As-tu ouvert un DMP (dossier médical partagé) ?

C’est ce que j’avais cru comprendre. Donc tu vis un double sevrage nicotine-cannabis.

Perso je suis en train d’essayer d’arrêter de fumer, et déjà j’arrête pas le cannabis, seulement la combustion (j’ai acheté un vaporisateur), mais pour la nicotine je n’aime pas les patch, mais je me suis fait prescrire des gommes à mâcher (c’est même remboursé), à faible dosage en nicotine, parce que c’est vachement plus simple avec. Contrairement aux patch tu peux ajuster ton dosage facilement selon les besoins, et diminuer beaucoup plus facilement. Et si tu craques sur une clope ou un joint tu vas pas gerber en surdose de nicotine…

Il y a des tas de choses qui peuvent t’aider, mais ça dépend de chacun… par des personnes tirent un grand bénéfice de l’hypnose pour arrêter de fumer, il y en a même dans les centres spécialisés dans le sevrage tabagique, et la prise en charge est gratuite. Mais tout le monde n’est pas réceptif.

Pour le sommeil tu peux prendre de la melatonine avant de te coucher.
Les …

150 GRAMMES de Seresta ? Vous voulez mourir ?
Dis moi que c’est une erreur d’unité :lol::flag:

150mg (je pense que c’est plutôt ça que tu voulais dire) ça reste une grosse dose pour un naïf…

Je te suggère de lire ceci :
https://www.psychoactif.org/psychowiki/index.php?title=Benzodiaz%C3%A9pines%2C_effets%2C_risques%2C_t%C3%A9moignages&from=similard

Et de commencer par faire un test avec une plus petite dose (par ex 50mg), et d’adapter si besoin par palier de 10mg.

Tu parles de contexte festif, attention avec l’association avec de l’alcool! Ça augmente considérablement les effets du Seresta et tu risques d’être surprise, pas forcément dans le bon sens… désinhibition++, comportement potentiellement inconscient, mise en danger, somnolence, et même Black-out avec perte de mémoire totale (certains se sont réveillés en garde à vue sans aucun souvenir comme ça…).
Bref, si tu comptes mélanger à de l’alcool, pense à en tenir compte et à diminuer les doses si tu n’as pas l’habitude des benzo …

Si tu n’as pas dépassé la dose prescrite et que tu as du retard sur le retrait de ton traitement à la pharmacie, ils n’ont pas de motif valable pour refuser… et même si c’était le cas tu as le droit à la continuité de ta prise en charge! C’est dangereux de sevrer quelqu’un de ses benzos brutalement.

Au pire n’importe quel généraliste peut te prescrire une boîte, quitte à lui donner le numéro de la psychiatre pour prouver ta bonne foi, et apporte tes ordonnances, carton de rdv avec ta psychiatre si tu as…
C’est triste de devoir se justifier mais si c’est le seul moyen d’être entendue…

Si vraiment tu ne trouves aucune solution, essaie de décaler tes prises de quelques heures, ça revient à une légère diminution et ça peut permettre de faire durer un peu plus ce qui te reste, pour ne pas te retrouver sans rien ensuite.
Un ex. : si tu prenais toutes les 8h tu peux essayer toutes les 10h.
Tu seras sous dosée, mais c’est toujours plus supportable que d’être complètement à sec… …

Beaucoup de consommations sont une forme d’automédication. Dire que c’est dangereux est stigmatisant et est une généralisation abusive.

Même chose pour l’association méthadone + benzo. Tout dépend du contexte, de la personne, du moment, de sa tolérance à chacune des molécules et du dosage…

Une bonne connaissance de la pharmacologie, ou au moins du fonctionnement des différents produits peut par exemple permettre de faire ce genre d’association en limitant grandement les risques. D’où l’intérêt de se renseigner, justement!

La tolérance au Lyrica explose exponentiellement après plusieurs jours de consommation…
Pour l’éviter il n’y a qu’un moyen : ne pas augmenter trop rapidement les doses (mais effectivement les effets diminuent…) et éviter de consommer tous les jours.
Il n’y a pas de méthode miracle malheureusement!

C’est ce qui pousse beaucoup de personnes à chercher à potentialiser les effets en associant le Lyrica à d’autres produits…

Est-ce que les 2 échantillons étaient bien identifiés séparément? Si ce n’est pas le cas ils ont pu être mélangés.

Le labo répond généralement rapidement. Nous sommes le week-end, tu auras sans doute une réponse lundi.

As-tu lu le Psychowiki sur les benzos et celui sur le sevrage des benzos? Car même sans aller jusqu’à l’arrêt, cette méthode peut-être utilisée pour diminuer un peu ton dosage, très progressivement.

Psychowiki benzos : https://www.psychoactif.org/psychowiki/index.php?title=Benzodiaz%C3%A9pines%2C_effets%2C_risques%2C_t%C3%A9moignages&from=similard

Psychowiki sevrage des benzos : https://www.psychoactif.org/psychowiki/index.php?title=Sevrage_des_benzodiaz%C3%A9pines

Effectivement tu peux faire un genre de méthode chinoise.

En tout cas si tu souhaites arrêter (ou même juste diminuer) il va falloir que tu diminues très progressivement si tu ne veux pas avoir ces symptômes de manque.

Soit si tu sais combien tu consommes, tu diminues par palier (~-10% toutes les 2 semaines max), soit tu espaces de plus en plus les prises, soit tu dilues progressivement (il te faut un gros volume par contre).

Pour info voici un post qui explique la méthode chinoise, qui était utilisée à l’origine pour l’opium. Elle a été rapportée d’Asie à l’époque coloniale et servait à sevrer les colons de l’opium consommé sur place (et dont ils étaient devenus dépendants physiquement), pendant le voyage en bateau qui les ramenait d’Indochine à Toulon, grâce au Laudanum. Le voyage durait 6 semaines, ce qui laissait juste le temps de se sevrer sans douleur.
Elle a été ensuite adaptée pour la méthadone par les PUD, à une époque où l’offre de soins pour décrocher était encore plus li …

[quote=aniima][
Avoir tout essayer c’était plus un un mot pour dire tout de possible*. ;) mais t’inquiète j’ai bien tout fais, j’ai pris du Lepticur pendant 2 ans trois fois par jours pour lutter contre les dyskinésies engendrés par des neuroleptiques qui est donc un antiparkisonien et je n’ai vu aucun changement niveau transpiration, au contraire même. D’ailleurs j’en prends encore de nos jours car j’aime tripé ça me fait penser vraiment à de lartane et ça j’adore. :witch:
Donc non je n’ai pas lu cette partie, car pour moi elle était useless (je parle pour moi exclusivement) et l’autre medoc or AMM j’avais vu ça aussi, je m’étais dis que j’allais en parler à mon médecin mais j’avais zappé car à cette époque, je n’y allais pas tout les mois pour ma chercher ma came.
Mais j’ai rendez vous fin du moi, alors y’a déjà plus de chance que je m’en rappelle.
Alors je t'assure une deuxième fois que j’ai tout lue.

:drinks:

Amicalement

Aniima[/quote]
J’espère que vous trouverez une solution …

Je ne peux qu’appuyer ce qui a été dit par mes camarades.

Mais j’ajouterai ceci :

Le fait qu’il consomme (de la cocaïne, mais c’est valable pour n’importe quel produit…) le week-end ne signifie rien de plus que quelqu’un qui boit en soirée.

Évitez d’attribuer tous ses problèmes à la cocaïne, car il ne se résume pas à sa consommation et les soucis que vous percevez ne sont pas forcément en lien.
Il existe beaucoup de personnes qui consomment régulièrement et qui s’en portent très bien, et même si ce n’était pas le cas, tout attribuer à ses consommations est réducteur et stigmatisant. Face à ce genre d’angoisses, il ne peut que se fermer à vous.

Je vous suggère de prendre soin du lien que vous avez avec lui, d’éviter d’aborder le sujet s’il ne le souhaite pas, et éventuellement de pousser la porte d’un CSAPA, pour vous-même, car en tant que parents ce n’est pas simple, et ils sauront d’une part vous soutenir, et d’autre part vous rassurer.

Sachez enfin qu’après une soirée de consomm …

Il existe effectivement des correcteurs qui fonctionnent pour limiter la transpiration.

Tu trouveras des pistes ici :

https://www.psychoactif.org/psychowiki/index.php?title=M%C3%A9thadone_et_transpiration

Trouvé ceci après quelques recherches :

https://www.dls.gov.ua/print-article/?pa=137267

Traduction d’après Google Trad :

« 25/01/2024 Notification de l'Institut fédéral des médicaments et des dispositifs médicaux (BfArM) concernant la détection d'un médicament falsifié étiqueté Tramadol Hydrochloride 100 mg.

Numéro de référence : DE_SN_01/reasonably_suspected_falsification/2024/1/1.

Le Service médical de l'État a reçu des informations de l'Institut fédéral des médicaments et des dispositifs médicaux (BfArM) concernant la détection d'un médicament contrefait étiqueté Tramadol Hydrochloride 100 mg, 38 plaquettes thermoformées de 10 comprimés dans une plaquette thermoformée, série 040822.

Une alerte RAS a été reçue concernant la falsification présumée du médicament Chlorhydrate de Tramadol 100 mg (DCI : tramadol), titulaire du certificat d'enregistrement : Santeria Pharmaceuticals. La contrefaçon présumée portant le marquage anglais a été distribuée de la République tchèque vers l'A …

Pire idée de prendre un produit qu’on ne connaît pas dans une situation stressante ET en public…

[quote=Lapetitepetite][/quote]
Les benzos peuvent t’aider à gérer l’anxiété.

Pour ta conso, c’est le souci avec ce genre de prods, le craving…
Comment gères-tu habituellement tes craving?
Les situations où tu es anxieuse (anxiété sociale ou autre), et où tu ne peux pas forcément compter sur les prods?

Je comprends tout à fait que tu aies recours aux prods pour mieux vivre des situations stressantes pour toi, et je ne te juge pas, mais malheureusement les prods ne sont pas la seule solution, ils facilitent les choses c’est certain, mais ils ne font que t’aider à utiliser les ressources que tu as déjà en toi. En fait je vois plusieurs options :
- Tu te sens capable de gérer sans ta béquille habituelle, même si tu as conscience que ça sera moins facile pour toi

- Tu ne t’en sens pas capable et tu appréhendes énormément, tu te sens envahie par l’angoisse, tu te sens paniquer…

En fait j’ai envie de te dire de t’écouter, d’être indulgente avec toi-même. À la fois un week-end ça passe r …