1
Lamothe, La Boère, Mont-de-Marsan, retour Lamothe pour l'Espagne.
Ca a été vraiment chaud comme expérience.
Les abus étaient quasi quotidiens.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=DtmcVEHFZgk[/youtube]
Etre malade, c'est tjs "un peu" anxiogène voire dépressiogène, pour pas mal de monde.
C'est ptet pas le meilleur moment pour faire un gros sevrage tram.
Quels sont les arguments de ton médecin à propose du tram ?
Très bon récit.
Pertinent, agréable et documenté.
Petite plongée dans le passé.:)
[quote=KADA]Bonjour
Merci pour le tuto...
L'overdose à la codéine peut-elle être "neutralisée" en prenant un mélange de vinaigre et café après avoir fait vomir la personne ?[/quote]
Pourquoi poster de telles conneries ?
WOow, là, y'avait du client.
RIP Normand, tu vas nous manquer.
Salut mec,
Je trouve que cette fois, et une fois n'est pas coutume, je tiens à le préciser, tu t'es un poil lâché.
Forum ou blog, c'est tout de même un espace public, parcouru par des milliers de jeunes personnes.
En ce qui me concerne, je suis tellement blasé que ce n'est pas grave de me retrouver en présence d'un petit scénario exhib de plus, par qq qui semble tout autant kiffer ses pratiques que les exposer au regard et à l'oreille de l'autre. La jouissance recueillie et/ou fantasmée l'être, présente dans tout acte d'exposition, ce n'est pas rien.
Les multiples formes de jouissance que l'on peut extraire de mises en acte privées sont une chose. La jouissance que l'on peut tirer de l'instrumentalisation d'un spectateur inconnu, (qui peut s'avérer un peu fragile), en est une autre. Convoquer l'autre, l'assigner en position de témoin ? Témoin de quoi ?
Les distinguer ne ferait pas de mal.
Au regard des puissants effets désinhibiteurs de certaines molécules, trouer une gamine à fond de prods et consentement supposé sont-ils sincèrement articulables ?
C'est une question. …
Beau texte comme dab.
Super reportages, on sent le vécu et ça dépote.
Ah ouais tu tapes dur quand même.
Pour prendre de la distance, (ça marche pas pour tous), c’est de switcher avec un opiacés de ton choix. Par contre, il faut tu contrôle drastiquement ta conso. Il faut consommer juste quand on se sent pas bien. Faut essayer de l’utiliser comme un médicament. Pas rechercher les sommets du high ou l’énorme euphorie. Juste comme un bon calmant, tant pour la tête que pour le corps. Des petites doses à chaque fois. Après tu peux soit rester à des mini-doses parfaitement stabilisantes ou choisir de te sevrer des opi. Et y’a justement sur le marché des médicaments puissants, légaux, prescrits qui peuvent être choisis. Et y’a du choix. C’est pas comme y’a 30 piges.
Et tu peux y arriver en faisant le bon choix opi, pour ton protocole, dans un CSAPA et toutes autres structures délivrant des TSO.
Une fois que la C, progressivement, s’éloigne, tu as gagné la première grosse manche. Qu’elle n’envahisse plus ta mémoire, ton esprit comme pendant les premières semaines.
Après entretien ou sevrage.
Moi je choisirai l’entretien pendant plusieurs mois, te donner le temps de travailler cette conso, te refaire une santé physique...
Après faut voir et examiner le bien-fondé du sevrage.
Les seules indications rencontrées, sont le très fort désir du sujet de ne plus se vivre comme consommateur. Et y’en a. Y’a des mecs pour qui il est inconcevable de passe sa vie sous morphiniques. Avec l’étiquetage qui va avec, la catégorisation, les représentations socioprofessionnelles, parfois le jugement des proches par facile à accueillir ...
Avec eux, le sevrage fonctionne. Ils redeviennent clean, ce sont leurs mots.
Mais tous les autres, ont-il fait un choix satisfaisant ? …
C’est du top tuto ! Ca donne envie.
Cette reconnaissance tardive est enthousiasmante au vu du traitement antérieur et de la stigmatisation réservés aux UD.
1