Oui il paraît que la tolérance aux benzo monte très vite et qu'une fois dépendant, il est extrêmement difficile d'arrêter car les symptômes de manque sont vraiment pénibles et durent longtemps, il faut donc baisser très très lentement et par toute petite quantité pour ne pas vivre l'enfer (après bien sûr chacun est différent).
Je trouve fou que de nombreux médecins prescrivent aussi facilement ces molécules sans informer de ce danger...

Mais c'est vrai qu'on peut être tenté car c'est bien pratique, plus besoin de tourner des heures dans son lit ou de vivre sans fin des tensions trop importantes.

Le soucis est que ça ne fait que masquer les angoisses en endormant la cervelle et que si on arrête on se retrouve parfois avec un rebond en encore pire...

J'utilise donc les benzo pour ma part lors de descentes difficiles, de tensions et de problèmes de sommeil mais essaye de rester ponctuel (j'évite d'en prendre trop de jours de suite) pour que mon esprit trouve d'autres solutions à mes d …

Ils ne font pas de quantification pour la mescaline, ça veut dire que le labo détecte bien de la mescaline, mais tu ne sais pas s'il y en a 10% et des coupes inactives ou indétectables, 70% ou 100%.

Comme tu n'as pas d'élément sur la puissance, mieux vaut commencer doucement pour l'évaluer. Mais tu sauras que si tu as un effet psychoactif, c'est bien lié à la présence de mescaline !

Je dirai qu'il y a certains produits où le set and setting joue aussi particulièrement, comme les hallucinogènes.

Mais il n'empêche que même pour l'alcool (dont on connaît tellement les facettes qu'on a l'impression que l'effet est toujours le même), l'état émotionnel, l'ambiance mais aussi les représentations qu'on a du produit, les représentations de son groupe social, de la société, etc vont aussi jouer sur ce qu'on ressent : parfois pas grand chose, parfois on est tout de suite ivre, parfois ça endort, parfois ça excite, parfois on est joyeux, parfois triste, parfois angoissé, etc.

J'ai lu quelque part que l'alcool est dépresseur donc devrait endormir, sauf que comme il endort aussi "nos défenses" (l'énergie qu'on met à inhiber pleins de trucs), on peut avoir parfois paradoxalement pleins de gaité et d'énergie car ça circule mieux dans la cervelle.

Je pense sinon que notre cerveau n'est jamais le même car il se transforme tout au long de ce qu'on vit, on ne retrouve donc jamais …

Bonsoir,
Prendre un downer en fin de session de stimulant est assez courant, c'est d'ailleurs ce que je vais faire ce soir pour ne pas tourner en rond dans mon lit toute la nuit !

Attention par contre si tu n'es pas habitué, le Diazepam a une demi vie longue (entre 32 et 47h) donc tu risques d'être dans le pâté demain.

Je préfère pour ma part les benzo à demi vie courte comme le Seresta ou bien un somnifère classique pour dormir (Imovane ou Stilnox).

Bonne soirée,

Merci je vais regarder, ça sera mieux que mon truc artisanal.

Merci pour ces précisions !

C'est juste que j'ai flingué 2.5g en 1 après midi la dernière fois sans tolérance (crack à 88% base de pureté, testé en labo...), du coup je pense que j'en ai gaspillé beaucoup.

A voir si je peux faire durer plus longtemps le produit en le cramant moins directement à la flamme (d'autant que ça balance toute l'huile dans le tube, qu'il faut gratter pour récupérer la poudre et refumer, etc).

J'ai malgré tout réussi à atteindre des états de plaisir complètement inouïs que je n'avais jamais eu lors de toutes mes précédentes sessions en enchaînant plusieurs bouffées à la suite en fin de journée (plaisir tellement intense que j'en ai été obsédé toute la semaine : dès que je fermais les yeux, je voyais la fumée passer dans le tube et m'imaginais ce plaisir, j'y pensais tout le temps, etc).

Comme quoi, même quand on croit qu'on sature et que ça ne fait plus rien, on peut parfois atteindre des high très hauts si on augmente la dose !

Je me dis cependant que c'est tellement intense qu'il fau …

Bonsoir,
De mon côté je charge le tube en le tenant un peu vers le haut puis je bouche avec mon doigt et mets le tube droit (pour pas que ça tombe), puis j'allume et aspire (donc j'aspire dès que je brûle le caillou) puis je baisse le tube vers le bas pour pas que l'huile coule trop au delà du filtre inox.

J'éloigne et je rapproche la flamme pour éviter que ça chauffe trop tout en essayant d'avoir de la fumée en continue.

Je ne sais pas si c'est la meilleure technique car j'expérimente la pipe droite depuis peu.

Par contre, j'ai entendu que garder la fumée ne changeait pas l'effet et était mauvais car le crack recristallise dans les poumons, qu'en pensez-vous ?

Si on veut d'abord faire fondre le caillou dans le bouchon, on tient la pipe vers le haut ?

La gerbe pendant plusieurs jours, je suis d'accord que c'est de la surdose puisque c'est à chaque fois que j'essaye de manger quelque chose.
Ca me faisait pareil lorsque je prenais de trop grosses doses de pavot. Dans ce cas, je ne ressentais aucun plaisir, j'étais juste malade à gerber sans cesse (idem en bouffant de trop grosses boulettes d'opium).

J'ai des cames fortes que je prends sans tolérance donc évidemment, taper 50 mg le 1er jour puis 100 mg le second, c'est trop pour moi.

Faut juste que je me fasse des tracettes de 10 mg, que j'attende bien entre chaque prise, que je me limite à 30-50mg sur ma soirée et que j'en prenne pas plusieurs jours de suite (d'autant que j'en prends après mes sessions crack !).

Il existe des tables d'équivalence entre pas mal d'opioïdes et la morphine ce qui permet de les comparer entre eux, j'ai donc essayé de faire l'exercice avec de l'héroïne.
Ca me confirme que prendre 100mg sans tolérance de cette came là ne peut que me rendre malade (cela re …

Merci pour le conseil.

Si je n'ai pas de filtre toupie, un filtre a café fait-il l'affaire ?

Bonsoir,
Après une grosse session crack dimanche dernier, je me suis aussi trouvé dans un craving comme je n'en ai jamais vécu.

Ce n'est pas un manque physique comme avec de la came avec des symptômes corporels, de l'angoisse, etc, c'est juste que j'y pense tout le temps.
Si je ferme les yeux, je vois la fumée qui passe à travers la pipe et je repense sans cesse à ces orgasmes si puissants avec nostalgie et envie, j'en rêve aussi la nuit.

Tout cela est cependant moins fort jour après jour et je ne rachète pas car je sais qu'en prendre trop régulièrement ne va pas être gérable.
Comme je commande sur le DW, de toute façon, je ne peux pas en avoir de manière immédiate, ce qui aide.

Par ailleurs, j'accepte car j'ai déjà planifié ma nouvelle prise, dans quelques semaines.

Je bosse la journée donc ça occupe mon esprit, ensuite sport le soir puis benzo la nuit pour bien dormir.

Bon courage. …

Salut,
Merci pour ce tuto hyper bien fait, je vais tester de mon côté et laisse tomber l'extraction à l'eau. Comme cela n'a pas d'effet sur l'acétone qui s'évapore tout seul, autant ne pas s'ajouter de travail.

A voir si l'analyse avant après montre quelque chose ou si avec les 10 % d'incertitude on ne verra pas de différence (d'autant que je pense pouvoir toucher du speed de qualité). Le lavage sera de toute façon intéressant pour éliminer ces fichus solvants !

Bonne soirée,

Bon, je viens de me rendre compte que mes filtres en inox (pipe droite) sont pleins de crack et produisent encore beaucoup de fumée (dire que j'en ai jeté des tonnes, pensant qu'après une session, une fois les cailloux dissous, il n'y avait plus rien dans le filtre !). Donc en fait 1g de m'a pas fait 3h mais toute la journée...

Je m'inquiète par contre pour mes poumons à cramer ces filtres qui deviennent tout noir et d'aspirer la fumée qui est quand même très chaude.

Les filtres en inox Turpan produisent t-ils des fumées toxiques lorsque qu'ils sont cramés à la flamme ?

Comment les brûlez-vous pour ne pas avoir une fumée trop chaude, mieux vaut-il plusieurs petites bouffées qu'une grosse ?

Merci

Pour continuer la comparaison avec la douleur, de nos jours, on essaye de la couvrir complètement : on attend pas que le malade souffre pour intervenir, on organise donc les prises en amont de la fin de l'effet du médicament précédent. Bien sûr, parfois, on n'y arrive pas totalement, mais c'est l'objectif.

Par ailleurs, on ne considère plus la douleur comme un phénomène objectif qui serait identique pour chaque individu, la souffrance est vécue différemment par chacun et le traitement doit donc être adapté selon le ressenti de chaque personne.

Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis @cependant. Je ne suis pas addictologue mais la comparaison avec la prise en charge de la douleur me paraît vraiment pertinente. Traitement de fond en LP (notamment pour la nuit afin de ne pas se réveiller en chien), LI pour gérer les pics et ne pas souffrir, baisse TRES progressive selon le caractère addictif de la molécule (si trop difficile on peut même décider de baisser de 5% tous les 2 mois …

Bonjour,
Un sevrage aux opiacés ne serait il pas plus simple avec un TSO à demi vie longue comme la méthadone ou à demi vie plus courte comme le Subutex ?

A voir avec un CSAPA ou un addictologue. Les médecins généralistes ne sont souvent pas suffisamment compétents pour gérer un sevrage et pour comprendre les personnes en situation d'addiction.

Attention par contre, il paraît que le sevrage à la méthadone est extrêmement difficile, même plus que l'héroïne, donc il est très long et très progressif.
Certaines personnes décident donc de ne pas se sevrer de la méthadone et la consomment toute leur vie en continu (d'ailleurs, y a t-il des études d'impact sur la prise de méthadone toute sa vie ? Effets sur les organes, la durée de vie, l'état cognitif et affectif ?). A prendre en compte pour ta décision.

Si tu veux plutôt faire un sevrage au Tramadol, ne serait-ce pas mieux de diminuer beaucoup plus progressivement les doses (genre ne pas baisser de 50 mais de d'un demi xprim à chaque foi …