Salut. Je connais très bien les benzodiazépines et les dérives psychiatriques qui en découlent. Je ne me prétends ni médecin, ni quoi que ce soit, mais les prescriptions de ton médecin sont irresponsables.

Au Royaume-Uni, c’est 2 à 4 semaines ce genre de traitement. Ceux de 12 semaines pratiquées en France permettent uniquement d’installer une dépendance. Le prazépam et le zopiclone ne guérissent pas, ils cachent le problème en créant par-dessus une addiction semblable aux opïoides.

L’addiction, même à doses thérapeutiques, s’installe facilement en 2 semaines. Si tu veux suivre les conseils de ce « spécialiste » et tenter 12 semaines avec 2 benzodiazépines, c’est ton choix, pas le sien.

J’espère sincèrement pour toi que tu pourras remplacer ces merdes par autre chose. Bon courage.

J’étais comme cela il y a quelques années, et bien que je n’en ai pas repris depuis plus de 2 ans, j’avoue que c’était mon péché mignon.

Tant que l’on est loin de l’addiction, c’est à chacun d’assumer ses actes et ses responsabilités si jamais une consommation modérée devient obsessionnelle.

Si elle devient obsessionnelle, c’est de la toxicomanie, donc une maladie, et on ne peut pas être fier d’être malade. Il faut faire preuve de beaucoup de courage pour se dire « je suis dépendant » plutôt que « je n’ai pas de problème ». Si le besoin de coke est journalier, il faut se rendre à l’évidence : c’est un problème.

Une personne saine n’a pas besoin de fonctionner constamment sous cocaïne. Quand une drogue devient vitale, surtout celle-ci, il faut réagir.

Bon courage.

Effectivement, j’avais sous-estimé le pouvoir de ces réseaux. Je te remercie pour l’article que j’ai pu consulter en entier. Il est vrai que j’en étais encore au stade du paysan qui cultive son champ de coca et qui fabrique sa « pâte base » à coup de kérosène et de chaux, avant de la revendre aux narcotrafiquants.

Quoi qu’il en soit, il est probable que les cartels de la drogue avaient déjà compris au début du siècle comment maximiser les ventes, mais je reste surprise de leur trouvaille !

Peut-être qu’il y a effectivement des expériences pratiquées sur des cobayes. En Europe et en Amérique du Nord, ce serait illégal et très risqué, mais en Amérique du Sud, il se peut que des « chercheurs » aient réussi à élaborer une recette ingénieuse.

Je sais qu’en Bolivie, au Pérou et en Colombie, on peut cultiver et posséder légalement de la cocaïne si on possède une « culture privée limitée ». Sauf erreur, il est légal dans ces 3 pays de cultiver de la coca pour un « usage personnel », bien qu …

[quote=Agartha]Y-a-t-il des traitements spécifiques qui auraient diminué/arrêté vos acouphènes? (je me fait pas de rêves lol, si ça a une cause neurologique je sais que c'est baisé pour moi et qu'aucun traitement n'existe, mais bon.. sait-on jamais, dans l'doute)[/quote]
Pour des raisons que je n'ai jamais compris, le Rivotril (clonazépam), qui est une benzodiazépine plutôt orientée pour les crises épileptiques, se révèle très efficace dans l'atténuation des acouphènes.

Il y a cependant deux problèmes. La première, c'est que ce produit est extrêmement addictif. La deuxième, c'est que dans certains pays, un neurologue n'a pas (plus) le droit de prescrire cette molécule, sauf pour l'épilepsie.

Ce que je sais, c'est que ça soulage énormément les gens atteints d'acouphènes, et que beaucoup se sont plaints que cette molécule ait été subitement interdite à la vente pour ces gens en souffrance. Peut-être qu'un neurologue "sympathique" peut faire abstraction de cela, il faut demander.

Enco …

Je pense que ce qui peut globalement le plus changer notre part de subjectivité est la "raison" pour laquelle on prend telle ou telle drogue. Si on consomme pour le plaisir, pour combler un vide, une addiction, etc. Je pense que beaucoup d'effets initialement objectifs deviennent plutôt subjectifs.

Je pense également à l'état d'esprit et l'humeur avant la prise. Cela peut amplifier la joie, la colère, la tristesse, etc., même si une drogue est objectivement qualifiée comme euphorisante.

Hello ! Je voulais savoir s'il y avait des gens comme moi qui n'arrivent pas à boire de l'alcool, non pas à cause d'une morale, religion ou autre, mais simplement par dégoût. C'est-à-dire que la simple odeur d'une bouteille de vin ouverte, le goût spéciale des alcools forts ou peu importe vous donnent des nausées, des vomissements, un dégoût ou tout bêtement le refus total de boire de l'alcool.

Dans mon cas, si je veux, j'arrive à boire de la vodka pure, mais c'est uniquement parce que le goût est assez "neutre", contrairement au whisky qui est particulièrement prononcé. Dans mon cas, cela ne vient pas du degré d'alcool, mais simplement de l'odeur et du goût que je trouvent insupportables (ce qui m'empêche tout alcoolisme... c'est déjà bien !).

En fait, une vulgaire bière, ou même du panaché, c'est une gorgée... et poubelle. Ma gorge se coince instantanément et je n'ai absolument aucune idée de la raison. Je me sens parfois bête à refuser d'accompagner des amis à boire ne serait-ce q …