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- Virginiebilong
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- Inscrit le 31 Jul 2019
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Bonsoir
Dû à un oublie de ma part de faire renouveler mon ordonnance de seroplex et un souci d approvisionnement à la pharmacie je suis au 6eme jour sans seroplex et je ne ressens aucun symptôme juste très léger vertiges
Est-ce normal ??
Dû à un oublie de ma part de faire renouveler mon ordonnance de seroplex et un souci d approvisionnement à la pharmacie je suis au 6eme jour sans seroplex et je ne ressens aucun symptôme juste très léger vertiges
Est-ce normal ??
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Bonsoir,
Tu nous ecris pour nous dire que tout roule pour toi?
Moi je suis au taff mais pour le moment c est tranquille aussi...
PS : en fonction depuis combien de temps tu prend ton TTT c est pas génial d'arrêter aussi brutalement. As tu essayé de joindre ton medecin?
Ocram
Tu nous ecris pour nous dire que tout roule pour toi?
Moi je suis au taff mais pour le moment c est tranquille aussi...
PS : en fonction depuis combien de temps tu prend ton TTT c est pas génial d'arrêter aussi brutalement. As tu essayé de joindre ton medecin?
Ocram
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Je me permets d'intervenir car, si Ocram a eu la gentillesse de te répondre, notre forum est un forum d'usagers de drogues licites ou illicites tenu par une équipe d'usagers de drogues dans laquelle se trouve un médecin anesthésiste à la retraite.
Les question sur les traitements antidépresseurs sont hors cadre de nos compétences, bien que nombre d'entre nous ont été ou sont usagers de traitements antidépresseurs.
Seules des expériences vécues peuvent répondre à ta question. Je suis aussi sous IRS (même catégorie que le seroplex). J'ai pu arrêter plusieurs fois après des épisodes longs (2/3 ans) sans avoir le moindre syndrome de sevrage. Génial quand ça se passe comme cela.
Par contre en 2012, pendant un traitement très éprouvant d'hépatite C, j'ai du reprendre cet A.D. 7 ans après, quelques jours après avoir diminué de moitié, ma forme physique diminue sensiblement. Je reprend alors la dose initiale et me dis : c'est pas encore le moment, mon état dépressif est toujours présent masqué par le traitement.
Normal ? je ne sais pas, mais chouette pour toi si tu ne ressens pas de baisse de moral. Cela indique peut être que tu peux arrêter définitivement. Mais l'avis de ton prescripteur a la priorité, étant le pro de l'histoire.
Amiacelement
Fil
Ps : j'espère que tu as capté que le sujet n'est pas des plus populaire ici, car nous sommes conscients de nos absences de savoir universitaire (surtout dans le domaine flou de la psychiatrie) ou même de savoir expérientiel avec les habitants du Vidal (dictionnaire des médicaments).
Les question sur les traitements antidépresseurs sont hors cadre de nos compétences, bien que nombre d'entre nous ont été ou sont usagers de traitements antidépresseurs.
Seules des expériences vécues peuvent répondre à ta question. Je suis aussi sous IRS (même catégorie que le seroplex). J'ai pu arrêter plusieurs fois après des épisodes longs (2/3 ans) sans avoir le moindre syndrome de sevrage. Génial quand ça se passe comme cela.
Par contre en 2012, pendant un traitement très éprouvant d'hépatite C, j'ai du reprendre cet A.D. 7 ans après, quelques jours après avoir diminué de moitié, ma forme physique diminue sensiblement. Je reprend alors la dose initiale et me dis : c'est pas encore le moment, mon état dépressif est toujours présent masqué par le traitement.
Normal ? je ne sais pas, mais chouette pour toi si tu ne ressens pas de baisse de moral. Cela indique peut être que tu peux arrêter définitivement. Mais l'avis de ton prescripteur a la priorité, étant le pro de l'histoire.
Amiacelement
Fil
Ps : j'espère que tu as capté que le sujet n'est pas des plus populaire ici, car nous sommes conscients de nos absences de savoir universitaire (surtout dans le domaine flou de la psychiatrie) ou même de savoir expérientiel avec les habitants du Vidal (dictionnaire des médicaments).
Dernière modification par filousky (02 août 2019 à 11:25)
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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !
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- geosadak
- Psycho junior
- 000
- Inscrit le 25 Jan 2017
- 304 messages
J'ai arrêté le seroplex de façon brutale l'année dernière (20mg depuis 8 mois). Je n'ai rien ressenti pendant plusieurs semaines. Je n'ai eu aucun symptome de sevrage.
En revanche mon moral a chuté progressivement et je suis retombé dans l'alcool.
J'ai recommencé un IRS en début d'année, et je vais bien mieux avec. Est-ce lié au fait que mon traitement n'aie pas été assez long pour consolider la sortie de ma dépression ou au fait de l'arrêter brutalement ? Je ne sais pas.
Je te conseille d'aller voir ton toubib. Les demies vies de ces médicaments sont longues et la molécule peut encore être présente 5 jours plus tard.
G.
En revanche mon moral a chuté progressivement et je suis retombé dans l'alcool.
J'ai recommencé un IRS en début d'année, et je vais bien mieux avec. Est-ce lié au fait que mon traitement n'aie pas été assez long pour consolider la sortie de ma dépression ou au fait de l'arrêter brutalement ? Je ne sais pas.
Je te conseille d'aller voir ton toubib. Les demies vies de ces médicaments sont longues et la molécule peut encore être présente 5 jours plus tard.
G.
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J'ai moi même quelques questions concernant le protocole d'arrêt du seroplex.
En effet, lors d'un traitement sous effexor il y a quelques années, le psychiatre me l'avait arrêté d'un coup, sans sevrage progressif. 150 mg LP
En bon internaute anxieux j'avais fait mes petites recherches. Certaines personnes semble souffrir de difficulté à l'arrêt, notamment les "brain zaps". Je n'en ai pour ma part ressenti que très peu, pendant 24h.
Aujourd'hui sous seroplex 15 mg, je vois que l'has préconise un arrêt progressif sur une à deux semaine, à renouveler sur des paliers plus long en cas de "syndrome de discontinuité".
J'ai toujours été perplexe qu'en au méthode d'arrêt avec prise "un jour sur deux, puis sur trois", je ne m'explique pas très bien comment ça fonctionne, mes connaissance en pharmacopée étant très limitées.
Si quelqu'un veut bien prendre la peine d'éclaire ma lanterne sur le pourquoi de cette méthode, je l'en remercierais, je en sais même pas ou chercher une source fiable.
En effet, lors d'un traitement sous effexor il y a quelques années, le psychiatre me l'avait arrêté d'un coup, sans sevrage progressif. 150 mg LP
En bon internaute anxieux j'avais fait mes petites recherches. Certaines personnes semble souffrir de difficulté à l'arrêt, notamment les "brain zaps". Je n'en ai pour ma part ressenti que très peu, pendant 24h.
Aujourd'hui sous seroplex 15 mg, je vois que l'has préconise un arrêt progressif sur une à deux semaine, à renouveler sur des paliers plus long en cas de "syndrome de discontinuité".
J'ai toujours été perplexe qu'en au méthode d'arrêt avec prise "un jour sur deux, puis sur trois", je ne m'explique pas très bien comment ça fonctionne, mes connaissance en pharmacopée étant très limitées.
Si quelqu'un veut bien prendre la peine d'éclaire ma lanterne sur le pourquoi de cette méthode, je l'en remercierais, je en sais même pas ou chercher une source fiable.
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Hé bien ce n'est pas très compliqué : ton cerveau s'habitue à la molécule et apprend à fonctionner avec. Si tu lui "coupes les vivres" brutalement il ne sait plus vraiment comment fonctionner de lui-même. Tu ressens ces "bugs" sous la forme de symptômes de sevrage (brain zap et autres). Prendre le traitement de manière de plus en plus espacée permet de lui réapprendre à fonctionner tout seul de manière progressive et donc d'éviter ces désagréments, qui peuvent être vraiment violents.
Le seroplex a une demi-vie d'une trentaine d'heures, c'est-à-dire qu'au bout d'une trentaine d'heures tu as éliminé la moitié du produit que tu as ingéré. Tu as donc un effet cumulatif sur les prises en temps normal, effet que tu diminues progressivement en espaçant les prises. Cela permet de se sevrer en douceur.
Le seroplex a une demi-vie d'une trentaine d'heures, c'est-à-dire qu'au bout d'une trentaine d'heures tu as éliminé la moitié du produit que tu as ingéré. Tu as donc un effet cumulatif sur les prises en temps normal, effet que tu diminues progressivement en espaçant les prises. Cela permet de se sevrer en douceur.
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