clodb
il est très difficile de "voir venir" un suicide!!! et puis même! imagines: on vient te consulter on te dis "j'ai envie de mourir pour x raisons" tu vas bien sur faire ce que tu peux pour diminuer l'angoisse de ton patient, mais si tu le laisses partir c'est que tu accordes à ton patient le droit de décider de sa vie....bien sur un psychiatre peut faire interner qqun qui menace de se suicider...mais a t il raison??? y a t il des mesures "préventives" face à ce type de démarche??? et puis bien souvent les gens qui passent à l'acte ne l'annoncent pas ; ceux là en réchappent rarement ..sauf à être tox et vouloir mourir avec des cachetons, comme je l'ai déjà fait x fois sans succès....je n'ai jamais reproché à mon psy de ne pas avoir "agi"!!!! au moins il me reconnaissait libre et disposant de mes choix!!
prescripteur
les habilités sociales : je relie cela aux phobies sociales , aux malaises sociaux de pas mal de jeunes qui se jettent dans les bras de la
came comme un bébé dans ceux de sa mère....les problèmes affectifs sont réels et graves mais restent "cachés" et "travaillent en silence à dé construire la personnalité" ce n'est pas un hasard si la toxicomanie surgit à l'adolescence
le problème n'est pas de nier le fond profondément dépressif de la majorité des jeunes pris dans les drogues mais bien d'adapter les techniques psy à leur besoin, leur façon d'être...
la psychanalyse n'est pas à jeter aux orties comme aimerait le voir faire ceux qui ont intérêt à ce que les âmes continuent de souffrir....elle est une voie d'accès à des connaissances précieuses...donc "dangereuses" à dire....d'où la tendance à vouloir l'étouffer....
notre monde n'évolue pas vers la pensée, le savoir et la culture partagée par le plus grand nombre; au contraire on nous balise un chemin de dépendances voulues (tv, style de vie, modes etc....)
Dernière modification par bighorsse (03 novembre 2010 à 16:53)