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Selstad a écrit
On t'as jamais proposé de te mettre sous antidepresseur pour arrêter les benzos ?
Mais quel est le rapport ?
L autre Lebowski a écrit
Mais voilà, moi je suis pas d'accord! Il est hors de question que je commence à baisser le dosage alors que je sais très bien que je suis encore sur le fil du rasoir, que je vais très mal dans ma vie, et que mes 20mg de Sub font partie du (léger) cocktail qui me permet de supporter ma journée.
N'hésite pas à lui dire,comme tu l'explique ici, et même que tu veut être stabiliser ( de ce que je comprends) et donc que cela t´effraie rien que d'y penser.
Dans l'idéal cela doit être un compromis entre les deux parties.
Et si jamais, elle ne l'entend pas tu peux toujours aller chercher un autre médecin généraliste.
Amicalement
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meumeuh a écrit
Mais quel est le rapport ?
Il dit lui même : "je vais très mal dans ma vie"
S'il y a des symptômes depressifs et/ou anxieux on prend des antidépresseurs.
Il pourrait de sentir mieux et réduire sa consommation d opiacé et de benzo qui n ont pas l air de lui apporter grand bénéfice.
Les antidépresseurs peuvent être pris sur de longue période, contrairement aux benzo ou il a un risque de dépendance et d accoutumance.
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Selstad a écrit
il a un risque de dépendance et d accoutumance.
Il y a aussi un risque de dépendance et d'accoutumance avec les AD.... C'est bien pour cela que tu ne peux pas arréter d'un coup.
Par ailleurs, c'est au patient de dire si il souhaite baisser son TSO. Les coups de pression de la médecin pour baisser sont insupportables. Ca mets les PUD dans une situation de faiblesse, et sur la défensive. Encore un enjeu de pouvoir !
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Selstad a écrit
S'il y a des symptômes depressifs et/ou anxieux on prend des antidépresseurs.
Alors, si c'est juste de l'anxiété, non, on ne prend pas d´AD.
D'ailleurs, ma question était plutôt pour te faire remarquer que tu étais hors sujet, l'op ne pose pas de question ou ne nous demande pas d'information sur les AD.
Il dit juste que sa vie n'est pas stable en ce moment.
MM
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pierre a écrit
Selstad a écrit
il a un risque de dépendance et d accoutumance.
Il y a aussi un risque de dépendance et d'accoutumance avec les AD.... C'est bien pour cela que tu ne peux pas arréter d'un coup.
Par ailleurs, c'est au patient de dire si il souhaite baisser son TSO. Les coups de pression de la médecin pour baisser sont insupportables. Ca mets les PUD dans une situation de faiblesse, et sur la défensive. Encore un enjeu de pouvoir !
Je suis d'accord à 1000% avec Pierre , c'est au patient de décider, voir en en discutant avec son médecin !
Surtout que ce sont des traitements qui peuvent etre pris à vie , alors de quoi elle se mêle cette cloche , qu'elle te foute la paix !
Vas y de manière diplomatique avec elle et en étant poli mais sois ferme avec elle et ne te laisse absolument pas faire !
Fais les choses en fonction de ton ressenti et de tes besoins , un point c'est tout !
Dernière modification par Acid Test (29 novembre 2024 à 17:05)
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meumeuh a écrit
Selstad a écrit
S'il y a des symptômes depressifs et/ou anxieux on prend des antidépresseurs.
Alors, si c'est juste de l'anxiété, non, on ne prend pas d´AD.
D'ailleurs, ma question était plutôt pour te faire remarquer que tu étais hors sujet, l'op ne pose pas de question ou ne nous demande pas d'information sur les AD.
Il dit juste que sa vie n'est pas stable en ce moment.
MM
Les antidepresseur, c'est juste une suggestion, une piste éventuelle, pour l'aider à aller mieux. Je vois pas de hors sujet, j'envisage des solutions possibles.
Il peut simplement évoquer la prescription d'un antidepresseur avec son médecin, avant d'envisager une quelconque baisse des produits qu'il prend.
Après il en fait ce qu'il veut ! J'en suis bien d'accord.
Ensuite vu que j'ai été infirmier et que j'ai moi même un trouble anxieux. Désolé mais les antidépresseurs sont belles et biens utilisés pour traiter les troubles anxieux.
je cite un extrait du vidal :
"Certains médicaments antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) et de la noradrénaline (IRSNA) sont prescrits dans certaines formes invalidantes d’anxiété : anxiété généralisée évoluant depuis plus de 6 mois, troubles paniques, phobie sociale. Ce sont désormais les médicaments prescrits en priorité.[...]"
https://www.vidal.fr/maladies/psychisme … ments.html
Le discours de l'HAS est le même.
Entout cas courage à toi Lebowski si tu lis le post, et hésite pas à te confier à ton médecin, et de lui parler de tes craintes ou de ce qu'il ne va pas. Si elle voit que tu n'est pas dans de bonnes conditions pour arrêter, elle ne baissera pas ton traitement comme ça du jour au lendemain.
Bonne soirée à tous
Dernière modification par Selstad (29 novembre 2024 à 22:07)
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Selstad a écrit
S'il y a des symptômes depressifs et/ou anxieux on prend des antidépresseurs.
Il pourrait de sentir mieux et réduire sa consommation d opiacé et de benzo qui n ont pas l air de lui apporter grand bénéfice.
J'ai une dépression résistante depuis 2020, on a déjà testé tous les AD "classiques" et aucun n'a marché ou alors je n'ai pas supporté les effets secondaires, aujourd'hui je suis sous Aripripazole justement pour l'anxiété de fond et la dépression en même temps.
Bon ça marche pas des masses non plus (à part sur l'anxiété, ça c'est moins pire qu'avant - par contre au niveau des effets secondaires, disparition totale de la libido, heureusement je n'ai pas de vie sexuelle depuis un bail donc ça s'agence bien).
Quant à la raison pour laquelle je prends des benzos, j'étais déjà très accroc avant qu'on m'en prescrive, donc au début mon addicto m'en a prescrit pour me sevrer des quantités zinzins que je prenais illégalement.
Puis on m'a diagnostiqué un Trouble Anxieux Généralisé donc la perspective d'un jour lâcher les benzos s'est singulièrement éloignée ; ça donne un cocktail addiction/thérapeutique un peu compliqué à gérer.
psychodi a écrit
si tu te sens de le faire, vu que votre "relation" est débutante...tu lui proposerais une petite discussion sur sa représentation des TSO, sur l'utilité d'un maintien stable dans le temps ? Et si tu lui parlais du forum, pour qu'elle aille lire un peu comment ça peut s'envisager ?
Oula jamais j'oserais faire un truc pareil, j'aurais peur qu'elle se braque et qu'elle se dise "mais il est qui pour m'apprendre mon métier", après d'un point de vue communication non violente ça m'a l'air d'être la chose la plus sage à faire.
Quant à lui parler du forum, que personne ne le prenne mal vous me comprendrez je pense, mais j'aurais peur que ça me stigmatise encore plus... Autant les addictos sont toujours contents d'être mis au courant de l'existence de ce site, autant les généralistes ils voient ça comme un repère de toxicos.. bref
Dernière modification par L autre Lebowski (29 novembre 2024 à 23:37)
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L autre Lebowski a écrit
[...]mais mon problème c'est que je suis très intimidé par le corps médical, c'est vraiment des gens à qui j'ose pas tenir tête (déjà qu'en temps normal je suis du genre à dire "oui" à tout le monde), donc ça m'angoisse à mort rien que d'y penser mais j'imagine que je vais pas avoir le choix...
Je pensais comme toi il y a vingt-cinq ans puis je me suis rendu compte, à ma plus grande surprise c'est vrai, que certains médecins généraliste n'y connaissait pas grand chose en addictologie.
Comme tu le souligne, tu n'ose pas lui tenir tête, mais c'est parce qu'elle n'a pas instauré une relation de confiance. Si elle avait bien fait son travail, en créant une relation appaiser, tu pourrais lui dire ton point de vue sans aucune crainte, mais tu n'ose pas, parce qu'elle a instaurée un rapport de domination envers toi...
C'est ton traitement de substitution, et tu es libre d'avoir ta vision de ce qu'est un TSO. Si tu ne veux pas entendre parler de baisse, et bien ton médecin doit respecter ton choix, c'est tout.
Et c'est un sujet que je connais bien, j'ai par le passé eu un TSO Subutex, pendant 3 ans environs, puis plus tard j'ai demandé à ce qu'on me prescrive un TSO methadone, TSO que je prends depuis + de 10 ans et que je prendrai jusqu'à la fin de ma vie, (100mg) tel est mon choix.
kaneda
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Pareil et choix bien soutenu par mon médecin.
Fil
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filousky a écrit
Pareil et choix bien soutenu par mon médecin.
Mon médecin soutient aussi mon choix.
Un soutient sans faille et sans conditions !
kaneda
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Pourquoi tu as souhaité switcher vers la métha ? Qu'est ce que ça t'as apporté en plus ? Je connais très très mal la métha, dans ma tête c'est le truc qu'on prescrit aux addicts vraiment trop accrochés mais c'est sans doute une représentation erronée.
Merci pour ces mots et ces encouragements en tout cas, je me sens soutenu et au milieu de mon océan de solitude ça veut vraiment dire quelque chose
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L autre Lebowski a écrit
Je connais très très mal la métha, dans ma tête c'est le truc qu'on prescrit aux addicts vraiment trop accrochés mais c'est sans doute une représentation erronée.
C'est aussi quelque chose que j'ai entendu dire de nombreuses fois. Mais maintenant j'ai lu aussi de nombreuses fois que finalement ça dépend des personnes, des contextes, des moments. Je crois maintenant que ce qui compte c'est que la prescription et ce qu'elle implique pour l'obtenir forment un tout le plus confortable possible pour toi.
Pour la méthadone je pensais jusqu'il y a peu que c'était toujours dans un CSAPA les prescriptions, je ne savais pas qu'un relais vers le médecin traitant est organisable après une primo-prescription en CSAPA.
Pour ma part, j'ai de la morphine prescrite en CSAPA. Ce que je fais souvent maintenant, c'est que je fais renouveler par le médecin traitant avec qui nous avons convenu qu'il ne fait que renouveler à l'identique, il ne fait pas de modifs ni augmentation ni diminution. Au moins je suis sûre (on l'est jamais vraiment totalement) que lui il maintient, et comme il ne fait que ça il ne me fait pas de suggestions partant de SES obsessions personnelles de sevrage. On a donc convenu pour modifs c'est avec addicto au CSAPA, et lui renouvellement à l'identique, et déjà de savoir que maintenant je connais deux prescripteurs pour mes 400mg/jour de skenan ça m'a un peu apaisé. Et aussi récemment, je l'ai convaincu de me surprescrire un mois pour constituer un peu un stock d'avance, au cas où, et pour ne pas être angoissé par le côté limité contraint juste de la prescription,
et j'avoue que j'étais pas sur d'avance qu'il reçoive bien mon argument qui était que c'était important pour moi en terme de confiance que je puisse constater que je ne suis pas dans cette relation médicale différent d'un patient avec une mycose des pieds chronique, car sinon cela me renverrait de la stigmatisation, qui va prendre la forme d'un sentiment de culpabilité, de honte, et des pertes d'estime personnelle, et un épuisement psychique, une perte de confiance en moi un peu et SURTOUT en lui, en plus de générer dans cette relation pleins de micro agressions transformant les contacts avec les soignants DONT lui en machine à trauma.
...il a pas su trop quoi dire d'abord, y a eu comme un moment de flottement, puis a dit ok pourquoi pas et a remplit l'ordonnance en conséquence.
Merci à l'amie qui m'avait dit que elle avait pu avoir comme ça de quoi constituer une petite avance de traitement, avec son médecin.
L autre Lebowski a écrit
Merci pour ces mots et ces encouragements en tout cas, je me sens soutenu et au milieu de mon océan de solitude ça veut vraiment dire quelque chose
Je crois comprendre tout a fait ce que tu veux dire, je l'ai je crois aussi vécu, longtemps, ce sentiment, cette sensation. Merci à toi pour ce retour, pour être venu en parler, et pour l'échange. Merci et force à toi pour ne pas te résigner et continuer à résister.
J'espère de tout cœur que tu vas trouver comment apaiser les choses.
Dernière modification par Plotchiplocth (Hier à 20:28)
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kaneda a écrit
mais tu n'ose pas, parce qu'elle a instaurée un rapport de domination envers toi
C'est exactement cela, et souvent le médecin te dit cela quand il te raccompagne c'est vicieux si jamais c'est fait exprès. Donc le mieux est d'en parler d'emblée.
J'ai eu aussi quelques médecins généralistes qui ne voulaient pas du tout me prescrire un Tso bupré alors que je tournais entre 3 et 5gr de rabla,il y a plus de 15ans.
Jusqu'à jour ou je suis tombé sur celui qui est toujours mon médecin traitant a ce jour. Alors c´est généralistes avec des spécialités mais pas en addicto et c'est le seul avec lequel j'ai une vraie confiance d'ailleurs c'est lui qui m'a permis de pouvoir me passer d'un csapa lors du switch sub vers la methadone sirop.
Je suis allé une seule fois en csapa pour le switch metha sirop vers gélule.
Amicalement
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L autre Lebowski a écrit
Bonjour à tous•tes,
Voilà, je vous expose mon "petit" souci :
Après cinq ans de suivi dans un CSAPA avec une addicto au top du top (je mesure ma chance soyez en sûr vu les témoignages que je lis ici ou là), une fois mon TSO enfin stabilisé (on a passé littéralement 2 ans à monter progressivement la dose pour trouver la bonne et ça fait seulement 1 an que je suis stabilisé à 20mg/jour de Subutex), il a bien fallu mettre fin au suivi pour faire de la place aux autres camarades et effectuer la transition vers un•e généraliste.
Mon addicto m'a recommandé à une maison de santé, lettre de transmission toussa toussa, j'effectue mon changement de médecin traitant parce que celui d'avant je ne lui faisais pas confiance (et c'était réciproque) et j'ai donc une nouvelle médecin traitant dans la susmentionnée maison de santé.
Il y a un mois c'était notre 1e RDV, elle est jeune elle m'inspire confiance et là c'est le hic : "vous avez déjà pensé à baisser la dose ?"
Je lui explique que non, que ça fait seulement un an que ma dose est stable, puis "votre addicto vous a dit combien de temps vous devriez garder ce dosage ?"
Je réponds que non, que ça dépend de comment je me sens dans ma vie, si ma situation est stable (spoiler : elle ne l'est pas DU TOUT), bon OK elle me dit "on verra".
Aujourd'hui 2e RDV, les 2 mêmes questions !! Je réponds la même chose, mais elle commence à me faire flipper tout doux. Et le pompon : au moment de se dire "au revoir au mois prochain" elle glisse "on va voir pour baisser la dose petit à petit, le Subutex et les benzos" (je suis déjà à un dosage de benzos ridicule selon moi !!!)
Mais voilà, moi je suis pas d'accord! Il est hors de question que je commence à baisser le dosage alors que je sais très bien que je suis encore sur le fil du rasoir, que je vais très mal dans ma vie, et que mes 20mg de Sub font partie du (léger) cocktail qui me permet de supporter ma journée.
En bref, mon médecin m'effraie alors que ça fait seulement 2 RDV, si vous avez vécu des expériences similaires je vous lirai avec attention.
Merci d'avance
Bonjour bonsoir, au fait je comprends ta situation et je comprends sa réaction car elle dans sa logique c'est qu'une fois que tout semble equilibré le but c'est de passer de ce que tu prends actuellement a plus rien du tout et là elle aura un sentiment d'accomplissement et de t'avoir rendu service .
Mais ce qu'elle ne sait peut être pas par manque d'expérience qu'il y a certains traitement qui une fois stabilisé par le patient ne bougent plus sauf si le patient veut absolument baisser pour arrêter ou le redéfinir si nouvelles consommation il y a.
Bref après tout ça moi par exemple mon médecin et mon pharmacien qui vient de partir en retraite il m'a dit qu arrêter c'était pas la solution et que vu que j'avais commencé avec ce type de médicaments bah que j'allais devoir trouver le bon dosage et le garder toute ma vie et il a ajouté que ça ne me coutais casi rien et que c'était inutile de vouloir réduire a néant car ça créerais trop de complications pour un final qui ne sera pas vivable au quotidien ou très difficilement et seraient probablement un enfer a gérer sans ces médocs.
Donc moi j'ai pris compte de ce qu'ils m'ont dit tout les deux et au début je voulais essayer a tout prix d'arrêter totalement mais j'ai vite compris que ça ne servait à rien et que c'était du chipotage dans un but perdu d'avance .... En bref j'ai gardé ma médications , mon médecin envoie la prescription a la pharmacie chaques mois et j'ai juste a l'appeler et lui dire que je ne consomme toujours plus et que rien a changé dans mon mode de consommation,habitudes recreatives . Bref c'est du rapidos aussi rapide que lettre a la poste , j'appelle ma pharmacie et le jour d'après j'ai mes médicaments que je paye 0'90 cents pour 30 gélules de méthadone avec une boîte géante dolanzapine a même pas 5 balles et des autres trucs.
Franchement je lui dit dernièrement sans savoir qu'il allait me donner du tramadol je lui ai dit un jour bêtement comme ça que j'avais très mal au dents parfois après consommations d'existant et il m'a prescrit ce que certains convoitent et font des pieds et des mains pour en avoir ,je le donne en mille des tramadol
En gros si je veux en avoir tout le temps et tester ce truc que je vois partout dans les post j'ai juste a lui dire que j'ai une douleur a la dent
Mais je ne vais pas en profiter et commencer une autre consommation a risques importants d'addiction...
Ce que je veux dire par là c'est qu'un médecin n'est pas l'autre et que si elle manque de connaissance sur ce sujet ou qu'elle n'a pas le même état d'esprit que toi concernant la continuité de ta médications
alors je te conseille de ne pas chipoter ou de perdre ton temps avec elle et de changer de toubib comme ça tu es tranquille.
Sur ce , je te souhaite de ne pas avoir a batailler pour avoir ce que tu as besoin pour vivre paisiblement.. bon courage et que tout aille bien.
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Tatshuko a écrit
je comprends sa réaction car elle dans sa logique c'est qu'une fois que tout semble equilibré le but c'est de passer de ce que tu prends actuellement a plus rien du tout et là elle aura un sentiment d'accomplissement et de t'avoir rendu service.
Salut, je t'invite a relire le 1er post du topic. L’OP L autre Lebowski explique à son médecin lors de son premier rdv qu'il ne souhaite PAS baisser son traitement, son médecin aurait eu un sentiment d’accomplissement en acceptant son souhait qui est dans le prolongement du travail du CSAPA.
Perso, je ne suis pas du genre a chercher de circonstances atténuantes quand je suis victime de domination médicale, je suis pour les dénoncer.
Les violences sont tellement omniprésente vis-à-vis des consommateurs de drogues qu'il finissent par ne plus s'en rendre compte ou trouver cela normal.
Ici à Psychoactif nous luttons contre les stigmatisations en général et contre les violences médicales, violence qui est souvent accepter par la victime parceque c'est "pour son bien".
Il faut changer cela, et se réapproprier notre TSO, sans condition !
kaneda
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Dernière modification par prescripteur (Aujourd'hui à 16:28)
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