Hello guys,
Les benzos coupent effectivement l’effet de la C. C’est pour cela que c’est souvent utile en descente pour se calmer, dormir etc.
Pas de risques pour la santé (a priori mais je suis pas médecin) à cumuler les deux en même temps, mais c’est dommage car ça amoindrit les effets recherchés :(
Selon le type de benzos et la durée de vie, il vaudrait peut être mieux, si possible, s’abstenir d’en prendre avant ou limiter les quantités. Si le traitement médical parait à privilégier, il me semble que c’est sur l’idée même de prendre de la coke qu’il faudrait éventuellement se poser la question non ?
Par ailleurs, il ne faudrait pas oublier aussi qu’alcool et benzos aussi ne doivent vraiment pas être mélangés.
Évidemment, ça m’est arrivé et pas qu’une fois. J’ai de leçons à donner à personne. Je suis pas votre mère.
Les risques sont réels. Du « black out » au coma, en passant par le vomi dans les poumons, c’est pas la chose à faire...
Prenez soin de vous hein :) …
Au delà du contexte du confinement qui pèse lourdement sur tout le monde, j’ai l’impression que tes paroles révèlent un malaise plus profond.
Peut être que tu peux essayer de te poser la question du pourquoi ?
Quel vide ça comble ?
Pourquoi maintenant ?
Qu’est ce qui se passe en toi ?
C’est peut être le moment de songer à te faire accompagner par un addicto, un psy qui pourrait t’aider à résoudre le pourquoi tu sembles basculer du potentiellement « récréatif » au problématique/dangereux quasi sans transition.
À mon sens, c’est le moment de rebondir et de saisir ta chance, de transformer ce moment de mise en danger en retour sur soi qui permet de se soigner, d’avancer et d’en ressortir plus fort.
La conso de coke avec des potes, en quantité limitée et dans un cadre festif, à intervalles pas trop rapprochés, ça reste un truc à risque à différents points de vue, je ne dis pas le contraire. Là, tu sembles bien loin du compte... Ça pousse à se questionner non?
Je te souhaite bon cour …
Aïe aïe aïe, ça nous rajeunis pas!!!
Moi aussi je me souviens de Benny Hill
Et déjà la galère pour dormir parfois pfff...
Je navigue entre dodo/coma d’épuisement et impossibilité de fermer l’œil.
Bref, en tout cas, grâce à vous, j’aurai appris plein de trucs sur le fonctionnement des différents médicaments!
Bonne nuit à tous
Dounia - sobre (en tout cas d’alcool) et de bonne humeur pour une fois :pompom:
Oh Psyborg, justement, je crois que répondre à la question de savoir comment structurer un tel sondage dépasse mes compétences!
Ah vrai dire, message écris hier dans une énième insomnie amère... je te promets que je ne voulais pas être blessante :(
Je suis juste un peu désespérée d’avoir l’impression que plus rien ne répond à cette question dans mon cas personnel...
Bonne nuit (avec ou sans traitement!) à vous tous
Trop dur de répondre à un sondage de ce type pour moi et mes insomnies chroniques...
- La mélatonine, autant pisser dans un violon,
- L’Havlane ou le Zopliclone marchent encore mais à condition d’en prendre entre 4 et 6 comprimés (+ alcool si possible - et j’en suis pas fière)
- le Theralène fonctionne à raison de 2 comprimés mais me colle des fringales (comprendre crises de boulimie compulsive) dans la demie journée,
- Le mogadon fonctionne mais me provoque cauchemars et hallucinations,
- Quant aux neuroleptiques, ils y en a tellement de différents que ça ne rime à rien de les classer en une famille... d’expérience, par exemple le Loxapac est un sédatif super puissant alors que l’Abilify pas du tout.
Bref, ce n’est pas une critique qui se voudrait méchante de ma part, mais à mon sens, ce sondage pourrait être repensé...
Déjà, est ce que les médicaments nous aident à dormir ???
Bon aujourd’hui, avec un peu de recul, je confirme, c’est pas te traitement miracle, mais un sacré coup de pouce dans le bon sens...
j’ai recraqué (un peu mais beaucoup moins etj’ai ôres et déjà bien redressée la barre derrière.
En frais, je me sens sur la bonne voie et pleine d’espoir dans l’averir et vous souhaite force et courage à tous dans ces temps difficiles...
Suis là pour discuter:pompom:
Que du love
Bravo et merci pour ce témoignage qui me fait chaud au coeur à lire parce qu’il me montre l’exemple que c’est possible, même si c’est dur!
Merci, merci, merci et encore bravo!!!
Sois fière de toi et du chemin parcouru :)
Oaxaca, si tu veux mon avis, tu as tout à fait raison!
De mon côté, on peut pas dire que j’ai trouvé le traitement miracle, mais au moins, je sais que je suis bipolaire et même si j’ai mis longtemps à accepter d’avoir besoin de médocs, clairement, les traitements m’ont tenus loin des internements en catastrophe du passé... J’ai reconstruit ma vie, ma famille, trouvé un chouette taf et on peut dire que je gère plutôt pas mieux mes troubles de l’humeur maintenant que je les regarde en face.
Certes, pour être honnête, je galère encore à trouver le bon traitement, je prends trop de C, et je suis pas passée loin de vriller à nouveau ces derniers mois, mais avec l’appui de l’équipe de mon Csapa, je compte pas baisser les bras!
Je te souhaite de tout cœur une prise en charge aussi chouette que la mienne et surtout, donne nous des nouvelles hein :)
Tu es paradoxal toi Nx17, puisque tu arrives à t’investir dans la recherche de substances psychoactives diverses et variées pour égayer tes fins de semaines avec une régularité qui te questionne toi même, tu devrais théoriquement être capable de faire preuve de la même détermination dans d’autres domaines de ta vie ^^
Je dis ça sur le ton de la plaisanterie, mais encore une fois pour te dire : ne te dévalorise pas ! Vois tes qualités et ta détermination et mets les au service de tes objectifs ;)
Si c’est pas un Csapa, ça peut être un CMP, un groupe de parole, se rapprocher d’un pote ou groupe de pote qui fait du bien...
Courage et force à toi en tout cas!
Nx17 si je peux me permettre, peut être pourrais-tu essayer de changer de perspective, tu n’es pas forcément « faible » mais plutôt fort au contraire d’essayer de voir les choses en face et de trouver la force de lutter encore jour après jour pour une vie digne dans un monde qui - il faut bien le reconnaître - se déglingue à vue d’œil...
À mon avis, ce n’est pas juste toi le problème, peut être même pas la fameuse « drogue », ne te dévalorise pas, ne te cherche pas d’excuse non plus, c’est vrai que ce serait un peu facile.
La situation globale est tellement dure en ce moment (en plus de ce qu’est ton contexte personnel, professionnel et familial que j’ignore).
Si tu étais mon pote, j’aurais envie de te dire, ne te juge pas, ne sois pas trop dur avec toi même, mais peut être accepte éventuellement que tu pourrais avoir besoin d’aide pour passer ce cap pas facile ?
Pour être bipolaire moi même, j’aurais envie de te dire que si un médicament régulateur d’humeur ne fait pas de miracle il peut aider quand même pas mal...
À mon sens (ou de mon expérience en tout cas, pas) il n’y a guère pire qu’un antidépresseur sans régulateur d’humeur sur un trouble bipolaire.
En tout cas, ça m’a conduit en HP pour LONGTEMPS avant qu’ils ne me laissent ressortir (et dans quel état!).
Après, des régulateurs d’humeur, il y en a plein, pas que le Xeroquel qui réussi bien à certains mais peut fatiguer et faire grossir d’autres personnes...
Si tu peux, je te conseillerais effectivement vivement de t’adresser à un spécialiste compétent.
Courage en tout cas :)
Je ne suis pas psy, le spectre des troubles de l’humeur est vaste, et mes propos valent ce qu’ils valent, mais à mon sens, il ne faut pas prendre ces troubles et leurs traitements à la légère...
Malheureusement, énormément de médecins (et même de psys) ne sont pas formés pour les diagnostiquer et les traiter correctement, d’où trop souvent des « errances thérapeutiques » diverses - parfois longues et aux conséquences graves.
Mon conseil, et je te promets que je parle d’expérience, serait de te rapprocher d’une structure publique spécialisée dans les diagnostics de ce type de troubles dans ta région pour faire un vrai bilan dès que possible.
Courage quoiqu’il en soit :)
Merci pour ta réponse Prescripteur, c’est vrai que ça semble encore assez peu connu et qu’il me semble que même scientifiquement parlant on ne sait pas encore bien comment ça marche...
On est encore bien démunis pour traiter l’addiction à la C.
Je me demandais si tu avais d’autres retours d’expériences réussies ou pas avec ce traitement mais apparemment pas?
Merci pour tes apports précieux à ce site en tout cas :)
Hello à tous!
Pour répondre à Pierre sur la fréquence des consos, je dirais que je suis passée de presque tous les jours à une ou deux fois par semaine et du solitaire au festif ce qui est pour moi un énorme pas.
Ilyana, bien sûr que je suis d’accord pour échanger! J’ai aussi de l’Aripiprazole mais seulement 5mg en complément. Ça aide je trouve.
Tu es à quel dosage ?
Tu consommes à quelle fréquence ?
Hello à tous,
J’essaye depuis deux mois un nouveau traitement prescrit par ma psy du CSAPA qui apparemment peut être utilisé hors AMM (autorisation de mise sur le marché) pour aider à la gestion des addictions, notamment la cocaïne et possiblement l’alcool et qui aurait aussi des effets en tant que régulateur d’humeur (je suis bipolaire).
Il s’agit de l’Epitomax (Topiramate). J’en prends actuellement 200 mg par jour. C’est à la base un antiépileptique et anti migraineux, mais qui agirait aussi dans le cerveau sur le « système de la récompense » sans qu’on comprenne trop bien comment.
Comme je ne suis ni médecin, ni pharmacien, je laisse les explications techniques potentielles à ceux qui les maîtrisent mieux que moi pour me concentrer sur mon expérience perso.
Comprenez bien que c’est un témoignage qui n’engage que moi, pas de la pub ou de l’incitation, pas un avis médical.
C’est clair que ce n’est pas un remède miracle, pas le substitut tant attendu, pas la clef du pb et que ça f …
4 ans et demi sans subutex de mon cote et plus aucun extra opiacé occasionnel depuis bientôt un an!
Et... tout va bien :)
Courage et force à vous tous
Dur dur de conseiller un médoc à quelqu’un qu’on ne connaît pas quand on n’est pas médecin!
À défaut, pour souffrir d’insomnies récurrentes, je peux te donner quelques pistes sur mon expérience perso...
Pour dodo, 3 possibilités expérimentées par mes soins outre atarax :
1) benzo : certaines sont hypnotiques dont notamment le Havlane,
2) Z drugs (zolpidem/zopiclone),
3) antihistaminiques : le fameux Theralène, star des hôpitaux psy où - sans ordonnance -
le donormil.
Bilan après quelques années... rien d’efficace sur le long terme, il faut tourner ou cumuler plusieurs molécules. Après, mes insomnies sont plutôt du genre hardcore :(
Si les tiennes sont légères et passagères, pour éviter les écueils « tolérance » et/ou « addiction », les antihistaminiques, malgré leur effet « je suis grave dans le pâté au réveil » pourraient être intéressants non ?
Courage en tout cas ;)
Aïe Junon,
Moi aussi j’ai pas mal transféré de l’héroïne sur la C...
Bilan après 5 ans d’arrêt des opiacés, ça c’est over pour moi. Mais j’ai compensé.
Pour la C, addiction physique quasi inexistante mais psychologique... pour moi pire que l’héro :(
Je rejoins totalement Drim sur le fait que le sevrage à l’hosto peut être l’occasion d’un retour sur soi même et d’une rupture bienfaitrice, mais il me semble que c’est rarement une solution miracle si tu ne changes pas tes habitudes à la sortie :(
Chacun son truc.
Drim, ton idée peux marcher... de mon côté, je préfère souvent refuser des petites traces ponctuelles qui vont juste me frustrer et me donner envie de plus, et m’autoriser de temps en temps à rincer mes potes avec les grosses poutrasses qui me comblent :punk2:
Bref, chacun son truc, mais l’occasion de l’hospit comme retour sur soi, pourquoi pas (à noter qu’il faut bien choisir son service et à mon humble avis éviter de se laisser assommer de médocs comme trop souvent en psy. …
Houla Nick,
Ça fait des années que je tape régulièrement... mais 1g en 2h... difficile de croire qu’elle soit vraiment bonne pour que tu t’en envoie autant, non ?
L’euphorie ok, mais vu la durée apparemment pénible de la descente, à vue de nez, une vielle coupe speed/amphétamines ne me semble pas incohérente à imaginer...?
Là, dès effets négatifs sont caractérisés... pourquoi pas une analyse sintes ?
Sans vouloir stigmatiser, un exemple possible : les soirées électro pas trop sauvages et en milieu urbain...
Ok, certains ne tapent pas, mais il me semble difficile de nier que beaucoup oui (et moi la première soit dit en passant)...
À mon sens, les lieux ne sont pas si durs à identifier. une répression stricte ne serait pas impossible (On rappelle que le Code pénal punit potentiellement la simple conso et qu’il y existe des tests rapides à dispo de nos amis en bleu).
Pourtant dans la pratique? Pas vu vraiement de contrôle, surtout avant que la question covid n’en être en scène (au contraire de l’Allemagne d’ailleurs).
Pourquoi???
À mon humble avis, si dans ces soirées nous ne sommes (et heureusement) pas tous du même âge, si nous avons la peau rose, beige, ou café.... reste que nous sommes souvent ingénieur, architecte, ou même médecin ou avocat (ou nous sommes leurs enfants d’ailleurs).
Le juge va condamner son fils?, le policier sa sœur ? L’OPJ ou le proc vont accabler le fi …
Adridri,
Je comprends bien ce que tu veux raconte je pense Je suis contente pour toi, mais ça me fait me dire aussi que tu as bien de la chance...
Loin de moi l’idée de te coller des étiquettes, mais tu sembles plus que capable de t’exprimer et de te défendre. C’est super pour toi, mais malheureusement, au vu de la réalité de l’application du droit pénal en matière de stupéfiants (de ce que j’en ai vu en tout cas), je ne suis pas sure que ton expérience soit généralisable....
Mon (amer) constat reste que pour s’en sortir avec rien ou pas grand chose, il est trop souvent hautement préférable d’être français de souche et/ou d’apparaître bien « inséré » dans la société (pas seulement rentrer dans le moule mais intuitivement connaître les codes sociaux et en jouer).
Trop de condamnations des arpenteurs de béton qui n’ont juste pas de « chez eux » pour fumer, trop de gens en marge que la justice enfonce au lieu de les aider...
Alors merde, défendons nous, mais n’oublions pas nos frères …
Pas sure d’être ok avec le fait que l libido des hommes excede celle des femmes, à mon sens, ça se manifeste différemment
Dans le viol il y quand même (en tout cas c’est ce que j’ai ressenti moi même) l’expression d´une volonté de domination, une envie de posséder l’autre et de le transformer en objet qui dépasse le seul côté sexuel...
Beaucoup de violeurs ne sont pas des frustrés je pense....
Allez voir une personne prostituées ne fait pas plus du consommateur un salaud intégral qu’il ne porte atteinte à la dignité de la personne qui propose la prestation, non?
Ça ne m’empêche pas de maintenir que j’ai du mal à composté et qu’il me semble qu’il y aurait beaucoup à faire pour améliorer la condition des travailleurs du sexe...
Pour répondre à Sufenta, je suis aussi du même coin et c’est clair que la virée au bordel côté allemand est une institution pour les mecs...
[C'est facile de dire "moi j'irais jamais aux putes" quand on a une vie sexuelle épanouie, qu'on se sent désiré(e), qu'on a plusieurs options dans ses connaissances...
(C'est un peu comme de dire qu'on s'abaissera jamais à faire la manche, alors qu'on vient d'une famille friquée & qu'on n'a jamais eu de problème de pognon ^^/quote]
Comme tu dis on n’a pas toujours le choix et c’est vrai je pense d’un côté ou de l’autre (le sujet de la « misère sexuelle » ça donne me donne envie de relire les particules élémentaires de Houellebeck »).
J’admire ceux qui ont le cran d’assumer ça... d’un côté ou de l’autre, mais tout en me disant que je préfère (et ça n’engage que moi), séduire que baiser...
Surfenta tu écris « il y a quelques années et j’avais trouvé ça clean à côté des situations gloque que tu peux voir dans les grandes villes françaises et ou en plus les clients peuvent prendre des amandes et les filles parfois sont emmerdés par les condés pour leurs papiers.
Je suis aussi frontalière, honnêtement, j’ai l’impression que c’est limite un passage aussi obligé que le DM et les clopes chez nous pour beaucoup de jeunes mecs...
Au moins, c’est pas le plus glauque effectivement...
Après, imagine si c’était une bite non désirée dans ton cul? Invasif non?
Ce sont de très vieux souvenirs, mais il me semble que tu résumes, Cependant, l’une des phrases d’ouverture de « Baise moi » ou une nana explique que sa chatte, c’est comme une bagnole dans un coin qui craint... tu ne laisses rien de précieux dedans.
Merci pour ce rappel très juste. Elles vendent une prestation, mais une prestation qui implique une bite dans leur corps...
Pas simple...
Pour répondre à ta dernière question Mammon, c’est peut être un truc personnel, mais moi ce qui me donne du plaisir, c’est de me sentir désirée, de sentir que la personne en face de moi a envie...
Il y’a sans doute des personnes qui se vendent aussi pour le plaisir mais pas sure que ce soit la majorité non?
Dans l’idée, je suis bien certaine que je me sentirai pas au top d’aller choper dans la rue une nigériane de 20 ans embarquée dans un réseau et qui fait ça parce qu’elle est coincée ou une étudiante désargentée qui se laisse baiser pour payer son loyer...
Effectivement, elles ont besoin de clients, mais à titre personnel je crois que je me sentirais ethniquement mieux dans la peau de la pute en fait
Pierre, tu remercie d’avoir souligner avec justesse QI’ injection n’équivaut pas à prostitution... mais j’ajouterais... et alors?
T’as vendu ton cul pour un truc, est ce que coca fait de toi une moins bonne personne?
Il me semble important de rappeler qu’il faut sortir de l’idée que « chaque personne qui tape finit par vendre son cul après avoir frappé maman pour lui voler son écran plat« ».
Il me semble tout aussi important de rappeler que vendre to sexe ne fait pas de toi un sous homme/femme....
De mon côté, là où j’ai plus de mal, c’est à comprendre l’envie d’une personne qui paye aune autre pour ça :(
Hello,
Je me reconnais pas mal dans le témoignage de départ j’avoue... plus j’ai pris des opiacés quels qu’ils soient et plus j’ai vomi.
En revanche, je ne sais pas si la théorie de Zak tiendrait dans mon cas...
4 ans que j’ai arrêté héro et sub et aujourd’hui un bête tramadol ou un skenan me fait vomir (surtout après avoir fumé une cigarette en ce qui me concerne.
C’est arrivé à un tel point que je ne peux même plus prendre de morphine à dose thérapeutique pour mes atroces migraines :(
Dans mon cas, j’ai dans l’idée que c’est soit mon corps qui me manifeste sa saturation, soit une forme de blocage psychologique?
Bref, Cependant, tu n’es pas la seule...
Courage (Ce n’est pas à moi de te dire quoi faire, mais il serait peut être intéressant d’écouter les signaux que t’envoient ton corps et/ou ton esprit?)
Hé, rassures moi sur un truc horrible?
Ce n’est pas toi qui est entrain de nous demander comment te suicider hein?