#1
Bonjour !
Fabriquons nous tous de l' endorphine en buvant de l'alcool oui.
Une personne qui boit Beaucoup se retrouve en manque de morphine
lors d'un d’arrêt de consommation ?
En plus du manque d'alcool?
Merci
Fabriquons nous tous de l' endorphine en buvant de l'alcool oui.
Une personne qui boit Beaucoup se retrouve en manque de morphine
lors d'un d’arrêt de consommation ?
En plus du manque d'alcool?
Merci
Dernière modification par pierre (26 avril 2019 à 14:00)
“Ce n'est pas un gage de bonne santé mentale que d'être bien intégré dans une société profondément malade
JC
Hors ligne
#2
- Terson
BioHacker
- 26 avril 2019 à 08:41
Sautez dans l'urinoir pour y chercher de l'or.
Je suis vivant et vous êtes morts - Philip K. Dick
Hors ligne
#3
Terson a écrit
L'alcool agit sur GABAA et dans une moindre mesure sur NMDA.
Donc non.
Merci *
“Ce n'est pas un gage de bonne santé mentale que d'être bien intégré dans une société profondément malade
JC
Hors ligne
#4
- Pablito
Nouveau membre - 27 avril 2019 à 06:12
L'alcool au final active les voies glutamatergiques. Beaucoup plus rapidement que toute autre transmissions neuronales.
Evidement d'autres neurotransmetteurs peuvent être affectés, mais la voie glutamatergique reste la plus rapide et puissante.
La morphine n'est pas utilisée pour le sevrage proprement dit.
Mème si ça doit être agréable.
Pour le moment c'est benzo, hydratation (souvent en IV) et vitamines B1 B6 qui protègent les neurones.
Evidement d'autres neurotransmetteurs peuvent être affectés, mais la voie glutamatergique reste la plus rapide et puissante.
La morphine n'est pas utilisée pour le sevrage proprement dit.
Mème si ça doit être agréable.
Pour le moment c'est benzo, hydratation (souvent en IV) et vitamines B1 B6 qui protègent les neurones.
Hors ligne
#5
Hé Hé .. Merci !
“Ce n'est pas un gage de bonne santé mentale que d'être bien intégré dans une société profondément malade
JC
Hors ligne
0, 4533 vues, dernier message : 