Recherche dans les commentaires de blogs

Le blog de Fenouil » Un séjour en hp » 15 novembre 2016 à  22:19

Re-coucou Fenouil.

Comme tu dis, tous les médecins / psychiatres ne sont pas "mauvais". D'autant plus que la notion de "mauvais", tout comme la notion de "bon", est extrêmement subjective. Après, de mon expérience perso, je suis tombée sur trois psychiatre différents, qui n'avaient rien à  voir les uns avec les autres, à  part un seul point commun (qui m'est régulièrement confirmé par mes amis qui ont vu ou voient encore des psychiatres différents de ce que j'ai pu connaître) : c'est cette persuasion d'avoir la science infuse, et celle manie de tout lier à  des théories & des solutions fixes, qui semble ne pas pouvoir évoluer.

Ce qui est difficile dans la recherche d'un bon thérapeute (peu importe sa nature, qu'il soit psychologue, psychiatre, psychanalyste, infirmier etc. !), c'est que nous sommes tous différents, patients comme thérapeutes, [b]d'humain à  humain[/b]. Un thérapeute qui correspond à  une personne A ne correspondra pas forcément à  une personne B.
Les thérapeutes, eux aussi, sont tous différents, que ce soit dans leur conception de la guérison, dans la façon d'amener les patients au mieux-être, dans les schémas analytiques qu'ils utilisent (et j'en passe !). Il y a tellement de facteurs différents ! De ce fait, c'est difficile de trouver "le bon" directement; il y a toujours quelque chose qui ne colle pas.

Mais à  force d'être passé par plusieurs thérapeutes, tu apprends aussi à  te connaître : ta personnalité, liée à  ton fonctionnement. Je pense que tout a lieu d'être un enrichissement.

Plus haut, je parlais d' "humain à  humain"; mais comme tu as pu le remarquer, on a parfois l'impression que certains thérapeutes perdent leur humanité. C'est dommage, mais l'argent ternit les âmes. Ils est connu que beaucoup de médecins (psychiatres compris) ont des accords avec certains laboratoires, qui leur promettent des avantages en nature (voyages, réductions, séjours, restaurants etc.) à  partir d'un quota de médicaments vendus. C'est pour ça que certains psychiatre (et eux, ce sont vraiment les mauvais: ceux qui ne sont pas spécialement là  pour soigner les patients, mais pour se faire de la thune sur leur dos, en les utilisant comme tremplin) prescrivent énormément de médicament et n'écoutent pas vraiment les patients. À la limite de la force.

Et du coup, les infirmiers n'y sont pas forcément pour grand chose. Vu le nombre de patients qu'ils doivent voir refuser leur traitement, je pense qu'il y a un moment où ils sont confrontés à  se poser des questions, alors peut-être qu'ils écoutent plus facilement. Généralement, les infirmiers sont un peu les exécuteurs des médecins : ils assistent, veillent théoriquement à  ce que je traitement soit bien pris etc. mais n'ont pas un rôle clairement décisif.

Tous ces gens, qu'ils soient médecins, infirmiers, ou autres, ont fait des études durant une bonne partie de leur jeunesse pour arriver au métier qu'ils font actuellement : ça demande pas mal de motivation et probablement de passion. (Certes, les motivations peuvent être variées : parfois c'est "juste" la famille qui pousse au cul histoire que l'enfant puisse faire bonne image, mais ça c'est encore un autre débat.) Mais en gros, pendant toutes leurs études, on a appris à  ces gens que le mieux-être passait par la médecine traditionnelle et, irrémédiablement, la prise de médicaments. S'ils n'ont jamais eu l'occasion de voir les autres autrement, si les psychiatres ont appris à  trier les personnalités par types et les gens qui vont mal par troubles, leur esprit s'est (désolée) relativement étriqué au fil des années. Donc évidemment, avec une seule manière de voir les choses, tu n'apprends pas à  être flexible ni à  écouter le coeur et le désir profond de l'autre.

En tous cas, comme je disais plus haut, je vois que toutes ces expériences & ces rencontres t'ont apporté un enrichissement sur lequel tu sembles te baser pour mieux penser au futur. Félicitations ! C'est beau de voir les gens évoluer. :) …

Le blog de Fenouil » Un séjour en hp » 13 novembre 2016 à  17:09

Coucou Fenouil.

Pour ta question, je ne pense pas que toutes les hospi soient les mêmes. Ca dépend de ton souci, des médecins qui te prennent en charge, de ta volonté ou non d'aller mieux, et ça dépend surtout de l'hp et de l'unité dans laquelle tu es transmis (s'il y a des unités en hp, je sais pas).

En tous cas, c'est sûr que l'hosto = médecine traditionnelle et médecine traditionnelle = médocs. Donc la plupart du temps, ils vont te cachetonner histoire que tu sois un légume (ça paraît réac, mais cf. les expériences des autres) et que tu fasses chier personne. Dit comme ça, c'est cru, mais encore une fois, à  voir les expériences des autres, je ne pense pas complètement me tromper.

Après, tout se met sur une balance. Tous les hôpitaux ne sont pas les mêmes. Je connais des gens qui sont ressortis carrément lumineux d'un séjour en hp, alors qu'il étaient au bord du suicide quand ils y sont entrés.

Après, personnellement, l'hp je trouve ça déprimant. Tu vis au rythme de tes médocs & des repas qui n'ont rien de spécialement intéressant; et à  part déambuler dans les couloirs, regarder des navets à  la tv ou lire des bouquins, tu ne fais pas grand chose. Ils ont des "valeurs" qui ne sont pas en harmonie avec leurs pratiques. À l'hp, tu es censé prendre du repos, une bouffée d'oxygène, pour repartir plus vivant. Mais ils te cachetonnent et ça t'empêche d'être vraiment toi-même, donc je vois pas trop comment le but peut être atteint.

C'est le monde de la médecine... Autrement dit, le monde de la thune. Personnellement, je ne crois pas en les médecins (et encore moins les psychiatres) "bon samaritains".

Dans tous les cas Fenouil, si tu postes cet article et que tu te poses autant de questions, c'est que ton hospitalisation t'a permis d'accéder à  une certaine introspection qui te sera sans aucun doute bénéfique pour la suite. Tu te poses des questions et tu cherches des réponses : ça signifie que tu avances et que tu [b]souhaites avancer[/b]. Je pense que la chose la plus importante dans ton histoire est d'apprendre à  ne pas regretter, à  prendre chaque infime partie de ton vécu comme une expérience te permettant de grandir et de devenir la personne avec qui tu te sentiras à  l'aise. …

Le blog de wastedreamor2 » ClasséX Drogues & Rock'n Roll » 28 décembre 2015 à  21:43

Merci pour cette lecture.

Je veux dire, merci de l'avoir partagé, et bravo aussi, pour ta jolie plume, que personnellement je trouve très agréable à  lire. Merci de nous faire découvrir cet univers, on va dire, de faire tomber les préjugés, de nous montrer ta sensibilité (ou au moins une partie parce que je ne pense pas que tu dises tout).

Franchement j'apprends énormément de choses archi intéressantes en te lisant, et touchantes parce que j'ai l'impression que tu mets beaucoup de [i]toi[/i] dans ce que tu écris.

Enfin, j'adore.

Le blog de ju22 » Speed peut remplacer les taz ? » 25 décembre 2015 à  19:17

Franchement moi je trouve que c'est le contraire : la descente de speed est moins éprouvante, que ce soit physiquement ou psychologiquement, que celle de la MD. Mais c'est personnel. Comme je disais plus haut, ça dépend vraiment des gens et de out un tas de facteurs très propres à  la situation de chacun.

En tous cas ju22, si tu veux te percher, tu risques d'être déçue avec le speed. Comme dit splinK, y a pas le côté "communion avec la musique" que tu peux avoir la MD. Mais franchement si tu as l'occas', je te conseille plus la MD que les taz, y a moins de chance qu'l y ait des coupes de merde dans la MD que dans un taz.
Et je répète, au risque de me faire voire comme une de la vieille école, les deux niquent le cerveau, il n'y a pas de comparaison à  faire. Y a des merdes dans l'ectasy/les taz tout comme il y en a dans le speed. La coupe c'est partout tant que ça nourrit le buisness, et le buisness passe bien avant la RdR chez les dealers. …

Le blog de ju22 » Speed peut remplacer les taz ? » 24 décembre 2015 à  14:10

Taz = ecsta, d'ailleurs. C'est pareil. Dans le principe, c'est un truc tout mignon qui ressemble à  un bonbon, où on sait pas trop les prods qu'il y a dedans, mais qui te rend speed, heureux & peace, mais avec une redescente hardcore.

Le blog de ju22 » Speed peut remplacer les taz ? » 24 décembre 2015 à  14:09

Salut ju22.

J'ai pas lu les autres réponses mais voilà  la mienne.

Déjà , je vais t'aider à  remettre les choses dans leur contexte et à  leur place.
On est dans le monde de la drogue, donc dans el monde des dealers, donc dans le monde du buisness et de l'argent, donc dans le monde de l'égoïsme et de l'inattention vers les autres (en résumé).
Le dealer, lui, va chercher à  faire du chiffre, pas à  te faire un taz bon pour la santé/à  moindres risques/hyper coolos.
D'après ce qu'on te dit, un taz c'est un mélange de MD et de speed et rien d'autre. C'est une pure connerie. Personne ne sait ce qu'il y a dans un taz. Il PEUT y avoir de la mdma, il PEUT y avoir du speed, il PEUT y avoir juste de la md ou juste du speed, il PEUT n'y avoir aucun des deux. Il peut y avoir n'importe quel mélange ! Des médocs, n'importe quels médocs, [b]d'autres prods qui font que la marge entre la fabrication du taz & la revente sera meilleure[/b].

Ensuite, le speed ça perche pas, non. Ca te met juste au taquet, c'est motivant, ça tient éveillé, ça rend sociable effectivement, ça donne envie de parler aux gens et tout. Et tu bouges, ben, parce que t'as besoin de bouger vu que t'es bourré d'énergie du coup. C'est pour ça d'ailleurs que beaucoup de gens tapent du speed en teuf.
Mais comme toute amphétamine, il y a évidemment une redescente.

Je t'explique le principe (en gros) de la redescente avec un amphétamine :
L'amphétamine va permettre à  ton corps de sécréter, en une quantité plus élevée que la normale (donc quand elles sont sécrétées naturellement), les molécules dans ton cerveau qui te font te sentir heureuse & pleine d'énergie. On parle notamment de la dopamine et de la sérotonine.
Pendant que le produit agit (montée & plateau), ces molécules vont effectivement être secrétées en de grosses quantitées.
À partir du moment où le produit n'agit plus, il y a, déjà , un décalage entre la fonctionnement de ton corps sous produit et le fonctionnement naturel que ton corps doit reprendre. C'est déjà  perturbant pour le corps. Ensuite, vu que le corps a sécrété plus de molécules que d'ordinaire, il va falloir que ton corps récupère ces molécules. Ca lui prend beaucoup d'énergie et de temps (relatifs à  la personne, évidemment, parfois les descentes durent 2h, parfois on est en dépression pendant 1semaine) pour récupérer tout ça. C'est comme si le stock de molécules avait été épuisé et qu'il fallait attendre qu'il se refasse.

Voilà , pour que tu comprennes comment ça fonctionne, et que tu comprennes aussi, du coup, qu'il y a une redescente avec le speed. La redescente de speed est effectivement différente de la redescente de md, tout comme est différente de la redescente de coke ou d'héro. Les molécules sécrétées sous speed ne sont pas exactement les mêmes que celles sécrétées sous md ou taz. Vu que pour le speed, c'est juste de l'énergie (contrairement à  la md, par exemple, où c'est de l'énergie + de l'empathie), il y aura moins de molécules à  récupérer. Mais tout dépend de ton état psychologique aussi, il y a plein de facteurs.

Effets sur le moment pour le speed : Energie, chaleur corporelle, coeur qui bat plus vite, envie/besoin de bouger, envie/besoin de social, de parler à  des gens, on ne ressent pas la fatigue ni la faim.
Effet secondaires : Tachycardie, trop chaud, suées, angoisse parfois, les dents qui serrent parfois, sensation de se perdre un peu dans ce qu'on fait parce que tout va très vite... etc.
Et les effets en redescente, ben : Fatigue, faim, déprime. Sachant que c'est plus ou moins fort en fonction des personnes.

Il n'y a pas de "ça abîme autant le corps et le cerveau que les tata". Ca abîme le corps et le cerveau, POINT. Il n'y a pas de comparaison dans la mesure où le prod n'est pas le même, les points de comparaison ne sont donc pas les mêmes. Ca abîme, mais d'une façon différente. Ca abîme parce que ça épuise ton corps. Mais je dirais que parfois, comme ça en soirée, c'est pas grave, tant que tu fais tout pour que ton corps tienne le coup : boire suffisamment, bien te nourrir après ta soirée, te reposer, ne pas faire trop de mélanges, laisser le temps à  ton corps de récupérer avant de reprendre des produits.

Pour la perte de poids je vais te répondre très objectivement et pragmatiquement : Oui, ça peut aider dans la mesure où ça coupe la sensation de faim. Mais c'est pas du tout une façon saine de perdre du poids. Mange de façon équilibrée, bois beaucoup, ne mange pas trop de viande ni de féculents, fais du sport quand tu sens que tu en as besoin, et tu perdras du poids facilement, même si c'est pas aussi rapide qu'en tapant du speed tous les jours. Mais au moins, ça aura le mérite de durer longtemps et tu ne reprendras pas tes kilos tout de suite. :)

En espérant t'avoir aidée. …

Le blog de BethCC » Besoin d'aide » 04 décembre 2015 à  20:18

Oui ces mélanges sont dangereux.

Tu as besoin de relations sociales, de ressentir des choses & de vivre pleinement ta vie, pas de t'enfoncer dans une spirale qui ne te rendra que plus mal. Et je pense que si tu viens en parler ici, c'est que tu es consciente qu'effectivement, c'est pas la bonne marche à  suivre.

C'est pas la solution de miser sur une aide [b]extérieure & matérielle[/b] pour aider un souci [b]intérieur & sentimental[/b]. Les deux n'ont rien à  voir. En t'appuyant sur cette aide extérieure à  ton souci, tu vas simplement créer un nouveau besoin (besoin de l'aide en question, donc besoin de médocs + alcool pour ton cas), que tu combleras par cette même aide (donc toujours les médocs + alcool), ce qui détournera ton attention du souci principal (rupture, grosses émotions à  gérer). Et pendant ce temps, le souci principal grandira puisque tu le laisseras dans son coin.

L'important est d'accueillir tes émotions & tes sentiments, de les laisser venir à  toi parce qu'ils sont naturels et indispensables. Pas d'émotions = pas de vie. C'est de ça qu'un parcours est fait. C'est facile à  dire, je sais, et ça demande un grand et long travail sur soi.
Mais dans le principe, refouler ses émotions n'aide pas du tout. …

Le blog de tigrouparfum » je dors plus » 10 novembre 2015 à  21:47

T'en as parlé aux médecins ?

C'est simple mais ça peut peut-être te donner des pistes de solution.

Le blog de pjick » Usage de drogues et trouble mentaux » 24 octobre 2015 à  18:49

L'utilisation de drogues, qu'elles soient stimulantes ou pas (les effets différents étant relativement plaisants en fonction des personnes), aka la toxicomanie est un phénomène fréquent chez les personnes à  tendance auto-destructrice.

Au-delà  de l'utilisation d'auto-médicamentation, comme tu l'expliques par rapport aux alcooliques qui utilisent souvent l'alcool pour faire taire un trouble anxieux ou dépressif n'étant pas dû à  leur addiction au départ, la toxicomanie peut avoir différents "buts", plus ou moins conscients.

Il y a aussi une différence, je pense entre la toxicomanie qu'on combat et celle qu'on ne combat pas. Personnellement, ma consommation de drogues est à  la fois une auto-médicamentation ET un moyen d'auto-destruction que je n'ai jamais combattu (plus ou moins en fait - mais je la combattait beaucoup moins quand je me rendais pas encore compte que c'était juste un moyen de me détruire et une manière de me voiler la face sur mes vrais soucis. Maintenant je me voile beaucoup moins la face et j'essaie de consommer en toute conscience des risques (je parle là  des risques psy même si je suis au max la RDR), et en assumant pleinement ce que je fais - du moins c'est l'impression que j'ai). J'ai souvent des grandes crises de colère que je refoule et qui, quand elles refont surface, sont orientées vers moi-même et se transforme en un condensé d'auto-destruction, de grand dénigrement de moi-même d'un tas de manières différentes. Je consomme donc beaucoup plus quand je vais mal, ou à  le suite de crise d'angoisse ou de grands moments de détresse, mais aussi quand je vais bien, ce qui fait de la toxicomanie quelque chose qui fait plus ou moins partie de ma personnalité. Oui, j'ai tendance à  consommer telle ou telle drogue par simple envie.

Après, je pense que c'est encore différent quand l'addiction arrive.

Après il faut savoir de quels troubles mentaux tu parles.

Je ne veux pas m'auto-diagnostiquer mais je pense être borderline, ce qui est considéré comme un trouble mental (avec auto-destruction, donc beaucoup de cas de toxicomanie, TS, TCA, comportement à  risque, provocation, etc. chez les borderline). Donc pour le coup ce n'est pas l'usage de drogue qui engendre le trouble, mais bien le trouble qui met chez la personne une tendance à  consommer.

Les drogues sont aussi un moyen de contrôler ses émotions, ce qui, je pense a un rapport très intime avec l'auto-médication. "Je me sens down", donc je tape un rail de coke. "Je me sens angoissé", donc je tape un rail d'héro. "J'ai envie de penser à  autre chose", "j'ai peur de me laisser accabler par mes émotions", "je ne veux pas faire face à  mes soucis", "j'ai peur de mes réactions", "je me sens crouler sous l'angoisse", "je suis déprimé" etc. : tout un tas d'émotions, de ressentis qu'on peut clairement réguler grâce à  la drogue, et comme on veut. On peut alors avoir un contrôle incroyable sur ce que notre cerveau nous faisait alors ressentir sans qu'on ne puisse rien faire !

A développer ! …

Le blog de SARWELL » Recherche un site pour achat kit cocaine » 03 août 2015 à  17:10

Les roule-ta-paille sont faits en une matière genre entre le papier et le papier épais (genre papier à  dessin). Du coup si tu veux pas attendre tu peux aussi te couper des p'tits morceaux de papier du genre, à  utilisation unique vu que tu peux pas les nettoyer, que tu gardes avec toi. Genre dans un endroit propre dans ton porte-feuille ou dans une mini pochette.

Et à  ne pas partager, les pailles, évidemment, même si tu les a bien lavées ou essuyées.

Le blog de SARWELL » Recherche un site pour achat kit cocaine » 02 août 2015 à  16:49

Hello.

J'approuve les réponses précédentes qui parlent des caarrud et de safe. Cependant, tu peux aussi te fabriquer ton propre kit perso. Tu sais de quoi tu as besoin, et ça peut aussi être sympa d'avoir ton kit "fait main". Après, je comprends aussi que tu préfères avoir tu matos bien clean et venant d'un kit spécial sniff.

Mais sinon, voilà  une idée de c'que je prends toujours avec moi dans une trousse, si ça peut t'aider : une mini boîte avec dedans le pochon magique, un chouchou pour refermer au cas où ça ferme mal, des pailles (mais celles-là  sont dégueus), un bout de plastique au cas où l'autre pochon claque ; deux cartes : une sur laquelle tu fais ta trace et une pour pousser la poudre (à  laver avec un mouchoir et une solution hydroalcolique pcq ça tombe toujours sur des surfaces dégueus, genre des chiottes publiques ou le sol donc bon), du sérum phy pour te rincer le nez après ta trace, des pailles en rab & un couteau pour les sectionner. Et la pièce ça me sert de repère pour la taille de mon caillou.

[url=https://www.psychoactif.org/forum/image-reelle.php?code=1438/1438526999.jpg][img width=800 height=600]/forum/uploads/images/1438/1438526999.jpg[/img][/url] …

Remonter

Pied de page des forums