Addiction tramadol 1 an / codéine 10 ans.

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Malousette femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 20 May 2021
7 messages
Bonjour à tous et à toutes,


C’est la première fois que je poste sur ce site je passe beaucoup de temps à lire tous vos paragraphe c’est très intéressant, je vous remercie de partager toute vos émotions vos ressentis vos connaissances ainsi que vos craintes et vos peurs.

Vous m’avez apporté un énorme réconfort.


Depuis 2013,  ça fait 8 ans que je prends de la codéine de base c’était pour des douleurs dentaires mes douleurs sont parties...
et, j’ai continué à en prendre parce que j’ai aimé cette sensation d’être :

- sur un nuage,
- sentiments amplifiés,
- élocution très fluide,
- sensation d’être cool
Ma consommation allée de 4 à 10 cachets de 30/50 paracétamol codéine

(Petite parenthèse )
En octobre 2019, je tombe enceinte, manque de peau je ne peux pas le garder malformation congénitale, utérus uni corne avec corne rudimentaire, opération ablation de la trompe, ablation de l’utérus borne et le bébé, mini césarienne de 10 points de sutures et des point de cœlioscopie.
Elle me prescrit tramadol pour un mois, je refuse je demande de la codéine, en me prescrivant tramadol c’est resté dans ma tête en me disant que c’est un anti douleur... bref

Avril 2020 plus de codéine, la panique je ne suis pas bien. A cette époque de confinement j’étais en coloc,  je travaillais quand même... je fouille les placards et je trouve ce fameux tramadol.
J’avale les deux cachets et là au bout de quelques heures c’est une révélation pour moi, les effets :

- je me sens bien,
- je n’ai plus peur
- je n’ai plus de charge mentale,
- je fais tout bien,
- je suis énergique
- J’adore la vie
- Stabilité émotionnelle

Dans ma tête, j’ai trouvé enfin un médicament qui m’évite de prendre de la codéine j’étais trop contente. Ma consommation est de 6/8 cachets /J = 300/400 mg/J de tramadol.
Sauf qu’à un moment mon cerveau a commencé a dysfonctionné je commençais à me plaindre oralement autour de moi pour tout et n’importe quoi, alors que j’ai la joie de vivre en temps normal c’est moi qui rallient les troupes et fais rire tout le monde, en plus de ça j’avais comme effets secondaire;

Psychologique:

- Sentiments d’être seule
- Grosse tristesse quand je suis seule
- Larme de crocodiles
- Sentiment que personne ne m’aime
- Sentiment d’être un bouche-trou
- Sentiment d’être différente des autres
- Mal être profond
- Idée noire
- Envie de mourir
- Prière pour mourir
- Envie de me suicider 
- Confusion dans ma tête
- Euphories
- Je suis la meilleure
- je pense mieux que tout le monde etc....
- hallucinations auditives.
- Plus goût à la vie
- Rien qui me donne envie.
- Isolation sociale
- Cauchemar dans mon sommeil
- Je radote toute la journée

Et physiquement :

- le matin impossible de me réveiller
- pointe au dos niveau Coeur
- Cervicale bloqué
- Douleurs jusqu’au rein gauche.
- Douleurs au bras gauche
- Fourmis dans les jambes et les bras
- Intestin constipé
- Mal au yeux
- Tout le corps courbaturé

J’ai l’impression d’être bipolaire avec des phases de manie et des phrases dépressifs tout ça en une journée d’une minute à l’autre. Mes émotions sont très aléatoires il y a des jours où je suis zen allongé sur mon canapé à vouloir parler à personne tellement que je suis peace , des jours où je me parle sans cesse en me disant « tu dois faire ci tu dois faire ça » il y a ces petites voix dans ma tête qui m’obligent à faire des choses du coup je suis dans l’adversité avec moi-même et je ne fais rien.
Ensuite il y a ces questions qui m’obsède sans cesse à longueur de journée « est-ce que tu es bien là, t’es heureuse ? », alors que je sais très bien qu’il y a un moment pour tout, de la tristesse de la joie etc...

Mes journées tournent autour du tramadol.  Je ne peux pas commencer ma journée sans en prendre je ne me lève pas de mon lit tant que ça n’a pas fait effets.

Je vois mon médecin traitant je lui fait part de tout ça, il m’envoie au Centre  de Villejuif, les filles on été juste formidable mais l’hôpital m’a fais peur.

Du coup, j’ai été voir un psychiatre et nous avons fait un dossier pour la clinique privée de monte vidéo à Boulogne. Ils sont acceptés mon dossier je suis sur liste d’attente depuis 1 mois. Je suis tellement contente mais je stress aussi à l’idée de plus avoir goût à la vie. Car même si j’ai beaucoup d’effets indésirables avec le tramadol, il me donne de la motivation et me mets en pseudo stabilité émotionnelle, mais c’est à force d’en prendre que cet état s’est créé . Je dois faire face à mes émotions et les gérer sans médicaments.

J’ai peur du sevrage, j’ai peur de retomber quand je serai seule chez moi je suis pressé d’être à M+6 pour que tout ça sois derrière moi, je suis tellement dégouté d’avoir pris ce médicament, je le regrette sans cesse à en pleurer et à me dénigrer. J’ai peur de ne plus avoir de motivation, j’ai peur de ne plus avoir cet effet d’être motivé à faire ma passion... (je fais de la calligraphie et du dessin depuis décembre 2020. J’ai peur de ne pas retrouver une vrai stabilité émotionnelle.

Je veux savoir déroulement du sevrage en clinique ?
Comment procède t’il  ?
A quoi ressemble les journées en clinique ?
Quelles médicaments vont-ils me donner en substitutions ?
Si vous savez ou si vous êtes déjà passez en desintox je serai ravi d’avoir vos retours merci

Désolé de ce très très long texte.

Merci à vous de me lire

PS: Si vous hésitez ne le prenez pas.
PS: si tu as à la cmuc tu peux passer en privé pour ton sevrage tout est gratuit dans la clinique

Dernière modification par Malousette (20 mai 2021 à  05:25)

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Marco 68 homme
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champi vert21champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 29 Jan 2019
1919 messages
Ciao
J'suis rapide car c'est tard et écrire en français me fatigue
T'inquiète, tu va récupérer le goût à la vie et tout ton énergie mais il faut du temps. Alors bien que tu parte à Montevideo que c'est juste le début. Après il faudra du temps  - 3mois 6mois 1an- j'en sais pas mais je sais que tu va les retrouver
T'embrasse et j'essaie de dormir
Bonne continuation

Ah, j'étais en désintox à Marmottan donc je ne sais pas comment travaille les autres cliniques, moi pourquoi décrocher des opiacés je suis resté 2semaines et j'avais des médicaments en dégressif. C'est jouable mais, je répète, c'est que le début

Dernière modification par Marco 68 (20 mai 2021 à  04:24)


La Fiorentina é una fede

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Malousette femme
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Inscrit le 20 May 2021
7 messages

Marco 68 a écrit

Ciao
J'suis rapide car c'est tard et écrire en français me fatigue
T'inquiète, tu va récupérer le goût à la vie et tout ton énergie mais il faut du temps. Alors bien que tu parte à Montevideo que c'est juste le début. Après il faudra du temps  - 3mois 6mois 1an- j'en sais pas mais je sais que tu va les retrouver
T'embrasse et j'essaie de dormir
Bonne continuation

Ah, j'étais en désintox à Marmottan donc je ne sais pas comment travaille les autres cliniques, moi pourquoi décrocher des opiacés je suis resté 2semaines et j'avais des médicaments en dégressif. C'est jouable mais, je répète, c'est que le début

Je te remercie de ta réponse

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Mauddamier femme
Au pays imaginaire
France
champi vert1champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 27 Nov 2017
645 messages
Bonjour,

C’est très courageux de raconter, et ce, en détail ton expérience avec les opi.
Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis, autant sur le premier dérapage, moi j’avais beaucoup de codéine pour soulager une endométriose jamais diagnostiquée...

C’est un peu, -tres minable- de sortir cette excuse face aux médecins que j’allais consulter pour avoir 4 boites par ci, 4 boites par la.
Comme toi, la vie ne tournait plus qu’autour de mes prises, et je montais jusqu’à 250mg, donc 5 comprimés par jour.
Au tout début, j’avais bien conscience que c’était de la conso plaisir et en aucun cas nécessaire, alors j’en prenais un ou deux le soir.

Ça a terminé comme toi : gros manque dès le réveil. Je ne fais qu’attendre que ça monte.
Je croise les doigts, contrairement à mon père, addict au tramadol, je n’en suis pas au point de me lever la nuit.
Cependant le matin j’ai de gros maux de tête, certainement pas faim, des courbatures.
Enfin bref... le manque !

Mais (oui parce qu’à la base nous sommes là pour t’encourager) sache qu’après cette prise du matin.. j’ai tout arrêté et ça va faire deux mois et demi.

Je me reconnais dans ce que tu dis et mon déclic a été le retour de mes proches : agresssive, impatiente. Tout le monde minsupportait... la codéine me faisait planer et voilà qu’on débarquait pour passer l’aspirateur, allumer la télé. Je ne supportais plus personne et évidemment, la culpabilité nous ronge.
Les consos... on assume ou cela finit par nous dévorer de remords.

Aller voir des médecins, des pharmacies, se lancer sur le dark web. Tout ça... et pourquoi ? Pourquoi si au final, on est un peu lesclave d’une molécule qui ne nous apporte plus les mêmes effets qu’au départ ?

Je ne nierai jamais que la codéine m’a totalement changée et très positivement. Je n’avais aucun ami. Totalement renfermée, je n’avais que mes parents. La codéine m’a donné... c’est bête mais oui du courage dans le sens où j’ai pu cesser de me poser mille et une question.
J’ai rencontré quelqu’un et la codéine (et ça je ne le regrette pas), la codéine a rendu tellement évidente cette relation à construire.
Je suis plutôt du genre à avoir peur de tout, à cogiter et ça m’a libérer de ma conscience qui m’avait empêchée de vivre.

Mais le fait est que je me sentais bipolaire sur la fin, comme toi.
Et que mon copain me dise : avec toi, un jour tout est blanc, et le lendemain plus rien ne va.
Et je sais que c’est la codéine... ça tient au fait qu’il appelle durant la montée, ou la descente, ou pendant mes phases de manque.

Il était temps que je reprenne le contrôle de tout, de moi.
Et donc, rassure toi, tu n’es pas bipolaire, tu es simplement honnête. Et tu décris très très bien ce que peuvent apporter les opiacés pour des personnes qui, comme toi et moi, sont un peu fragiles psychologiquement.

Je suis passée de 5 à 2. Un au lever, un vers 14h.
Maintenant, je n’ai plus que celui du lever et malgré les courbatures, disons durant 10jours, je suis extrêmement étonnée d’aller aussi bien.
Quelque part, comme toi, je m’en voulais, ça me faisait me sentir trop mal. Et la,montée n’était plus là.
Je suis extrêmement fière chaque jour, au moment de me coucher.
Et je suis surtout franchement surprise que les phases de manque s’atténuent si rapidement.
Maux de tête, courbatures, envie de rien.

Mais j’ai ma petite voix comme toi qui me dit de bouger alors je chausse les baskets, livre audio et c’est parti.
Je compense énormément depuis deux mois, je reste en extérieur toute la journée.

Je peux jurer, que je n’ai plus envie de redrop dans la journée. J’y pense parfois, histoire de me caler dans un bain chaud, mais j’en sais rien, ça me parait loin. J’ai tout réappris, au quotidien, sans codéine. Je mange mais surtout : j’écris !

Tu ne perdras pas ton inspiration, ta créativité. Bien au contraire.
T’es émotions te jouent des tours : )
J’ai publié des romans dont j’ai honte. Et j’aimerais tellement revenir en arrière.
Tu retrouveras ta concentration, parce que c’est naturellement en toi. C’est ton don, ton métier.

Plein de courage. Tiens nous au courant !

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Malousette femme
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France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 20 May 2021
7 messages

Mauddamier a écrit

Bonjour,

C’est très courageux de raconter, et ce, en détail ton expérience avec les opi.
Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis, autant sur le premier dérapage, moi j’avais beaucoup de codéine pour soulager une endométriose jamais diagnostiquée...

C’est un peu, -tres minable- de sortir cette excuse face aux médecins que j’allais consulter pour avoir 4 boites par ci, 4 boites par la.
Comme toi, la vie ne tournait plus qu’autour de mes prises, et je montais jusqu’à 250mg, donc 5 comprimés par jour.
Au tout début, j’avais bien conscience que c’était de la conso plaisir et en aucun cas nécessaire, alors j’en prenais un ou deux le soir.

Ça a terminé comme toi : gros manque dès le réveil. Je ne fais qu’attendre que ça monte.
Je croise les doigts, contrairement à mon père, addict au tramadol, je n’en suis pas au point de me lever la nuit.
Cependant le matin j’ai de gros maux de tête, certainement pas faim, des courbatures.
Enfin bref... le manque !

Mais (oui parce qu’à la base nous sommes là pour t’encourager) sache qu’après cette prise du matin.. j’ai tout arrêté et ça va faire deux mois et demi.

Je me reconnais dans ce que tu dis et mon déclic a été le retour de mes proches : agresssive, impatiente. Tout le monde minsupportait... la codéine me faisait planer et voilà qu’on débarquait pour passer l’aspirateur, allumer la télé. Je ne supportais plus personne et évidemment, la culpabilité nous ronge.
Les consos... on assume ou cela finit par nous dévorer de remords.

Aller voir des médecins, des pharmacies, se lancer sur le dark web. Tout ça... et pourquoi ? Pourquoi si au final, on est un peu lesclave d’une molécule qui ne nous apporte plus les mêmes effets qu’au départ ?

Je ne nierai jamais que la codéine m’a totalement changée et très positivement. Je n’avais aucun ami. Totalement renfermée, je n’avais que mes parents. La codéine m’a donné... c’est bête mais oui du courage dans le sens où j’ai pu cesser de me poser mille et une question.
J’ai rencontré quelqu’un et la codéine (et ça je ne le regrette pas), la codéine a rendu tellement évidente cette relation à construire.
Je suis plutôt du genre à avoir peur de tout, à cogiter et ça m’a libérer de ma conscience qui m’avait empêchée de vivre.

Mais le fait est que je me sentais bipolaire sur la fin, comme toi.
Et que mon copain me dise : avec toi, un jour tout est blanc, et le lendemain plus rien ne va.
Et je sais que c’est la codéine... ça tient au fait qu’il appelle durant la montée, ou la descente, ou pendant mes phases de manque.

Il était temps que je reprenne le contrôle de tout, de moi.
Et donc, rassure toi, tu n’es pas bipolaire, tu es simplement honnête. Et tu décris très très bien ce que peuvent apporter les opiacés pour des personnes qui, comme toi et moi, sont un peu fragiles psychologiquement.

Je suis passée de 5 à 2. Un au lever, un vers 14h.
Maintenant, je n’ai plus que celui du lever et malgré les courbatures, disons durant 10jours, je suis extrêmement étonnée d’aller aussi bien.
Quelque part, comme toi, je m’en voulais, ça me faisait me sentir trop mal. Et la,montée n’était plus là.
Je suis extrêmement fière chaque jour, au moment de me coucher.
Et je suis surtout franchement surprise que les phases de manque s’atténuent si rapidement.
Maux de tête, courbatures, envie de rien.

Mais j’ai ma petite voix comme toi qui me dit de bouger alors je chausse les baskets, livre audio et c’est parti.
Je compense énormément depuis deux mois, je reste en extérieur toute la journée.

Je peux jurer, que je n’ai plus envie de redrop dans la journée. J’y pense parfois, histoire de me caler dans un bain chaud, mais j’en sais rien, ça me parait loin. J’ai tout réappris, au quotidien, sans codéine. Je mange mais surtout : j’écris !

Tu ne perdras pas ton inspiration, ta créativité. Bien au contraire.
T’es émotions te jouent des tours : )
J’ai publié des romans dont j’ai honte. Et j’aimerais tellement revenir en arrière.
Tu retrouveras ta concentration, parce que c’est naturellement en toi. C’est ton don, ton métier.

Plein de courage. Tiens nous au courant !

Merci merci merci pour ton retour et félicitation à toi

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Malousette femme
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France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 20 May 2021
7 messages
Coucou…

5 mois de sevrage, j’ai été en cure, waouw quel expérience la cure mais j’en garde que des bons souvenirs qu’est ce que j’ai ris avec les autres patients….

Dans ma chambre j’en ai chié oui… j’ai choisi de faire un sevrage à la dure…
Je me lavais 4 fois par jour avec une eau brûlante sa me faisais tellement de bien….
J’avais  la diarrhée,
ballonnement de dingue…
mon Coeur battait trop rapidement
il m’ont donné un anti hypertenseur pour descendre ma tension les premiers jours.
Depuis le 1 juin je n’ai toucher à plus aucun médicament codéine ou tramadol.
Je suis fière de moi.

En sortant de cure mes premiers jours à la maison seule je l’es ai vécu difficilement comme les premiers jours de sevrage alors que sa faisais un mois déjà. Parce que j’étais face à moi même.. je devais me faire à manger m’occuper de la maison et toute les tâches diverses. Mais j’ai pas craqué.

Maintenant 5 mois clean… mais je suis très fatigué.
Je n’ai envie de rien. Rien ne m’excite… je suis irritable par moment je vie le paws exactement comme la description faite par le site….

Depuis le 8 je suis allée rejoindre mes parents en maison de campagne car je gérais mal la solitude et comment dire je me sens tellement mieux avec eux, ma mère s’occupe de moi a merveille et j’aide mon père aux plantations d’Olivier…

C’est vrai je change d’humeur, j’ai pas tellement goût au chose, parfois je suis ailleurs, mais je sais que ça peux durer jusqu’à deux ans alors j’accepte d’être fatigué j’accepte de ne pas avoir l’énergie que j’avais avant… c’est vrai que j’ai des envie par moment quand je me sens molle ou quand j’ai envie d’avoir envie lol mais non je ne craque pas.

Dernière modification par Malousette (22 octobre 2021 à  00:01)

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Dan homme
Nouveau Psycho
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Inscrit le 31 Dec 2021
51 messages
Bonjour

Purée je me reconnais dans ces récits , juste que je ne suis pas encore passe par la case désintox , mais sautes d’humeurs , agressivité montées descentes

ça fait peur

La vie est une lutte, c'est lâche de ne pas combattre ... - une citation de Eugène Ionesco. moi je combat ... Mais on est pas obligé d aimer cela.

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