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- SappySappo
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Hello, 
Alors voilà, je suis adepte des trips en solo à des dosages assez élevés (1g pour 5 traces ±), ça fait 5 ans que je pratique, je maîtrise assez le truc pour ne pas me mettre en danger, je connais mes limites etc bref là n'est pas le souci
J'ai fait ce genre de trips + que régulièrement dans les années 2019/2020, puis occasionnellement depuis, avec parfois des pauses de 8 mois, 1 an même.
L'envie m'a repris là, après presque 1 an justement. Sauf que je constate depuis qu'après quelques traces sur plusieurs jours ( à raison d'1 ou 2 traces par jours, l'âge de raison tout ça ahah ) il m'arrive parfois d'hypersaliver, ( attention, details un peu dégueu à venir pour les plus sensibles d'entre nous) des quantités indécentes de salive texture "blanc d'œuf" qu'instintivement mon corps refuse d'avaler, et stocke donc en bouche jusqu'à ce que je me décide à aller cracher tout ça. En fin de session, il m'arrive de me retrouver 20 minutes au dessus de l'évier à sortir des litres de salive visqueuse, comme si mon corps cherchait à purger tout ça ( ce que je peux comprendre évidemment
) mais en plus de ça vient la mousse, quand la salive visqueuse cesse de se produire, elle laisse place à de la mousse, parfois en telles quantité qu'on dirait que j'ai la rage. Je bulle pdt de très longues minutes. Je sors ça de mes sinus par des mouvements qui font appel d'air, puis pareil de plus bas. Je n'arrive pas à identifier si ça vient de l'œsophage ou de la trachée, mais je pencherai bien pour la 2ème option car ce n'est pas du tout naturel comme gymnastique, et je ne connais cette sensation que dans ce cas là précisément.
Après qqs recherches certains parlent d'OAP mais en observant bien, la mousse n'est jamais rosée, je n'ai pas de difficultés respiratoires, pas d'anxiété, pas de douleurs quelconques, peut être les mains moites et le cardio un peu affolé par la substance mais aucun autre symptômes d'OAP. Et hors conso, aucune mousse, pas d'hypersalivation etc .
Est ce que l'un ou l'une d'entre vous aurait vécu ou vivrait qqchose de similaire ? Qqn a une piste ?
Merci aux plus courageux qui ont tout lu malgré les détails peu ragoûtants de ce post !
La bise
Alors voilà, je suis adepte des trips en solo à des dosages assez élevés (1g pour 5 traces ±), ça fait 5 ans que je pratique, je maîtrise assez le truc pour ne pas me mettre en danger, je connais mes limites etc bref là n'est pas le souci
J'ai fait ce genre de trips + que régulièrement dans les années 2019/2020, puis occasionnellement depuis, avec parfois des pauses de 8 mois, 1 an même.
L'envie m'a repris là, après presque 1 an justement. Sauf que je constate depuis qu'après quelques traces sur plusieurs jours ( à raison d'1 ou 2 traces par jours, l'âge de raison tout ça ahah ) il m'arrive parfois d'hypersaliver, ( attention, details un peu dégueu à venir pour les plus sensibles d'entre nous) des quantités indécentes de salive texture "blanc d'œuf" qu'instintivement mon corps refuse d'avaler, et stocke donc en bouche jusqu'à ce que je me décide à aller cracher tout ça. En fin de session, il m'arrive de me retrouver 20 minutes au dessus de l'évier à sortir des litres de salive visqueuse, comme si mon corps cherchait à purger tout ça ( ce que je peux comprendre évidemment
) mais en plus de ça vient la mousse, quand la salive visqueuse cesse de se produire, elle laisse place à de la mousse, parfois en telles quantité qu'on dirait que j'ai la rage. Je bulle pdt de très longues minutes. Je sors ça de mes sinus par des mouvements qui font appel d'air, puis pareil de plus bas. Je n'arrive pas à identifier si ça vient de l'œsophage ou de la trachée, mais je pencherai bien pour la 2ème option car ce n'est pas du tout naturel comme gymnastique, et je ne connais cette sensation que dans ce cas là précisément.Après qqs recherches certains parlent d'OAP mais en observant bien, la mousse n'est jamais rosée, je n'ai pas de difficultés respiratoires, pas d'anxiété, pas de douleurs quelconques, peut être les mains moites et le cardio un peu affolé par la substance mais aucun autre symptômes d'OAP. Et hors conso, aucune mousse, pas d'hypersalivation etc .
Est ce que l'un ou l'une d'entre vous aurait vécu ou vivrait qqchose de similaire ? Qqn a une piste ?
Merci aux plus courageux qui ont tout lu malgré les détails peu ragoûtants de ce post !
La bise
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- 23lefeebles23
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Bonjour,
il m'arrivait exactement la même chose uniquement lors de grosses sessions. J'avais bien une théorie mais elle est farfelue donc je la gardes pour moi.
Ça m'est arrivé uniquement avec de la k (jamais avec des analogues) et de provenance différente. Donc pour moi cela ne provenait pas d'une k en particulier.
il m'arrivait exactement la même chose uniquement lors de grosses sessions. J'avais bien une théorie mais elle est farfelue donc je la gardes pour moi.
Ça m'est arrivé uniquement avec de la k (jamais avec des analogues) et de provenance différente. Donc pour moi cela ne provenait pas d'une k en particulier.
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- SappySappo
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23lefeebles23 a écrit
Bonjour,
J'avais bien une théorie mais elle est farfelue donc je la gardes pour moi.
Toute théorie m'intéresse, même les plus farfelues !
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- 23lefeebles23
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Bien quand j'en consommais trop je sentais comme une intoxication, d'où le rejet "instinctif" de mon corps par cette hyper salivation.
Après, chez moi, la consommation de k renforce mes croyances même les plus improbables et sachant que dans la synthèse on utilise du cyanure (pas sûr de savoir sous quelle forme) j'ai vu ça dans une vidéo super bien faite sur yt. Et bien du coup je me suis mis dans la tête que cela venait de résidus de synthèse.
J'avais prévenu c'est totalement farfelu. Moi aussi j'aimerais bien avoir le fin mot de cette histoire.
Après, chez moi, la consommation de k renforce mes croyances même les plus improbables et sachant que dans la synthèse on utilise du cyanure (pas sûr de savoir sous quelle forme) j'ai vu ça dans une vidéo super bien faite sur yt. Et bien du coup je me suis mis dans la tête que cela venait de résidus de synthèse.
J'avais prévenu c'est totalement farfelu. Moi aussi j'aimerais bien avoir le fin mot de cette histoire.
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- SappySappo
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23lefeebles23 a écrit
d'où le rejet "instinctif" de mon corps par cette hyper salivation
En soi ça tient la route, seulement je ne crois pas que la molécule puisse se retrouver dans la salive ? Donc d'où vient cette texture que seule la ke provoque ? Arh trop de questions et si peu de réponses, sur un sujet un peu wtf
D'ailleurs je suis déjà contente de tomber sur qqn a qui c'est déjà arrivé car jusque là je pensais être un alien
Et je ne savais pas pour le cyanure ! On parle bien de ke synthétisée dans des labos illégaux là, pas de ké médicale détournée hein ? Psq si c'est aussi le cas pour la ketamine détournée de labos légaux c'est grave docteur !...
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- L'Apoticaire
- Comme un pharmacien, mais en moins bien
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Quand j'ai vu le topic je pesais que ça allait parler d'un autre truc, qui moi me concerne, donc je vais parler de mes salivations "mousse" à moi :
La ké je la sniffe pas du tout je l'injecte, et quasi à chaque fois que je mets une certaine dose bah à peine quelques petites minutes après l'injection je me mets à saliver de la salive spéciale que je salive que avec la ké (et aussi la deschlorokétamine, et la 2F-descholorokétamine. La kétamine n'étant qu'une version moins puissante de ces 2 molécules, mais ça le fait pas avec les dérivés de PCP/PCE, alors que pourtant ceux là j'en injecte des quantités bien + élevées que la ké/2F-DCK/DCK, je l'aurais vu si ça faisait baver de la mousse.)
C'est de la salive hyper hyper mousseuse, qui fait des bulles, qui est très blanche, et assez "légère", c'est des bulles quoi.
Mais par contre ça me fait baver à peine quelques peeeeetits millilitres quoi, rien à voir avec ce que tu décris de rester au dessus de l'évier 20 minutes, moi c'était en petites quantités.
Alors que pourtant j'en injecte souvent, là le mois dernier j'ai passé 30 jours d'affilée à injecter 50mg de DCK tous les matins, mais pourtant ça reste sur des quantités tout à fait raisonnables de salive (et en IV 50mg de DCK ça correspond à injecter 100mg de ké de rue 3x en 6 heures pour ceux qui situent pas trop les équivalences, donc en gros x6 pour que ça vale les dosages en terme de temps et puissance de défonce de la DCK IV)
La ké je la sniffe pas du tout je l'injecte, et quasi à chaque fois que je mets une certaine dose bah à peine quelques petites minutes après l'injection je me mets à saliver de la salive spéciale que je salive que avec la ké (et aussi la deschlorokétamine, et la 2F-descholorokétamine. La kétamine n'étant qu'une version moins puissante de ces 2 molécules, mais ça le fait pas avec les dérivés de PCP/PCE, alors que pourtant ceux là j'en injecte des quantités bien + élevées que la ké/2F-DCK/DCK, je l'aurais vu si ça faisait baver de la mousse.)
C'est de la salive hyper hyper mousseuse, qui fait des bulles, qui est très blanche, et assez "légère", c'est des bulles quoi.
Mais par contre ça me fait baver à peine quelques peeeeetits millilitres quoi, rien à voir avec ce que tu décris de rester au dessus de l'évier 20 minutes, moi c'était en petites quantités.
Alors que pourtant j'en injecte souvent, là le mois dernier j'ai passé 30 jours d'affilée à injecter 50mg de DCK tous les matins, mais pourtant ça reste sur des quantités tout à fait raisonnables de salive (et en IV 50mg de DCK ça correspond à injecter 100mg de ké de rue 3x en 6 heures pour ceux qui situent pas trop les équivalences, donc en gros x6 pour que ça vale les dosages en terme de temps et puissance de défonce de la DCK IV)
Dernière modification par L'Apoticaire (27 septembre 2023 à 15:08)
J'adore c'que j'fais.
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- 23lefeebles23
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@SappySappo j'ignore s'il y a une différence entre la "pharma" et la "non pharma" au niveau de la synthèse, j'imagine que oui;
La pharma, ça fait des années que j'en ai pas goûté mais de mon souvenir je n'avais pas ce genre de réaction, après je consommais avec parcimonie.
Le plus "impressionnant" et incompréhensible avec mes dernières grosses sessions k c'est pas tant l'hyper salivation pour ma part, mais ce côté "effervescent" : je bulle littéralement sans pouvoir rien y faire, à part boire suffisamment pour diluer j'imagine.
Je me répète mais quand j'en prenais trop j'avais l'impression d'avoir pris du poison et que je devais diluer et attendre/espérer que ça passe.
La pharma, ça fait des années que j'en ai pas goûté mais de mon souvenir je n'avais pas ce genre de réaction, après je consommais avec parcimonie.
Le plus "impressionnant" et incompréhensible avec mes dernières grosses sessions k c'est pas tant l'hyper salivation pour ma part, mais ce côté "effervescent" : je bulle littéralement sans pouvoir rien y faire, à part boire suffisamment pour diluer j'imagine.
Je me répète mais quand j'en prenais trop j'avais l'impression d'avoir pris du poison et que je devais diluer et attendre/espérer que ça passe.
Dernière modification par 23lefeebles23 (27 septembre 2023 à 14:33)
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