus puissante que le fentanyl...
Dans un même temps, des sites comme pouquoidocteur mentent et inventent des morts liées au cannabis...
https://www.psychoactif.org/forum/p4149 … =d#p414959
Dernière modification par Mister No (22 février 2019 à 09:06)
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D'ailleurs, même ici, je n'ai jamais eu de mise en garde par rapport aux benzos ou aux opioides, même de la part de la psy.
D'une part, le médecins ne sont pas toujours bien formés.
Certains peuvent prescrire du subutex pour une dépendance au cannabis... stupéfiant, non ?
D'autres ne savent pas que le tram est un opioide.
Mais en dehors du manque de formation ou de l'abus de fausses infos, certains praticiens mentent par omission.
Un pharmaciens disait qu'il ne trouvait pas pertinent d'informer un patient qui commençait un TSO qu'il se dirige vers un maintien à vie.
Ces praticiens ne souhaitent pas mentir pour vendre, mais doivent avoir peur de dissuader les patients de leur choix.
ça se discute... Perso je trouverais normal que les TSO soient mieux explicités aux patients avant qu'ils ne découvrent que ce sera plus dur de se sevrer que quand ils étaient sous héro par exemple.
En revanche, mentir par omission sur l'issue de l’utilisation des opioïdes pour un traitement pour des douleurs qui ne seront ni résolues par la chir ou dans le temps est criminel, je ne me pose même pas la question.
Après, il faut faire le tri entre l'incompétence ou l'ignorance et la manipulation par les labos.
Je ne suis pas fan d'Elise Lucet
Je l'adore pour sa paire de couilles, elle fait honneur au service publique.
Je ne suis pas fan pour autant.
Reste que je suis admiratif de son courage, car se mettre à dos big pharma et plein d'autres puissants de ce monde force le respect.
Dernière modification par Mister No (22 février 2019 à 12:41)
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Mister No a écrit
Je l'adore pour sa paire de couilles, elle fait honneur au service publique.
Je ne suis pas fan pour autant.
Reste que je suis admiratif de son courage, car se mettre à dos big pharma et plein d'autres puissants de ce monde force le respect.
Moi justement je ne considère pas cela avoir une paire de couilles. Faire du rentre dedans, forcer les gens à prendre la parole sans être préparé, mentir sur les questions à poser lors des itw... dans le seul but de faire du sensas' moi j'ai du mal. Ce n'est, à mon sens, pas ça le journalisme d'investigation. D'ailleurs, c'est quelqu'un qui a des opinions très arrêtées et idéologiques des sujets qu'elle traite. Elle n'a aucun mal à user de fausses informations, de désinformations, de chiffres biaisés ou tronqués, de rapports hautement contestés et j'en passe, pour soutenir ses thèses. Et c'est quelqu'un qui semble avoir beaucoup de mal à admettre avoir eu tort. Je pense en particulier au doc sur le glyphosate qui est plus de la propagande idéologique basée sur des infos prises n'importe comment, qu'un vrai documentaire factuel.
Je l'avais longtemps admirée personnellement, mais avec le temps, avec le fact checking, avec la facilité d'accès à des rapports scientifiques différents etc. j'ai perdu toute mon admiration pour elle.
Bien sûr, cela n'invalide pas tout son travail de journaliste d'investigation, mais pour moi, il en a pris un sacré coup et je ne prends plus ce qu'elle dit pour vérité absolue. Je suis obligée de chercher de mon côté pour confirmer ou infirmer, alors que c'est une chaîne d'un service public... :roll:
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pierre a écrit
Je n’ai pas regardé ce reportage, mais en tout cas il nous a fait battre le record de visiteurs journaliers sur Psychoactif a 50000 visites hier !
Ça veut dire qu’une partie des personnes qui ont regardé le reportage ont ensuite été se renseigner sur internet et sont tombé sur PA.
Vous voyez le pic des pages vues après 21h...
Image : https://www.psychoactif.org/forum/uploa … 6c6d6b.jpg
Génial ! Mais ils sont allés sur le forum pour prendre des témoignages ou du moins, montrer des topics où les gens témoignaient. On voyait très précisément PA (enfin, on le reconnait, car ils n'ont pas montré la bannière, juste les PP).
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Dernière modification par Wonderland (22 février 2019 à 19:09)
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