De ce que j'ai compris des bases du mécanisme ça serait quelque-chose de ce goût là:
La première instance de traitement de l'information visuelle dans le cerveau est appelée V1 et peut être modélisée comme un panneau/ un espace en 2 dimension en l'aplanissant. ( Comme la surface d'une feuille ).
On peut faire correspondre la cartographie de V1 aplani aux emplacement des éléments présents sur le champs visuel.
Et en utilisant cette cartographie il apparaît que l'activation de zones de V1 formant certains pattern sur le model aplani vont donc ce retranscrire visuellement:
forme d"hexagone dans la cartographie aplanie de V1 correspondrait à des motif type " nid d'abeilles " au niveau visuel et des bandes inclinés correspondrait visuellement à des spirales et des cercles.
Et lors par exemple d'une prise de certaines drogues ( mais pas que ) une rupture d'équilibre électro-chimique entre neurones excitateur/inhibiteurs lancerait une réaction rapide en cascade qui ce manifeste avec la form …
Les benzos sont souvent solubles dans le propylene glycol.
Tu devrais pouvoir faire une extraction à l'alcool ( éthanol ) comme avec la metha puis une fois le produit séché le dilluer dans une solution d'eau ( injectable ) contenant du propylene glycol. Le propylene n étant pas le meilleur truc à injecter en grosse quantité il vaut mieux en mettre le minimum suffisant à la dillution de ton diazépam.
Dans un parcours de soin quel qu'il soit on tombe rarement sur un·e professionnel·le parfaitement adapté·e à nos attentes du premier coup. Comme le dit Fastofle les CSAPAA et leurs équipes évoluent et on peut trouver des structures avec des pratiques et des personnes aux croyances et à l'attitude très différentes les une des autres.
C'est difficile de savoir si il va plus " matcher " avec un·e addicto en libéral qu'une personne dans une structure publique ou dans un CSAPAA.
Le fait d'avoir eu une mauvaise expérience via une structure de ce type ne signifie pas une incompatibilité entre lui et les services proposés par ses structures qui sont vraiment diverses. De la même façon qu'une mauvaise expérience avec un médecin généraliste ne signifie pas une incompatibilité avec tout les médecins qui pratiquent dans ce cadre là.
Ça serait dommage de ce priver d'une aide extérieur par découragement après une mauvaise expérience face à un·e professionnel·le qui au fond ne représente pas grand …
Sur un arrêt complet ( pas un sevrage progressif avec des doses degressives ) le sevrage est sensé durer à peu près 3 semaines avant de progressivement disparaître mais dans la pratique c'est franchement plus compliqué que ça car il faut prendre aussi en compte la survenue possible d'un PAWS ( le syndrome de sevrage post crise aigue) qui peut avoir des symptômes relativement similaire mais être lui beaucoup plus long et entretenu par l'état psychologique de vulnérabilité que l'on vit bien souvent après s'être sevré d'un opiacés.
Le PAWS est plus fréquent lors d'un arrêt brutal que lors d'un sevrage dégressif qui ce fait progressivement et il faut prendre en compte que la longue demie vie de la methadone cause des symptômes de sevrages qui mettent plus de temps à s'installer mais aussi plus longtemps à ce résorber que les sevrages de morphine ou d'héroïne. Ce qui fait qu'on mettra plus de temps à voir les symptômes disparaître à compter du moment où on commence à ressentir une améliora …
La 3cmc est réputée moins portée sur la sérotonine que la 3mmc. Elle à moins un effet qui peu évoquer en partie certains effets du MDMA que la 3mmc et est moins considérée comme digne d'intérêt.
La 2mmc c'est aussi moins seroto que la 3mmc dans le ressenti. Moins euphorisant, plus une alternative au speed que à la 3mmc. Plus fonctionnel que récréatif.
3mec peu stimulante. Léger effet seroto. On est assez loin de l'effet de la 3mmc en terme d'intensité mais plus euphorigènes que la 3cmc, la 3cec et la 2mmc
La 3cec est décrite généralement comme de très faible intérêt comparativement à la 3mmc. Les doses actives sont plus larges que avec la 3mmc et les UD la trouve souvent manquer d'interet récréatif ou fonctionnel.
Je ne sais pas laquelle serait le meilleurs choix pour vous mais si c'est l'effet de la 3mmc que vous recherchez il y a quand même des différences significatives de ressenti avec les molécules mentionnées. La 4emc j'ai trouvé pouvait rivaliser avec la 3mmc mais en ayant u …
Je parlais bien d'utiliser la poudre du comprimé dans la préparation. J'ai pas explicité plus que ça car ça me semblait faire sens dans le contexte mais manifestement ça ne devait pas être le cas. Mea Culpa.
[quote=_ermiite_][quote=pierre]
Si c'est de l"héroïne brune, il va falloir la diluer et mettre de l'acide.[/quote]
Ah je n'avais pas vu ta réponse désolé ! Oui c'est de la brune, et malheureusement pas d'acide ascorbique dans le carton... snif snif (de tristesse hein xD )
Car j'ai test quelques dilution, telle quelle, en chauffant pour dissoudre le max que je pouvais et je trouve ça pas mal du tout en vrai, tant au niveau de la prise que de l'effet. Le seul soucis pour l'instant c'est , je trouve, d'évaluer combien de pulvérisation pour rejoindre a peu prêt le niveau d'effet que t'as en traces ou de pas trop pulvériser et gâcher en t'en envoyant trop dans la gorge.
C'est un autre mode de conso, qui as ses habitudes à prendre et qui se gère différemment mais c'est vraiment intéressant ^^
Et puis là où j'avais peur que ça n'ai plus de goût, ben finalement au contraire :super:.
Mais j'y pense, on dit bien que l'acide ascorbique c'est la même chose que la vitamine C ? Du coup si je réd …
J'ai lu le livre « Stolen Focus » de cet auteur que j'ai trouvé extrêmement intéressant. Ça démarche était super rigoureuse tout en faisant beaucoup de place au vécu et à l'expérience personnelle. On y parle aussi beaucoup de dépendance ( numérique ) et des effets des nouvelles tech sur le système de récompense et nos cerveaux.
Je vais regarder son intervention avec grand plaisir alors que je suis plutôt pas très fan de Ted Talk de façon générale. ( C"est un format qui me parle pas trop et je trouve le ton de certains talks un peu racoleurs ).
Merci Prescripteur pour la référence!
Ça m'insuporte énormément les rumeurs infondées et les légendes urbaines sur les drogues.
Celles qui m'enervent le plus:
- L'idée que le LSD ou tel ou tel drogues seraient transmises aux chiens et chats par les UD sous effet lorsqu'iels les caressent. ( Par sudation et absorbtion au travers de la peau )
- le fait que la ketamine seraient un anesthésiant pour cheval. ( C est une fonction possible pas la nature du produit. Ça à aussi peu de sens que de dire que ça serait un anesthésiant pour enfant en raison de l'usage qui peut exister en anesthésie chez l'enfant )
- L'idée que les opiacés type morphine ou héroïnes seraient ( extrêmement ) toxiques en tant que tel; souvent présentés comme largement plus toxique que la cocaïne ; l'alcool ou le MDMA. Souvent associée au mythe qui voudrait qu'on les prescrivent dans le traitement de la douleurs cancéreuse pour " achever le patient " ou précipiter sa mort en phase terminale. ( Complètement conspirationniste comme raisonnement )
- L'idée …
[quote=Doo-J]Une des plus répandus que j'ai entendu et qui m'a vraiment rendu fou c'est le fait qu'on puise soit-disant IV des benzos avec de l'eau, je parle bien de xanax, valium, lexo etc...
Donc clairement non c'est pas possible.
Bizarrement c'était toujours des "non mais je connais pleins de mec qui font ça et ils kiffent" comme pour étayer leur propos.
Mais j'ai vu une seule fois deux mecs se la mettre vraiment à ça car plus de coke.
Va expliquer le principe de biodisponibilité à un random surtout un random avec qui tu es en train de te défoncer et puis quel poids autant apprendre la langue des signes à un singe.
Sinon y'a la fameuse, l'inénarrable : "le mec qui est resté perché sous (insérer produit)".
D
ans la culture populaire c'est plutôt associé à la mdma, kétamine, LSD principalement de ce que j'ai apperçu et les champi, dans les milieux un peu plus "connaisseur en substance" c'est plutôt avec la dmt, le datura aussi beaucoup
mais je pense qu'on a tous entendu l'histoi …
Je vois mal ce que tu veux dire par " allergie conjoncturelle ". Est ce que c'est quelque-chose que tu as entendu lors de ta visite aux urgences? Tu serais ok d'expliquer ce que tu entends par là ?
A priori lorsque tu as devellopé une allergie si tu ne te fait désensibiliser chez un allergologue où que tu ne prend pas en amont un traitement anti allergène tu risques très fortement de t'exposer à une nouvelle crise.
A l'avenir si jamais tu voudrais t'eviter ce genre de deboirs avec des nouveaux produits ( ce qui t'appartient, aucune injonction de ma part ) tu peut procéder à un test d'allergie:
- prendre une fraction de la dose minimale du produit sur le bou de ta langue ( 1 ou 2 mg pour un produit qui ce prend dans la centaine de mg par exemple )
- attendre 24h en observant un potentiel gonflement de la gorge/ visage; des rougeurs.
- renouveller l'opération ( réaction allergène qui apparaît généralement lors de la seconde prise ).
Pour les RC que je n'ai jamais testé auparavant je l …
C'est super intéressant ça ressemble à un mélange entre la technique des " hot knives " ( couteaux chaud ) qu'on voiyait pas mal en Amérique du Nord et le rosin ( extraction de l'huile d'une tête avec pression + chaleur ).
Par contre je comprend pas ce que ça apporte d'attendre 1 jours ou une semaine après avoir extrait ta « résine »? C est sensé améliorer le goût/ les effets? Par quel mécanisme?
Ça devrais aussi marcher.
Mais je ne vois pas à quel texte tu fait référence.
Ça peut être les excipients qui réduisent l absorbtion par tes muqueuses nasales.
Est ce que tu as essayé de filtrer les excipients et de t'administrer la solution avec un kit MAD ou en waterline? ( Ou même sécher la solution et prendre la poudre restante en sniff )
Ça permettrais de vérifier si il s'agit des excipients qui causent ton ressenti et si tu continu avec cette méthode de réduire les risques causés en sniff par eux.
Oui ça marche avec certains benzos ( avec l etizolam j'ai pu constater que ça fonctionnait ).
Par contre j ai pu constater un effet raccourci et très rapide qui mêlé à l'amnésie antérograde rend très très compliqué d'éviter le redosage compulsif et fait très vite grimper la tolérance + la fréquence de conso ainsi que les quantités. Avec en prime la desinhibition ça peut vraiment jouer des tours.
J'ai vite arrêté ce mode de conso.
( Pas de jugement de mon côté, juste un retour d expérience sur ce que j ai pu constater chez moi avec ce mode de conso )
Tu peut aussi utiliser une feuille à rouler ( comme un para ) et la replier à 90° puis la coller sur elle même pour pouvoir remplir le cône qui ce forme et le fermer par le haut. Tu peut y loger pas mal de poudre mais tu devrais quand même passer un certain temps à en avaler plusieurs ce qui prend un certain temps en plus de l'effort que ça demande.
L'intérêt d'augmenter progressivement les doses c'est de ce familiariser avec l'effet que tu peut ressentir à une certaine dose en diminuant le risque de sur doser et d'avoir un effet qui t'es désagréable. C'est à toi de voir si tu préfères prendre une dose qui t'es inconnue et éviter le gâchis ou procéder de cette façon.
Pur curiosité sans jugement de ma part: qu'est ce qui te motive à consommer ton traitement par voie nasale si tu ressens + d'effet par voie orale?
C'est le geste et le rituel qui l'accompagne ou quelquechose d'autre qui te motive à choisir ce mode de conso ?
* vraiment il y a aucun jugement sur ton choix de mode de conso derrière ma question *
Tu parles de quel type de champignons? Champignons à psylocybine ou Amanites? ( Ta photo de profil me met le doute ).
J'ai jamais eu ce soucis ou ce ressentis avec des psychédéliques comme les psylos où des molécules apparentées comme les tryptamines 4-HO; 4-AcO mais déjà vécu avec un delirogène ( doxylamine haut dosage ).
Par contre le fait d'être dans le noir ou de maintenir les yeux fermés sans pour autant générer de la peur à vraiment tendance chez moi à maximiser les effets visuels des psychédéliques comme les champignons à psylocybine.
Selon moi et a titre perso les meilleurs stimulants pour « gérer » mes symptômes TDAH sont les préparations médicamenteuse à forte concentration en dextro-amphetamine ( qui est pour moi plus adapté qu'un mélange levo-dextro comme dans le speed synthétisé clandestinement ) et dans une certaine mesure la méthamphétamine orale à bas dosage ( avant que les effets sur la seroto deviennent trop présent pour maintenir l'effet focus que je ressens à des doses faibles ).
Chez moi les amphétamines en oral répondent mieux aux problématiques et symptômes liés au TDAH que les phenidates mais je sais que ce n'est pas du tout généralisables à toutes les personnes utilisant des stimulants comme automédication ou médication prescrite en raison de leur TDAH.
Mes dosages de méthamphétamine orale vont de 10 à 50mg en fonction de la qualité/ concentration en principe actif du produit; de ma tolérance et de l'intensité recherchée. Je les donnes à titre simplement indicatif et n'encourage personne à utilis …
Avec le kratom contrairement à un médicament dont le dosage en principe actif est contrôlé tu peut te retrouver avec des lots et des variétés ayant une teneur en principe actif très différentes en plus des equarts entre les effets ressentis de différentes variétés causés par les composition différentes en principes actifs et les synergies qui leurs sont propre. En plus s'agissant d'une substance ayant des effets communs aux opiacés en agissant sur des récepteurs en commun il y a aussi à prendre en compte l'impacte que la tolérance peut avoir sur l'effet d'une certaine dose chez une personne ce qui rend extrêmement variables les quantités prises pour obtenir un effet spécifiques en fonction non seulement des caractéristiques de ton produit mais aussi des variables qui sont propre à toi ( poid/ tolérance/ réceptivité individuel au produit )
C'est ce type de « difficultés » qui rend compliqué de faire des tableaux indiquant un dosage par variété pour un effet spécifique. Souvent sur Redd …
Je pense que justifier une conso auprès de la loi risque d'être relativement compliqué, notamment du fait de l'ignorance de nombreux acteurs du système judiciaire très répressif.
Déjà parceque il ne s'agit pas d'un médicament " ordinaire " dans le sens ou son usage a des fins récréatives et son potentiel addictif sont connus des services publique mais aussi parceque l'existence d'un traffic est elle aussi aussi reconnue.
En France les prescriptions de Xanax sont sensées ce limiter à 4mg/jour et les comprimés les plus fréquemment prescrit ont un dosage de 0,25mg; 0,5mg.
Donc si on imagine une conso de 4mg/jour le kilo d'alprazolam représente alors un stock pour les 685 prochaines années. ( 250 000: 365 )
Ce qui fait que même avec une conso qui serait de 160 comprimés de 0,25mg par jour tu en aurais quand même pour près de 70 ans avant de venir à bout de ce kilo.
Je pense que ça donne un certain poid à l'accusation de traffic qui devrait être assez complexe à contredire au vu de la qu …
[quote=CéBlc]Alors pour info , demain j’ai un call avec un psychiatre (celui qui va Me suivre quand j’irais en cure) et je vais clairement essayer de me faire prescrire de la ritaline
Parceque dans l’état où je suis impossible de bosser et j’ai un contrat qui commence vendredi et pour 10jours de taff non stop.
Autant dire que la, impossible
Donc je vous donnerais des nouvelles ??[/quote]
Plus haut tu dit que tu n'avais pas de conso d'opiacés/ opioïdes avant ta prescription de buprénorphine et qu'elle t'as été proposé comme substitut à ta conso de cocaïne.
Je voulais savoir comment le médecin t'as présenté l'introduction d'un opioïde comme substitution. Par exemple le genre d'informations qui t'as été donné sur le médicament et sur son fonctionnement et ses effets; si le médecin t'as expliqué son raisonnement vis a vis du dosage qu'il a choisit ( 8mg c'est assez étonnant de prime abord pour une personne n'ayant pas de tolérance aux opiacés. Je dit pas que c'est déconnant je m'interro …
Oui c'est exactement ça: préparer comme un fix puis sécher.
Les étapes que j'ai détaillé c'est surtout des pratiques que j'ai rajouté au fur et à mesure pour faciliter le fait de le faire sur une grosse quantité et éviter de dégrader le produit pendant la phase séchage. Au niveau technique il n'y a en effet rien de différent de la prépa classique d'un fix compte tenu des super outils que l'on à déjà a dispo pour ce tanker du skenan en filtrant les excipients.
Merci pour ton retour sur tes propres extraction en quantité large; ça me rassure sur l'idée que ma pratique soit pas complétement déconnante ni n'amène un risque nouveau que j'aurais pas identifié.
Le médicament que tu prend inhibe la recapture de la norépinephrine en + de la sérotonine. C est ce qui le différencie d'un inhibiteur seulement de la recapture de la sérotonine. ( Un ISRS )
Le speed lui à une action limité sur la sérotonine d'où le fait qu'il ne soit pas considéré comme incompatible avec un inhibiteur de la recapture de la sérotonine. Selon cette logique tu ne risque pas + un syndrome seroto en prenant ton speed par dessus ta duloxetine que tu n'en risquerais avec un ISRS.
Encore faut il que ton speed ne contienne que de l'amphetamine et non pas une molécule proche ou similaire impactant le taux de sérotonine ( comme la méthamphétamine que l'on retrouve parfois vendue comme speed ou certains RC )
En revanche en dehors de la question du syndrome seroto il faudrait voir si l'effet sur la norépinephrine représente un risque particulier en interaction avec l'amphétamine.
PS: il s'agit de médicament appelées ISRS pour inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonin …
Les opiacés + fort que la codéine ça pourrait être des substances comme l'oxy ou la morphine mais elles sont beaucoup moins facilement prescrites pour des douleurs passagères.
Le tramadol chez certaines personnes peut être + fort que la codéine mais les prescriptions tendent à devenir de + en + difficiles.
Est ce que tu penses que c'est la tolérance devellopée au produit qui fait que l'analgésie n'est pour toi plus suffisante ou alors c'est les migraines qui ce sont intensifiés?
As tu remarqué une augmentation de ta tolérance au produit?
Est ce que tu es en mesure de donner les dosages de codéine que tu consommes pour ce faire une idée?
Tu es déjà passée par des consultations avec
spécialiste de la prise en charge de la douleur?
Le médecin qui t'as initialement prescrit le médicament il en pense quoi? Est ce que tu lui as signalé que le médicament avait pour toi perdu en efficacité ?
Est ce que ça pourrait être une autre alternative pour toi que d'avoir une autre forme de codéine …
Bonsoir!
Je voulais savoir si comme moi certaines personnes ici " préparent " leur skenan à l'avance a partir d'une ou plusieurs boîtes pour faciliter ensuite son utilisation ( réduire la durée de la prépa d'un fix/ pouvoir le sniffer sous forme de poudre sans les excipients/ plus facile à transporter discrètement en moyenne quantité dans une bombonne que les gellules qui occupent vite un certain volume )
Si c'est le cas j'aimerai bien connaître vos méthodes pour les comparer à la mienne. Si vous avez eu l'occasion de peser et/ou faire analyser la morphine extraite je veux bien que vous partagiez vos résultats.
N'hésitez pas à me suggérer quoi que ce soit qui pourrait améliorer ma technique d'une quelconque façon et a pointer du doigt ce qui pourrais représenter un risque dans ma technique par rapport à la méthode tiède.
Ma méthode:
1- Je vide mes gellules ( en général 2 a 5 boîtes a la fois ) dans un bol type mortier
2- Je broie les microbilles jusqu'à obtenir une poudre la plus …
Je bénéficie d"une AAH et perso mes addictions ont été mentionnées par le psychiatre et le médecin + le psy qui m'ont aidé à monter mon dossier.
Mais il s'agissait seulement de troubles en parallèles des autres pathologies et problématiques qui impactent ma capacité à travailler dans des conditions standard.
Après petite recherche j'ai pu voir que l'utilisation de ké pour le tdah n'as pas de protocole claire contrairement au methylphenidate.
Les IV lentes comme celles proposées pour le traitement sympto de la dépression majeur & ou chronique semble être ce qui est le plus rependu.
Mais il s'agit alors d'un traitement qui n'est ni quotidien ni auto-administré. ( Il est généralement proposé en clinique en Amérique du Nord sous forme " d'infusions " IV et n est actuellement pas disponible en France )
La prise quotidienne en auto administration peut comporter pas mal de contraintes:
- la durée d'effet très courte du produit qui demanderait de répéter fréquemment son administration
- la rapidité a laquelle ce forme la tolérance aux effets recherchés
- les risques spécifiques à une consommation quotidienne chronique.
Pour ce qui est de tes questions vis a vis des risques que tu pourrais rencontrer en te fournissant sur le marché noir:
- Fait analyser ton produit. Avoir une idée de la compositi …
Le Subutex est un opioïde atypique: la buprenorphine. La ritaline est un stimulant: le methylphenidate.
Il s'agit de molécules complètement différentes au niveau pharmacologiques qui appartiennent à des catégories complètement différentes de produits.
Elles sont utilisés thérapeutiquement pour des pathologies différentes: la buprenorphine est utilisés comme substitut/ maintenance dans la prise en charge de la dépendance aux opiacés et parfois comme analgésique alors que le methylphenidate est utilisé pour le traitement du tdah et parfois dans certains pays où hors cadre AMM pour substituer un stimulant ( comme la cocaïne ou la méthamphétamine ).
Il s'agit donc de deux préparations pharmaceutiques complètement différentes que ça soit vis à vis de leurs principes actifs; de leurs modes d'actions comme de leur usage thérapeutique.
La bupré à une longue demie vie ce qui fait qu'on peut la sentir même 24h après une prise et qu'elle peut couvrir jusqu'à 3-4j mais par contre si elle t ai prescrite par ton docteur à priori c'est en tant que TSO dans quel cas tu n'es pas supposée être « déchirée » si le dosage est adapté.
A un dosage adapté et si la molécule te correspond tu ne devrais pas ressentir de nausées ni cette défonce mais un simple soulagement du manque non accompagné d'euphorie.
Bien-sûr tu as aussi le droit de vouloir tirer un bénéfice récréatif de cette molécule; c'est simplement étonnant de le ressentir à un dosage a priori correspondant à ton niveau de dépendance physique aux opiacés.
Peut être que ton médecin a voulu te proposer une dose « confortable » plutôt que simplement la dose minimum pour t'éviter les symptômes de manque. Peut être aussi que tu as une réaction atypique et que tu es plus sensible au produit que à/ aux opiacés substitué.
Étant donné qu'il est difficile d'estimer la teneur en prin …
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