Pour répondre plus justement à ton post :
Il y a certes des méthodes, des chemins, des stratégies pour arrêter ou diminuer les prises d'alcool. Mais il faut bien avoir conscience qu'il y a des addictions et des alcoolismes, et des personnalités toutes uniques en soi.
Chacun n'aura pas les mêmes chances, les mêmes conso, les mêmes réussites aussi.
Par exemple, ceux qui en sortent seront vraiment heureux, d'autres et malgré le nombre d'années te diront qu'ils sont certes abstinent mais c'est une abstinence triste. D'autres auront même oublié le nombre d'année d'abstinence tandis que d'autres e seront marqués.
Puis il y a ceux aussi qui auront sur gérer à nouveau leur conso.
C'est très empathique en soi de vouloir offrir aux autres des conseils, mais parfois on comprendra aussi que ne pas en donner et juste écouter puis encourager à trouver ses solutions sera plus efficace et judicieux. …
Hello,
Merci pour ton témoignage. Je me colle sur ton poste parce que dans des phases de plateau avec des drogues, je suis bavard et je risque de polluer ce forum.
Le blog ne l’intéresse pas, je cherche l'interaction, pas juste la narration.
Je participe aux groupes de paroles du csapa qui me font un bien fou, parce que j'adore échanger sur ces sujets, donc ici l'addiction alcoolique mais pas qu'eux. Ecouter les narrations des autres personnes. Et au final y apporter de la bienveillance et une absence de jugement. Puis surtout comparer mon addiction à la leur. Dont pour quelques uns et quelques unes, les souffrances, autant que les quantités sont tellement lourdes et cruelles, que mon addiction personnelle fait partie des "petites mondanités".
Puis j'ai besoin de discuter, pour aussi asseoir et profiler les stratégies que je vais mettre en place pour sortir de cet alcool devenu un poids un peu trop lourd.
J'ai accepté dernièrement un protocole de soin qui dès le départ m'a déplu, …
J'ai heureusement aussi une femme qui ne boit quasi jamais, ne fume pas, donc je la préserve de mes dérives (on est encore chacun de nous deux en garde partagée avec des ados). Ca me permet d'avoir des moments sans tise, et de ne boire que des jus.
C'est d'ailleurs l'antithèse anecdotique parce qu'elle est affolée par les drogues, ne fume pas, et quand elle boit 3 verres de champagne elle s'inquiète à outrance. J'ajoute juste pour les mauvaises langues qu'elle est très extravertie et une vraie fêtarde.
Alors que j'ai du goûter une quinzaine de drogue, fixer un peu, le dragon aussi, et eu 4 bonnes addictions.
Elle en connait une partie, mais celle immergée.
AlifLam,
Tu fais bien de parler de toi et chacun ici assume plus ou moins cette relation à soi, à la réponse à l'autre, directe ou indirecte. Ce qui compte c'est le langage et l'interaction égotiste comme plus altruiste,empathique ou généreuse ou bienveillante ou pédagogique.
Sont juste à chier sont les jugements moraux du bien et du mal, ou le classique "la mauvaise drogue est celle de l'autre".
J'étais près à retourner au GBL, donc surfer sur les sites mais je n'ai pas un site de référence donc je décroche un peu. Puis trouver mon seuil m'a toujours gonfler (j'étais à 1,8), et cette rigueur à calaculer pour pas subit un G-Hole. Bref.
L'alcool ou l'Ethanol c'est facile. Les états permettent au marché d'en faire ce qu'ils veulent donc tu en as pour tous les goûts et même les cultures. Il y a des milliers de saveurs dans lequel tu auras du GBL... pardon, de l'ethanol.
Rassure-toi des individus qui se tapent de l'alcool ou autres, qui ont une vie de famille stable, des garçons ou f …
Protocole depuis 4 jours, Valium, je respecte, je tiens.
Puis ce soir autodestruction, tas le cul, n'ai pris le dernier valium, certes pas fort 5mg, puis ça la saoulé, j'ai pécho une bonne bouteille de vin blanc et c'est parti.
Demain je vais tricher et ne pas y aller. Le dire quoi, que le cacheton n'aura servi à rien puis un autre censé comblé je ne sais quel neurones ou neurorecepteur dopaminique.
Bon, je n'en suis pas à 3 bouteilles mais une seul mais j'ai juste flanché et pas dans le sens que demain je vais réenchainer, juste que ce soir j'avais besoin de cette défonce et puis c'est tout.
J'ai beaucoup de respect pour ces soignants qui oeuvrent afin qu'on se sortent de cette lessiveuse mais ils sont bien fragiles devant les substances.
Ca n'est pas le réchauffement climatique qui va niquer la race humaine mais bien l'addiction.
Incapable de mesurer une trace. Mais sur le temps, seules les traces bien lourdes avaient du sens, et une dernière derrière.
Ma limite physiologique était 1,5 gramme, 1,7 (rarement les 2g), ensuite ça devenait compliqué. Pif un peu saturé, et effet différent. Je parle de coke du DM ou issue directement du bloc.
Je me souviens de sessions avec de la prod du DM (testée) où j'étais vraiment highe il en restait encore pas mal.
On ne maîtrise pas trop ces registres que tu tentes de normaliser. Ca dépend de la qualité du produit et de ta position sur l’accoutumance. Et ce que tu recherches.
Une grosse montée ou juste un entretien du stimulant.
Dans ce cas offre toi un achat chez les test.drogues et compagnie.
C'est pas si onéreux que que ça.
Perso ma mdma je la tapais en Crystal sur le DM, et je la testais dans les éprouvettes.
Toujours qualitative.
On a aujourd'hui suffisamment de possibilité pour assurer nos dopes, pourquoi s'en priver ?
Je ne crois pas avoir répondu à ce sujet.
J'étais autour des 1,7 et 1,8, au dessus je plongeais. Ou j'étais pas super bien.
J'avais du solvant de Lituanie puis d'Allemagne. Mais ça ne variait pas.
Selon les jours je pouvais pousser à 2, mais sans compréhension.
Et je n'ai jamais eu de G-hole.
J'aurai envie de te dire que l'addiction à la coke est aussi puissante et déstabilisante que assez facile à décrocher (en sniff j'entends).
Je te résume mon rapport à cette dope :
Petits traits avec des potes, soirées, mais je trouvais cette came par géniale, car aussi inculte sur le produit.
Puis installation des fréquences mais avec de la coke très moyenne et surtout : premiers plaisirs des gros traits avec des montées très puissantes (que je ne connaissais pas).
Premières addictions très psychologiques avec l'installation de la désagréable narration du :
1/ Excité par l'idée d'en prendre
2/ Soirées cool à en taper
3/ descente très dures et infernales
4/Culpabilité les lendemains et grosses fatigues
5/ Questionnement sur la qualité : Pourquoi autant d'effets indésirables si durs ?
Et rebelote. Sauf pour moi le petit traits sympa social, noway, j'aimais les grosses montées avec des troncs d'arbres.
Je décroche presque 2 ans.
Là, je me lance sur le DM (darkWeb), et allouya j' …
C'est assez instable avec le LSD.
Tu peux te manger un bon buvard un jour, puis sans connaissance enchaîner sur un bien plus fort et il ne se passera pas grand chose (accoutumance +++), et 10 jours plus tard tu t'envoies un 350mmg et tu te prends une claque, pas sous forme de bad trip heureusement mais très très longue bref tu l'as sens, et quand ça se termine sincèrement tu es content.
Pour moi, les 250 (testés) étaient parfait. Les 350 trop forts.
Puis ça m'est rapidement passé au point d'avoir une forme de rejet du LSD et de tout jeter. Plus du tout envie de cette substance.
Quant à rester bloqué... c'est un peu un mythe non ?
Salut à toi,
Je ne saurais te répondre mais je vais te répondre parce que je me suis tellement de fois posé la question.
Je n'ai jamais eu une conso quotidienne, mais hebdomadaire puis mensuelle puis trimestrielle, puis annuelle puis plus rien. On dira et dans le but d'aller au maximum du produit mais avec les limites inhérentes au sniff (dont le pif qui sature). J'aimais la coke pour les high forts et rien que ça. Si je prenais la coke du DM (toujours testée à 80%), donc bonne et efficace, j'était dans le 1,5 voire 2 grammes.
Par contre nuits blanches assurées.
Un pote tournait au lexomil ou anxyio, mais ça ne marchait pas bien sur moi, et c'est là où je veux en venir.
J'ai toujours été un peu flippé en fin de nuit par les effets de la coke quand j'étais vraiment fracassé, peur du coeur qui s'emballe, peur d'un AVC, peur quoi.
Donc l'idée de me dire que j'allais mettre tout ça sous un somnifère, non mais jamais de la vie. J'aurai peut-être dû. Je préférai lutter jusqu'au petit …
Le plus curieux fut le fait d'en parler à mes am(i)es, tous bienveillants, et réceptifs mais peut-être que j'ai mal aussi décrit la chose soit : une fois fait ce coming out, une sevrage de 4mois fort et de 4 mois en faible consommation, il aura été toujours compris derrière que :
1/ Tu te guéris et on est avec toi
2/Quand tu seras guéri on se refera de bonnes retrouvailles.
Ben guéri de quoi au juste J'y ai cru, soit reprendre une conso maîtrisée. elle aura invariablement glissé vers un retour au point zéro.
C'est pas une grippe l'addiction.
Merci pour vos témoignages, très cool vos récits.
Pour Pixierevival, c'est plutôt un bonne chose pour moi de ne pas avoir l'alcool dit " méchant", il reste aussi en deçà des consommations que peuvent avoir des personnes plus marquées par l'éthanol. Moi c'est le soir, 4 à 5 fois par semaines,ça peut être 7 comme parfois la royale semaine de sevrage. Mais hors de question de basculer dans le pire. SI je piccole c'est vraiment pour passer une "bonne soirée", jamais en cas de tristesse ou de mauvaise nouvelle. Le plaisir de l'euphorie et de l'ivresse.
Le mondain, j'ai connu ça plus de 30 ans sinon plus et au point de me mettre des mines que je ne saurais plus faire aujourd'hui. Là c'est le chronique qui s'est installé, avec son seuil, ses doses, comme un médoc, et non plus comme une projection de se faire une bonne soirée avec beaucoup trop de breuvages. Il y a eu un moment de mon existence un passage entre le plaisir/social/mondain, et le chronique - Juste avant le Covid.
J'ai évidemme …
Ce soir mon deuxième groupe de parole au Csapa. Un public différent du premier soi des hommes surtout et des personnes qui auront vécu un alcoolisme vraiment brutal et cruel. Mais des personnes d'une sensibilité et d'une bienveillance monstrueuse. Et pour ceux qui vivraient encore dans le cliché : Un doctorant en physique nucléaire, Un chez d'entreprise de 3000 salariés, un surdiplomé en mathématique fondamentale. Une médecin généraliste.
Dans ce genre de contexte je ne prends pas la parole de suite, je laisse même de coté les expériences plus narcotiques, pas envie de faire un inventaire à la Prévert et surtout de poser un "moi j'ai taper ça et ça et ça". Ca serait maladroit. On reste sur l'addiction à l'acool.
Puis j'ai en face de moi des survivants. Des êtres qui ont 10 ans d'abstinence comme d’autres qui chutent et rechutent, mais survivent.
Mais survivent admirablement et projettent chacun leurs méthodes, leur spiritualité aussi mais jamais dans une pression d'imposer leur mét …
Personnellement je te conseille un csapa, les soignants y sont formidables et tu pourras bénéficier aussi de groupe de parole plus solaire et moins dogmatique que les AA.
L'addiction commence quand tu te poses la question de l'addiction? Evidemment il y a des critères mais la chronicité et le coté un peu compulsif reste les dominantes ?
J'ai connu trois ou quatre addictions, coke, mdma, gbl un peu. Mais si je ne les consomme plus (et surtout n'y pense plus) l'alcool reste un problème.
Ne te juge pas et dis toi que les drogues que l'on consomment sont en soi une recherche de plaisir, d'ivresse ou autre donc on cherche à être dans un bonheur de soi. Tu ne bois pas du crotin de cheval ou de la pisse, non, tu t'enivres, donc il y a un réel désir d'être joyeux et de vivre un bon moment.
A partir de là, il faut y voir un désir de survie très sain. Sauf que trop d'alcool reste improductif et le rapport bénéficie/coût sera en ta défaveur. …
Au CSAPA, mon premier jour de groupe de parole j'écoutais les gens, comme moi, qui parlaient de leur vie, de leur addiction.
Il y avait une femme, jamais tu n'aurais dit en la voyant qu'elle avait de problème. digne et avec un langage subtile. Chef d'entreprise. Tu l'écoutais et tu devenais non pas amoureux mais admiratif par la façon dont elle parlait de son addiction.
Puis une plus jeune, bourrée d'énergie et de beauté aussi. Marquée par cet alcool et tellement en colère contre ça.
Je ne sais plus trop quoi penser de l'alcool. Plus capable de penser sur ce truc.
Même si coté thune ça n'est pas facile, j'ai contrairement à d'autres un salaire suffisant, un métier aussi difficile et prise de tête. Juste pour te dire que je tape du matos disons haut de gamme. Même coté coke j'avais un dealer extra, et je testai sa dope devant lui. j'agitais l'éprouvette, ça le faisais marrer car finalement lui aussi ne savait pas trop. Je la payais un peu plus chère, mais un trait de bonne coke ça valait aussi trois traits grossiers d'une autre.
Question alcool je suis dans le même protocole, bon vin, vodka onéreuse, les lendemains sont différents crois moi.
Mais le soucis n'est pas tant le qualitatif, ça reste l'addiction. Qui se vautre dans l'augmentation des doses et le plus difficile en ce moment : un déterminisme cruel : c'est foutu, tu es dedans.
L'avantage de l'alcoolisme c'est que tu as des dealers partout. Et même un état et un ministre qui te rassure chaque jours. Acheter une bonne vodka si possible française c'est bien, c'est culturel.
Quand je prenais du gbl, donc acheté en Lituanie pas trop chère, j'avais mon seuil autour des 1,8 et bien je développais des cocktails. Souvent orienté vers du pamplemousse, gingembre.
J'ai vite compris quand dans un très bon single malt ou un bon vin, mon gbl était dedans dans le sens où il y a l'enrobage et l'éthanole.
Si demain la coke est libéralisée faudra vite s'orienter vers des produits enrobés. Coke menthe, coke fraise, coke poivrée.
Donc je vais acheter mon éthanol dans les boutiques validées par l'état français et applaudies par Darmanin.
Je ne saurais jamais remercier ces soignants qui oeuvrent dans les CSAPA. Faut percevoir leur envie de comprendre et de te sortir de cette merde. …
Parfois on se dit guéri, car j'ai connu six mois d’abstinence absolue puis les dérapages deviennent des rechutes et on repart sur les mêmes doses, que l'on augmente un peu.
Avec ce sentiment aussi de se dire que c'est mort. T'es dans le jus mec. T'as passé la barrière et te voilà de l'autre coté. Faut se le dire : c'est pas agréable de se sentir addicte et devoir ça.
On aimerait poser ses ressources sur autre chose.
Les seuls avantage restent une résistance et une vision très tolérante des addictions. Quand je vois ou sens une personne addicte, j'ai de la compassion pour elle et je comprends ses souffrances. On est pas dans ce jugement de misère où ladite personne ne serait qu'une plaisanterie vautrée dans du plaisir. Sorte de plaisir hédoniste.
Hello,
J’ai pas mal bouffé de drogues avec toujours un regard inquiet sur l’addiction. J’ai une une addiction relative à la coke et à la mdma, mais toujours avec une porte de sortie radicale puis progressive. Soit de la coke mais à forte dose 2 à 3 fois par an puis plus rien. Du GBL aussi, vite sorti.
J’ai peu apprécié le crack, la meth, un peu superflippé de leurs effets extravagants et étant père de deux garçons, je ne voulais pas leur offrir un papa dépendant.
Et chose que j’ai toujours ignoré même sur ce site, le rayon alcoolique.
Alcool… pfff non mais je maîtrise quoi.
Je ne maîtrise plus rien.
C’est un putain de gouffre.
Heureusement j’ai un CSAPA à 300 mètres de chez moi, j’ai osé participé aux séances de groupe. J’écoute des gens formidables. Comme moi, non que je me sente formidable, mais j’ai un alcoolisme solaire et jamais méchant. Et entendre, écouter ces gens reste un plaisir tellement puissant. L'autre fois, une dame, et une jeune fille, toutes les deux belles dans …
Hello,
C'est pas du tout le même produit. le 6-apb à la rigueur comme comparaison.
La 3-MMC reste très soft et ne propose pas de "montée". Ni de descente très désagréable. Après je n'ai pas testé sur le long terme.
Les NPS sont pour moi assez décevantes. On tourne autour "de". Donc on contourne des prod efficaces pour des trucs un peu en deçà.
Après c'est une question aussi d'adaptation. La 3-MMC est très agréable en soirée. Je suis hétéro (pour contextualiser) et j'ai eu des plans cul très mémorables avec ça.
La MDMA reste la MDMA. C'est la référence. Sauf que le corps s'accoutume des années et des années et ne lâche pas l'affaire.
Yo à toi,
Les buvards je les ai tous eus sur le DM, dont certains trop dosés, vers les 330micro.
Bien trop fort pour moi.
Le trip "bonne" soirée se situe avec des toncar à 220. Si de juste et bonne qualité.
Au moins avec un intervalle de un mois pas prise, voire plus. Mais quand en reprend, ça tape toujours aussi fort.
C'est toujours ultra sérotonine, très empathogène mais maîtrisé, pas comme la mdma qui te vrille en un Bisounourse redoutable.
Démarrer avec du vin ou autre et s'envoyer le buv afin qu'il prenne le relais reste pour moi le must.
Mais je ne prends pas du tout du LSD pour développer des récits colorés ou chiant comme un livre de mauvaise science fiction, TR interminable chiant à chier des haches.
Non. C'est après avoir un peu maîtrisé les dosages, une mdma mais bien moins toxique.
Et plus tolérante au son, la musique. Par contre hyper transformant en queutard obsédé par ses désirs.
Après les branlettes ésotériques du LSD franchement... …
La première fois que j'ai découvert le RC's, puisqu'on appelle ça comme ça, c'était en Belgique, la coke trop chère, les tazs avec leur réputation de descente, et voilà un mixage de coke sans les montées, de mdma sans les montées aussi mais le tous sans les descentes
Je prends, j'en bouffe.
Vrai qu'on pouvait se perdre dans les comparatifs spécieux. Mais soit tu disais : sur la coke c'est mieux, et sur la mdma : c'est mieux mais ?
Donc on oublie les montées de coke et les jouissances de montées de taz.
Voilà un truc plus spectrale et linéaire, sans fulgurance.
Baiser oui... mais attention à la dose, sinon, t'es chaud, mais chaud, mes questions vascularisation ça ne suit plus.
Donc pour moi un bon buv de LSD pas trop fort sera plus et mille fois avantageux que cette 3-MMC, même si on peut lui accorder ce coté accrocheur, stable, invariant, et sexuel, ça ne bouge pas comme un processeur, c'est de la drogue numérique. …
Hello, difficile d'avoir un substitue à la 3-MMC, hormis sur le DM je ne vois pas pas mais c'est pas un marché dark mais si il y a des nostalgiques de la 4-MMC dont je suis (la 3 à coté c'est du soft certes tranquille).
Donc je reste très curieux de ces générations qui ont intégré la 3-MMC dans leur vie et plus intimement leur sexualité.
Faut avouer que tu la commandais en deux clic, livrables chez toi
Déjà...
Taper de la drogue et associer ça à la méditation mais aucun interêt.
La drogue sur les stims, amphet sont antinomique à la méditation.
Puis tes dosages sont inexplicables, tu les sors d'où ?
Mais qui peu méditer sous lsd ou sous mdma ou sous kéta ?
C'est pas de la méditation c'est de la relaxation sous morphine, rien à voir avec la méditation.
Alors super pour le TR.
Pourtant de la génération de la weed, j'ai supprimé cette drogue de mon quotidien. J'en déteste l'aspect paranoia un peu complotisme, beurk.
Le LSD je le dépose avec un peu de d'alcool avant, du rosée, du vin, et quand je sens les effets solaires de la tise, je gobe.
Par contre ça devient plus brutal mais ça reste progressif.
J'ai complètement vidé et dépressurisé les aspects mystiques de cette drogue pour n'en conservait que les effets presque purement chimiques et qui au final se traduisent d'un désir de vivre, d'aimer ce que l'on aime, et surtout de s'aimer soi, mais se vautrer dans des valeurs nobles, et si possibles sans biais politiques
Bah je rejoins les avis plus haut. Déjà heureux que tu te sois remis de cette expérience qui aurait pu tourner au tragique.
Donc, moi la coke, le corps la connait et je peux m'enfiler quasi 2 gr de très pure (le max) les derniers traits je les bâcle, mais il ne reste plus rien, et si parfois à mon plus grand bonheur j'arrive encore à un sursaut de stims, sinon, l'effet coke est mort de chez mort.
Ou... en osant des traits de bûcherons. mais je sors du protocole du sniff, du bon traits certes mais réglo, pour fournir au cerveau un énorme jet de coke.
J'ai connu des amis qui le font, pas peur de l'OD en sniff et de font des lignes de folie.
Moi j'ai toujours eu un peu peur du "cœur qui lâche"
Le GBL j'ai connu plus avec la 3-MMC, en mode hétéro, donc pas simple de trouver des meufs dans le délire.
Je pense que tu dois désormais prendre en compte des paramètres comme ton age et cette expérience comme un point de reflexion. …
Les explications sur le taux de sérotonine demeurent vagues. J'en bouffais tous les 15 jours et j'avais un moral costaud.
Après j'aurai toujours en souvenir ces premiers taz qui certes sont magistraux mais que tu paies en descente terriblement.
Et s'installe avec le temps, des descentes inexistantes, le bénéfice moral et solaire de la mdma est supérieure aux contraintes, puis des effets moindres mais très "solaires, heureux"
Les explications sur le taux de sérotonine demeurent vagues. J'en bouffais tous les 15 jours et j'avais un moral costaud.
Après j'aurai toujours en souvenir ces premiers taz qui certes sont magistraux mais que tu paies en descente terriblement.
Et s'installe avec le temps, des descentes inexistantes, le bénéfice moral et solaire de la mdma est supérieure aux contraintes, puis des effets moindres mais très "solaires, heureux"
Salut à toi,
Te dire que je suis un spécialiste de la mdma serait nullissime, mais j'ai eu avec cette drogue, toujours testée en labo, et sur l’expérience que je vais te raconter, au format cystal.
Alors j'ai connu le "taz" =, gobé, sniffé dont nous avions un rapport vraiment irrationnel puisque selon la couleur on te vendait du love, du speed..; alors qu'il aurait été tellement simple de dire qu'avais tel ou tel mix avec ta mdma...
Bref
Je passe mes années technos de folies
Et j'arrive à une conso sur 12 mois.
Des soirées faciles à 700mg, d'abord en 200mg, puis sniff, et on déborde.
Je me blindais d'oméga 3, de spiruline, sport, collagène.
Très conscient du mimétisme sur la seroto, des risques.
Souvent deux jours d'affilé à s'envoyer du lourd
15 jours voire 3 semaine de repos. Et je remettais ça, comme un rituel de bonheur absolu. Accompagné parfois de 3-MMC mais rarement.
Terminé les envolées des "premiers taz", mais je détruisais aussi que la mdma avait toujours un pou …