Anxiété(phobie sociale): les AD's classiques aggravent l'anxiété ?

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Kevin homme
Psycho junior
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472 messages
Bien sûr, je suis d'accord. Le mec qui "pète un cable", on va pas l'allonger sur un divan pour savoir si sa grand-mère était autoritaire avec les chats (je sais pas d'où ça sort ça, sans doute un cliché débile...)

En attendant, il reste possible de débuter relativement tôt certaines psychothérapies. L'idée n'est pas de masquer l'angoisse mais de la déconstruire. Ça peut passer par un travail d'analyse assez long, mais aussi par un travail plus direct sur les pensées dysfonctionnelles.

K.

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Laura Zerty homme
Banni
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1262 messages
Tu crois que plus on commence jeune mieux c'est ?

"Alors vous c'était pas mieux avant, ça sera mieux plus tard !"

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Kevin homme
Psycho junior
Inscrit le 15 Apr 2012
472 messages
Non, je ne parlais pas d'âge. Je faisais allusion à  la chronologie de la prise en charge psy : à  partir du moment où on la débute, il me semble pertinent d'envisager qu'elle puisse aussi passer par une psychothérapie.

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wealldead homme
Psycho junior
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276 messages

Laura Zerty a écrit

wealldead a écrit

Est-ce que, pour autant, la parole est vraiment la solution la plus efficace ? Je ne crois pas. En tout cas, les pathologies psychiatriques les plus graves ne peuvent pas être soignées que par la parole car en autre mon anxiété je souffre de nombreux TOC's et obsessions qui me fatiguent et m'inhibent tjrs +.

TU dis que ce n'est pas en me shootant, que je vais ressentir un mieux etre : j'en suis conscient mais justement cela me permettrait si je ressentais la baisse de l'anxiété comme l'alcool le fait, "d'arranger" ma vie sociale.
Je recherche à  soulager cette anxiété pour "survivre" et pouvoir ECOUTER les paroles du psy et ne pas simplement les entendre comme ce que je fais actuellement...

Ce n'est pas uniquement la parole qui aide à  s'en sortir, mais la socialisation au long terme, en gros faut s'exprimer le plus possible quand tu flippes.

Plus tu es seul plus tu penses, et plus tu penses plus tu flippes donc plus tu vas mal. Que tu relâches la pression devant un psy ça fait du bien, mais c'est ponctuel, alors que vivre avec du monde en permanence, ça permet de t'oublier et de ne plus te subir.

Pareil j'ai toujours eu des tics et j'ai toujours été anxieux, et je sais que plus je reste seul et ne me livre pas aux autres, plus je développe des phobies via ma pensée, la logique du pire s'empare de moi, je vois le mal partout et l'émotion gagne le dessus jusqu'à  m'empêcher de me sentir bien...en fait c'est comme si je culpabilisais de me sentir bien.

En groupe je pense moins donc je flippe moins, et ça jusqu'à  en oublier que j'ai des phobies. C'est vraiment au moment où je me retrouve seul et que je retrouve mon état de fonctionnement mental interne que je me remet à  construire des peurs inconscientes puis conscientes qui n'ont pas lieux d'être.
En fait, avant que je ne les connaisse je les subissais malgré moi sans m'en rendre compte, mais maintenant que je connais mes peurs (qui sont récurrentes faut le dire), je ne vois plus de raison de flipper, mon esprit construit des peurs pour s'occuper où chepa quoi d'autre, donc à  moi de les déconstruire...et à  ce niveau là  je n'ai personnellement pas besoin de médicament parce que je sais qu'en prendre me donnerait raison d'avoir peur, ça serait justifier mes angoisses et leur donner libre cours pour infiltrer mes     pensées.

donc la socialisation est aussi une sorte de drogue saine qui fait oublier nos "peurs

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wealldead homme
Psycho junior
Inscrit le 01 Jul 2014
276 messages

TomA a écrit

wealldead a écrit

Elle se contente de repeter le disque avec des on ne prend pas la meme chose que ces petits camarades bla bla...

wealldead a écrit

Enfin, bref de parler à  un medecin ne m'apporte pas + d'infos que de lire une notice.

Ce n'est qu'une impression, mais elle ne me semble pas vraiment à  ton écoute, c'est la moindre des choses que de se préoccuper de TES préoccupations, en tant que thérapeute !

wealldead a écrit

Je suis désolé mais la parole pour certains ne sert pas à  grands choses, je comprends les sources de mon inhibition mais il me faudrait une vie entière pour la résoudre.

Je ne suis pas tout à  fait d'accord avec toi, d'une part parce que la psychanalyse n'est pas la seule thérapie (ex "psychologie humaniste") et d'autre part parce que cela fait du bien de parler à  quelqu'un.

Qui est à  ton écoute, ne te juge pas, t'aide à  réfléchir. Tout simplement ! :)

wealldead a écrit

Est-ce que, pour autant, la parole est vraiment la solution la plus efficace ? Je ne crois pas. En tout cas, les pathologies psychiatriques les plus graves ne peuvent pas être soignées que par la parole car en autre mon anxiété je souffre de nombreux TOC's et obsessions qui me fatiguent et m'inhibent tjrs +.

Je vais me répéter (mais, c'est pas grave) : la "parole" n'est pas synonyme de "psychanalyse" il existe d'autres approches, comme dit plus haut.

La psychanalyse est en effet remise en question quant à  son efficacité dans l'accompagnement des personnes souffrant de pathologies psychotiques comme le trouble bipolaire ou la schizophrénie.

Pour certains (beaucoup), la médication est un passage obligatoire (quand les troubles ne permettent pas à  l'individu de vivre en société sans porter atteinte à  sa santé mentale).

wealldead a écrit

Je recherche à  soulager cette anxiété pour "survivre" et pouvoir ECOUTER les paroles du psy et ne pas simplement les entendre comme ce que je fais actuellement.

Je comprends. D'ailleurs cela me fait vraiment pensé à  moi ! :)

Je voulais me faire prescrire tel ou tel médicament, en pensant que j'étais le seul capable de comprendre mes fragilités et donc le seul à  pouvoir déterminer le traitement optimal.

Mais, on n'a pas voulu me prescrire ce que je voulais. hmm

Ce qui est NORMAL !! Un psychiatre ne se laisse pas balader par ses patients, c'est à  lui de faire la prescription par rapport à  ses impressions propres.

Du coup, dans l'impasse et face à  l'incompréhension de cette p**e, j'ai décidé de me prescrire moi-même mes médicaments, en confectionnant de fausses ordonnances.

En un peu plus de 6 mois, j'avais confectionné 15 ordonnances, visité 17 pharmacies et récupéré 45 boîtes de médicaments.

C'était une sorte d'appel à  l'aide, pour dire :

- Je suis vraiment mal et, seul, je suis condamné.

Un appel à  l'aide qui fut entendu, parce que j'avais développé une dépendance au Valium. --'

Sevrage de 1 mois en HP + 2 mois supplémentaire. hmm

Ce n'est que 6 mois plus tard que je me retrouve aujourd'hui vraiment écouté !

- Pourquoi ?

J'assume. Et c'est en assumant que j'ai appris à  exprimer mon mal-être à  la hauteur à  laquelle je veux qu'il soit entendu.

Il n'y a pas à  réfléchir. Quand on est mal il faut être convaincant, à  l'oral.

C'est la seule façon d'être vraiment écouté.

Quitte à  faire un peu de "catastrophisme" et à  en rajouter ! wink

wealldead a écrit

Mais sans indiscretion c'est dans quel indication qu'on te les prescrit ?

Les indications c'est de la théorie. On me le prescrit parce que j'en ai besoin et que cela me soulage !

Si tu veux encore des informations théoriques précises (on sait tous que tu adores ! :p) on peut me mettre dans la case : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_ … eux-graves.

Puis on se questionne aussi sur une éventuelle bipolarité. hmm

En espérant t'avoir apporté de l'aide.

TomA

Moi, aussi l'année passé je suis passé entre les mains de la justice pour des faits incoherents (preuve de.mon acharnement contre l'anxiété d'une maniere folle).
L'anxiete me rendait fou, je me persuadais d'aggresser pour me prouver qu'en commetant des actes de delinquance, je pouvais surmonter la timidité face à  des situations sans aucuns dangers pour les gens mais qui chez moi me paraissent pleins de craintes...
Enfin bref, je n'en re peux plus remplis de TOC's qui me pourissent l'existence et m'empechent de m'inserer(jamais travaillé simple niveau bac)...


Ce qui m'empeche aujourd'hui d'aller en hp, c'est ma mere, ma copine que j'ai rencontré dans ma phase de folie(en "aggressant" les gens dans le bus sous medocs qui marchaient)...
Enfin dsl là  je ne suis pas bien pour ecrire...

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Laura Zerty homme
Banni
Inscrit le 02 Feb 2014
1262 messages

wealldead a écrit

donc la socialisation est aussi une sorte de drogue saine qui fait oublier nos "peurs

Pour moi oui.

Je vois chez moi, quand je suis en groupe et que je suis vraiment social, donc que je participe à  la conversation, je me prend beaucoup moins la tête voir pas du tout que lorsque je suis tout seul et que je me met à  penser avec un sentiment de peur.

D'un côté converser me fait m'oublier parce que je m'exprime et d'un côté penser tout seul me fait me prendre la tête quand je flippe, parce que j’intériorise.

Et quand je suis tout seul à  flipper comme un con et que je me décide à  sortir de mon état d'esprit en socialisant, ba au début je suis encore un peu flipper, mais dès qu'un sujet m'intéresse, là  j'arrête de tout analyser intérieurement, et j'exprime ce que je pense au lieu de le garder pour moi et de tourner en rond dans ma tête.

Enfin pour moi avoir une phobie, c'est se répéter le même scénario parce qu'on est pas capable de passer à  autre chose dans sa tête, alors que lorsque tu parles avec des personnes, normalement la discussion avance, change de sujet, bref ça rebondit et je ne me prend plus la tête.

En fait c'est ça, plus je m'exprime en conversant et qu'il y a du répondant, moins je tourne en rond dans ma tête. Alors que moins je m'exprime, plus je ressasse les mêmes idées du moment et plus je boucle dessus.

Par rapport au fait de boucler, plus je suis flipper, plus les boucles sont courtes. En gros plus les boucles sont courtes, plus je pense à  la même chose, et dans une phase de paranoïa je ne pense qu'à  un truc et j'en fais le centre du monde, et j'ai du mal à  en sortir.

Un bon remède pour s'en sortir c'est de socialiser, donc de s'exprimer.


Bon après ya plein de cas particulier et de contexte, mais globalement plus je suis seul, plus je boucle, et plus j'ai de chance de flipper (surtout si je me drogue), alors que plus je vois du monde, plus je me change les idées, moins j'ai de chance de flipper (à  condition de ne pas être flipper de base, sinon là  par contre c'est hard core, la parano en public c'est vraiment un enfer à  vivre).


"Alors vous c'était pas mieux avant, ça sera mieux plus tard !"

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Mozelman homme
Banni
Inscrit le 29 May 2014
81 messages
Pour avoir le même souci que toi, avec symptômes dépressifs en plus dus à  l'arrêt de l'héro, outre la méthadone dont j'ignore si tu en prends, je te fais part de mon traitement en espérant que ça puisse t'aider étant donné que l'on n'est pas constitué pareil et que par conséquent, les médicaments agissent paradoxalement chez d'autres.
Dans mon cas, je sais que l'Effexor me fait du bien socialement (je suis beaucoup plus zen, moins misanthrope quand j'entre dans un train blindé, par exemple et pour peu que j'ai un ptit coup dans le nez + une vingtaine de gouttes de rivo, je tape la conversation avec n'importe qui)
Sinon, le Propanolol fonctionne plutôt bien mais j'ai l'impression qu'il faut le combiner avec un benzo pour obtenir des résultats probants.
Du reste, je prends des Seresta si vraiment je sais que je vais m'en trouver dans une situation pénible, en faisant gaffe de pas trop boire sans quoi ca me procure l'effet Rambo. Pour ça, les Valium sont mieux si l'on a décidé de boire un peu, même beaucoup. D'ailleurs, je trouve le Valium plus efficace pour le sevrage alcoolique.
Mais effectivement, le must pour une montée d'angoisse, en terme de pharmacologie bien sûr, c'est le Rivo, mais c'est pas donné à  tout le monde et c'est un vrai merdier desormais pour s'en procurer, étant donné que l'AFSAPS serre la vis et le destine exclusivement aux épileptiques, et dans une mesure moindre à  des patients souffrants de douleurs neuropathiques.
Courage à  toi, on est nombreux je suppose ici à  savoir ce que tu dois endurer.

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Laura Zerty homme
Banni
Inscrit le 02 Feb 2014
1262 messages
Le premier quart d'heure de ce documentaire traite des TOC :


"Alors vous c'était pas mieux avant, ça sera mieux plus tard !"

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TomA homme
Nouveau Psycho
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128 messages
Salut Wealldead

- Quand tu parles de "folie" il s'agit d'une crise de paranoïa ?
- Ou bien d'une phase d'excitation maniaque ?

Si tel est le cas, cela n'est pas négligeable !

Parce qu'il peut s'agir d'un symptôme paranoïde s'inscrivant de façon additionnelle à  l'anxiété.

Ou bien d'un symptôme de troubles de l'humeur.

On peut alors s'orienter vers un traitement neuroleptique, thymorégulateur.

Il est important de parler de cette "folie" à  un professionnel pour qu'il puisse établir un diagnostic plus précis que "anxiété généralisée" ou "TOC".

Amicalement

Dernière modification par TomA (05 août 2014 à  14:10)


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wealldead homme
Psycho junior
Inscrit le 01 Jul 2014
276 messages
Hello, tout le monde dsl c'est pas facile d'ecrire avec mon tel...

Laura, je suis d'accord avec toi et je pense que c'est propre à  l'homme mais à  différents degres : chacun a sa sensibilité à  la peur etc...
Le risque dans tous ca c'est de devenir dependant de l'autre...


Mozelman
Nan je n'ai jamais touché aux drogues "durs", cependant l'alcool a été l'un des seuls trucs que j'ai consomné qui tuait mon anxiété, mais je n'en consomme plus car le lendemain l'effet a disparu...
J'ai essayé pas mal de medocs dont l'effexor qui n'a pas été efficace chez moi. Les benzos classiques, pour le peu que j'ai essayé me rendait somnolent sans regler mon anxiété.
Seul la paroxetine avait à  la rigeur reduit mon anxieté et laisser reveler le tcatcheur que je suis au fond(l'alcool le faisait bien + hein, ce n'est pas comparable).
Cependant je l'ai arreté comme d'autres medocs aussi, car les effets indesirables sexuels sont tres tres frustrant(anejaculation) ! Vous me direz qu'il faut savoir ce qu'on veut...

On me dira aussi que ce sont des traitements à  prendre seulement quand ca va mal, mais je suis desolé moi je vise du long terme(une sorte de SOUS came à  prendre pour être normal), sinon pourquoi me faire chier avec leurs AD´s qui fonctionnent une fois sur trois et qui agissent qu'au bout d'un laps de temps.
Autant à  ce moment, direct taper dans le rivotril oຠcertains trucs efficaces et tres accoutumant.
Autant faire mon deuil de traitement à  long terme et retomber dans mon calendrier d'alcool pour les occasions de la vie courante où j'ai besoin de courage !


Slt tomas, non pas negative en soit, il faut preciser que j'etais sous paroxetine(l'ad qui a marché(connu pour son efficacité sur les toc s et anxieté + que la depression)) + ritaline (qui me rendait nerveux) + marsilid(qui me rendait nerveux) et ajoute à  ca que le tout etait à  la dose maxi : j'etais chaud bouillant et peu anxieux alors je relativisais tout et etais capable de vraiment aborder les gens dans le bus, je n'avais plus du tout peur du regard des gens(peur de passer pour un fou).
Et, je ne regrette pas ce passage, je trouve qu'au fond j'etais moi même, je ne pense pas être paranoiaque ou bipolaire car ce que j'appelle folie, c'etait + la boulimie de rencontre que je faisais pour rattraper tout ce temps perdu où j'etais anxieux... À verifier.

Je pense que dans ce traitement ce qui me rendait si couillu, c'etait la forte dose de paroxetine (80mg !!) car les deux autres (marsi et rita)quand je les ai pris par la suite seul pour retrouver cet etat de "folie" et bah me creait au contraire + d'anxiété.

Alors je pense serieusement à  reprendre paroxetine SEUL, ca devrait etre encore + efficace, le seul bémol serait les foutus effets d'anejaculation qui pourrait etre contré par une association avec athymil...

Mais avant tout j'ai besoin d'aide et d'un encadrément serieux specialisé dans les troubles anxieux +toc's, surtout que j'ai develllopé des tocs tres tres jeune (11ans).

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wealldead homme
Psycho junior
Inscrit le 01 Jul 2014
276 messages
Je peux avouer que la paroxetine a tout de même marcher contre mon angoisse de vie :
Je prenais enfin la responsabilité de la satisfaction de mes besoins au lieu de me plaindre : je pensais à  ma geule et pas à  comment celle des autres percevaient la mienne, j'avais compris que nous n'etions pas eternelle sur terre pour perdre son temps à  se lamenter et à  fuir le combat du regard de l'autre(le combat de la vie).
2semaines apres etre passer de 40mg à 80mg, je m'etais fais un super ami, j'abordais à  tout va, je me faisais un plan Q(dont je n'ai pas pu faire grand chose... On sait pourquoi...) et je rencontrai ma copine(actuelle) + un cdi (que je n'ai pas pu assûmé apres l'arret du traitement).
Je n'avais plus peur de vivre et d'aller au conflit pur chercher ma part, si possible la plus grosse !!  Je n'avais plus peur mais je ne planais pas du tout, contrairement à  l'alcool qui enleve beaucoup + la peur mais au prix d'un planage qui est imcompatible avec la vie en société.

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