pétage de plomb après conso intensive de cc basée

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mona987
Nouveau Psycho
Inscrit le 19 Apr 2015
89 messages
BOnjour,

Je voulais apporter mon témoignage d'épisode psychotique (c'est mon psy qui m'a dit cela, mais je sais pas si c'en était reelement un, vu que je suis tjr resté en contact avec la réalité.)

Afin de peut-être mieux comprendre et me situer, je vous suggère de lire ma présentation.
https://www.psychoactif.org/forum/t1587 … .html#divx


La première fois que j'ai pris la cc, je devais avoir 19-20 ans. Je n'ai rien senti. On m'en a proposé une seconde fois j'ai retoqué cela me va rien votre truc, c'est mieux de le garder pour vous.

Je suis partie 2/3 ans après en Amérique du sud et après qq mois de voyage me suis trouvée en Colombie.
Avant on a en avait pris une fois au péru et je ne me souviens plus trop des effets.

Par contre je me souviens de l'effet en Colombie, on en avait à  tire-la-rigo 5CHF le g, la cc tombé par terre ? pfff pas grave, on en a tellement. On est resté 2 semaines dans cet hôtel ou 3 ou 4 m'en souviens plus et je suis tombée enceinte pendant ce temps là . Tout d'un coup,tirer me faisait vomir, c'est ainsi que j'ai appris que j'étais enceinte ! Merveille qu'est ce corps qui n'accepte plus ce qui n'est pas bon pour donner la vie ! Cela m'a fait aussi arrêter de fumer. Ensuite j'ai repris mais juste lors d'apéros ou en fin de dîner arrosé.

Pour en revenir de l'effet, je me souviens que j'avais la monstre tchache, mais que je devenais vite anxieuse et que cela ne me plaisait pas tant que cela. Mais je ne sais pas pourquoi, en voyant la cc je pouvais pas m'empêcher de la sniffer.

Donc je suis revenue chez moi, j'ai avorté, puis suis repartie. Entre temps, ils étaient passé aux « choses sérieuses,  » mon copain avait rencontré d'autres gars un peu bcp chelou ! Donc c'est basée on la prenait dorénavent . Pendant 1 mois-1 mois et demi. Peu après le café du matin jusqu'au couché.

Pour un (cela m'a marqué parce qu'est ce qu'il en a parlé) cela a été la révélation, enfin il se rendait compte à  quel point il avait été con avec sa femme et ses enfants(pour reprendre ses dires). IL jubilait de cette découvert  ! Sic  !

Je sentais que j'allais déraper, je voulais partir, mais mon copain pas. C'était ma première vraie histoire. Je n'ai pas pu partir sans lui, suis donc restée et j'ai continué. Je ne voulais plus en prendre, mais je ne supportais pas de les voire ainsi, alors pour pouvoir les supporter, j'ai continué à  faire comme eux.

je me souviens d'une scène ou ils étaient à  4 pattes afin de chercher un cailloux, qu'ils ont fait les poubelles, les voir ainsi me mettait dans un malaise profond. Ma soeur a eu des souci avec l'héro et cela me renvoyait à  cela. Aux OD.

J'ai enfin réussi à  obtenir qu'on parte de là . Nous sommes allé en Equateur, et c'est là  que tout a commencé.

Mon premier souvenir du dérapage, c'était le lendemain d'une soirée arrosée, et je me suis dit OMG je ne supporte plus l'alcool, les lendemain sont trop horribles, la bibine, le pinard, les mojitos c'est fini pour moi  ! Shit quel merde, plus boire du tout  ? Ça va pas être drôle la vie!(aie aie l'alcoolique;-) )
Je n'ai donc pas bu et le lendemain c'était tjrs là , le surlendemain encore là .

Je commençais à  me sentir dans une irréalité, comme si j'avais fais un mauvais trip, sauf que cela ne s'arrêtait pas. Les sensations que j'avais étaient très désagréables, j'étais très angoissée. J'avais l'impression de devenir complétment folle. Des appels mystiques, moi qui suis si terre à  terre.

L'horreur !

Je repensais aux fous que je croisais dans la ville ou j'habite et je me disais, « c'est pas possible, cela m'arrive!! A moi !! non c'est pas possible !  »
Peut-être un peu comme lorsque tu sais que tu vas te faire violer, et tu te dis, j'en ai entendu parler, je connais des gens à  qui c'est arrivé et là  ça y est c'est là , c'est mon tour, et que tu pries pour que cela ne dérrape pas trop. Que tu te fasses au moins pas démonter la gueule.

Ces sensations étaient épouvantables, je me disais que fallait mettre fin à  ma vie, je ne le voulais pas, mais ce que je ressentais était au delà  du supportable. Je commençais à  avoir des rêves ou qq'un me disait « allez vas y fais le, tu ne surmontteras pas, alors fais le  , cela ne sers à  rien, de toute façOn tu n'as jamais été heureuse, c'est ta chance là , fais le».
Ces rêves étaient récurrents.

Je commençais à  sentire des affinités avec ceux qui butent toute leur famille, pour se donner la mort par la suite, leur épargnant la vie terrestre si misérable, car la vrai vie commence au delà  de celle là . J'avais l'impression de les comprendre, trop bien...

« Tu as une mission, ceux qui ont butés tous le monde dans leur collège,autour d'eux avaient cette mission  , aussi....  » dixdit la ptite voix

Je commençais à  sentir perdre complétement le contrôle, j'avais peur de faire qq chose que je ne voulais pas, de faire du mal à  autrui. « le seul moyen de ne pas le faire c'est de te buter, vas-y fais le  »

Je n'arrivais plus à  lire un article de journal, lorsque je suis rentrée chez moi j'arrivais casi plus à  conduire une voiture, je parquais mon vélo et 10 mns après je ne savais plus ou je l'avais mis.

Je suis restée encore un mois en Amérique du sud en me disant que si j'étais mal comme ça, c'est parce que là  on était en Hiver et que j'avais chaud, que c'était comme l'été et que mon corps était en désaccord avec cette température élevée et que donc lorsque je retrouverai l'hiver et ces froides températures de chez moi cela irait mieux.

J'ai pensé aussi à  un type qui me détestait lorsque j'étais ado(j'ai été pendant longtemps rejetée pendant ma scolarité, un peu la bête noire, ô cruel enfants qui se moquent de ses semblable si ceux-ci sont un peu différents), me suis  dit que cela lui ferait trop plaisir de me savoir morte et que fallait que je tienne le coup.

J'ai eu des sensations de morts imminentes, je me sentais comme un ballon qui se dégonfle dans l'univers, c'est sombre,c'est noir l'univers et qu'est-ce que c'est froid. J'avais 'impression d'errer dans cet univers et que je perdais complétement  le cpntrôle. Ce que c'est effrayant.

Et j'avais cette petite voix qui essayait de s'emparer de moi pour me faire faire des choses. Je ne distingais plus trop mes rêves de ce que je vivais réellement.

J'ai cependant toujours su, enfin une partie de moi a toujours su que je délirais et s'est battu pour ne pas sombrer, rejettant totues ces idées délirantes.

Dans les situations particulièrement merdiques, j'ai toujours su, curieusement, garder mon sang froid.

Donc voilà  à  mon retour j'ai vu une première psy, cela a été la cata, une seconde recata et avec le 3ème j'ai fait 5 ans, donc 3 au rythme de 2 fois apr semaine. Pendant environ 5 mois cela a été très fort, puis cela s'est estompé. J'ai repris mes études mais j'e menais pas très bien large encore. Ces études ont durés 2 ans et je crois que vers le milieu de la seconde année j'ai commencé à  me sentir vraiemnt mieux.

C'est clair que je devais avoir des prédispositions, à  péter les plombs ainsi.
Je crois que j'ai pris des AD au bout de 6 mois de crise. J'ai énormément pleuré pendant cette période. J'ai découvert que se faire masser faisait un bien fou mais j'en ai pas assez profiter à  ce moment là . Je crois que de me faire masser et d'avoir à  ce moment à  un lien, une connection avec la personne que je disais « terrestre  » me raccrochait à  la vie, me ramenait dans le monde des humains.

J'ai usé de tout mon mental pour luter contre cette folie. J'ai des séquelles, pas trop importantes et que j'arrive assez bien à  gérer, mais j'ai été bien traumatisée part ce que j'ai « découvert  ». Suite à  un témoignage ici , je pense faire de l'EMDR.

Est-ce que d'autres personnes ont vécu qq chose de similaire ici  ?

Au plaisir de vous lire

Mona

ps: zut, je me rends compte que mon titre prête à  confusion. J'aurai du en mettre un autre pour signifier que j'apporte mon témoignage et n'ai pas besoin d'aide dans l'immédiat. Ce n'est pas possible de changer le titre ?

Dernière modification par mona987 (22 septembre 2015 à  23:45)

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filousky
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Si c'est possible.Donnes moi ton nouveau titre. Fais le le plus court possible.
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Jean C.
Psycho junior
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209 messages
Salut Mona.

Merci pour ce témoignage.

T'as pas eu une vie facile jusqu'à  maintenant. Il faut du temps pour digérer tout ça. A mon avis, plus tu en parleras, plus tu arriveras à  prendre un peu de distance par rapport à  tout ça et à  le digérer progressivement... Peut-être même que la voix qui te dit de faire certaines choses finira par se taire... (Je pense que la petite voix, c'est toi-même qui te parle, simplement parce que ta souffrance est trop difficile à  supporter, mais ce n'est que mon avis...)

J'ai aussi goûté la coke d'Amérique latine, celle de La Paz en particulier, la "cama de dios", celle qui ressemble à  du sucre cristallisé. C'est vrai que quand tu commences à  taper dedans, c'est très difficile de ne pas vider le paquet et de tout finir. L'inconvénient avec cette drogue, c'est que c'est un peu comme les méthamphétamines: ça te fais du bien mais tu n’atteins jamais un stade où tu es satisfait et tu continues à  taper dedans jusqu'à  qu'il n'y en ait plus. En 2003, la première fois que je suis allé en Bolivie, on s'est fait des nuits à  5g à  deux, de coke de La Paz, premier choix. On est rentrés avec 50g qu'on a consommés en un mois.... Personnellement, j'ai pu m'arrêter assez facilement d'en consommer après ça (mentalement, je suis assez solide...), mais pour ma compagne, ça a été terrible...

Le positif dans tout ça, c'est que cela ne me viendrait pas à  l'idée d'acheter de la coke en Suisse, parce que je sais pertinemment que si je le fais je vais me retrouver avec un mélange de 70% à  90% de substances non identifiées et le reste de coke. Franchement, ça ne m'intéresse pas...

Dernière modification par Jean Croisier (23 septembre 2015 à  14:03)


Ni criminel, ni hors la loi, ni malade. Je suis un usager de drogues bien portant, sans soucis hormis le fait de ne pas avoir de travail. Je ne recherche pas de soutien, mais un échange avec des personnes desquelles je me sens proche. Peace, Love and Anarchy wink

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mona987
Nouveau Psycho
Inscrit le 19 Apr 2015
89 messages
@filousky : peut-être juste pré-fixer de [Expérience] plutôt.

@Jean Croisier : c'est du passé, cette petite voix n'est plus là  ou casi plus, c'est juste que j'ai développé un côté parano, mais je contrôle cela très bine, malgré que cela soit quand même des fois un peu pénible.

Je n'ai eu aucune peine a arrêter, pas parce que j'ai de la volontée ou une force de caractère quelconque, mais simplement parce que je n'avais pas envie d'en reprendre, pas de craving(et ceci les 2 fois de mon retour de Colombie, même avant mon pétage de plomb). Là  c'est mon copain qui est accro c'est pourquoi je suis venue sur ce site d'ailleurs. Du coup j'en tape aussi de temps en temps, surtout lorsque j'ai trop bu (ce que je trouve assez débile de ma part, mais bon je vais pas culpabiliser pour autant. On pourrait trouver que je manque de cohérance aussi, mais j'assume). Je fais un peu n'importe quoi lorsque j'ai trop bu, comme bcp de monde...  Mais je décline aussi très souvent.
Il ne me viendrait pas l'idée de taper en étant sobre, d'ailleurs l'effet ne me plait pas. Cela me rend anxieuse.

Je n'ai jamais pu échanger avec des personnes qui ont eu ce genre de pétage de plomb suite à  la prise de cc. Pourtant cela doit arriver ?  Ce qui est étonnant c'est que c'est arrivé après l'arrêt. Peut-être que c'est arrivé lorsque j'ai quitté la Colombie, parce que je "ne pouvais pas péter" les plombs en Colombie.

J'ai vu/discuté qq fois avec des personnes qui décompensaient une fois que tout allait bien ou que tout était plus ou moins rentré dans l'ordre.

Ces trucs trop kiffant que ces gens racontent qu'ils ressentent avec la cc, je ne les ai jamais connu et pourtant j'ai dérapé, je me suis cassé la gueule bien comme il faut ! Un comble ;-)

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stella
Psycho junior
Inscrit le 25 Sep 2007
363 messages
Peut être que ce que tu as vécu n'a aucun lien avec la cc? Enfin je ne sais pas, ça me parait tellement long.

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bighorsse
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
Quand on va a l encontre de ses vrais désirs , que l on prend de la cc sans en avoir envie , on va au devant d ennuis psychiques....c est ce qui T es arrivée à  mon avis ..tu pressentais que cela n était pas bon pour toi mais tu as été au delà  de ce que tu ressentais a l égard de la cc..méfiance , rejet, etc...pour rester avec ton amour tu as sacrifiée ton bon sens ..et paf ..un mauvais trip ...
Je laisse au psy son épisode psychotique ...
As tu eu plus tard des troubles ?

l angoisse est le vertige de la liberté

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Jean C.
Psycho junior
Inscrit le 04 Sep 2015
209 messages

mona987 a écrit

Je n'ai jamais pu échanger avec des personnes qui ont eu ce genre de pétage de plomb suite à  la prise de cc. Pourtant cela doit arriver ?  Ce qui est étonnant c'est que c'est arrivé après l'arrêt. Peut-être que c'est arrivé lorsque j'ai quitté la Colombie, parce que je "ne pouvais pas péter" les plombs en Colombie.

J'ai vu/discuté qq fois avec des personnes qui décompensaient une fois que tout allait bien ou que tout était plus ou moins rentré dans l'ordre.

Ces trucs trop kiffant que ces gens racontent qu'ils ressentent avec la cc, je ne les ai jamais connu et pourtant j'ai dérapé, je me suis cassé la gueule bien comme il faut ! Un comble ;-)

Salut Mona!

J'ai connu une copine à  qui c'est arrivé. Malheureusement, pour elle, ça a été encore bien pire que pour toi. Elle se faisait des monstres parano, y compris en ce qui concernait son copain et ses meilleurs amis. Elle a dû faire un séjour de plusieurs semaines en hôpital psy. Au bout d'un moment, ça allait mieux, mais maintenant, ça fait longtemps que je n'ai plus de nouvelles et que c'est difficile de la joindre. Peut-être que c'est parce qu'elle ne veut plus voir des personnes qui consomment des drogues, et si c'est son choix et qu'elle pense que c'est mieux pour elle, je le respecte. Mais je me fais toujours du souci pour elle et ça s'est passé il y a plus de 2 ans... Mais je ne pense pas que tu sois dans le même cas qu'elle et tes commentaires me laissent penser que ta situation s'améliore. Par contre, si tu es sensible à  ce produit et que tu ne l'apprécies pas particulièrement, je pense que ça ne serait vraiment pas une mauvaise idée de ne plus en consommer (étant donné que tu n'en profites pas vraiment...). Parfois, quand nos amis consomment ça peut nous faire chier de ne pas "être dans le même délire qu'eux". Si c'est le cas et que tu as envie d'être "high" en même temps qu'eux, peut-être que tu pourrais consommer d'autres drogues qui te conviennent mieux. (Si tu souhaites consommer quelque chose, mais ça n'est absolument pas nécessaire. C'est à  toi de voir...).

Je suis d'accord avec Bighorsse quand elle dit qu'il vaut mieux ne pas consommer une drogue que l'on a pas réellement envie de prendre. Le simple fait d'avoir une appréhension avant de la consommer peut te faire passer un mauvais moment (mauvais délire).

J'espère que tu auras bientôt surmonté ça et je te souhaite le meilleur, mais en lisant tes commentaires, j'ai quand même l'impression que ça va de mieux en mieux et ça me fait plaisir. wink

Courage et bonne journée!

Dernière modification par Jean Croisier (05 octobre 2015 à  09:10)


Ni criminel, ni hors la loi, ni malade. Je suis un usager de drogues bien portant, sans soucis hormis le fait de ne pas avoir de travail. Je ne recherche pas de soutien, mais un échange avec des personnes desquelles je me sens proche. Peace, Love and Anarchy wink

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mona987
Nouveau Psycho
Inscrit le 19 Apr 2015
89 messages
@bighorsse : non je n'ai pas eu d'autre trouble, mais je n'ai jamais été bien dans ma peau, mais je sais que cela n'a rien à  voir avec des problèmes psy. Je pense que tu as raison, ce n'était pas un délire psychotique. J'ai lu un témoignage sur ce site et je pense que c'était plutôt un cas de déréalisation/dépersonnalisation.

@jean croisier : et ton amie elle ne consomme plus rien ? moi je sais que lorsque cela m'est arrivé, rien que de voir une ligne un fumer une cigarette et ainsi sentir la fumée dans mes poumons me faisait des pires crises d'angoisses.
C'est clair que je ferai mieux de m'abstenir totalement de consommer, mais avec l'alcool...humhum, et des fois j'apprécie le léger effet speed pour rester un peu plus lgt en soirée, ce qui est débile aussi, je l'admets !

Cela ne me dérange pas trop la conso que j'ai ici, car je suis jamais en recherche, je refuse souvent et de toute façon pour l'effet qu'elle me fait....ça va ! Par contre j'ai été en Amérique du Sud il y'a 2 ans et là  mon copain a tiré(d'ailleurs j'étais furieuse des risques qu'il a pris pour s'en procurer), pour moi c'était hors de question, même si je dois l'avouer y'avait quand même une ptite p..te de voix qui me disait allez un ptit, alors que j'aime pas l'effet de la c casi pure. Je comprends vraiment pas qu'il peut y avoir cette envie alors que j'aime pas le produit, grrrrrrrr !!!!
Merci Jean pour tes différents réponses !

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Jean C.
Psycho junior
Inscrit le 04 Sep 2015
209 messages
Pas de quoi Mona.

J'espère que tu t'en remettras bientôt. En ce qui concerne la copine dont je t'ai parlé, c'était un peu extrême. Il y avait clairement d'autres choses qui n'allaient pas dans sa vie. Elle a bien perdu ses esprits. Je n'ai plus de nouvelles depuis longtemps, mais c'est vrai qu'à  l'époque elle ne voulait plus rien retoucher. Malgré tout, elle venait quand même exceptionnellement en teuf et elle prenait du speed et du MDMA.

Mais en ce qui te concerne, cela ne sert à  rien de paniquer, car rien n'indique que tu sois dans la même situation qu'elle. Je te conseillerais donc effectivement de faire une pause pour reprendre un peu tes esprits. Ensuite, si tu as envie de consommer de temps en temps, commence par y aller doucement et si ça ne se passe pas bien, tu sauras qu'il vaut mieux que tu évites telle ou telle drogue.

Ce n'est rien d'autre que mon avis et je ne suis pas un expert non plus...

Tout de bon et a+!

Dernière modification par Jean Croisier (10 octobre 2015 à  14:56)


Ni criminel, ni hors la loi, ni malade. Je suis un usager de drogues bien portant, sans soucis hormis le fait de ne pas avoir de travail. Je ne recherche pas de soutien, mais un échange avec des personnes desquelles je me sens proche. Peace, Love and Anarchy wink

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