J'ai envie de te dire : c'est pas tel ou tel aliment qui fait grossir, c'est l'excès de calories. Manger de la junk food en soi c'est pas la fin du monde (je me fais des tacos "à la française" une fois par semaine) mais c'est vrai que ce sont des plats très, très caloriques. Du coup le nombre de calories nécessaires va monter très rapidement. Alors que tu peux te gaver de légumes matin, midi et soir sans forcément dépasser ce nombre puisqu'ils sont très faibles en calories. Pour ce qui est des produits, à la limite la caféine (café, thé vert, guarana, noix de cola ou caféine sous forme de poudre) peut t'aider dans le processus puisqu'elle permet d'accélérer le métabolisme corporel. Mais c'est juste un simple mini coup de pouce, ne compte pas trop dessus pour perdre du poids. L'alimentation c'est la clé, à combiner avec du sport. T'aimes le vélo ? Franchement c'est un moyen extraordinaire de se déplacer sur de courtes distances tout en se maintenant en forme, et je le recommanderais à n …

Honnêtement, non, techniquement il n'y a pas vraiment de différence. C'est plutôt une question de commodité et surtout de dosage. Tu peux aussi la consommer par voie nasale, mais ça a très peu d'intérêt, car d'une part, ça éclate le nez et d'autre part la substance a une très bonne biodisponibilité par voie orale. Et puis ça reste de la caféine ; il faut pas s'attendre à un quelconque "rush" de plaisir. Pour le nootropique, je pensais en fait au phénylpiracetam. J'ai trouvé que, mélangé à la caféine, les deux produits se potentialisaient mutuellement, sans pour autant occasionner de gêne au niveau cardiovasculaire. Mais ça reste une expérience personnelle.

Pour ma part, tout dépend du RC concerné et de la voie d'administration employée. Quelques exemples :

En ingestion (liquide) :
- une pipette de précision graduée pour mesurer la dose le plus efficacement possible (généralement pour consommer de la GBL)

En vaporisation :
- une pipe en verre classique le plus souvent, ou de l'aluminium quand la pipe est trop usagée (généralement pour les pyrovalérones et autres cathinones non-sérotoninergiques)

En insufflation :
- une sorte de tube en plastique à usage personnel et une carte pour écraser la poudre le plus finement possible (tous RC confondus)

En sublingual :
- un mini-vaporisateur contenant une solution diluée au propylène glycol (généralement pour l'étizolam)

L'amphétamine (speed) et le méthylphénidate (Ritalin) sont tous deux des psychostimulants avec des effets similaires, les deux agissant sur la dopamine et la noradrénaline, à la différence que le MPH va "inhiber" la recapture de ces neurotransmetteurs tandis que l'AMP va les "libérer" dans le cerveau (grosse modo). Pour ce qui est des préférences personnelles, chacun a les siennes. Je trouve personnellement l'amphétamine et ses dérivés plus euphoriques que le méthylphénidate et ses dérivés, qui ont également plus d'effets secondaires physiques, mais c'est un avis purement personnel. En espérant avoir pu t'apporter quelques éléments de réponse.

Sans vouloir jouer les oiseaux de mauvaise augure, à ma connaissance, la 4-FA est, à l'heure actuelle, quasiment introuvable sur le marché des RC. Du moins sur le clear net. Elle était encore disponible chez un certrain fournisseur espagnol il y a un peu moins d'un an jusqu'à ce que ce dernier épuise définitivement ses stocks. Un mec sur Reddit a d'ailleurs fait analyser la 4-FA en provenance de ce site auprès d'Energy Control et m'a communiqué les résultats en MP. Bilan des courses (approximatif) : 45 % de 4-FA, 40 % de 4-CEC (une cathinone qui coûte que dalle), 10 % inactif. Depuis, plus rien. Silence radio du côté de cette moeclule. Mon conseil : exerce la grande prudence à l'égard des sites qui te la proposent, peu importe le prix affiché.

Pour ce qui est de l'action sur la sérotonine, effectivement tout dépend de la personne. À titre personnel, les produits à action sérotoninergique comme la 4-FA, la MDMA, la MDAI ou encore le 6-APB ne m'ont jamais causé une quelconque "descente" …

Le produit que tu recherches n'existe pas. Il n'y a rien sur le marché, à l'heure actuelle, qui procure les mêmes effets que la cocaïne. Je fréquente assidûment le groupe r/researchchemicals sur Reddit et cette question a été posée plein de fois, et la plupart du temps la réponse donnée va dans le même sens que la mienne. Mais tout n'est pas perdu : sans te donner les noms précis des molécules concernées puisque la charte me l'interdit, sache qu'il existe des produits qui, selon les perceptions, attentes et préférences de chacun, peuvent, à certains égards, et dans une relative mesure, se rapprocher plus ou moins de la cocaïne dans leurs effets. Comme on te l'a indiqué plus haut, c'est vers ces catégories-là qu'il faudra te tourner, et notamment certaines pyrovalérones qui relèvent de la famille des cathinones. Bonne recherche. :cool:

[quote=guygeorges]surement du aux impuretés contenu dans le GBL.[/quote]
Simple question, mais qu'est-ce-qui te fait dire que le goût infâme du produit est attribuable aux impuretés qu'il contient ? Un produit "pur" aurait donc un goût agréable ? On parle quand même d'un solvant. L'éthanol pur, par exemple, est absolument infecte, et la GBL est connue pour son goût nauséabond.

[i]"GBL has been characterized as having an intense bitter taste with faint to pleasant odor"[/i] (source : OMS)

Conformément à ce postulat, et d'après mon expérience avec le produit, l'odeur est pratiquement inexistante et le goût est tout simplement insupportable. Or, l'auteur dit avoir senti une forte odeur de solvant, mais rien qui en ait le goût. Je me poserais des questions sur la légitimité du produit. Ta source est sûre ?

Ça existe, et ça porte un nom : le flunitrazolam.

Pour avoir testé les deux, je trouve effectivement le flunitrazolam légèrement plus puissant (250 microgrammes équivalent, d'après mon ressenti, à 500 microgrammes de clonazolam), mais avec les mêmes effets secondaires : effet hypnotique fortement prononcé, amnésie antérograde, incoordination motrice, demi-vie d'utilisation très longue, etc.

T'as déjà eu l'occasion de tester la 3-MMC ou c'est la première fois ?

Je te conseille de prendre un demi-comprimé la première fois histoire de t'assurer que tu réagis pas mal au produit (ça peut arriver).

Sous réserve que tes comprimés contiennent vraiment de la 3-MMC, la voie orale est réputée tout à fait fonctionnelle, et 100 mg c'est plutôt une dose moyenne, voire légère, donc a priori tu risques pas de partir dans tous les sens. Par contre si t'as pas d'effet dans l'heure qui vient, attend encore avant de reprendre éventuellement un autre comprimé. Ça serait con de faire un bad la première fois si les deux se mettent à monter en même temps :)

Je plussoie TheRealSlimShady sur la DOC.

À 60 euros le gramme, soit 500 doses "standard" de 2 mg, on va difficilement trouver mieux.

Sinon je pense aussi au désoxypipadrol, actif à partir de quelques milligrammes, à 85 euros le gramme.

Ou encore l'a-PHP, pour une vingtaine d'euros.

Tes benzos, c'est en comprimés ou en poudre accessoirement ? Si tu en as en poudre, je te conseille fortement de préparer une solution volumétrique adaptée à tes besoins. Tu pourras doser les benzos les plus puissantes avec beaucoup plus de précision qu'avec des comprimés jaunes, bleus ou blancs qui sont difficilement sécables et où il risque d'y avoir des 'hot spots' (endroits plus concentrés en principe actif que d'autres). C'est très facile à faire avec du propylène glycol, ça se conserve longtemps et ça te fera énormément économiser en benzos sur le long terme.

J'ai envie de te répondre : toutes et aucune à la fois. Tout dépend de la dose, de la tolérance et du métabolisme de chacun. J'ai vu des types sur Reddit s'envoyer plusieurs milligrammes de clonazolam pour ne ressentir qu'un "simple apaisement", alors que d'autres s'effondrent immédiatement de sommeil avec 1 mg d'étizolam. Comme la majorité des benzodiazépines qu'on trouve en ligne sont plutôt du genre ultra-puissantes (actif à des doses inférieures au milligramme), effectivement à part l'étizolam il te reste pas grand chose, mis à part peut-être le pyrazolam si tu as une source. J'ai jamais testé personnellement, mais c'est réputé beaucoup moins fort et plutôt facile à gérer par rapport aux mastodontes que sont le flunitrazolam ou le flualprazolam.

@ Chêne

Non, j'ai particulièrement ressenti de tels symptômes avec la 4-FEA, mais pas non plus avec la 4-FA. Pourtant j'ai lu des choses très préoccupantes par rapport à ces fameux maux de tête. Je pense pas que ce soit la vasonstriction. L'effet vasoconstricteur chez moi se limite vraiment aux mains et aux pieds, alors que là c'était le corps entier ! D'ailleurs je l'ai pas précisé dans le rapport, mais quelques heures après je crevais de chaud, comme quoi... J'ai déjà eu un effet tout à fait similaire sous 6-APB, molécule également connue pour perturber la régulation de la température. Puis tout est revenu à la normale. Pas de descente le lendemain, juste un peu de fatigue comme après n'importe quelle soirée.

Complètement d'accord avec Nemesia.

Si après 500 mg de 3-FPM tu n'as rien vraiment senti, c'est que :

- soit tu as développé une trop grande tolérance aux stimulants
- soit tu fais partie de ceux qui ne réagissent pas forcément au produit

Pour avoir testé moi-même à 150 mg par voie orale (avec une tolérance aux stimulant, à préciser), je trouve effectivement que le potentiel récréatif est extrêmement limité. Pas vraiment de montée, pas vraiment de descente.

Qu'est-ce-que tu recherchais exactement avec ce produit ?

[quote=PSYCHOCRACK]gbl et ghb.[/quote]
C'est drôle, mais c'est exactement la même pour moi avec la GBL !

Autant une dose de 1,5 ou 1,8 ml sirotée progressivement va pas me faire grand chose - même si l'effet est pas inexistant pour autant - autant la même dose avalée d'une seule traite va me procurer un effet particulièrement euphorique et une grosse stimulation ! Comme quoi... :thinking: