Si jamais ça peut en intéresser, finalement le fait d’avoir pris un sédatif a pu générer une infection due au fait que l’une de mes dents était cariée et en mauvais état. Pendant le sommeil et le fait de ne pas avoir pu évacuer des bactéries ou tousser correctement du au sédatif a pu se répercuter sur mon ou mes poumons. Urgence dentaire hier pour soigner la dent, pas loin de l’absces dentaire mais finalement je vais devoir la faire dévitaliser prochainement et antibiotiques pendant 5 jours. Je vois également le médecin la semaine prochaine pour réaliser une radio du thorax et voir si il n’y’a pas d’abces pulmonaire.

Par rapport au GBL je n’en n’ai pas repris depuis 24h du coup. Toujours sous la main en cas de forte crise de manque mais pour l’instant ça a l’air d’aller… Le fait de réduire petit à petit durant les 3 dernières semaines a clairement été salvateur, je n’avais pas prévu de tenir une journée sans aussi tôt mais bien obligée avec les autres soucis de santé et pour le momen …

Bonjour à tous,

Cela fait un mois que je réduis quotidiennement ma prise de GBL en espaçant les prises (passage d’1,4 ml toutes les 1h à toutes les 3h/03h30 désormais et mon sommeil s’ameliore petit à petit). Il se trouve qu’on m’a donné 1g d’Alprazolam il y’a quelques temps que je gardais sous le coude le jour où j’aurais besoin de faire une bonne longue nuit de sommeil). Ma dernière prise de GBL date d’hier 18h et j’ai pris le cachet d’Alprazolam vers 20h30. J’ai du dormir de 22h à 06h30 ce matin donc 08h30 d’affilées qui ne m’était pas arrivé depuis 3 mois, ça fait du bien! Par contre, grosse crampes musculaires au thorax au réveil, dans le dos, sur les flancs, impossibilité de respirer à pleins poumons comme si j’avais fais une grosse séance de sport ou que je couvais une mega grippe sans fièvre.

Jamais eu ce type de sensation de sevrage et l’alprazolam de ce que je comprends a pu pallier au manque mais jusque combien d’heures après ? Je vois que la demi vie de l’alprazolam va …

Je crois que j’ai toujours aimé les substances. Mon père, de son vivant, avait accès à du skenan suite à une hernie discale et m’en proposait de temps en temps pour me détendre suite à diverses blessures, je devais avoir 15 ans. A l’âge de 23 ans et pour palier à certains épisodes douloureux, j’ai d’abord développé une dépendance à la codéine (Néo-codion, commencé à 5 cachets/jour et terminé un an plus tard par 20 cachets/par jour. La vente était libre à l’époque et sans ordonnance (2014).

Suite à un déménagement qui ne me permettait plus d’y avoir accès sans ordonnance, j’ai vécu ma première crise de manque, suis partie aux urgences sans être prise au sérieux et ai fini 8h plus tard par être redirigée vers un centre spécialisé. 1 an de traitement sous suboxone et bien accompagnée. Suite à une opération qui nécessitait que j’ai recours à de la morphine en cachets (je ne souviens plus du nom pour être honnête), l’interaction entre ce dit anti douleur et la suboxone s’annulait, je souf …