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Le blog de Bootspoppers » Trois journées de chemsex » 02 décembre 2019 à  23:52

[quote=Bootspoppers][b]Acte trois : mg 400[/b]

[url=https://www.psychoactif.org/forum/image-reelle.php?code=1554/capture-cagoule-pour-pa.jpg]Image : [url]https://www.psychoactif.org/forum/uploads/images/1554/capture-cagoule-pour-pa.jpg[/url][/url]

Alors, il se mit lui-même un préservatif sur sa queue qui était assez tendue. Certes à son âge, sa queue n'était ni redoutable, ni énorme, ni très dure, mais la petite avait un sexe encore suffisamment étroit, de plus l'effet vasoconstricteur était important, et il arriverait finalement assez bien à la prendre, après l'avoir soigneusement caressée. Le préservatif pour eux deux, il ne le mettait pas d’habitude, mais là il en a besoin pour le saupoudrer de poudre, encore 100 mg, et sa peau à lui ne pouvait le toucher sous peine de débander aussitôt.

Elle était encore complètement pliée, les genoux plaqués sur son ventre, le [spoiler]cul tendu sur le gode de taille intermédiaire, la queue de son ami dans sa chatte qui commençait elle aussi à prendre le flash et à se comprimer sur son sexe à lui. Lui-même se sentait capable de durer assez longtemps, car elle ne bougeait pas. Chaque mouvement infinitésimal étant en effet pour elle une source de jouissance énorme, nul besoin de mouvements saccadés et rapides pour prendre son pied. Elle savait qu'elle était partie pour plusieurs heures d'orgasme, prolongé, continuel, incessant.

Et il la besognait tranquillement en l'embrassant.[/spoiler] Elle attendait de souffrir également, l'anesthésie du produit la gagnait partout, et bientôt elle pourrait supporter les pinces crocodiles à la fois sur les lèvres [spoiler]de sa chatte[/spoiler] et sur ses tétons, voire sur sa bouche, sa langue et son nez. A lui-même de prendre ces éléments de plaisir supplémentaire lorsqu'il serait sous produit à son tour, c'était prématuré pour ce qui le concernait. Ils étaient convenus de ne se frapper éventuellement, que lorsqu'ils seraient tous deux sous-produits afin de ne pas avoir trop de dissymétrie dans la relation. Aussi pour l'instant il se contentait de la caresser en l'embrassant et en lui manipulant les seins, amplifiant son orgasme qui lui parcourait l’ensemble du corps de l'extrémité des orteils à la pointe des cheveux.
Elle respirait lentement et profondément, comme essoufflée en montant un escalier. Il est vrai que le produit tire sur le cœur quand il est pris de la sorte. Elle transpirait à grosse gouttes, autre effet secondaire du produit. Le tapis en était déjà trempé.
Elle adorait le coup de rein subtil qu’il lui suffisait de se donner pour faire évoluer son orgasme à elle. Elle gérait elle-même son orgasme comme on surfe sur une vague, elle souriait car il lui semblait qu'elle en était maîtresse. Bizarre sentiment de contrôle et de plénitude.
Il se retire pour prendre du recul. Il lui remet un nouveau gode avec à nouveau 100 mg dans le [spoiler]vagin. "Putain, comme elle sue à grosses gouttes. Il faut qu'elle boive". Son vagin est anesthésié. Elle jouit du clitoris.[/spoiler] Il lui biberonne la bouteille d'eau , elle tête. Têter la bouteille la fais encore jouir. Elle n’arrête plus de jouir, elle jouit de partout.

Alors pendant plusieurs dizaines de minutes, soit elle bouge imperceptiblement, soit au contraire elle expulse [spoiler]les godes en alternance les faisant frotter l’un sur l’autre comme une pince qui lui serrerait les organes et stimulerait les chakras. Elle éjacule par le cul, un foutre transparent sort de son anus, c’est son propre foutre à elle. Légèrement salé, pas trop de goût, assez comme du sperme d’homme…[/spoiler]

Lui est patient, il attend, il la regarde, goûte ses éjaculats, la prend en photo, filme des vidéos. [b]Ces moments assez incroyables, on aime les revivre après en s’étonnant de ce qu’ils ont duré si longtemps, un orgasme de plus d’une heure, vous y croyiez, vous ?[/b] Elle a toujours ses baskets, et lui attend.

Il aime fortement que ses amantes lui offrent ce plaisir dégradant, qu'il croit très pervers, une sorte de domination à rebours où l'on ne sait plus très bien qui est le dominant ou le dominé, ce qui au fond pour des switches est la même chose. Il aime tellement cette ambiguïté de la relation sadomaso, où les rôles sont totalement équilibrés où il est impossible de déterminer le maître de l’esclave.

A ce moment-là, on attend qu’elle redescende un peu, car là elle est incapable de se concentrer. Il hésite évidemment sur sa façon [spoiler]d'éjaculer, et s’en entretient avec elle, soit il jouira dans ses fesses, soit dans sa chatte, toujours protégé par le préservatif, soit dans sa bouche. Ou encore, pas du tout, en attendant la fin de la nuit et qu'elle cherche sans succès à le faire éjaculer avec sa queue épuisée par la drogue et devenue complètement ridicule comme un clitoris, mais du coup stimulant de l'extérieur sa prostate.[/spoiler] C'est finalement ce qu'ils décident de faire : ne pas jouir comme un cis, mais uniquement passivement.. Il a en effet de trop peur de perdre son désir s’il éjacule au milieu de la nuit. C'était une expérience à tenter pour une autre fois, de savoir s'il serait capable de maintenir son désir après une éjaculation au milieu du "circuit".

[b]Acte quatre : mg 600[/b]

Enfin, une bonne heure après environ, (ils ont fini de noter les temps, on sent que l’attention se relâche...) c’est son tour à elle de préparer le godemiché pour lui. Il prit tout de suite la taille intermédiaire, 25 cm de long, avec 200 mg. Il est habitué aux produits et sait l'effet qu'ils font, et il aime la première introduction avec l'effet puissant du piston qui pénètre en lui en envoyant tout l'ensemble de son corps dans les étoiles, jamais il n’a ressenti cela autrement que sous produit. [b]Et il sait que l'effet est toujours amplifié lorsqu'ils sont deux et que l'amour ou l'amitié - ce qui pour lui est la même chose, le mec est limité - s'en mêle[/b]. Sa queue débanda instantanément, preuve de l'efficacité du produit.

Il compta péniblement :[spoiler] « Je suis donc obligé d'utiliser pour la prendre un godemiché par devant pour elle, et un godemiché pour moi et un autre pour elle par derrière, ce qui fait 3 godemichés au total. » Chacun tient délicatement un socle de godemichet pour l'agiter doucement dans les extrémités de l'autre, ils mettent d'ailleurs chacun une combinaison de natation, un monokini de femme, afin de maintenir en place les instruments et que[/spoiler] seules quelques petites caresses permettent de les faire bouger et transporter les ondes de plaisir dans l'ensemble de leur corps. Un jour, il utiliserait un seul gode de lesbienne, à double extrémité, qui leur permettra de gérer leur anus avec le même instrument, et seul un godemiché supplémentaire suffirait pour elle dans son vagin. Ils passent alors à la compète des pinces crocodiles. Ils s’en mettent partout sur le corps et commencent à se caresser, décuplant l'effet du plaisir que procurent et le produit et la souffrance transformée en jouissance sur l'ensemble de leurs corps.

[b]Acte 5 : mg 1200.[/b]

On redroppe analement, 200 mg pour lui, puis encore 100 mg, pour elle. Puis, comme elle veut un flash, il lui injecte dans le rectum 100 mg par une seringue de 1,2 ml. Flash.. A son tour aussi, injection anale, 200 mg, flash.

[b]Ils ne sentent plus leurs corps. Ils ont quitté la Terre.
[/b]
Il hésite à utiliser des aiguilles et à faire couler le sang, parce qu'avec les pratiques anales, cela n'est pas très hygiénique, pas très RDR. Sans doute une autre fois on arrivera à de telles extrémités, mais il faut qu'il s'imagine auparavant comment cela sera possible afin de réduire les risques sanitaires au maximum.

Leurs cheveux sont trempés parce qu'ils déploient en fait une énergie folle pour comprimer leurs muscles autour des godes, et cela les fait suer de toutes leurs pores. Elle dégage une odeur puissante dont il est complètement dingue, il la lèche et promène son nez dans ses cheveux, il sait que lorsqu'elle sera sèche, elle dégagera encore une odeur plus forte et plus propre, plus nette, une espèce d'odeur naturelle de sauvagerie bienfaisante, une sorte d'air frais de montagne ou de cave, auprès de laquelle l'air marin ferait pâle figure .

Le « gramme deux » de produit est fini maintenant, ils ont finalement leurs godes bien en place. [b]Ils s'imaginent différentes positions sans se parler, comme intuitivement, des mouvements tout petits, besoin d'aucune musique, en silence, et en hésitant à commenter leurs différentes sensations. Il regrettera ensuite (et il le savait) de ne pas écrire au fur et à mesure les péripéties de leur aventure, car il sait qu'ils vivent un moment précieux et unique, que peu d'autres êtres humains peuvent connaître. C'est divin à ce moment-là en effet, leur plaisir et leur amour semblait être à une forme d'apogée que sans doute l'humanité n'avait pas connu depuis l'Antiquité pensent-ils.[/b] Cela projette dans les cordes ses cours de philo à elle. En songeant à Platon et Epictète... elle y réfléchissait parfois dans les amphis; elle comprenait leurs messages secrets, mais évidemment elle ne pouvait pas commenter sans qu’on pût lui faire du mal en retour.

Oui, ils regrettent : le produit est totalement consommé à présent. Leurs anus commencent à se rétracter complètement et l’introduction des godes devient malaisée. Ils s’en foutent, c’est dangereux sans doute ( risque de perforation) mais ils sont anesthésiés totalement et pourtant ils continueront de jouir comme des extraterrestres jusqu’au petit matin.

[b]Acte six: impact play[/b]

Alors vient l’intermède des coups. Ce n’est pas qu’ils soient sadiques, non, pour elle encore, les coups ne sont qu’affectueux, afin de cogner un plaisir immédiat, pas une douleur plus élaborée que seule une initiation prolongée aurait pu faire germer. Il affectionne de lui rougir puis bleuir les fesses. Il apprécie en retour les coups sur les testicules, au premier degré, car ils ne lui causent que du plaisir et aucune douleur, et elle s’y livre en souriant avec des claques ou des lifts avec ses baskets. Bizarre que cette zone si douloureuse puisse sous prod réserver autant de plaisir. Elle donne les coups allongée sur le dos car elle est si foncedée, son équilibre debout aurait probablement été vacillant. Avec lui, elle ferait attention, il ne faudrait pas aller jusqu’au sang.

[i]A suivre pour l'épilogue[/i][/quote]
Bonsoir bootspoppers en lisant ton poste mes plus ardents désirs se sont retrouvés nus dans mon esprit. Je me suis téléporté dans ton univers naviguant dans un monde mental que je je chevauchais via mes fantasmes inavouables! …

Le blog de Bootspoppers » Trois journées de chemsex » 02 décembre 2019 à  23:52

[quote=Bootspoppers][b]Acte trois : mg 400[/b]

[url=https://www.psychoactif.org/forum/image-reelle.php?code=1554/capture-cagoule-pour-pa.jpg]Image : [url]https://www.psychoactif.org/forum/uploads/images/1554/capture-cagoule-pour-pa.jpg[/url][/url]

Alors, il se mit lui-même un préservatif sur sa queue qui était assez tendue. Certes à son âge, sa queue n'était ni redoutable, ni énorme, ni très dure, mais la petite avait un sexe encore suffisamment étroit, de plus l'effet vasoconstricteur était important, et il arriverait finalement assez bien à la prendre, après l'avoir soigneusement caressée. Le préservatif pour eux deux, il ne le mettait pas d’habitude, mais là il en a besoin pour le saupoudrer de poudre, encore 100 mg, et sa peau à lui ne pouvait le toucher sous peine de débander aussitôt.

Elle était encore complètement pliée, les genoux plaqués sur son ventre, le [spoiler]cul tendu sur le gode de taille intermédiaire, la queue de son ami dans sa chatte qui commençait elle aussi à prendre le flash et à se comprimer sur son sexe à lui. Lui-même se sentait capable de durer assez longtemps, car elle ne bougeait pas. Chaque mouvement infinitésimal étant en effet pour elle une source de jouissance énorme, nul besoin de mouvements saccadés et rapides pour prendre son pied. Elle savait qu'elle était partie pour plusieurs heures d'orgasme, prolongé, continuel, incessant.

Et il la besognait tranquillement en l'embrassant.[/spoiler] Elle attendait de souffrir également, l'anesthésie du produit la gagnait partout, et bientôt elle pourrait supporter les pinces crocodiles à la fois sur les lèvres [spoiler]de sa chatte[/spoiler] et sur ses tétons, voire sur sa bouche, sa langue et son nez. A lui-même de prendre ces éléments de plaisir supplémentaire lorsqu'il serait sous produit à son tour, c'était prématuré pour ce qui le concernait. Ils étaient convenus de ne se frapper éventuellement, que lorsqu'ils seraient tous deux sous-produits afin de ne pas avoir trop de dissymétrie dans la relation. Aussi pour l'instant il se contentait de la caresser en l'embrassant et en lui manipulant les seins, amplifiant son orgasme qui lui parcourait l’ensemble du corps de l'extrémité des orteils à la pointe des cheveux.
Elle respirait lentement et profondément, comme essoufflée en montant un escalier. Il est vrai que le produit tire sur le cœur quand il est pris de la sorte. Elle transpirait à grosse gouttes, autre effet secondaire du produit. Le tapis en était déjà trempé.
Elle adorait le coup de rein subtil qu’il lui suffisait de se donner pour faire évoluer son orgasme à elle. Elle gérait elle-même son orgasme comme on surfe sur une vague, elle souriait car il lui semblait qu'elle en était maîtresse. Bizarre sentiment de contrôle et de plénitude.
Il se retire pour prendre du recul. Il lui remet un nouveau gode avec à nouveau 100 mg dans le [spoiler]vagin. "Putain, comme elle sue à grosses gouttes. Il faut qu'elle boive". Son vagin est anesthésié. Elle jouit du clitoris.[/spoiler] Il lui biberonne la bouteille d'eau , elle tête. Têter la bouteille la fais encore jouir. Elle n’arrête plus de jouir, elle jouit de partout.

Alors pendant plusieurs dizaines de minutes, soit elle bouge imperceptiblement, soit au contraire elle expulse [spoiler]les godes en alternance les faisant frotter l’un sur l’autre comme une pince qui lui serrerait les organes et stimulerait les chakras. Elle éjacule par le cul, un foutre transparent sort de son anus, c’est son propre foutre à elle. Légèrement salé, pas trop de goût, assez comme du sperme d’homme…[/spoiler]

Lui est patient, il attend, il la regarde, goûte ses éjaculats, la prend en photo, filme des vidéos. [b]Ces moments assez incroyables, on aime les revivre après en s’étonnant de ce qu’ils ont duré si longtemps, un orgasme de plus d’une heure, vous y croyiez, vous ?[/b] Elle a toujours ses baskets, et lui attend.

Il aime fortement que ses amantes lui offrent ce plaisir dégradant, qu'il croit très pervers, une sorte de domination à rebours où l'on ne sait plus très bien qui est le dominant ou le dominé, ce qui au fond pour des switches est la même chose. Il aime tellement cette ambiguïté de la relation sadomaso, où les rôles sont totalement équilibrés où il est impossible de déterminer le maître de l’esclave.

A ce moment-là, on attend qu’elle redescende un peu, car là elle est incapable de se concentrer. Il hésite évidemment sur sa façon [spoiler]d'éjaculer, et s’en entretient avec elle, soit il jouira dans ses fesses, soit dans sa chatte, toujours protégé par le préservatif, soit dans sa bouche. Ou encore, pas du tout, en attendant la fin de la nuit et qu'elle cherche sans succès à le faire éjaculer avec sa queue épuisée par la drogue et devenue complètement ridicule comme un clitoris, mais du coup stimulant de l'extérieur sa prostate.[/spoiler] C'est finalement ce qu'ils décident de faire : ne pas jouir comme un cis, mais uniquement passivement.. Il a en effet de trop peur de perdre son désir s’il éjacule au milieu de la nuit. C'était une expérience à tenter pour une autre fois, de savoir s'il serait capable de maintenir son désir après une éjaculation au milieu du "circuit".

[b]Acte quatre : mg 600[/b]

Enfin, une bonne heure après environ, (ils ont fini de noter les temps, on sent que l’attention se relâche...) c’est son tour à elle de préparer le godemiché pour lui. Il prit tout de suite la taille intermédiaire, 25 cm de long, avec 200 mg. Il est habitué aux produits et sait l'effet qu'ils font, et il aime la première introduction avec l'effet puissant du piston qui pénètre en lui en envoyant tout l'ensemble de son corps dans les étoiles, jamais il n’a ressenti cela autrement que sous produit. [b]Et il sait que l'effet est toujours amplifié lorsqu'ils sont deux et que l'amour ou l'amitié - ce qui pour lui est la même chose, le mec est limité - s'en mêle[/b]. Sa queue débanda instantanément, preuve de l'efficacité du produit.

Il compta péniblement :[spoiler] « Je suis donc obligé d'utiliser pour la prendre un godemiché par devant pour elle, et un godemiché pour moi et un autre pour elle par derrière, ce qui fait 3 godemichés au total. » Chacun tient délicatement un socle de godemichet pour l'agiter doucement dans les extrémités de l'autre, ils mettent d'ailleurs chacun une combinaison de natation, un monokini de femme, afin de maintenir en place les instruments et que[/spoiler] seules quelques petites caresses permettent de les faire bouger et transporter les ondes de plaisir dans l'ensemble de leur corps. Un jour, il utiliserait un seul gode de lesbienne, à double extrémité, qui leur permettra de gérer leur anus avec le même instrument, et seul un godemiché supplémentaire suffirait pour elle dans son vagin. Ils passent alors à la compète des pinces crocodiles. Ils s’en mettent partout sur le corps et commencent à se caresser, décuplant l'effet du plaisir que procurent et le produit et la souffrance transformée en jouissance sur l'ensemble de leurs corps.

[b]Acte 5 : mg 1200.[/b]

On redroppe analement, 200 mg pour lui, puis encore 100 mg, pour elle. Puis, comme elle veut un flash, il lui injecte dans le rectum 100 mg par une seringue de 1,2 ml. Flash.. A son tour aussi, injection anale, 200 mg, flash.

[b]Ils ne sentent plus leurs corps. Ils ont quitté la Terre.
[/b]
Il hésite à utiliser des aiguilles et à faire couler le sang, parce qu'avec les pratiques anales, cela n'est pas très hygiénique, pas très RDR. Sans doute une autre fois on arrivera à de telles extrémités, mais il faut qu'il s'imagine auparavant comment cela sera possible afin de réduire les risques sanitaires au maximum.

Leurs cheveux sont trempés parce qu'ils déploient en fait une énergie folle pour comprimer leurs muscles autour des godes, et cela les fait suer de toutes leurs pores. Elle dégage une odeur puissante dont il est complètement dingue, il la lèche et promène son nez dans ses cheveux, il sait que lorsqu'elle sera sèche, elle dégagera encore une odeur plus forte et plus propre, plus nette, une espèce d'odeur naturelle de sauvagerie bienfaisante, une sorte d'air frais de montagne ou de cave, auprès de laquelle l'air marin ferait pâle figure .

Le « gramme deux » de produit est fini maintenant, ils ont finalement leurs godes bien en place. [b]Ils s'imaginent différentes positions sans se parler, comme intuitivement, des mouvements tout petits, besoin d'aucune musique, en silence, et en hésitant à commenter leurs différentes sensations. Il regrettera ensuite (et il le savait) de ne pas écrire au fur et à mesure les péripéties de leur aventure, car il sait qu'ils vivent un moment précieux et unique, que peu d'autres êtres humains peuvent connaître. C'est divin à ce moment-là en effet, leur plaisir et leur amour semblait être à une forme d'apogée que sans doute l'humanité n'avait pas connu depuis l'Antiquité pensent-ils.[/b] Cela projette dans les cordes ses cours de philo à elle. En songeant à Platon et Epictète... elle y réfléchissait parfois dans les amphis; elle comprenait leurs messages secrets, mais évidemment elle ne pouvait pas commenter sans qu’on pût lui faire du mal en retour.

Oui, ils regrettent : le produit est totalement consommé à présent. Leurs anus commencent à se rétracter complètement et l’introduction des godes devient malaisée. Ils s’en foutent, c’est dangereux sans doute ( risque de perforation) mais ils sont anesthésiés totalement et pourtant ils continueront de jouir comme des extraterrestres jusqu’au petit matin.

[b]Acte six: impact play[/b]

Alors vient l’intermède des coups. Ce n’est pas qu’ils soient sadiques, non, pour elle encore, les coups ne sont qu’affectueux, afin de cogner un plaisir immédiat, pas une douleur plus élaborée que seule une initiation prolongée aurait pu faire germer. Il affectionne de lui rougir puis bleuir les fesses. Il apprécie en retour les coups sur les testicules, au premier degré, car ils ne lui causent que du plaisir et aucune douleur, et elle s’y livre en souriant avec des claques ou des lifts avec ses baskets. Bizarre que cette zone si douloureuse puisse sous prod réserver autant de plaisir. Elle donne les coups allongée sur le dos car elle est si foncedée, son équilibre debout aurait probablement été vacillant. Avec lui, elle ferait attention, il ne faudrait pas aller jusqu’au sang.

[i]A suivre pour l'épilogue[/i][/quote]
Bonsoir bootspoppers en lisant ton poste mes plus ardents désirs se sont retrouvés nus dans mon esprit. Je me suis téléporté dans ton univers naviguant dans un monde mental que je je chevauchais via mes fantasmes inavouables! …

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