Hello à toutes et tous,
J'ai pu lire les sujets forts intéressants sur la façon la plus ideal pour vapoter du DMT.
J'aurai d'ici peu un vaporglass sherlock d'occase (pote de pote) qui semble t-il facilitera la prise de cette DMT à apprivoiser.
J'ai plus ou moins compris la notion de pad en cuivre, avec une éponge, donc il faut récupérer du fil de cuivre et créer avec une pince un pad pouvant s'installer dans le vapo.
D'où une autre idée. J'ai un firefly 2, que je n'utilise plus car petit fumeur. C'est un vapo poussant jusqu'à 220.
A ce propos je m'en suis pris des charges ce truc qui ne produit pas beaucoup de fumée, c'est assez déroutant... mais il y a bien de la vaporisation, et je me suis fait avoir souvent.
D'après vous : faire chauffer le pad en cuivre, y verser le DMT qui devrait se coller au cuivre (si j'ai bien compris), puis mettre ce pad dans la cavité du vapo, est-ce que ça reste tenable ?
Le DMT vient du DM. Pas la logistique pour en produire moi-même en mode cuistot …
Le LSD avec la mdma ça n'apporte rien à mon sens. Par contre j'ai souvent associé les psylo avec la MD car plus instables que le LSD qui me semble vu me deux premières expériences plus stable.
Le LSD combine le coté empathogène et le tactile ce de façon bien plus puissant que la mdma. Mais c'est plus puissant et incontrôlable. Jugement trés subjectif parce que j'ai eu sous MD des trip "love" démentiel" et maîtrisé (de mémoire dans des boîtes barges d'after parisienne, digne d'un bar sur la planète Tatouine).
Quant à la weed ? Je vois mal l'intérêt.... mais bon, faut une belle expérience pour composer des cocktails.
Moi la weed peut vite me dérouler de la paranoïa et avec le LSD c'est danger +++.
Hello,
Désolé de remonter du cliché mais les dealers français semblent avoir 10 ans retard sur le reste du monde.
Sauf... si tu es dans le réseau. Et que tu acceptes les tarifs et l'achat massif.
Je vous pose quelques expériences.
J'ai connu le max de substances en Espagne, Pays Bas, frontière Belge. Coke, mdma, lsd, weed, ampeth etc
La qualité était très bonne.
Si j'exclue l'excta, sur Paris ce fut un chemin de croix pour enfin avoir de la qualité.
Quand j'ai tapé sur le DM et que j'ai proposé à mes ami(e)s la coke... ils sont tombés de haut. Moins cher, mieux servis et de qualité +++
La seule fois où j'ai eu une coke trés bonne : une connaissance vip, mais à 120 euro le gramme... j'avais la même et mieux à 60 euros de Germany.
Une fois j'ai démontre à un dealer, avec une eprouvette de test, ce que j'avais sur le DM, et ce qu'il me fourguait. On était à 90% sur le DM. Lui à 60%.
Ca n'a pas était plus loin. Il était juste au final d'une distribution.
Tu as des vendeurs fran …
Possible que son carton date des années 80. Il.y a une réelle diminution du buvard en milieu ambiant, encore plus si le truc traîne à plus de 25 degrés.
Mais malgré ça tu aurais dû avoir un quelque chose.
Ruminations personnelle mais les dealers français franchement... même si ça évolue dans le bon sens, des nazes.
Ca peut changer avec le temps...
Si je tape une bonne coke : je suis à l'eau, gazeuse ou pas. Pas besoin d'alcool et la clope qui autrefois accompagnait très agréablement les montees me dégoute aujourd'hui.
Je vais balancer une sottise mais à partir du moment où j'ai eu de la c très correcte, clope et alcool ont disparu au point de boire en soirée du coca ou de l'eau.
Normalement une C du bloc donc peu coupée les lendemains sont faciles.
Quand à la fatigue c'est tres lié à la qualité de la C, des coupes, de l'alcool ingurgitée. Mais on y échapper peu... sauf avec de la coke coupée aux daubes et là c'est une horreur.
Le cocktail bonne C et pas d'alcool fonctionne merveilleusement bien. Avec une bonne hydratation un peu forcée car au bout d'un moment ton corps va virer la C...
Perso c'est 4 à 5 voyages aux toilettes dans la nuit et après je peux envisager de dormir. Puis 3 à 4 jours pour se refaire (j'aime bien m'envoyer 1 g 1,5g) et reprise 3 ou 6 mois après. …
L'avantage de ce TR peut amener le sujet du "pourquoi selon les prod, donc de la coke, il y a toujours une petite différence" ?
Perso je me pensais terminé pour la C, pensant que le corps était accoutumé puis dernièrement et un peu par dépit, hasard aussi (je devais pecho chez tel vendeur de DM, soucis de transaction, puis plus assez de BTC, je me rabats chez un Allemand bien noté et... surprise, coke testée +++ (ca vire au noir), super bien servis, et à 56 euros le jet...mon franchouille la faisait à 80). Et me revoilà avec les plaisirs purs de la coke telle que je le conçois. Belles montees, facile 1h de trip et descentes minimales. La coke que j'ai connue
Mais pourquoi telle autre coke semble différente etc...? faut mesurer son état de forme, les coupes, la qualité de la coca peut-être (pourtant ça reste une molécule).
Coke et mdma ça ne fonctionne pas trop. La première ruinant les effets de la seconde.
On est à la préhistoire du fonctionnement des drogues à la fois.
Mefie …
Merci pour ta réponse.
Je dirai la même chose. À chaque fois la colombienne provoque un bon flash et un côté festif.
Les deux autres sont trés smooth et côté sniff c'est trés neigeux. Idéal pour des discussions. Pas de montée. Ce qui peut être déroutant.
Mais tout ceci viendrait-il de la qualité originelle (variété de coca, environnement, extraction) ?
Pour le pif... et pourtant je charge, et avec les 3 les lendemains ca mouche tres peu, plus depuis quelques années déjà (merci le DM)...ce nez ravagé d'ailleurs n'existe plus.
Un jour ou l'autre dans un monde où la coke sera disponible, pour le bien comme pour le moins bien, on aura à disponibilité un marketing de cocaîne comme celle du vin, bière, single malt, vodka etc.
J'avais commencé à installer ce marché dans un "roman" soit du qualitatif (seul l'alcool était prohibé). Tu avais des cocktails à la coke, GBL, différent goûts, savoir faire. …
Hello,
Si on se pose comme un nez fin et avec le talent approprié et surtout dans une posture de test, voyez vous de la différence entre ces trois coke ?
J'ai eu le choix un jour entre une bolivienne et une colombienne. Deux "effets" différents.
La colombienne tres active avec de belles montees, et l'autre très souple, hyper neigeuse, faussement douce, très agréable.
Mais voilà... le cerveau défoncé peut à mon sens difficilement se la jouer capable d'un tel discernement. Je parle du mien.
Au final ça reste de la cocaïne. Mais pour le vin c'est pareil. On arrive à des effets différents selon tel cépage.
Je te parle DM car un dealer Français sera incapable de discuter sur ces sujets. Il faudra voir avec des allemands, plus pointus.
Faut que tu connaisses ta personnalité d’addiction, les rechutes sont parfaites pour ça. Certains replongent forts, d’autres arrêtent progressivement et ne reprennent plus jamais comme avant (ou plus du tout).
Le mien : l’addiction s’installe, généralement je fais un sevrage et abstinence totale, puis je reprends. 2 ans pour la coke, j’ai repris mais très doucement, plus du tout comme avant. Tous les 6 mois, puis une à deux fois par an. Idem avec la mdma, idem avec l’alcool soit abstinence, dérapages (et non rechutes) et espacement quasi naturel des « prises ». Le produit n’est plus addictif.
Ca demande une compréhension de ton abstinence d’il y a 3 ans aussi, pourquoi, comment. Tu veux reprendre pour le plaisir de la coke ou parce que ton quotidien est compliqué ?
Tu en étais à quelle conso ?
Il y a vraiment un profil addictif qui généralement se répète, évolue aussi. Se connaître.
J'ai vécu les dernières raves franciliennes puis on est passé aux clubs dont le rex, batofar, folies, l'enfer et autres lieux étaient nos spots.
Époque Garnier, detroit, Berlin etc. Donc techno ou housse et autres drum and bass.
Surtout des excta, puis la mdma en parachute. Peu de coke. Et selon les premiers trip lsd ou champi.
De la tres bonne zique à de la grosse tech hard core franchement violente. Je pense peu écoutable aujourd'hui.
J'ai tellement vu des gens vaciller en 2 à 4 ans. Le pire n'étant pas la mdma car naturellement instable et déstabilisante. Mais plus des fumeurs de weed qui ont tous flirté avec le rayon psy de Saint Anne.
Berlin proposait une scène très riche, entre electro ou techno brut. Mais aussi de la daube pop insipide.
Hello,
J'ai tapé de la crystal MDMA, toujours testée, achetée sur le DM pendant 1 an du 22 février au 22 février.
Je l'accompagnais d'oméga 3 à donf, de 5 htp, de proteine type whey pour l'alimenter, du poisson à fond. d'antioxydants, de sport 3 à 4 fois semaine.
J'étais à facile 600mg par quinzaine donc du nawak. Parfois accompagné de 3-mmc, parfois sous psylo et rarement sous lsd. Parfois juste une semaine de repos parfois trois semaine.
C'etait mon cocktail de bonheur.
J'ai tout stoppé quand j'ai ressenti des brainzaps.
Alors oui les effets étaient moindre au fil 1des mois mais suffisamment présents pour tenir toute une nuit. Me retrouver dans un trip "out of africa" étaient extra les matins et chose curieuse, rarement des descentes ou trés faibles. Jamais.
Forcément je me dis que j'allais le payer. Mais aujourd'hui rien.
Je pesais. J'attaquais à 200mg en gobant. Puis je continuais par sniff (degueulasse) de 80mg.
Toujours en recherche d'une montée.
J'ai relancé 3 ans aprè …
Hello à tous,
Assez obsédé par la meth, je vais en recevoir bientôt 1g. Le vendeur m'a été conseillé...je testerai le prod avant.
Ça de posé.
J'ai reçu mes pipes en verre. Je compte me l'envoyer au format chasser le dragon.
Que me conseilles-tu comme dose ? Ou méthode ?
Merci à toi.
[quote=juba013]Bonjour, il parrait que la 3mmc ne se détecte pas au contrôle de police (salivaire) .
Surtout en ce moment avec l'histoire de palmade, j'ai bien peur qu'ils renforcent les contrôles.[/quote]
La question serait plus de savoir "combien de temps" la substance est detectable" avec ces tests.
Tu as eu l'autre jour un papy qui a conduit en sens inverse et tuer toute une famille, ils auraient retrouvé des traces de thé vert.
Anyway. Faur eviter de conduire le lendemain c'est une certitude.
Aucune montée avec la 3-mmc. Et pas de descente dans les 30 à 1h. C'est plus souple et assez comparable à une mdma adoucie et un peu modifiée aux stupéfiants.
La coke (selon ma seule expérience) peut-être être singée par du speed, voir certaines amphétamines ou metam, mais pas la 3-mmc du fait d'une absence de montée caractéristique.
Déjà eu une coke un peu paresseuse, et un test me confirma qu'il n'y avait pas une seule molécule de cocaïne. Pourtant elle sentait pareil, même texture etc.
Parfait....enfin je vais creuser le sujet.
Ras le cul le DM. Deux fois qu'un site se fige ou est victime d'un exit scam.
C'est toujours intéressant de savoir que telle substance prise sous telle forme aura un potentiel addictif très fort.
Perso j'ai connu un type charmant à la fin des années 90 qui avait connu le pont de Zurich. Son frère et tous ses potes y sont restés et c'est mere qui l'a tiré de là.
Il avait tout stoppé, faisait un max de sport et quand il me parlait de la dope (parce que j'étais dans le trip tech/mdma et un chouya intéressé par l'hero) j'avais devant moi un monstre d'expérience qui en peu de mots et d'intensité empathique m'aura détourné des opiacés. L'écouter fut pour moi la plus belle expérience humaine sur ce sujet.
Puis d'autres rencontres. C'est fou le nombre de consommateurs d'hero qui t'arrêtent dans tes envies, et te disent explicitement "n'y va pas".
Choses que tu ne retrouveras pas avec l'alcool, la coke, etc...
Le crack j'ai testé une fois parce que amoureux de la montée fulgurante, mais j'ai de suite capté la brutalité et surtout trés mal vécu la descente.
C'etait …
Hello,
Diagnostiqué dans la case "unipolaire" bien que ça reste à valider, mais dans un sens je m'en tape car ce qui compte reste pour moi la compréhension du système (de consommation) plus que le diagnostic tout en sachant que les traitements disponibles n'ont jamais fonctionné. Je pense aux régulateurs d'humeurs.
Puis je ne supporte pas les anxiogènes par exemple, les antidepresseurs (pris sur 2 jours) furent horribles. La ritaline est trop "amphétamines", alors que je me suis envoyé de la coke, de la mdma pendant 1 an
Pourquoi unipolaire ? Parce que pas de phases dépressives, et des consommations toujours et toujours dans des moments d'excitation, d'allégresse, de dynamique, ce par exemple après une bonne séance de sport qui normalement aurait dû me détourner du quasi craving psychologique. Ben non : passé la fin de la séance et même pendant le sauna (chance d'avoir ce truc dans cette salle) le cerveau tourbillonne et se leche les babines dans la perspective de s'enfiler une bon …
Tu as été choqué je pense par la construction mentale que l’on se fait du terme « maladie ». Pathologie me semble moins péjoratif ou dérèglement peut-être.
Les addicto, enfin ceux lus ou rencontrés, ont certes leur schéma de pensée de guérison. Par expérience aussi. Mais l’aspect compassionnel est très présent. Je suis moins attiré par les groupes de paroles car je ne vois pas l’alcool comme le problème (et les protocole de prières, mantra m’emmerdent), mais plus une glissade qui m’aura fait ingérer de l’alcool sous une forme répétitive, médicamenteuse, chronique donc et plus du tout comme une bonne dope à dopamine pour des moments particuliers.
Donc la « maladie » se résume plus à un dérèglement où l’alcool à pris le dessus sur mon libre arbitre.
La question ici n’est pas de savoir si les drogues en générale ont un bénéfice et si elles apportent leur lot de bienfaits, physiques ou moral, mais si ta conso devient – pour toi et comment tu le vis – un problème. On parle bien de maladie à partir du moment où certains critères sont présents. Il y a une immense différence entre apprécier les substances, s’organiser avec elles même dans des moments d’excès, et en devenir complètement dépendant, et que le coût/bénéfice est très défavorable.
Perso les connaissances (et moi-même) qui ont eu le discours du « j’adore la coke, j’aime ça, donc la morale sur les addictions je m’en tape» tout en étant dans une forte consommation, l’on tous payé un jour. C'est presque un passage où une conscience du "trop" est palpable... et ça fait chier parce que le plaisir reste puissant.
Ca n’est pas une vision moraliste que de comprendre quand une personne n’est plus dans une consommation disons festive, expérimentale ou autre, c’est du romantisme …
Salut à toi,
J'ai utilisé la méditation pour sortir de la coke, donc résumé plus simplement : des moments de respiration lors des furieuses agressions de craving.
Ca te prend comme ça à des moments connus et parfois inattendus. Parfois intenses mais courts, ou moins intenses mais tenaces et longs. Les plus difficiles car l'alcool est partout, alors que la coke beaucoup moins et le temps de s'organiser tu peux redescendre et abandonner... sauf quand je commandais sur le DM(en 5 minutes c'était plié)
Lutter contre les craving les plus intenses est hyper productif et valorisation. Mais les plus vicelards, ceux qui te caressent dans le sens du poil et n'exigent pas du prod dans l'immédiat sont les plus destructurants (pour moi) et préparent une rechute.
Étonnamment j'ai complétément abandonné la medtation pour l'alcool. Plus la force. Pourtant la coke est en soi plus corsée, plus délirante quand elle se manifeste, le compulsif est redoutable. Donc mediter aurait dû être plus difficile. …
https://rose-lesite.fr/contre-addictions-podcast/
Bonne écoute.
Pour l'histoire....
Je devais recevoir 3 grammes de c du dark Web et manque de bol je ramasse un 50 g de shit. Bon. J'écris au vendeur. Forcément il me renvoie ma commande et le laisse le shit.
Je ne fûmes plus, j'ai cela dit un vapo, mais plus le matos pour le shit. Cette petite mousse qui protège le fond du vapo.
Je me renseigne sur l'ingestion du shit donc la décarbo.
Pas de four chez moi, je décide de cuire le morceau à la poêle.
Puis tranquillou j'en bouffe un bon morceau. Trop de trop.
Et bien j'ai eu quasi 12h de defonce donc la moitié horrible. Une claque jamais eu de ma vie avec ce prod. À être pitoyable dans mon lit
J'étais massacré au point d'appeler les urgences.
Puis j'ai toujours déteste le shit, c'est vraiment une drogue qui ne me révèle pas, sinon sexuellement oû je deviens priapique et hyper tactile mais autrement c'est parano sur parano. Ou il.est vrai en écoutant de la zique.
Donc la decarbo fuck off. C'était ma dernière expérience avec ce prod.
Donc à la …
Quel intérêt d'être anonyme si tu commandes 2 ou 5 grammes ?
Et penses-tu que l'état français va ruiner un budget de 5 types de la bac pour ta conso ?
Alors si tu veux commander 5 kilos c'est un autre univers mais pour des petites conso, le seul risque sera d'avoir ta dope choppée par la douane.
Après tu peux te la jouer survivaliste. VPN, Monnero.
Les dealers aiment bien le monero. Plus illisible.
J'ai pêcho un.jour sur le DM des champignons mexicaind mais sous un format étonnant. Des fioles. Discutant avec un ricain terriblement amical, gentil, et passionné. Il me propose ses concentrés de fioles et du Lsd en cadeaux pour comparer.
Attendez... en bitcoins j'en ai eu pour 60 euros. 5 fioles de champignons, 4 bavards.
Je reçois tout. Avec un texte super sympathique. Le type une crème.
Il me dit : prend une demi fiole puis 1h après le reste.
Je l'écoute.
Fort trip champignons. Très fort. Et c'est du champignons soit un peu instable.
Côté buvard (je n'étais pas cultivé sur le truc). Je devais prendre 1/2 selon lui. Deboule une amie, on tape tout.
Mon dieu.
Moi je suis TDAH donc ce fut hyper actif. Ma copine n'en pouuvais plus de ma suractivité.
10h.de psyché.
C'est la seule fois en 20 ans qu'on à baiser ensemble.
J'ai eu disons quatre séquences avec la coke.
Les premières... descentes tragiques, horribles et lendemain mortifères. Montées énormes, descentes tellement difficiles. Grosses addictions.
Puis moins de descentes mais besoin de plus gros traits. Mais descentes tout de même. Mais gérables. Peu d'addiction.
Coke DM : trip de dingue, peu de coke soit petit trait, pas de descente. Meilleure période. J'ai eu des coke de folie.
Puis
Coke testée à 90%. Il me fallait de très gros traits. Aucune descente et parfois le cœur qui battait trop. Mais besoin de trait énorme.
Aujourd'hui la coke n'agit pas beaucoup.
Je n'ai jamais réussi à dormir sous coke... jamais.
Pour moi impossible de bouffer des somnifères.
Alors je tapais : 15 aller retour aux chiottes. Puis après 4h grosse banlette de ouf. 3 fois
Je vais te décevoir mais c'est un pansement sur une jambe de bois ton truc.
Arrêter la coke c'est virer tous les ami(e)s, soirées, contextes, dealer pendant 2 ans..plus ou moins.
Ensuite tu pourras même retapper mais ça sera toi le maître.
Faut cette étape s'abstiennent. Et 1 mois c'est nada.
J'en ai fait des soirées sous mdma...
Avec ta belle ou ton beau, tu peux démarrer sur un trip zique ou chacun passe un morceau. Vous discutez... laisser le temps defiler, et forcément les confidences. S'aimer c'est cool.
Ensuite si drop sur le lit va pour t'offrir mille heures de préliminaires, câlins etc.
Le top que j'ai eu était un mix psylo et mdma. Grosse dose de champignons, trop même, mais la mdma à créer un focus. Elle a cadrer.
Pour finir faut vraiment profiter des câlins, de la tendresse. Le cul viendra après et il peut rester très tendre.
J'ai bouffé de la mdma cristal à chaque fois testé vers les 85% pendant 1 ans. Tous les 15 jours. Entre 400 et 600mg. Donc beaucoup trop.
Je bouffais beaucoup d'oméga 3, puis je comblais les jours off de 3-mmc. Nul... sauf le côté cul.
Quand j'ai senti les premiers brainzap j'ai stoppé net.
Mes tripes étaient simples. Début de soirée pro, potes,.jusque 23h et je finissais chez moi jusque 6 ou 9h. Sinon des soirées seul de 21h à 7h.
Alors j'ai toujours eu ce mood magique, mais plus la montée fantastique. Mais tout de même cet effet d'être heureux, empathique et ça me suffisait.
Et etonnament aucune descente. Alors que j'ai connu ça avec le taz très souvent, mais la mdma cristal jamais. Va comprendre.
J'ai eu des matinées de folies. A taper toute la nuit, pochon ou sniff (horrible) et être au levé du soleil dans un état de grâce. Me promenant dans ma ville.
C'est une drogue assez spécifique en soi. Elle utilise ta chimie et n'apporte rien.
Plus tard j'ai essayé à nouveau... ri …
T'inquiète. On a tous craqué et ce qui construit un sevrage c'est le chemin, pas le but.
Donc des dérapages ou des rechutes tu vas t'en bouffer. Et ils ont tous quelque chose à t'apprendre.
Tu vas comprendre aussi comment tu fonctionnes.
Si je te parle de "moi". J'ai toujours eu des arrêts faciles, tellement faciles. Puis des rechutes mais plus faibles... des arrêts...des petites rechutes, puis un abandon.
Pour toutes les drogues et la dernière l'alcool.
Faut tout dire à ton addicto. Ton soucis reste comme celui de tout humain : le regard que l'on a sur soi et le regard de l'autre.
J'ai eu autant de fierté sans prétention à lui dire que j'avais arrêté puis j'avais honte chez moi quand j'ai repris. Pas grave. Je lui ai dit.
Mais ce qui va aussi changer c'est ton rapport à la dope. OK... tu te mets minable. Mais ton regard est différent, sera différent. Accepte de te mettre minable puis travaille ce rapport drogue-toi et avance.
Keep cool …
Faut dortir du fantasme où le gbl remplacera l'alcool. C'est plus délicat et pas les mêmes effets.
Pour ma part si le côté empathogène et aphro est énorme avec le gbl, l'effet dopaminique est décevant. Puis il suffit de doser un peu trop pour se retrouver aux portes du sommeil.
Fort possible qu'une longue expérience soit nécessaire. Mais moi j'aime le facile pas le dosage au mililitre. Donc j'ai stoppé net le délire.
Ensuite je rejoins les écrits ici. Faut vraiment éviter les drop minimales et tout de même trouver son spot. Patienter. Boire de l'eau et recommencer. J'étais à 1 8 à 1,9. Passant à 2 je flippais..c'est tellement délicat.
Je connais des potes gays qui mélangent tout n'importe comment et même avec de l'alcool avec du gbl, 3-mmc Délire Chemsex. Ils narrent leur formidables voyages. Que dire.
Cocktail explosif. Ils arrivent à des bombes hasardeuses sans j'aimais les reproduire. …