bonjour, oui c est une solution de combler avec le skenan, en tout cas moi c'est ce que je ferais dans ce cas de figure sinon la journée va être compliqué. C est faisable sinon de passer une journée en manque, très douloureux mais faisable, le tranxene ne va pas tellement t aider par contre donc pas la peine d en abuser. tu n as pas dit à combien tu étais en metha du coup difficile de te dire combien de skenan tu aurais besoin grosso modo.

bonjour, je n ai été dans cette situation précise, je ne travaille pas pour l ars et je ne suis pas professionnel de santé par contre je sais ce que c'est d être pas très bien regarder par le personnel médical ou des pharmaciens quand tu viens chercher ton traitement. Alors c'est pas évident c est certain d être mal regarder, pris pour falsificateur, ou avoir le regard dévalorisant du consommateur mais tu as besoin de ton traitement et tu es dans ton bon droit. Alors tu gardes la tête droite et tu vas le chercher, de toute façon il y aura toujours des personnes qui diront que, passe au dessus. courage

Salut, marco a raison 50mg c'est certainement trop, il vaut mieux continuer doucement en plus tu as la chance d'avoir un médecin qui semble compréhensif. le petit manque que tu décris ne sera peut être pas celui là, pour moi ce qui rend insupportable le manque suite à des descentes rapides ce sont les douleurs qui l accompagne, dos, crampes, jambes et les insomnies puis l épuisement. Pour ma part, j ai toujours du revenir quasiment au dosage à partir duquel j avais voulu faire une descente importante. Bref beaucoup de temps perdu, de douleurs et plus d un et demi de sevrage qui n est toujours pas fini. Finalement en descendant régulièrement petit pas à petit pas, j aurai moins morflée, on a tous envie que ca aille vite . Bon courage

Re, pour la metha je parlais pour moi et plutôt de stabiliser le tramadol assez haut pour que tu n ai plus de douleurs puis de faire un sevrage dégressif quand tu seras prêt. Oui je pense que des petites doses répétés et sevrages brutaux qu on est très nombreux à faire, engendre une addiction assez forte. Ensuite tu n as pas précisé depuis exactement combien d années mais a te lire il m a semblais que c était sur du long terme. Aussi tu n en as pas parlé, il arrive à beaucoup, je l ai fait aussi, d avoir des journées où la dose est un peu plus importante même si on est sur du stable et faible en général, si cela t es également arrivé ca renforce également l addiction . Sincèrement ce que tu décris c'est pour moi du manque, le tramadol est très addictif . Moi aussi le sport naturellement fait du bien, il rétabli les niveaux endorphines, c'est bien là qu on peut y voir un soucis d addiction. Par contre, la décision de l addicto d utilisé des thérapies psy me semble insuffisante vis-à-vis …

Bonjour,
Déjà ton histoire est pas simple et tu as du morflé. Pour moi, il est clair que tu décrit un manque physique et certainement psychologique aux opioides. Contrairement aux internes, je ne suis pas étonnée d un manque aussi même avec des" petites doses", tu as un passé, quand même long avec le produit, ton corps est donc bien addict, je me permets de te dire ca car je connais la situation ( consommatrice opiacés opioides pendant plus de 20 ans à petites doses irrégulièrement et maintenant sous methadone). On a tendance à sous estimé l importance du temps et sur estimer la quantité dans le processus de manque. A mon sens tout les symptômes que tu décrit correspondent bien au manque. Certainement en faisant des sevrages à la dure tu n as fait que renforcer ton addiction et pour ton corps chaque sevrage est de plus en plus violent (j ai fais pareil), quitte à être aux bords de petage de plomb. Je ne vois qu une solution, stabilisé à un dosage où tes symptômes disparaissent et ensui …

Bonjour, oui il en reste dans le corps le lendemain et ca reste présent dans le corps même plusieurs jours en très faible quantité, ca va pas changer grand-chose sur la quantité que tu peux prendre sans risque le lendemain, c'est cool si ca c'est bien passé, j espère que tu vas bien et que tu n as pas de symptômes de manque

Bonjour, je suis assez avec lalalou on est plus blafard, on tendance à maigrir quand on consomme des opiacés ou opioïdes, u
en certaine quantité bien sûr, généralement au bout d un moment c'est quand même un peu visible ! On a pas l air de péter la forme! sinon sur le long terme j ai l impression d avoir des cheveux plus ternes et surtout j ai eu beaucoup de cheveux blancs très tôt je suis pas sur et certaine que ce soit en rapport mais je sais qu on retrouve ce qu on prend dans un cheveux donc peut être quand même

metaboliserai ? pour une utilisation récréative des opioïdes, aucunes utilité de savoir si tu metabolise vite ou non les opioïdes, l intérêt de le savoir est d avantage quand met en place un traitement substitutif afin d évaluer la dose ou ta façon de prendre ton traitement, (en une fois ou plusieurs par exemple ). sinon il est normal que le lendemain tu puisses encore ressentir les effets de ce que tu as pris la veille. c'est plutôt même fréquent avec des opioïdes ou opiacés, d autant plus que certains opioïdes ont un durée d action longue et tu peux commencer à ressentir le manque uniquement 96h après. pour la 3 eme cup, si tu reste sur ce que ton corps supporte, apparemment 150mg, je met très entre guillemets mais normalement pas d od, par contre avec des doses rapprochés ton corps va vite devenir addict et le manque qui va suivre va être assez douloureux physiquement. mieux vaut pour du récréatif laisser plusieurs jours, semaines entre chaque prise, ca reste un avis mais le consei …

t attend pas faire un trip de fou avec le tramadol, pour le coup tu aurais du prendre des hallucinogènes ! . fait peut être attention, ca met plusieurs heures à monter, surtout si tu es novice en opiacé, tu risque une overdose facilement. on le voit pas venir avec les opiacés, on est juste cool et parfois un peu trop. attend demain avant de reprendre quelque chose. fait gaffe à toi

bonjour tout le monde,
j aurai besoin de retour de personne présentant une histoire similaire à la mienne afin de faire mon choix concernant la continuité de mon sevrage methadone. j ai 40ans, l alcool des repas de famille pendant mon enfance ainsi que quelques médicaments qui se donner pour que les enfants dorment bien, 26ans de polyconsommation, 3 et demi de metha et un sevrage commencé de 100 mg depuis plus d 1 an et demi, un peu forcé suite à une mésentente avec l addicto qui me suivait et tenez un discours très dur et humiliant à mon égard, également l envie de retrouver une certaine liberté et l envie de tourner la page avec les addictions. aujourd'hui je peine à atteindre les 10mg de part des douleurs toujours présentes et des envies qui reviennent sans autre conso que quelques stick de shit pour les douleurs et me détendre récemment et 1 ou 2 verres d alcool très ponctuellement. cependant je me pose la question de l utilité d une sortie de la metha pour moi
les douleurs physiqu …

bonjour,
un petit témoignage concernant sevrage benzo et metha.
j ai démarré au mois de janvier 2021 mon sevrage de metha 100mg et au mois de juillet seresta 150mg. en septembre j ai terminé le seresta et en etais autour des 40mg 45mg metha. actuellement j en suis à 20mg de metha.
globalement heureusement que je ne travaillais pas parce que clairement c est pas facile.
les benzo provoquent d affreuses douleurs partout dans le corps. aujourd'hui je n en ai plus en continue, seulement durant quelques heures du petit matin et certains jours.
la metha est quasiment plus simple à arrêter physiquement quand on le fait progressivement. par contre c'est un vrai combat psychologique. en dessous de son bon dosage confort (40mg pour ma part) c'est beaucoup plus le psychique qui joue. chaque petit pas est une victoire et il faut s accrocher, avoir une motivation sinon c'est clairement impossible. n importe laquelle mais un peu d espoir. physiquement ca passe. limite 40mg 0mg physiquement c'est po …