de mon côté, quand je fais des rencontres ce n'est pas le fait que la personne consomme ou non qui guide ma libido... même si le fait de taper en soirée au préalable indique un kink potentiel, un fantasme réalisable - comme tu l'as dit, c+baise=possible régal-.

là où je me pose des questions, comme toi je suppose, c'est qu'il m'arrive assez souvent depuis deux ans, parce que 1 je suis pas avec ma copine / ex / plan cul / bref personne de confiance 2 que j'ai pas ramené que donc 3 je me retrouve seul, et bourré, isolé, que vient l'envie de se faire une session un peu chemsex (soit pour moi alcool + c + porn), histoire de "bien finir la soirée".

ça peut effectivement durer des heures. c'est avec des pics de jouissance, de "oui voilààà c'est bien pour ça que je le fais" avec des phases d'ennui, de persévérance (voir l'épisode 1 saison 1 de black mirror à ce sujet sur la question de poursuivre pour poursuivre :D ), et je regrette rarement (hormis les palpitations, le corps fatigue quan …

a priori les substances sur lesquels je comptais me focaliser étaient plutôt

- lsd (2 prises envisagées sur le mois d'août)
- ghb
- speed
- ketamine

effectivement c'est ce que j'avais lu pour la mdma, bien qu'en même temps je lis ([url=https://chemsex.be/chems/ecstasy-mdma/]notamment ici[/url]) qu'il y a un risque de syndrome sérotoninergique, soit l'inverse ou je me trompe?

itou avec le lsd... ça peut augmenter ou diminuer les effets... à quel saint se vouer?

hello all,

polyconsommateur de substances, grand curieux, pessimiste / réaliste, au choix, je travaille depuis peu dans une assoc' qui fait de la prévention avec une approche psychanalytique, ait pas mal bossé dans les clubs et fait de la rdr par la même occasion.

je viens aujourd'hui pour échanger sur nos expériences et trouver de la lumière là où certaines zones d'ombre persistent quant à certains produits ou usages.

merci pour l'accueil et bonne journée à tous :)