Comme je l'ai dis sur un précédent post j'ai eu la motivation de tout stopper d'un coup pour achever une formation pro.

Quand j'ai arrêter, le fait de passer le pas n'a pas été si difficile, un genre de déclic. Mais l'après ma bien fait déguster psychologiquement parlant. J'ai pu goûter à ces fameux rebonds d'angoisses.

Souvent, ces angoisses ces manifestaient avant de me coucher. Ayant perdu beaucoup de personnes, celles ci ce concentraient sur ca. Des angoisses de morts, de celles de me proches, de la mienne, constamment, toute la nuit. Pas vraiment d'idées, juste des sensations très physique avec un arrière gout de pensée.

Les benzo mon vraiment nécrosé ma santé psy. Depuis je ne supporte quasi plus les transports en commun, ça tombe mal parce que je m'en tape minimum 4h quand je vais bosser (dans les bon jours) Depuis régulièrement j'ai des brain zapp (je taff devant des écrans), j'ai limite les nerfs à vifs tout le temps. Souvent quand je suis dans les transports, je me retro …

Presque un an sans bzd. ça me parait énorme et en même temps pas grand chose, c'est le premier truc qui vient en tête quand j'écris ça, et tout ça ce deroule pendant quelques années

Je vais contextualiser un peu. Je suis un ancien membre pas très actif, et j'étais présent sur le site pendant la pire période de ma vie, j'ai supprimé mon compte. Puis j'en recréer un autre pour revenir et partager ce que je retire de tout ce que j'ai vécu à un moment de ma vie ou la pente redevient une montée.

J'ai arrêté les bzd y'a presque un an. Et ça c'est fait comme ça, j'ai trouvé mon taff et j'ai stop les bzd d'un coup. C'est pas safe, c'etait pas mon premier. C'etait pas le pire. Mais je devais le faire.

Et je me suis retrouvé face à moi même. C'est très paradoxal parce que c'est peut être parce c'est un moment ou je me suis stabilisé professionnellement parlant, mais j'ai enduré le manque physique et c'était rien comparé à ce qui allait suivre.

Si je suis arrivé à ce stade, c'est que j'ai fai …