Bébé né avec SSNN et présomption de mise en danger psy maternité

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LostMoMinTheAir femme
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Bonjour a tous je suis toute nouvelle sur la plateforme en tant que contributrice mais une lectrice assidue depuis quelque temps. Je viens malheureusement d'être confrontée lors de la naissance de mon bébé a la découverte d'un syndrome de sevrage apparu au bout de 72h et qui était anticipé car je suis sous protocole thérapeutique ALD paracétamol codéine en prévention de douleurs chroniques. J'ai dès l'annonce de ma grossesse très rapidement cherché a prendre des informations sur les facteurs bénéfice risque nous permettant de nous prémunir au mieux de ce SSNN et la maîtrise de risque avait demeuré en ce sens incertaine jusqu'a ce que la vie reprenne ses droits et que l'inconfort de mon enfant émerge nécessitant une prise en charge morphinique de trois semaines. Nous n'avons rien caché notamment en consultation anténatale a la maternité et la néo nat était avertie de la surveillance accrue qui devrait alors très probablement être mise en place a l'accouchement. Même si je savais ainsi que la sévérité du syndrome n'était pas proportionnelle au degré de ma "consommation" et que la manière dont le bébé métabolisait était davantage lié a l'imprégnation de mon organisme (du fait qu'une cessation de traitement avait été exclue a cause risques in utero), je me retrouve aujourd'hui confrontée à une parole mise sous caution du fait de la prise en charge bébé et les psy passent deux fois par semaine pour finir par me dire qu'ils interviennent dans le cadre d'une urgence périnatale car il y a ici eu factuellement mise en danger enfant induisant signalement de dangerosité et nécessaire sécurisation sortie par un parcours de soin obligeant pour moi et pour eux plus particulièrement un sevrage a demeure par ex? Or après avoir contacté csapa ils ne peuvent a leur sens rien faire pour moi car il faut d'abord idéalement identifier en centre anti douleurs ce qui relèverait du symptôme et de la cause en excluant l'effet rebond de la decceleration du traitement. J'ai donc tt mis en œuvre pour avoir un rdv qui dans le public n'est pas avant trois mois et dans le secteur hospitalier privé trois semaines - option pour laquelle j'ai donc optee! A mon sens la réussite de l'amélioration de ma santé passant par une adhésion pleine et entière du contrat de soins et une reppropriation de mes douleurs en curatif et non en préventif, d'autant que le pédiatre m'a également reproché de n'avoir pas su être objecteur de conscience en m'interrogeant sur la pertinence du traitement et que personne m'avait obligée a prendre ces médicaments (?!), J'étais sur la bonne voie et je n'ai de cesse de souhaiter montrer des garanties. La petite sera de surcroît en HAD a sa sortie permettant de vérifier que nous faisons sans doute ce qui faut. Mais cette présomption de signaler leurs inquiétudes de douter de ma capacité à en objectivant l'état de ma fille et de me laisser entendre que si je n'opte pas pour la solution "agressive" a savoir sevrage complet et in voit après, je remets en cause ma capacité a être sa mere - et donc risquer un retrait parental je sais pas?- je ne comprends pas?? Je me sentais sereine et lucide sur mon état et les évènements, mais on dirait que le choc traumatique n'est pas assez fort a leurs yeux et que ce n'est que de la poudre aux yeux de l'auto persuasion et du déni.... Moi je vois cela plutôt comme de l'errance médicale comme ces corps fibromyalgiques a qui on finit par dire prenez des AD c'est dans votre tête, et que eux se veulent les sachants tt en indiquant que c'est trop facile pour moi que de me présenter comme victime d'un système sanitaire trop enclin a la prescription d'antalgiques..  mais on fait quoi dans ce cas? On fait plus confiance a personne on va a l officine prendre n'importe quoi et les médecins ne servent a rien? Les scribouillards sans doute mais les autres? Je suis des lors grave en stress que l'on me menace réellement d'un suivi psycho social, dans quelle mesure je demeure toutefois légitime a être sa maman sans que l'on doive constamment être sous le feu des regards des jugements ou des pointages. Dois je faire appel a un avocat de la famille ? Ai je vraiment possibilité de prendre une décision qui ne soit pas sous contrainte pour gagner ce droit ? De tous les articles que j'avais pu lire je ne voyais que bienveillance et maintien souverain du lien mère enfant avec diminution massif des placements mais là je ne sais plus! Je ne suis ni précaire ni toxicologique ai déjà des enfants dont j'ai su m'occuper et une bonne situation. Peuvent-ils me maintenir sous menace ou me faire douter constamment du bien fonde de ma démarche ou s'agit il simplement d'une démarche psychologique visant a s'insinuer insidieusement en moi pour que j'ai l'impression de prendre une décision que je refutais sous couvert de culpabilité ou enjeu ? Ma question est treeessss longue mais on me dit tellement que je me fais des films pcq je serai en hyper vigilance que du coup ils arrivent même a me faire douter de ma lucidité sur ce plan là ? Help si vous avez des témoignages rassurants ou des issues positives suite a des parcours scrutateurs similaires, n'hésitez pas :-) je ne cherche pas a construire ma défense mais a continuer à y voir plus clair dans cette ambiance psychotique et oppressante! Gageons que le fait que j'ai accouché récemment me rend aussi sans nul doute vulnérable....

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LostMoMinTheAir femme
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Cc une 30aine de vues mais malheureusement pas une bonne âme pour enclencher une discussion proactive ? ;-) les heures passent et je tourne comme un lion en cage avec toutes mes interrogations glop. A bientôoottt

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janis femme
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LostMoMinTheAir a écrit

Bonjour a tous je suis toute nouvelle sur la plateforme en tant que contributrice mais une lectrice assidue depuis quelque temps. Je viens malheureusement d'être confrontée lors de la naissance de mon bébé a la découverte d'un syndrome de sevrage apparu au bout de 72h et qui était anticipé car je suis sous protocole thérapeutique ALD paracétamol codéine en prévention de douleurs chroniques. J'ai dès l'annonce de ma grossesse très rapidement cherché a prendre des informations sur les facteurs bénéfice risque nous permettant de nous prémunir au mieux de ce SSNN et la maîtrise de risque avait demeuré en ce sens incertaine jusqu'a ce que la vie reprenne ses droits et que l'inconfort de mon enfant émerge nécessitant une prise en charge morphinique de trois semaines. Nous n'avons rien caché notamment en consultation anténatale a la maternité et la néo nat était avertie de la surveillance accrue qui devrait alors très probablement être mise en place a l'accouchement. Même si je savais ainsi que la sévérité du syndrome n'était pas proportionnelle au degré de ma "consommation" et que la manière dont le bébé métabolisait était davantage lié a l'imprégnation de mon organisme (du fait qu'une cessation de traitement avait été exclue a cause risques in utero), je me retrouve aujourd'hui confrontée à une parole mise sous caution du fait de la prise en charge bébé et les psy passent deux fois par semaine pour finir par me dire qu'ils interviennent dans le cadre d'une urgence périnatale car il y a ici eu factuellement mise en danger enfant induisant signalement de dangerosité et nécessaire sécurisation sortie par un parcours de soin obligeant pour moi et pour eux plus particulièrement un sevrage a demeure par ex? Or après avoir contacté csapa ils ne peuvent a leur sens rien faire pour moi car il faut d'abord idéalement identifier en centre anti douleurs ce qui relèverait du symptôme et de la cause en excluant l'effet rebond de la decceleration du traitement. J'ai donc tt mis en œuvre pour avoir un rdv qui dans le public n'est pas avant trois mois et dans le secteur hospitalier privé trois semaines - option pour laquelle j'ai donc optee! A mon sens la réussite de l'amélioration de ma santé passant par une adhésion pleine et entière du contrat de soins et une reppropriation de mes douleurs en curatif et non en préventif, d'autant que le pédiatre m'a également reproché de n'avoir pas su être objecteur de conscience en m'interrogeant sur la pertinence du traitement et que personne m'avait obligée a prendre ces médicaments (?!), J'étais sur la bonne voie et je n'ai de cesse de souhaiter montrer des garanties. La petite sera de surcroît en HAD a sa sortie permettant de vérifier que nous faisons sans doute ce qui faut. Mais cette présomption de signaler leurs inquiétudes de douter de ma capacité à en objectivant l'état de ma fille et de me laisser entendre que si je n'opte pas pour la solution "agressive" a savoir sevrage complet et in voit après, je remets en cause ma capacité a être sa mere - et donc risquer un retrait parental je sais pas?- je ne comprends pas?? Je me sentais sereine et lucide sur mon état et les évènements, mais on dirait que le choc traumatique n'est pas assez fort a leurs yeux et que ce n'est que de la poudre aux yeux de l'auto persuasion et du déni.... Moi je vois cela plutôt comme de l'errance médicale comme ces corps fibromyalgiques a qui on finit par dire prenez des AD c'est dans votre tête, et que eux se veulent les sachants tt en indiquant que c'est trop facile pour moi que de me présenter comme victime d'un système sanitaire trop enclin a la prescription d'antalgiques..  mais on fait quoi dans ce cas? On fait plus confiance a personne on va a l officine prendre n'importe quoi et les médecins ne servent a rien? Les scribouillards sans doute mais les autres? Je suis des lors grave en stress que l'on me menace réellement d'un suivi psycho social, dans quelle mesure je demeure toutefois légitime a être sa maman sans que l'on doive constamment être sous le feu des regards des jugements ou des pointages. Dois je faire appel a un avocat de la famille ? Ai je vraiment possibilité de prendre une décision qui ne soit pas sous contrainte pour gagner ce droit ? De tous les articles que j'avais pu lire je ne voyais que bienveillance et maintien souverain du lien mère enfant avec diminution massif des placements mais là je ne sais plus! Je ne suis ni précaire ni toxicologique ai déjà des enfants dont j'ai su m'occuper et une bonne situation. Peuvent-ils me maintenir sous menace ou me faire douter constamment du bien fonde de ma démarche ou s'agit il simplement d'une démarche psychologique visant a s'insinuer insidieusement en moi pour que j'ai l'impression de prendre une décision que je refutais sous couvert de culpabilité ou enjeu ? Ma question est treeessss longue mais on me dit tellement que je me fais des films pcq je serai en hyper vigilance que du coup ils arrivent même a me faire douter de ma lucidité sur ce plan là ? Help si vous avez des témoignages rassurants ou des issues positives suite a des parcours scrutateurs similaires, n'hésitez pas :-) je ne cherche pas a construire ma défense mais a continuer à y voir plus clair dans cette ambiance psychotique et oppressante! Gageons que le fait que j'ai accouché récemment me rend aussi sans nul doute vulnérable....

Wahoo tu es très difficile à lire, écoute peut être modifie ton texte aère le pour engager les lecteurs à te répondre.

Après j'ai pas vraiment de réponse mais reste calme aux yeux du personnel soignant, écoute leurs conseils, discute avec eux.
Et ta puce (c'est une fille?) elle va comment? C est bien là l'essentiel.
Et toi, prends du temps pour toi, respire….

J'ai surement pas servi à grand chose mais je t'envoie un max d'ondes positives.

Janis


J'ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même

A. Artaud

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Mister No homme
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Courage, j'ai peu de temps mais tu vas trouver du soutien.
J'espère que le sevrage va bien être pris en charge et que tes soucis resteront dans la case mauvais souvenir à vite oublier.

Just say no prohibition !

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Shaolin femme
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Salut à toi et bienvenue,

Je ne suis pas sûre d'avoir tout saisi à ton récit, qui n'est pas simple à lire.
Mais ce que je vois direct, c'est que tu es mal tombée, que tu as eu à faire à des personnes pleines de préjugés et de jugements à l'emporte pièces!
Ne te laisse pas démolir ni culpabiliser par ces personnes.

Ce que je ne comprends pas, c'est que tu as été honnête dès le début, mais qu'ils te traitent comme ci tu leur avais caché une grosse consommation et que tu n'avais pas pensé à ta fille une seule minute...

Tu as pris rdv dans un centre anti-douleurs et tu as un rdv, tu as contacté un csapa qui t'a dit de voir d'abord avec le centre. Qu'est-ce qu'ils veulent de plus exactement??

Prends contact avec la pmi si tu peux, pour prendre un rdv après votre retour à la maison. Ils aiment ça qu'on passe par la pmi pour le suivi (et il ne faut pas avoir peur d'y aller parce que ça dépend de l'ASE), ça les rassure.

As-tu rencontré le chef de service pour lui exposer ton problème et l'attitude des soignants à ton égard?

Faut rien regretter... Revendique tes conneries, elles sont à  toi. Et surtout, vis à  fond! On vieillit bien trop vite. La sagesse, ça sera pour quand on sera dans le trou.        Jacques Brel

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Mister No homme
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Tu es en droit je crois de consigner l'incident ou du moins de leur signaler que tu comptes le signaler.
Vu que tu a été transparente, ce signalement n'a pas lieu d'être.

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LostMoMinTheAir femme
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Bonjour tout d'abord merci a tous. Oui j'ai été honnête en revanche j'ai certainement manqué de discernement sur le fait qu'accepter un protocole pour douleurs chroniques était la bonne chose a faire avec la grossesse étant donnée la majoration des risques qui a du être mal maîtrisé sinon on n'en serait pas là... J'ai à leur sens été volubile sans doute (et mon mari aussi?) sur le fait que c'était anecdotique, et le terme mise en danger et inquiétudes subsistantes est a mon sens une hérésie pcq personne ne veut infliger ça a son enfant. Et au vu de son traitement il n'aurait pas s'agi de m'infliger ça non plus ! Mais comme la pédiatre de ma fille semble médicalement estimer, malgré le fait qu'elle ne se revendique pas spécialiste en addictologie, une méthode agressive de sevrage est le seul gage de lucidité et de garantie que je puisse offrir ici. Que si je fais autrement je reste dans le déni et maintient délibérément une épée de Damoclès au dessus de nous - voire remet en cause les termes de la sortie ? Le csapa a persisté et signé quand ils les ont rappelé mais l'autre structure a laquelle ils tiennent tant et qui pratiquent des sevrages hospitaliers non ambulatoires aurait confirmé qu'ils pouvaient aussi me prendre en charge si volontaire (lettre de motivation ?) En depit du fait que la structure est majoritairement spécialisée dans la prise en charge de l'alcoolisme (groupes de paroles, thérapie, etc) je ne suis donc pas de leur patientèle native mais leurs délais de prise en charge sont certainement plus adaptés a l'obligation de résultats qu'ils semblent (les psy) ABS vouloir atteindre parallèlement a la sortie - profiter des deux semaines qu'il reste encore pour que je sois "soignée" et que toutes deux subissions le même protocole car ce qui s'applique a la fille s'applique fatalement a la mère d'après ce que je comprend. Il m'a fallu déjà une longue phase d'acceptation, des prises de contact proactives, j'ai même déjà expliqué que malheureusement cette possibilité était intégrée entre guillemets au projet de naissance et qu'ils m'aient accompagné ou pas j'avais déjà pris la décision de de me réapproprier ma santé , de prendre et de laisser les différents avis médicaux qui me voient au centre d'une errance médicale, et que dans tous les cas seule une adhésion pleine et entière du patient participait a la réussite de la démarche. Et je suis déterminée convaincue enthousiaste avec mon rétro planning en tete. Mais a leur sens je fais fausse route là où le csapa indique que ce sont eux qui font fausse route. Je ne sais plus quelles garanties apporter. Dois je obligatoirement m'assujettir a leur orientation pour prouver que je peux être sa mère sans craindre pour la suite, ou dispose-je vraiment légalement d'un libre arbitre sachant qu'ils mont aussi dit que personne ne m'avait forcée a prendre des médicaments ? Mais eux sont les sachants(les médecins) et nous néophytes,qui sommes nous pour ne pas faire confiance. J'aurai vraiment le sentiment de faire n'importe quoi que de faire encore volte face avec une décision allant en contradiction avec celle déjà prise il y a plus de dix jours avec le csapa et avec laquelle je suis en paix. J'ai déjà pris le partie comme on m'a préconisé de ne surtout pas arrêter le traitement tant que je n'aurai pas vu le médecin de la douleur, et de me traiter en curatif en laissant les douleurs s'installer pour qu'elles soient mieux analysées le moment venu plutôt qu'en préventif par peur d'avoir mal. Tout ce cheminement psychologique je ne nie pas qu'ils mont certainement aidée à l'acquérir. Mais ils prévoient encore de me voir possiblement demain, lundi, mercredi (psychologue, psychiatre) pour suivre l'évolution car pour eux rien n'est linéaire et que ma consommation d'avant grossesse parle contre moi et multiplie les risques de rechutes... alors qu'elle n'est plus du tout mon quotidien ! La cheffe de service est génée quand elle doit me confirmer les rdv en chambre avec l'unité d'urgence périnatale comme ils disent et semble se defosser pour ne se concentrer sur mon bébé (en même temps c'est son domaine de compétences donc). En quoi puis je donc revendiquer que je n'ai rien de plus a dire ; a mon sens si je me mets a manquer de collaboration cela me desservirait? On n'a de cesse de montrer patte blanche et ils devaient m'aider a obtenir des rdv plus tôt avec des centres Anti douleurs . Mais en l'absence et du fait que le centre addicto est leur autre site hospitalier de coordination au sein duquel il apparaît que l'effet passerelle est nettement plus rapide, ils se rabattent sur cette solution. Mais pour le coup c'est eux qui vont sur un chemin facilitant, pas moi - n'est ce pas uniquement pour ne prendre aucun risque vis a vis de la petite au cas où il se passerait qq chose a leur sens et de fait dégager leur responsabilité !? Mais où est le bon sens la dedans. On est prêts a assumer hospitalisation a domicile pmi travail collaboratif avec travailleuses sociales pkoi pas mais je n'aurai rien de plus a dire demain ou dans cinq jours. Et si j'étais une girouette ce serait inquiétant non car cela voudrait dire que je ne suis pas si empreinte de certitudes que ça et que ma prise de conscience est labile . Le hic dans tout ça encore une fois c'est que mon rdv tombe a défaut de n'avoir pu le ravancer dans l'intervalle pile poil avec le jour de la sortie prévue de mon enfant de la mater. Pourraient ils décaler sa sortie pour me maintenir sous emprise et dans l'obligation de résultats ou des lors qu'ils ont établi des liens avec une prise en charge extérieure, dans quelle mesure peuvent ils nous faire revenir. On a déjà un pédiatre de ville en qui on a toute confiance et qui très certainement transmettra les rapports de santé .pkoi cette suspicion constante, encore une fois quelle méconnaissance du sujet que de supposer que ma consommation était certainement bien supérieure du fait de l'état d'inconfort de la petite. J'ai des ordonnances en attestant un protocole ALD 100% sécu donné le nom des praticiens prescripteurs - vont ils aller jusqu'à les appeler ? Mais ce n'est jamais suffisant ! Au lieu de nous aider a sécuriser cette sortie en pleine conscience et confiance a chaque fois que je les vois je replonge dans cette culpabilisation et cette colère de n'avoir pas su prendre les bonnes décisions ou demander peut être l'aide adéquate quand il était encore temps. Je pars dans tous les sens, j'en ai conscience et deroule telle une pelote de laine le fil de ma pensée qui fuse dans tous les sens. Et vous remercie infiniment du temps que vous avez déjà pris a détricoter tout ça pour me ramener sur l'essentiel. Je voulais même aller jusqu'à prendre conseil auprès d'un avocat de la famille mais mon mari trouve que ce n'est pas une bonne idée car trop offensif et ils pourraient le voir comme une manière de les défier dans leurs bien pensance. Mais je ne dois donc jamais rien dire opiner du chef et me victimiser alors que dans le même temps cela leur semble trop facile quand je dis que c'est un phénomène sanitaire que de maintenir des millions de patient sous antalgiques comme on prescrit des bonbons ?  Je suis une marionnette entre leurs mains et encore une fois le fait que le mec ait encore hier au bout de presque trois semaine continué a exprimer des inquiétudes en me disant et que pensez vous d'une cure de sevrage, c'est me travailler au corps et on dirait que je ne donne tjs pas la bonne réponse. Je ne leur dis pas je m'en fous je sais que ceque j'ai a faire mais que j'ai pris contact et que voilà ce qui a été dit. Et eux objectent que l'on ne leur a pas tt a fait dit la même chose. Je suis un cas complexe et qu'est-ce qui relève de la douleur native ou de l'effet rebond lié a une decceleration du trt c'est dur a dire apparemment. Ok. DC pour eux c'est la meilleure option mais en quoi je peux rester avec ma fille dans cet indispensable nursing et en quoi nous optimisons le temps avec cette solution morbide ? Bref j'aimerais avoir votre assurance votre certitude que je ne crains rien car ils semblent également profiter de ma fragilité et vulnérabilité post accouchement pour me forger . Au secours !!!!

Dernière modification par LostMoMinTheAir (20 février 2020 à  09:56)

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Shaolin a écrit

Salut à toi et bienvenue,

Je ne suis pas sûre d'avoir tout saisi à ton récit, qui n'est pas simple à lire.
Mais ce que je vois direct, c'est que tu es mal tombée, que tu as eu à faire à des personnes pleines de préjugés et de jugements à l'emporte pièces!
Ne te laisse pas démolir ni culpabiliser par ces personnes.

Ce que je ne comprends pas, c'est que tu as été honnête dès le début, mais qu'ils te traitent comme ci tu leur avais caché une grosse consommation et que tu n'avais pas pensé à ta fille une seule minute...

Tu as pris rdv dans un centre anti-douleurs et tu as un rdv, tu as contacté un csapa qui t'a dit de voir d'abord avec le centre. Qu'est-ce qu'ils veulent de plus exactement??

Prends contact avec la pmi si tu peux, pour prendre un rdv après votre retour à la maison. Ils aiment ça qu'on passe par la pmi pour le suivi (et il ne faut pas avoir peur d'y aller parce que ça dépend de l'ASE), ça les rassure.

As-tu rencontré le chef de service pour lui exposer ton problème et l'attitude des soignants à ton égard?

Merci infiniment Shaolin ! Pour la Pmi je crois que eux les ont déjà contactés pour un suivi pour dire a quel point nous sommes dans un rouleau compresseur ! Attention a cette famille on a besoin que vous preniez le relais ! Même ça on ne me laisse pas le soin de me faire connaître de moi même et de m'en laisser l'opportunité - ce que je comptais déjà faire.... C'est d'une tristesse ^^

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LostMoMinTheAir femme
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Mister No a écrit

Tu es en droit je crois de consigner l'incident ou du moins de leur signaler que tu comptes le signaler.
Vu que tu a été transparente, ce signalement n'a pas lieu d'être.

Cc et merci ! Comment signaler cette pressurisation selon vous? En quoi puis-je être offensive dans ma situation vu que je suis la mère matricide et qu'elle légitimité ai je? Si ce n'est passer encore pour une occultatrice professionnelle... Que penserait un juge pour enfant, notre situation et statut de parent sans pb ne jouent ils pas en notre faveur, en quoi les psy ont un impact sur toute décision d'information préoccupante, signalement ou judicarisation ? Et le pédiatre de ma fille? Cette dernière, a part me dire a quel point le retour maison va être apocalyptique et que je n'ai vraisemblablement aucune idée de ce qui m'attend mais que eux savent pcq ils sont extérieurs, et que le nier prouve a quel point je suis pas du tout dans une démarche de résilience.   Et bam ensuite ils partent une semaine en vacances et vous laisse avec ça. Voilà mon quotidien ! Autre question : pourrait on demander a sortir de cette emprise et avancer l'hospitalisation a domicile des lors que le trt est toutefois un dérivé morphinique a administrer 8*/ jour - hormis une infirmière je ne crois pas que nous soyons habilités a le donner jour et nuit et comment la surveillance de son sevrage pourrait être garantie hors les murs de la hôpital sans que l'on nous imputé encore une mise en danger d'autrui que de le demander..   alors que nous serions a mon sens a contrario en pleine responsabilisation jusqu'à accompagner notre bébé dans son protocole de soins puisqu en revanche les personnels infirmiers de néo nat nous considérent déjà comme des partenaires de soins omniprésents et indispensables - et merci a eux!

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Autre question : pourrait on demander a sortir de cette emprise et avancer l'hospitalisation a domicile des lors que le trt est toutefois un dérivé morphinique a administrer 8*/ jour - hormis une infirmière je ne crois pas que nous soyons habilités a le donner jour et nuit et comment la surveillance de son sevrage pourrait être garantie hors les murs de la hôpital sans que l'on nous imputé encore une mise en danger d'autrui que de le demander..   alors que nous serions a mon sens a contrario en pleine responsabilisation jusqu'à accompagner notre bébé dans son protocole de soins puisqu en revanche les personnels infirmiers de néo nat nous considérent déjà comme des partenaires de soins omniprésents et indispensables - et merci a eux!

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Shaolin femme
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Vu le manque de confiance qu'ils ont en toi, ne te prends pas la tête avec eux pour sortir plus tôt, ça risque de te retomber dessus genre "t'es une mère irresponsable"
Et puis les protocoles de sevrage d'un nourrisson sont très rarement terminé à domicile, même quand ça se passe bien avec les soignants.

Psychody, un collègue du forum, m'avait dit ceci récemment dans un autre sujet:

en cas de mauvaises paroles/mauvais traitements de soignants, dans le cadre d'une hospitalisation, les patient.e.s peuvent maintenant faire des signalements pour "évènements indésirables"... c'est une bonne "arme" quand on est maltraité parce que les hostos ne veulent surtout pas donner une mauvaise image...si vous dites à une cadre de santé que vous allez faire inscrire ce qui vous arrive dans le registre des evenements indésirables...et bin bizarrement, souvent, ça les calme vite fait...j'ai pu comme ça faire admettre ma fille ainée dans un service de chirurgie alors que l'opération du dos (prévue depuis 1 an) avait été annulée au dernier moment pour une broutille entre soignants (guéguérre entre chirurgien et anesthésiste)...j'ai juste dit que ça finirait dans ce registre s'il n'y avait pas d'admission possible (bon, je bosse aussi dans un CHU depuis des années alors que connais un peu le ton à donner quand on va sur le terrain institutionnel)...1h après, elle avait une chambre et opération le lendemain comme prévu..

Je vais lui envoyer un mp pour qu'il passe nous donner son avis et nous en dire plus wink

Courage!


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Shaolin a écrit

Vu le manque de confiance qu'ils ont en toi, ne te prends pas la tête avec eux pour sortir plus tôt, ça risque de te retomber dessus genre "t'es une mère irresponsable"
Et puis les protocoles de sevrage d'un nourrisson sont très rarement terminé à domicile, même quand ça se passe bien avec les soignants.

Psychody, un collègue du forum, m'avait dit ceci récemment dans un autre sujet:

en cas de mauvaises paroles/mauvais traitements de soignants, dans le cadre d'une hospitalisation, les patient.e.s peuvent maintenant faire des signalements pour "évènements indésirables"... c'est une bonne "arme" quand on est maltraité parce que les hostos ne veulent surtout pas donner une mauvaise image...si vous dites à une cadre de santé que vous allez faire inscrire ce qui vous arrive dans le registre des evenements indésirables...et bin bizarrement, souvent, ça les calme vite fait...j'ai pu comme ça faire admettre ma fille ainée dans un service de chirurgie alors que l'opération du dos (prévue depuis 1 an) avait été annulée au dernier moment pour une broutille entre soignants (guéguérre entre chirurgien et anesthésiste)...j'ai juste dit que ça finirait dans ce registre s'il n'y avait pas d'admission possible (bon, je bosse aussi dans un CHU depuis des années alors que connais un peu le ton à donner quand on va sur le terrain institutionnel)...1h après, elle avait une chambre et opération le lendemain comme prévu..

Je vais lui envoyer un mp pour qu'il passe nous donner son avis et nous en dire plus wink

Courage!

Merci encore ! Mon conjoint n'a de cesse de penser toutefois que de prendre un avis d'un avocat  ou encore émettre un signalement reviendrait a mener un combat vain contre l'institution voire l'état et que je ne suis pas en position de force pour le faire ! Que cette réaction érectile serait contre productive mais j'ai des droits non? Le doute profite a l'accusé c'est déjà une règle élémentaire de droit!? Pkoi ici serait ce une zone de non droit où s'appliquerait une justice divine a laquelle nous sommes assujettis sous menace. Le pire c'est que de tous les témoignages que j'ai vu de mamans ayant fait face à un SSNN, je n'ai jamais vu aucune trace de signlt de rien de tt ça, des lors qu'elles étaient déjà connues des csapa et déjà substituees. Ce qui apparemment rend les femmes plus légitimes car la démarche est antérieure a contrario de moi ?!!

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Mister No homme
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Oui, attends un avis ou plutôt d'autres avis.
Probable que dans ta situation tu peux leur dire que tu serais en droit de consigner ce que tu considères comme un dysfonctionnement, en attendant, je te conseille de prendre patience et de consigner par écrits l'heure et la date ainsi que l'identité et la fonction de la personne ayant des propos déplacés par exemple ou stigmatisants.
Courage en attendant, je suis persuadé que la vie vous réserve très bientôt des moments plus doux et bien plus faciles à vivre.

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Mister No a écrit

Oui, attends un avis ou plutôt d'autres avis.
Probable que dans ta situation tu peux leur dire que tu serais en droit de consigner ce que tu considères comme un dysfonctionnement, en attendant, je te conseille de prendre patience et de consigner par écrits l'heure et la date ainsi que l'identité et la fonction de la personne ayant des propos déplacés par exemple ou stigmatisants.
Courage en attendant, je suis persuadé que la vie vous réserve très bientôt des moments plus doux et bien plus faciles à vivre.

Oui la sacro sainte bien pensance institutionnelle sous couvert de services sociaux et ici pedo psychiatriques nous font nous sentir bien peu de choses et bien peu légitimes a faire ce qu'il faut d'autant que je n'arrive tjs pas a comprendre la récurrence de ces rdv si ce n'est institutionnaliser également une démarche de déstabilisation venant a me faire dire où faire ce qui semble juste ou approprié a leur sens sans qu'on n'ait le droit d'objecter ou que ce qui s'est passé m'a fait perdre ce droit. Alors je tiens bon j'encaisse j'opine je collabore pcq dans tous les cas c'est ce qu'il y a de mieux a faire pour la petite et je m'assieds sur ma dignité mais le côté on veupa vous culpabiliser mais on sait désormais ce qui est bien pour vous vu que pdt tte votre grossesse vous n'avez de tte façon pas su, ça m'infantilise et me fait sentir encore +1 grosse merde dépendante (des autres) que le fait de me faire reprendre confiance en mes aptitudes et mon jugement. Et je n'aurais en effet - dans mon déni?- jamais pensé qu'on en arriverait a ces extrêmes car je ne me sens pas concernée par ces manquements parentaux ou tendances dangereuses. Je me sentais simplement fragile et cherche la force de prouver que tt ceci est bien derrière moi (nous). Mais cette confiance ne semble pas être communicative et ils me maintiennent dans le doute. Quel est leur intérêt a faire ca ,si ils veulent que je sois bien ce n'est pas la meilleure chose a faire ? Ou bien c'est dans la douleur (au sens propre et figuré) que l'on renaît et qu'ils me testent dans mon côté influençable ? Ou mon opiniatrete n'est que le reflet de ce que je ne veux pas voir. Tout est interprétable et cela dépend a chaque fois du point de vue duquel on se place. Mais personne ne dit les choses clairement : on n'aurait d'autre choix que de signaler les inquiétudes si vous refusiez de rentrer dans une démarche mais y a pas de raison (tant que je partais pour une cure de sevrage); mais nous maintenons nos inquiétudes quand deux semaines après cela ne me semble pas la meilleure solution en suivant le csapa. Ils ne sont pas spécialistes mais peuvent ils tenir mon destin entre leurs mains et me faire chier de les défier dans leurs certitudes. Je tourne en boucle . J'explique pendant 30 mins ma démarche au psy' il lmécoute, me jauge sans doute, dit rien. Puis au terme de cette demi heure : et que pensez vous de cette solution ? Bah j'en pense rien puisque je l'ai écartée il y a dix jours et que je n'ai pas envie de revenir sans arrêt sur le mode opératoire sous prétexte de multiplicité des chances et / ou raccourcissement du délais de soins(y a certainement des dispos plus rapides que ce que je leur propose moi qui paraît vraisemblablement comme une échappatoire vu que la petite est sensée être sortie a ce moment là - je sors des radars). Est ce que c'est prendre une mauvaise décision que de s'y tenir malgré le fait d'échecs précédents mais là j'ai la détermination d'aller au bout et ai du temps a y consacrer et une indubitable motivation. Pas le droit à l'erreur - mais pour eux déjà grillé mes cartouches ? ...

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Shaolin a écrit

Vu le manque de confiance qu'ils ont en toi, ne te prends pas la tête avec eux pour sortir plus tôt, ça risque de te retomber dessus genre "t'es une mère irresponsable"
Et puis les protocoles de sevrage d'un nourrisson sont très rarement terminé à domicile, même quand ça se passe bien avec les soignants.

Psychody, un collègue du forum, m'avait dit ceci récemment dans un autre sujet:

en cas de mauvaises paroles/mauvais traitements de soignants, dans le cadre d'une hospitalisation, les patient.e.s peuvent maintenant faire des signalements pour "évènements indésirables"... c'est une bonne "arme" quand on est maltraité parce que les hostos ne veulent surtout pas donner une mauvaise image...si vous dites à une cadre de santé que vous allez faire inscrire ce qui vous arrive dans le registre des evenements indésirables...et bin bizarrement, souvent, ça les calme vite fait...j'ai pu comme ça faire admettre ma fille ainée dans un service de chirurgie alors que l'opération du dos (prévue depuis 1 an) avait été annulée au dernier moment pour une broutille entre soignants (guéguérre entre chirurgien et anesthésiste)...j'ai juste dit que ça finirait dans ce registre s'il n'y avait pas d'admission possible (bon, je bosse aussi dans un CHU depuis des années alors que connais un peu le ton à donner quand on va sur le terrain institutionnel)...1h après, elle avait une chambre et opération le lendemain comme prévu..

Je vais lui envoyer un mp pour qu'il passe nous donner son avis et nous en dire plus wink

Courage!

Le pire c'est que je ne suis même plus patiente de l'hôpital mais accompagnante de ma fille et là ils agissent au titre d'urgence/péril périnatale, préoccupés par la situation de ma fille au regard de mon devenir de santé. Ce ne sont pas mes médecins ni même ceux de ma fille ces psy, on dirait qu'ils agissent davantage a la dde de la maternité pour se forger un avis sur les suites a donner (??). Je n'ai vraiment pas l'impression de mériter tout ça j'ai joué le jeu mais l'idée de devoir encore et encore palabrer la semaine prochaine et encore la semaine d'après sans que je n'aie ni le choix du rdv de l'acceptation du rdv et des enjeux... J'ai dit ce que j'avais a dire et j'ai plus rien a dire. Si je demeure absente d'augmentaire supplémentaire on va me dire quoi, que je stagne et que ma réflexion n'est pas maturée? Comment objectiver une sortie sereine avec tous ses obstacles - cette sortie doit se mériter? Mais pkoi dans d'autres néo nat je n'aurai probablement jamais été confrontée a ça, pkoi une telle disparité médicale dans les dispositifs déployés, cette inégalité territoriale est terrible et injuste. Une fois sortis de la mater ai l'impression que ce n'est pourtant qu'un début et qu'on ne sera jamais tranquilles desormais ? Comment gagner ce droit de vivre normalement et pas "sous les projecteurs". On n'est pas des délinquants j'étais juste pas en forme et je compte le devenir. Cela ne me rend pas inapte. Je voudrais juste que tout ca s'arrête et au pire ils savent où me trouver, le consigne dans un rapport et l'avenir nous donnera raison. Et voilà. Mais tant que je serai là j'ai bien l'impression que je les aurai sur le dos' et a mon sens ce n'est pas admissible. On est là pour vous accompagner vous soutenir vous aider a aller le mieux possible.  Bah non vous m'enfoncez a chaque fois et vous me dites quand vous passez, mais ne me demandez pas si j'ai BESOIN que vous passiez pour en discuter. Je peux appeler le secrétariat dans l'intervalle pour parler hein mais on m'impose les rdv. Normal? Et si je refuse bah c'est pas dur a deviner... Quand j'ai demandé hier au psy pkoi ils ressentaient ce besoin de suivi assidu il m'a répondu bah vous vous en doutez un petit peu sans doute? On agit au vu des fortes inquiétudes autour du syndrome développé par la petite et nous assurons que vous avez bien compris votre responsabilité et preniez toutes les mesures. Mise en danger comme je disais. Waie. Malheureusement le nombre de naissances sous SSNN a explosé c'est un pb de santé publique et je pense malheureusement que les parents sont aussi victimes que leurs bébés (attention faut pas le dire ici !) . Mettent ils autant d'ardeur sur ces milliers de cas où c'est juste moi car on est entre guillemets dans un endroit privilégié d'Ile de France où ce nest absolument pas normatif et donc exception ?

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Mon dieu que ça va être long jusqu'au prochain rdv alors qu'à mon sens tout a déjà été dit. Apparemment j'ai été remis sur le planning de co consult a cause du fait que la pédiatre demeurait dubitative sur le centre Anti douleurs là où c'était pourtant acquis qq jours avant . Du coup on rejette a nouveau les dés car son avis médical a son importance et on remet a nvo les choses en perspective car c'est le médecin de ma fille. Et que je n'y vois là que bienveillance car elle n'est pas obligée de passer autant de temps a mes côtes pour trouver des solutions et que c'est moi qui suis parano. Mais en fait si on travaille pendant des jours et des jours et qu'on recommence c'est pas une perte de temps? Décrédibiliser une démarche mais au delà de la mienne la vôtre aussi ? Car je suis tjs un point d'interrogation de ce qu'il conviendrait de faire,vous mêmes n'êtes pas sûr ? Et en plus j'ai pas de pb psychiatrique identifiés DC sont bien emmerdés car ils ne peuvent même pas agir sous contrainte par un tiers. Donc à part me faire plier... C'est le sentiment que j'ai ? Ou me faire faire un faux pas, m'énerver ou occulter ? Mais je ne leur donne pas ce plaisir. En tout cas en façade car ce qui est sur c'est que ça m'entame profondément le moral preuve en est a quel point je vous soule :-) mon conjoint lui est résigné et fatigué aussi de tt ça, des proportions que ça prend, jusqu'à se dire que lui va se battre pour que cela ne remette en rien en cause la date de sortie de la petite en donnant toutes les garanties pour l'accueil maison  - mais sans pouvoir se porter caution pour moi car si on en est la c'est quand même "un peu de ma faute"(?). Sachant qu'il ne pourrait dans tous les cas pas être caution car il est trop impliqué et ne peut pas être juge et partie, cela a déjà été dit. Il a même apparemment un rôle de signaler ou de demander de l'aide auprès du juge pour enfant en cas d'échec thérapeutique pour s'assurer que la garde ne lui soit pas non plus enlevée a lui de m'avoir "couverte"?? Mais de quoi on parle là, ce n'est en rien l'avenir que je brosse moi, que je m'attelle a vouloir construire dans la reprise de possession de ma vie. Tout est présomption de drame de jusque boutisme rien n'est heureux dans cette naissance on ne nous renvoie que la face sombre du pire de tout ce qui pourrait s'ensuivre a ça. C'est démoralisant, je ne suis même pas dans une prise récréative mais protocolaire "derrière laquelle je me cacherai", sont ouf ou pas ??

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Shaolin a écrit

Vu le manque de confiance qu'ils ont en toi, ne te prends pas la tête avec eux pour sortir plus tôt, ça risque de te retomber dessus genre "t'es une mère irresponsable"
Et puis les protocoles de sevrage d'un nourrisson sont très rarement terminé à domicile, même quand ça se passe bien avec les soignants.

Psychody, un collègue du forum, m'avait dit ceci récemment dans un autre sujet:

en cas de mauvaises paroles/mauvais traitements de soignants, dans le cadre d'une hospitalisation, les patient.e.s peuvent maintenant faire des signalements pour "évènements indésirables"... c'est une bonne "arme" quand on est maltraité parce que les hostos ne veulent surtout pas donner une mauvaise image...si vous dites à une cadre de santé que vous allez faire inscrire ce qui vous arrive dans le registre des evenements indésirables...et bin bizarrement, souvent, ça les calme vite fait...j'ai pu comme ça faire admettre ma fille ainée dans un service de chirurgie alors que l'opération du dos (prévue depuis 1 an) avait été annulée au dernier moment pour une broutille entre soignants (guéguérre entre chirurgien et anesthésiste)...j'ai juste dit que ça finirait dans ce registre s'il n'y avait pas d'admission possible (bon, je bosse aussi dans un CHU depuis des années alors que connais un peu le ton à donner quand on va sur le terrain institutionnel)...1h après, elle avait une chambre et opération le lendemain comme prévu..

Je vais lui envoyer un mp pour qu'il passe nous donner son avis et nous en dire plus wink

Courage!

@Shaolin : vous qui avez l'air absolument érudit sur tous ce sujets, a qui pensez vous que les psy font référence quand ils indiquent qu'ils peuvent transmettre des inquiétudes ? Qu'est ce que ca met en place derrière ? ^^ peut on s'en défendre et rapidement balayer d'un revers de main des "accusations" dès lors que la machine est lancée qu'est ce qui distingue un signalement d'une information préoccupante d'un relais pmi, tt ça dans le cadre du secret médical ? Franchement je me mets a avoir peur de tout alors que j'étais uniquement dans un process d'amélioration continue d'une situation ? Incompréhensible a mon sens. Qu'est ce qui relève de la menace et ou d'un réel "risque". Nous sommes dépassés

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C'est gentil, mais je ne suis pas plus calée que d'autres ici pour répondre wink

Je ne vois pas ce qui justifierait un signalement dans ton cas. Il y a clairement de l'abus, probablement lié à un manque de connaissance et des préjugés bien ancrés chez certains.
C'est pas normal, mais essaye de montrer le plus possible patte blanche pour qu'ils te laissent tranquille.

En tout cas, sois rassurée, on ne te retirera pas la garde de ta puce pour ça. Et vu que tu souhaites un suivi avec la pmi, ils ne pourront rien dire.

Par contre, ça:

...car si on en est la c'est quand même "un peu de ma faute"

c'est non! Je ne veux pas lire ça! Et ne laisse personne te dire ce genre de choses, jamais! Tu n'es pas responsable des douleurs et du fait que tu souffrais. On fait comme on peut dans une situation donnée, et si tu avais pu, tu aurais fait différemment. Il n'est pas question de faute ici, mais d'une situation à laquelle tu as essayé de faire face du mieux que tu pouvais.
Tu ne dois surtout pas culpabiliser.

As-tu à faire à une ou deux personnes compréhensives dans ce service au moins?


Faut rien regretter... Revendique tes conneries, elles sont à  toi. Et surtout, vis à  fond! On vieillit bien trop vite. La sagesse, ça sera pour quand on sera dans le trou.        Jacques Brel

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Shaolin a écrit

C'est gentil, mais je ne suis pas plus calée que d'autres ici pour répondre wink

Je ne vois pas ce qui justifierait un signalement dans ton cas. Il y a clairement de l'abus, probablement lié à un manque de connaissance et des préjugés bien ancrés chez certains.
C'est pas normal, mais essaye de montrer le plus possible patte blanche pour qu'ils te laissent tranquille.

En tout cas, sois rassurée, on ne te retirera pas la garde de ta puce pour ça. Et vu que tu souhaites un suivi avec la pmi, ils ne pourront rien dire.

Par contre, ça:

...car si on en est la c'est quand même "un peu de ma faute"

c'est non! Je ne veux pas lire ça! Et ne laisse personne te dire ce genre de choses, jamais! Tu n'es pas responsable des douleurs et du fait que tu souffrais. On fait comme on peut dans une situation donnée, et si tu avais pu, tu aurais fait différemment. Il n'est pas question de faute ici, mais d'une situation à laquelle tu as essayé de faire face du mieux que tu pouvais.
Tu ne dois surtout pas culpabiliser.

As-tu à faire à une ou deux personnes compréhensives dans ce service au moins?

Bonjour et merci ! En effet je n'ai de cesse de montrer patte blanche mais j'ai l'impression que ce n'est jamais suffisant vu que pour eux c'est sevrage et rien d'autre en niant complètement mon individualité... Veulent soi disant que ma fille et moi allons le mieux possible mais pour eux ça passe par si vous avez mal pas besoin de Médoc (c'est dans la tête??) D'où le fait qu'à mon sens un centre anti douleurs est adapté car pluridisciplinaire, il lèvera tous les doutes potentiels et est tout a fait a même également de prescrire si nécessaire un traitement substitutif. Donc ça revient au même mais de manière moins agressive et surtout ambulatoire car me permet de rester avec ma fille. Mais je n'oserai même pas leur dire que de toute façon ils veulent faire kwa , peuvent justement pas me retirer la garde pour ce motif, sinon vont encore m'arguer la mise en danger et le fait que je nie complètement la gravité de ce qui s'est passé... Ce à quoi j'ai déjà rétorqué que malheureusement ce risque était présent dans notre projet de naissance. Réponse bah si vous avez rien pris y aurait pas eu de risque ? Ma réponse : bah c'est pas comme si je n'avais pas eu de cesse de m'enquérir de la compatibilité de mon trt avec le fait de conduire une grossesse mais ai vraisemblablement été mal conseillée...retour psy : il fallait suivre protocole substitutif dès que vous étiez enceinte ; moi :"bah non surtt pas enceinte justement au vu des risques de morbidité, malformations etc". Eux :" et un SSNN alors ?". Ok. Donc j'ai tjs tort quoi. Mon mari n'y voit que bienveillance notamment la pédiatre qui ne serait pas obligée de passer autant de temps a échanger avec moi, mais quand je m'insurge de m'entendre dire que si je ne prend pas les bonnes décisions (les leurs?), Seront tenus de signaler leurs inquiétudes, on me dit que je suis en hyper vigilance et que rien n'est fait contre moi... Mais que eux sont extérieurs et fatalement savent mieux que moi qui suis embourbée et manque indubitablement de recul. Jusqu'à contredire la csapa donc (je me répète) et préciser que des centres de cure sont ok pour me prendre suffit que je fasse la démarche. Et pkoi ne voulez vous pas y aller? Bah cette errance médicale m'a conduite là, c'est pas pour changer d'avis toutes les 10 min, j'ai embrassé un parcours de soins auquel je crois et que je vous ai soumis et communiqué et vous vous étiez sensés m'aider a potentiellement avancer les dates de rdv pour anticiper la sortie plutôt que d'avoir des consultations concomitantes qui oui sont moins satisfaisantes. C'est pas pour me proposer d'autres options disponibles sous prétexte qu'il y a de la place avant ? Et ils me travaillent au corps et je ne sais même plus ce qu'ils vont finir par me dire car encore une fois re rdv mercredi en 8 - que je n'ai même pas demandé mais on est encore au stade de dissiper des inquiétudes apparemment .. c'est ça qui m'use. J'étais en paix avec mon rétro planning et la contextualisation du retour domicile de mon bébé, c'est pas pour tout remettre en cause sans cesse dans ce climat anxiogène. Je voipa en quoi ça m'aide. Et oui je réfléchis a signaler cet accompagnement qui a mon sens est opressant, alors dans le sens de l'intérêt de l'enfant certes car ils lâchent pas l'affaire, mais c'est nier que je suis déjà le partenaire de soins de mon enfant justement ! Envie de les envoyer bouler mais je ne peux pas . Alors j'essaie de chercher ce que je dois dire selon ce qu'ils ont envie d'entendre mais c'est un jeu de dupes auquel je ne suis même pas sûre de gagner... Et cela compromet complètement le sens de ce "travail", c'est complétement con. Juste pour avoir la paix.

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Mister No a écrit

Tu es en droit je crois de consigner l'incident ou du moins de leur signaler que tu comptes le signaler.
Vu que tu a été transparente, ce signalement n'a pas lieu d'être.

Trouvé ! https://solidarites-sante.gouv.fr/soins … e-de-soins

En revanche je ne suis pas sûre que dans mon cas cela puisse avoir un impact ou que justement je rentre dans les catégories proposées

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Shaolin a écrit

C'est gentil, mais je ne suis pas plus calée que d'autres ici pour répondre wink

Je ne vois pas ce qui justifierait un signalement dans ton cas. Il y a clairement de l'abus, probablement lié à un manque de connaissance et des préjugés bien ancrés chez certains.
C'est pas normal, mais essaye de montrer le plus possible patte blanche pour qu'ils te laissent tranquille.

En tout cas, sois rassurée, on ne te retirera pas la garde de ta puce pour ça. Et vu que tu souhaites un suivi avec la pmi, ils ne pourront rien dire.

Par contre, ça:

...car si on en est la c'est quand même "un peu de ma faute"

c'est non! Je ne veux pas lire ça! Et ne laisse personne te dire ce genre de choses, jamais! Tu n'es pas responsable des douleurs et du fait que tu souffrais. On fait comme on peut dans une situation donnée, et si tu avais pu, tu aurais fait différemment. Il n'est pas question de faute ici, mais d'une situation à laquelle tu as essayé de faire face du mieux que tu pouvais.
Tu ne dois surtout pas culpabiliser.

As-tu à faire à une ou deux personnes compréhensives dans ce service au moins?

Les professionnels que je fustige ici sont de l'équipe mobile intervenant en urgence en périnatalité. Ils ont vraisemblablement vocation dans un temps très court et a la demande de la maternité de proposer un dispositif adapté pouvant inclure le signalement. Ils font une évaluation de la parentalité avec des préconisations concertées avec l'ensemble des acteurs et qui,si elles sont réfutées, peuvent apparemment conduire a imputer au patient un "refus de soin" . Ou à mobiliser les réseaux locaux qui prendront le relais en ville (et ne vous lâcheront pas davantage donc). Je souhaiterais juste la paix, que cela s'arrête là, sans pour autant nier qu'oraliser tout ça aura à un moment donné participé a ce que nous le vivions mieux. Je ne vois pas donc pas l'obligation de poursuivre jusqu'à la sortie de la petite à moins que ne demeure toujours un point d'interrogation, que nous le sollicitions ou encore qu'ils aient des possibilités d'avancer le rdv au centre AD. En depit de ça, quid? Le pire c'est qu'on a l'impression qu'ils ne joueront même pas franc jeu et ne serons pas transparents sur la copie qu'ils vont rendre, tel un dépôt de plainte que l'on pourrait refuser de signer si l'on n'est pas d'accord avec les propos conclusifs portés. Ne sommes donc pas associés a l'analyse mais sommes l'objet de cette dernière. J'ai même cru voir qu'une Hospi a domicile n'est pas systématique dans ce cas sauf quand elle se veut concerner l'enfant... Et la mère ! Et celle ci est déjà actée. Soulee. Et la psychologue que j'avais eue l'opportunité de fréquenter ici étant partie en vacances, elle m'avait recommandé a sa binôme de permanence. Qui elle n'a même pas pris la peine de venir me rencontrer, me demander comment j'allais, me faire grâce de sa présence en co consult lorsque les pédopsychiatres sont encore venues (comme cela avait toutefois été le cas précédemment) , ou encore débriefer avec moi après ? Le psy avait juste un mail récap imprimé sur ses genoux reprenant apparemment le "dossier"- qu'il n'a donc pas préparé ? Ok. Et c'est dans ce contexte que je devrais m'en remettre à ces gens qui tiendraient ainsi mon proche destin entre leurs mains? Dans quelle mesure n'ai je rien a craindre et ne devrais je interpréter cette implication que comme une aide? Peut on vraiment en prendre et en laisser sans heurts ni préoccupation. Merci de tous vos possibles avis multiples et abondants si vous avez vécu des cas similaires qui me permettront de puiser une force de conviction et de dissiper toutes ces peurs qui viennent vraiment s'ajouter de manière exponentielle dans un contexte dont je n'avais vraiment pas besoin ! Échec thérapeutique avant même d'avoir commencé, bravo ! Ils ont des inquiétudes, souhaitent les dissiper, "savent" ce qu'il faudrait faire pour les anihiler et sont force de proposition en tant que sachants. Et si je dis non il se passe quoi ? Ca reste un avis psy consultatif ou une instance de sanction référente contre laquelle on ne peut rien ? Si ce n'est requérir un deuxième avis mais de qui ? Sous quel délai et le joug de quelle mesure suspensive pouvant intervenir dans l'intervalle ? Je ne me sens entre guillemets pas coupable de rien, j'irais pas jusqu'à dire que je suis victime mais ce qui est sur c'est que j'aurais été très mal conseillée sur les impacts durant ma grossesse - d'aucun me diront que je n'ai pas assez cherché a savoir et ai donc délibérément mis en danger mon bébé? Je tourne vraiment en rond.

Dernière modification par LostMoMinTheAir (21 février 2020 à  14:46)

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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour à tous :-) en ce weekend morne et morose, une bonne âme pour apporter un avis supplémentaire mais non exempt de m'éclairer davantage ? Courage à tous par ailleurs dans vos différents parcours de vie !

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