Bonjour,
Je prends très occasionnellement du Valium pour son effet de decontracturant musculaire (je me passerai bien du reste mais Bruxelles à interdit le miolastan grrr).
J'ai pris 20mg hier soir et 10 ce soir.
Avez vous une idée d'au bout de combien de jour je dois m'attendre à un phénomène de dépendance (je m'en méfie comme de la peste)?
Merci d'avance de votre aide

Merci à vous, j'ai été en rdv au csapa dont le médecin (psychiatre) s'est mis en relation avec le centre de la douleur où j'ai déjà été deux fois. J'attends leur verdict...

Mais j'ai cru comprendre que la demi-vie de la morphine n'est pas plus longue que celle de la codéine ; n'aurais-je pas alors le même problème ?

Quand vous dites "largement préférable" vous parlez seulement en terme d'agressivité pour les organes (c'est déjà pas mal...) ou aussi en terme d'effet antalgique ?

Bonjour à toi,
J'ai des problèmes de sommeil (pas aussi graves que les tiens) mais une certaine expérience des médicaments pour d'autres raisons.
Le zolpidem est efficace pour l'endormissement seulement (pas pour la longueur de la nuit).
Le diazepam a par contre un effet décontractant beaucoup plus long (max pendant 24h puis diminuant sur les 24h suivantes) qui peut aider à mieux dormir.
J'en viens à ta question principale : la dépendance.
Le fait même que tu sois prêt à manquer de sommeil plutôt que de tomber dans une dépendance me paraît un signe extrêmement encourageant pour toi et je suis persuadé que tu sauras utiliser ces substances à bon escient.
La solution est simple : il faut respecter un rythme dans les prises.
Moi par exemple je prends :
- 1/4e de diazepam +1/2 zolpidem un soir
- 1/8e de diazepam + 1/2 zolpidem le lendemain
- Nada (rien) le jour suivant
On peux aussi être plus constant et arrêter deux ou trois jours par semaine.
La dépendance est un phénomène progressif d …

Bon ben puisque personne ne répond mais que j'ai déjà quelques dettes pour les aides que vous m'avez fourni par le passé, je vous fais entre temps un retour d'expérience :

J'ai fini par opter pour une troisième prise de Valium 10mg hier soir.

L'effet est malheureusement bien moins nette, je suis un peu en dessous quand même de mes douleurs (dos et tête) habituelles et je penses réussir à éviter encore aujourd'hui la codéine et l'alcool. (J'alterne bien sûr doliprane et advil ou aspirine pour la fièvre).

Ce soir, je suis décidé (sauf si je reçois un meilleur conseil) à prendre 25mg de laroxyl. J'ai beaucoup fréquenté cette molécule il y a 10 ans, et je sais que je vais pionser non-stop pour plus de 24h mais j'ai pas trop le choix.

Je ferais peut-être ensuite un deuxième jour au laroxyl avant de revenir au merveilleux Valium.
J'espère qu'avec ça j'aurais réussi à traverser le covid sans être passé par la case "torture".

Voilà, si d'autres idées n'hésitez pas.

Sinon je raconterais ç …

Ré-bonjour,

Vu l'absence de réponse je me dit que répondre à une telle question fait peut être un peu peur en terme de responsabilité... (Mieux vaut d'ailleurs le silence que des réponses aléatoires)

J'ai fais deux jours avec 10mg de Valium et c'est pour le moment tout symplement miraculeux !

Mon idéal serait de pouvoir continuer ainsi les 7 à 10 jours que devraient durer la maladie.

Deux questions plus simples sans doute que la première :

1) Tolérance : l'effet (je parle de l'effet de decontracturant musculaire, pas d'hypnotique) devrait-il décliner ?

2) Addiction : en 8-10 jours suivis à 10 mg par jour devrais-je développer une addiction ?

Je peux "sauter" un jour mais ça va me coûter cher en douleurs et m'obliger à reprendre de la codéine (j'ai arrêté depuis que je prends le valium)

HELP, s'il vous plaît, répondez-moi !

Merci d'avance... …

Euh, si c'est bien compris ce sont des molécules cousines et l'une ou l'autre, ça ne change pas grand chose... C'est bien ça ?

Merci pour le conseil, en effet pour moi l'aspect "récréatif" ressemble plutôt à celle d'un gamin très malheureux à l'école et la "recrée" c'est juste un peu moins pire...
Enfin c'est une image, là la sentence elle est toute physique : douleurs chroniques (dos et tête) depuis 10 ans, ça fait longtemps par exemple que je rêve de pouvoir re-boire "pour le plaisir"...
Le problème c'est que la seule alternative que j'ai trouvé à la codéine c'est le valium mais dès que je prends plus d'un quart je commence à décoller, et c'est pas de que je cherche.
Je sais que le forum est plutôt orienté vers l'usage "récréation" (pour moi vous êtes du coup la seule source qui vaille), les médecins sont toujours très vagues (c'est vrai qu'on ne peux pas demander au cordonier d'essayer toutes ses chaussures...). En tout cas, si ce type de préoccupations n'a pas sa place sur le forum, n'hésitez pas à me le dire et j'éviterai...
Merci encore pour les premiers conseils ! …

(Par contre je pense que si un quelqu'un veut apprendre cette technique, le bouquin ne suffira pas, il faut quelqu'un qui montre et enseigne...)

J'en profite pour vous donner la seule piste que j'ai (miraculeusement) trouvée en 10 ans pour les céphalées.
La première sera sans doute plus accessible à ceux qui en ont besoin que la deuxième.
1) Tout simplement, le travail sur les posture ; il ne suffit pas de "se tenir droit", il faut absolument faire une véritable formation chez un/une professionnel. Je peux témoigner que ça a un impacte colossal !
2) J'ai trouvé quelqu'un à Strasbourg qui pratique une technique mécanique pour enlever tous les noeux cervicaux et du coup les céphalées. (documentation ci-dessous) C'est d'une efficacité extraordinaire si c'est bien pratiqué, malheureusement chez moi ça tiens deux-trois semaines et je reviens aux douleurs.
3) Inutile de dire que l'angoisse, le stress et les addictions sont des facteurs qui decuplent notre problème, mais ça c'est pas facile de bosser dessus...
Je suis passé de 160mg le Laroxyl par jour (dose de cheval qui endort et fait grossir) pendant 2 ans (il y a 7 ans) à 2 à 4 …

Euh... Une question bête après avoir lu d'autre posts : j'ai plafonné vaille que vaille mes doses de codéine (et d'alcool plus ou moins) depuis plusieurs années malgré les douleurs violentes, constantes et chroniques.
Pensez-vous que ça pourrait avoir du sens de m'arranger pour avoir un traitement à la methadone même si je ne suis pas (encore ?!?) en situation de surdosage ou de dépendance grave ? (J'ai lu sur le post d'à côté que c'était très efficace contre les douleurs chroniques...)?
Merci d'avance, excusez l'incongruité de ma question (Peut-être vaut-il mieux prévenir que guérir...)

Bonjour à tous.

Pouvez-vous me dire :

1) Si vous situeriez quelque chose entre la codéine et la morphine en terme d'antalgique ? (Les médecins que j'ai pu trouver ont l'air d'avoir des connaissances très théoriques, et prétendent que non)

2) Est-il possible/intéressant d'utiliser la morphine en faible dose pour un effet antalgique.

3) Si oui, pouvez-vous me donner une idée même tres approximative de comment espacer les doses pour ne pas créer d'effet de dépendance ?

En espérant que ma question soit bien formulée et ait bien sa place sur ce forum...
Merci d'avance

Céphalée

P. S. Désolé si les infos sont déjà présentes ailleurs, mais j'ai du mal à filtrer...