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Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 13 février 2021 à  19:11

On peut mettre 14g/Litres à 20°C, je l’ai déjà dit. Avec 300ml on aura dedans un maximum de 4.66g.
Pour maintenir un niveau de sécurité suffisant, on doit se contenter de 200ml d’eau.

Le paracetamol étant moins soluble dans l’eau froide, on peut monter à 400ml, mais si la préparation est ratée, c’est dangereux.

Tu peux aussi faire tes recherches toi-même. Ce que je fais pour toi, est accessible à n’importe qui avec Google scholar et Google standard. Dans une simple recherche : solubility+paracetamol
Tu peux y adjoindre « température » pour connaitre la solubilité à 5°C, par exemple. Ça n’est pas que je ne veux pas te répondre, mais que c’est un peu lassant si tu peux trouver la réponse seul en 10mn. Quand il me faut le même temps, alors que cette réponse n’est pas pour moi. Enfin.

Quand tu sais que tu as une dose totale de N grammes dans ta solution, et que tu sais que l’eau sature à 14g/L, (11g/L vers 5°C, mais c’est vraiment à vérifier), tu peux déterminer que c’est plus avantageux de saturer ton eau de paracetamol, qui restera en poudre au fond, et d’y mettre un maximum d’opium, puis séparer en doses faibles pour préserver ton foie. Donc prendre un petit paquet de 100ml, une à deux fois par jours. La limite de cette idée est la solubilité de l’opium dans l’eau. Aucune idée.
Sinon tu divises tes 14g par un nombre et si tu es en dessous de 3, tu divises l’eau par ce même nombre et dedans, il y a cette quantité, voir moins.

Pour en apprendre plus sur l’opium, je crois avoir partagé des liens en haut, ou ailleurs sur le site avec la codéine peut-être.


Donc à ta question il m’est difficile de répondre sans connaître avant la quantité que tu veux mettre. Exemple :
Avec 7 tonnes, tu peux en retirer 99.99% facile. Avec 12mg, 0.000...1%
Restons cohérents, si tu fais ça avec plus de 14g, c’est que tu peux en retirer à coup sûr. Sinon c’est à calculer en pesant.

Tu pèses le poids du filtre, le poids de tes comprimés. Tout. Puis tu pèses à la fin. Si ton filtre pèse maintenant 5g de plus, c’est probablement ce que tu as enlevé de paracetamol. Si tu avec 6g de comprimés, et que tu en retrouves plus de 1g à la fin, (sans compter l’eau), c’est que tu as fait de la merde à un moment. Bref, c’est ce je fais en haut, et tu peux l’adapter à toi.

Reviens me donner tes chiffres, on peut en discuter. …

Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 06 février 2021 à  15:49

Non c'est jouable en retirant la caféine au préalable.
Même sans le sel en fait. C'est juste pas très efficace.

Pour ton foie j'ai l’explication me semble-t-il.
D'une part, il n'est pas censé ressentir la douleur, donc si tu as mal, c'est ailleurs.
L'estomac, lui le peut. Souvent les indigestions qui suivent un repas trop gras s'accompagnent de douleurs dues à la vésicule biliaire et au pancréas qui offrent un effort les surmenant.
Malgré tout, parlons de ton foie. Tu ingères un certaine quantité de caféine, d'opium, et plus particulièrement de paracétamol. Ton foie est une usine, un alambic, un centre de traitement des déchets toxiques et des produits indigestes. Entre autres choses.
Quand un machin lui arrive, il l'identifie puis le découpe/l'assemble en/avec d'autres machins qui vont subir le même traitement jusqu'à ce que ton foie ait réussi à en faire des bidules utiles ou neutres.

Ce n'est pas facile à expliquer, mais à faire c'est plus difficile encore. Sachant que tu n'as pas été défoncé, ni excité... on peut faire l'hypothèse que c'était un peu trop de paracétamol. Donc ton foie a été maltraité, et ton corps a essayé de lutter en faisant taffer les organes de la digestion.
Tu me dirais que tu avais des nausées (même légères) je ne serais pas surpris. Quelques remontées acides...

Bref, si t'as suivi mes conseils, sur le dosage à ne pas dépasser pour que "au pire" il ne t'arrive rien, tu n'auras donc aucunes séquelles. cad la solubilité va définir combien tu peux mettre de gélules dans combien d'eau.

14g/L =1/4L donc environ 10 gélules pour 200ml si on veut être sûr. 250ml ça passe. …

Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 06 février 2021 à  12:54

Attends, je me suis trompé. J’étais crevé hier avec les 4 formations que je suis en même temps. Bon je reprends.

La solubilité du paracetamol est de 13([+ou-]1)g/L (d’eau) à 20°C
Donc si tu fais ta mixture, tu dois avoir 1/7 litre grand maximum. Pour être certain de ne pas te blesser.
Mais, ce chiffre ne tient pas compte de la température ni des adjuvants dans l’eau.
Il faut ajouter un produit qui abaisse le point de fusion et qui soit au pire consommable, au mieux extractible.

Donc d’après wiki :
Le paracetamol est « soluble dans 70 volumes d'eau, 7 volumes d'alcool à 95 %, 13 volumes d'acétone, 40 volumes de glycérol ou 50 volumes de chloroforme. Cependant, il est insoluble dans l'éther et le benzène. Le paracétamol est stable dans l'eau, mais sa stabilité diminue en milieu acide ou basique. Les mélanges de paracétamol sont stables dans des conditions humides. Cependant, les comprimés qui contiennent de la codéine ou du stéarate de magnésium se dégradent en diacétyl-p-aminophénol dans une atmosphère humide. »

Bon, hier j’ai fait de mémoire. Connerie. Une dose de paracetamol est soluble dans 70 d’eau, et dans 7 d’éthanol. Il est donc 10x plus miscible dans l’éthanol. C’est donc complètement con de prendre de l’éthanol puisque l’opium y est aussi soluble. Exit la Vodka.
J’ai encore confondu avec l’éther. Pourtant j’en ai parlé au tout début, c’est avec de l’éther qu’on sépare l’opium du paracetamol. Difficile d’en trouver.

Histoire d’être rigoureux, il faut connaître plus précisément le degré de solubilité du paracetamol dans l’eau en fonction de la température.
https://sci-hub.se/https://pubs.acs.org/doi/10.1021/je990124v

On y voit qu’à 20°C c’est 12.78g/L
À 0°C c’est 7.21g/L
On remarque aussi sur la figure 3 que la croissance n’est pas linéaire. Donc baisser la température ne va pas baisser proportionnellement la solubilité.
On peut espérer qu’à -5°C le taux sera de 5g/L.

Revenons en la méthode de l’eau froide.
Il faut un produit comestible, qui abaisse le point de fusion de l’eau pour réduire la proportion de paracetamol.
J’ai parlé de sel :
L’eau saturée en sel (30% de sel) fusionne à -21.6°C. C’est par contre immonde.
Je pense qu’avec 12% voir 15% de sel, l’eau va fusionner vers -10°C.
http://www.chimix.com/an10/cap10/capesa11.html

Je pourrais chercher d’autres produits qui abaisseraient le point de fusion mais ça fait 2h que je regarde des études et ça me gonfle.

Donc pour un congélateur à -8 (-6 c’est mieux) on peut mettre 300ml d’eau et 32g voir 45g de sel. Faire un essai des deux voir si ça congèle. Si c’est liquide, ajouter la poudre (séparée de la caféine) et bien mélanger avant de laisser autant de temps qu’on veut, ça ne va pas geler !

Le problème c’est qu’en évaporant on va concentrer le sel et en déshydratant... on aura du cristal de sel à l’opium. (Ne jamais fumer de sel.)
Et dans tous les cas ce sera pas bon.

Avec ma méthode on retire 30% de paracetamol en plus, au minimum. Mais c’est pas bon. …

Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 05 février 2021 à  18:43

Je m'y attendais. N'importe quel alcool à 40° ou plus c'est bon.
Me semble-t-il, malgré le gout c'est plus fort en injestion, possiblement en "cataplasme" dans la bouche. Les cellules bucales sont très poreuse.

Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 05 février 2021 à  14:47

Le point de fusion, c’est le changement d’état. Liquide/solide dans ce cas.

Si tu mets de l’alcool à 40° (donc 40% alcool et 60% eau [en gros]) et que tu bois ça direct, avec l’opium c’est possiblement violent. Donc l’évaporation va d’abord retirer l’alcool, puis l’eau. Le bain marie va éviter que le liquide ne boue, quand celui autour le fera. Donc tu prend un bol, tu mets ton liquide dedans et tu mets ton bol à bouillir.

De mon point de vue, si tu peux virer un machin susceptible de bousiller ton foie, pourquoi t’en priver ? Et si tu compte épargner ton cœur, retirer la caféine même partiellement est à mon sens une nécessité.
Entre rechercher un état particulier et vouloir se détruire il y a une marge. Elle s’effrite quand on cherche cet état à n’importe quel prix, même celui de notre corps. Qui plus est pour une question d’effort à fournir.

Enfin l’alcool ne pas pas retirer tout le paracetamol non plus, mais 36% de plus au moins que l’autre méthode.
L’alcool absorbe 10x moins de paracetamol que l’eau, et peut absorber l’opium. Chose pratique il s’évapore aussi plus vite que l’eau.

Pour résumer :
La méthode de l’eau froide est inefficace car optimisable avec peu, et surtout dangereuse en cas d’inadvertance ou d’utilisation fréquente.

Celle que je te propose ici sera plus compliquée, quoique pas tant que ça.
Plus sûre, et surtout moins dangereuse en cas d’inadvertance.
Je m’explique.
Tu peux retirer une bonne partie de la caféine avant, puis séparer avec de la vodka qui ne gèle pas l’opium et le paracetamol et cela sans avoir à tenir compte du gèle qui bousillerait ton process.
Quoiqu’il arrive tu aura un meilleur taux d’opium vis à vis du paracetamol : plus d’opium et moins de paracetamol que dans l’autre version.

Le bémol, c’est que pour éviter le coma éthylique (en vrai ça doit passer 300ml de vodka) il va te falloir faire s’évaporer l’éthanol avec un bain marie. T’arrêter quand il n’y en plus, ce que tu devrais voir au goût ! Ou poursuivre pour obtenir une pâte (teintée du goût de ta vodka...) …

Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 04 février 2021 à  21:13

Avec le tube, c'est plus simple de le garder droit, de le faire vibrer, puis de le faire tourner sur lui-même en l’inclinant. Faire tomber quelques grains, et recommencer.

Utiliser l'eau, est assez peu efficace, comme je l'ai dit.
Je te conseille d'utiliser un filtre à café quand même, et de faire s'évaporer au bain marie.
D'ailleurs, tu peux saler ton eau pour réduire son point de fusion, et de commencer avec de l'eau bien froide.

D'ailleurs tu peux aussi utiliser de la vodka, ou un alcool consommable pour abaisser le point de fusion.
Plus l'eau est froide et moins le paracétamol sera absorbé. Tu peux donc carrément remplacer l'eau par la vodka, et ça empêchera encore plus le paracétamol d'y entrer. Par contre l'évaporation sera odorante, longue et probablement inévitable.

Le blog de Kinkazma » Méthode 2020 : La séparation de l’opium de la Lamaline » 04 février 2021 à  15:56

C’est une bonne question, pour la plupart des premiers jets, j’ai considéré le produit de trop mauvaise qualité et que j’ai simplement jeté. *

L’un des jets ainsi que le meilleur ont été mis en flacon de verre brin comme trace de l’expérience, l’un pour comparer et montrer mon progrès.

*pour le jeter j’ai quand même voulu le rendre irrécupérable. Donc je l’ai mis aux toilettes. Dilué dans les égouts ça me paraissait plus sage que dans une poubelle dans un gros flacon marqué opium.

Le blog de Kinkazma » Codéine à volonté !!! » 08 avril 2020 à  08:46

Les photos ça m’agace pour l’instant. Si je m’ennuie trop je le ferais peut-être.
En attendant je vais me forcer à être clair et concis.

Il faut avoir trois récipients cylindriques. Par exemple : trois verres.

Dans le premier on met un maximum de poudre des gélules de CoDoliprane. Ces Gélules se trouvent en pharmacie sur demande lorsqu’on donne son ordonnance.
Puis on secoue avec de petits mouvements latéraux. Gauche/droite.
Après quelques temps, on peut remarquer que des grains plus gros se trouvent sur le dessus.
Avec une cuillère on les prends en essayant d’éviter de prendre la poudre fine pour les mettre dans le second récipient. Tout grain oublié ne sera pas extrait.

Dans le second récipient se trouve de la codéine avec des traces de paracetamol. On secoue encore. Il faut que le paracetamol tombe au fond, donc ce doit être long.
Puis on incline comme pour faire couler de l’eau le plus lentement possible, sauf que ce sont des grains, et qu’ils ne tombent pas. C’est la qu’on fait tourner le récipient sur lui-même (enfin on le fait rouler entre nos doits pour être plus explicite sur la façon de tourner).
La poudre va commencer à couler vers le bord.
Et tomber en dehors très lentement. Bien sûr c’est dans le troisième récipient qu’elle tombe.
Quand la poudre devient trop fine et qu’on pense qu’il y a plus de paracetamol que de codéine et que ça ne vaut plus le coup de continuer on arrête.

C’est tout. On peut faire ce qu’on veut de la codéine. Et du paracetamol.
Mais avec toutes ces gélules il serait logique de tout remettre dedans. Et de mettre à part les gélules avec la codéine.

On peut aussi mélanger avec du paracetamol avec une répartition qui nous plait. Codo 400:130. Par exemple.

J’espère avoir été plus clair. Dans le premier post je propose plusieurs méthodes en même temps. Enfin plusieurs façons de réaliser les étapes.

Si vous ne me croyez pas, prenez si sucre et de la farine. Mélangez bien, puis secouez de droite à gauche. Après un moment les grains de sucres remontent.

C’est grâce à un mouvement de convection (pour comprendre ce phénomène https://sciencetonnante.wordpress.com/2017/08/25/la-science-des-chateaux-de-sable/) que remontent les grains.
Et ils restent en surface parce que les plus petits se glissent en dessous et les empêchent de redescendre. En gros.
Pratique quand on sait que les cristaux de codéine sont plus gros que la poudre de paracetamol.

Attention au lavage à l’eau, le paracetamol fait des cristaux lui aussi en séchant. …

Le blog de Kinkazma » Codéine à volonté !!! » 08 avril 2020 à  00:06

Le paracetamol ne ressemble pas à des cristaux transparents tandis que la codéine si. Après avoir lavé la codéine et retiré la poudre de paracetamol qui l’entoure on peut la voir. Mais la quantité de poudre de paracetamol qui entoure les cristaux est si petite qu’on peut la négliger pour la prise.
Moins de 1% si on se débrouille bien.

Pour les prescriptions on se dérouille.
Je ne suis pas expert dans le domaine, on m’en prescrit quand j’en demande, jamais eu besoin mentir :
Pour des maux de têtes. Je n’en prend pas pour me droguer. Ces posts sont pour m’occuper parce que je m’ennuie énormément. Donc les techniques pour se faire prescrire ce qu’on veut...
Comme ça je dirais :
Maux de têtes, en précisant que le Doliprane ne fait pas assez d’effet. Et que la douleur est homogène. Sinon ça ressemble à une migraine et on reçoit des Triptans.
Enfin j’ai déjà eu des triptans pour une migraine.


Pour avoir des gélules plutôt que des comprimés, c’est enfantin : il suffit de demander à la pharmacie.
« Au fait, je préfère les gélules, je peux les avaler même sans avoir d’eau sur moi. Pratique quand on a mal à la tête. »

Ce qui est vrai dans mon cas. J’aime effectivement les gélules plus que les comprimés.
Voilà. …

Le blog de Kinkazma » Codéine à volonté !!! » 07 avril 2020 à  06:36

L’avantage c’est qu’il n’y a pas de temps de séchage, de filtrage ni de manipulation délicate. Pas besoin de matériel. Et que la solubilité du paracetamol dans l’eau est ridicule.
Il faut donc beaucoup d’eau.

Ma méthode fonctionne à sec avec 3 verres et une cuillère.
Elle permet de conserver le paracetamol et aussi la codéine.
Elle est simple comme bonjour.
Et si on se trompe à un moment on peut recommencer sans problème.

Elle se fait en moins de 10 minutes. Fabrication des gélules de codéine comprise.

Entre autre.

Le blog de Kinkazma » La séparation de l’opium de la Lamaline » 04 avril 2020 à  16:39

[quote=Cazale]D'accord...Merci pour toutes ces précisions mathématiques. Ça dû être quelque chose de faire ça quand même, un défi comme tu disais et que tu as réussi ! Chapeau ! :)[/quote]
Merci ! Pour les maths c’est du gâteau. C’est pas vraiment difficile de faire ça. Le plus difficile c’est pour la partie disons non accessible au tout venant.
Elle requiert des produits peu accessible, mais améliore la qualité de l’opium.
Bref la difficulté était d’établir les proportions de chacun et les divers produits en fonction des divers solubilité respectives des 6 ou 7 molécules. En tenant compte des produits toxique ou non, des réactions chimiques entre eux... bla-bla-bla.
C’est surtout théorique cette partie. Elle fonctionne parfaitement, mais je n’ai pas accès à de tels produits.

Le blog de Kinkazma » La séparation de l’opium de la Lamaline » 04 avril 2020 à  16:34

Je ne connais pas, on aurait un problème, toutes les poudres auraient la même taille.

Inutile de tergiverser il faut prendre en compte la seconde partie de mon article. (J’en parle mais on ne le voit pas, mais j’attends confirmation du forum pour partager ça.)

J’utilise un produit commun pour séparer les produits mais il n’est pas idéal et la caféine est soluble dedans. Heureusement j’ai aussi établis le protocol pour éviter d’avoir ce problème. Mais nouveau problème !
Le problème c’est que ce produit est un mélange de trois autres particulièrement difficile à se procurer.
Méthanol/éther/chloroforme.

Bref c’est pas gagné avec un comprimé désolé.
Cela dit avec ce mélange, on aurait de l’opium pratiquement pur avec presque aucune perte de molécules...

Le blog de Kinkazma » La séparation de l’opium de la Lamaline » 04 avril 2020 à  15:39

C’est assez complexe. Quelques pirouettes mathématiques.

Bon voici un extrait d’un article que je prépare :

Avant cela il faut savoir qu’une gélule de Lamaline pèse 340mg.
300mg de paracetamol ; 30mg de caféine ; 10mg de poudre d’opium.

« - Pesez le paracetamol :
Il y a 88.2% de paracetamol.
Soit X*300mg
Pour une gélule, il y aurait 300mg de paracetamol à la fin en théorie.

- Pesez l’opium :
Il y a 2.94% d’opium.
Soit X*10mg
Pour une gélule, il y a donc 10mg d’opium à la fin... en théorie.

- Pesez la caféine :
Il y a 8.82% de caféine.
Soit X*30mg
Pour une gélule, il y a donc 30mg de caféine à la fin. En théorie.

En additionnant les poids respectifs vous devez obtenir le poids du début. Pas de panique il va en manquer. 5% maximum.

Le point particulièrement important à surveiller, est que le pourcentage d’opium à la fin ne dépasse pas 3%. (2.94% dans l’idéal... voir moins.)

Si vous avez du mal avec les mathématiques, c’est simple :
- Prenez le poids d’opium final, divisez le par le nombre de gélules, et divisez par 3,4.
Ou :
- Prenez le poids final, divisez par le poids initial (théorique), et divisez par le 3.4 puis multipliez par 10.

C’est la même chose, mais vous pouvez choisir la méthode qui vous plaît.

Pourquoi 3,4 ? (300+30+10=340 et pour les pour-cent on doit avoir 100, et 340/3.4=100) »

C’est comme cela que j’obtiens les proportions au début de ma citation.

En définitive plus la part de poudre considérée comme opium est grande comparée à la théorie, plus il est impur. Si on a précisément 2.94mg d’opium (pour une gélule) on a 100%. Si on a 2mg ça veut dire qu’on en a perdu, ou laissé dans les autres produits. 5mg et il reste du paracetamol, ou caféine.

Si on veut juste avoir la pureté en pourcentage, il faut faire :
(Qr la quantité réelle, et Qt la quantité théorique.)
(1/(Qr/Qt))*100
Ce qui se simplifie par :
100Qt/Qr

Exemple :
Si j’ai 40 gélules, j’ai donc 400mg d’opium théoriquement en fin d’expérience. Mais moi j’en ai 430mg.
(100*400)/430 = 93% …

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