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 » Le blog de speedygonzalez » What’s wrong?

[quote=GordReno.C17]Salut ! je passe juste un coup ici :salut:

Ce texte est tellement émouvant, j'ai failli laisser une larme...

Je me retrouve dans ce texte c'est exactement comme toi, en plus tu a choisi la bonne combinaison de mots pour crée un texte puissant qui viens du cœur.

Pour t'exprimer, pour vidé ton sac, pour vraiment savoir si tu est seul ou non est la réponse est non... tu est pas seul, ce forum est d'ailleurs aussi la pour toi et je suis la pour toi, est pleins d'autres aussi :peace:[/quote]
Merci du compliment, c'est agréable de voir que d'autres personnes ont la capacité de comprendre ce que je ressens!

Prends soin de toi! ;-)

 » Le blog de speedygonzalez » What’s wrong?

[quote=Conscience]La seule prison dont on ne s'échappe pas est cérébrale.
Change la prison en parc.[/quote]
Tout à fait vrai, plus qu'à mettre en pratique. ;-)

 » Le blog de speedygonzalez » What’s wrong?

[quote=Georges73]Hey :)
Merci pour tes mots!

Je ne sais pas du tout à quoi m'en remettre pour dire que ça pourra changer!

Tu dis que ce n'était qu'illusion au long terme mais la flamme a été ressenti, as tu pu construire quelque chose à laquelle tu tenais ou qui t'as rendu heureux ?

J'aimerais t'écrire plus mais je me demande si c'est pertinent de m'étaler je me fatigue moi même je ne crois plus en rien mais me demande comment je participe à ça.
Ce qui me tue c'est que le futur que j'avais imaginé n'était pas une illusion. Bref je suis fucked up , mon égo ressemble vraiment à une vieille grimace défaite et frustrée
Même en me laissant " divaguer" je ne trouve pas la force d'être hors cadre (genre partir avec un sac à l'arrache, couper les liens tenter quelque chose...) Egoiste, il faut l'être, mais là je suis plus du clan mouton sans ambition j'ai peur et les autres font ma loi

Je pourrais peut être te tenir au courant si je ressens un changement de parcours ... ce qui me manque c'est de la spontanéité
Bonne continuation et au plaisir de te lire[/quote]
Non je n’ai jamais trouvé ce qui me rendait heureux, enfin parfois il y a certaines choses que j’appréciais telles que des relations amoureuses mais au final je faisais tout pour que ça se termine mal.
C’est la tout le problème mais si ça tu le sais déjà!


A mon avis il est possible de transformer Les illusions en réalités.
C’est même le défi ou but de toute une vie finalement..

Si tu as encore un rêve ou un but en tête, accroche toi à cela.
Tant que tu as de l’espoir c’est que tu es vivante.
Lorsque tu n’en as plus chaque minutes devient un supplice.

Merci pour ton message et prends soin de toi! …

 » Le blog de speedygonzalez » What’s wrong?

[quote=Georges73]Salut speedygonzalez,

il faut que je clique sur envoyer car je ne posterais jamais sinon, n'étant pas sous l'emprise de quoique ce soit pour avoir des "certitudes"

Je ressens le besoin de te dire ma vie car tes mots peuvent ressembler aux miens

Aussi aujourd'hui, je suis réaliste quand je dis que je ne remonterais jamais la pente comme j'avais pu commencer à le faire il y a un an, avec un état d'esprit solide et revanchard, des expériences et des connaissances arrivant à "maturation" et une conscience qui s'abandonnait enfin à la construction d'un soi qu'elle avait toujours fantasmé.

Mon rêve d'être moi même, après m'être cherchée maladroitement mais avec espoir toute ma vie , aura duré genre 9 mois.

J'aurai vécu les plus belles douceurs dans ce corps et cet esprit si recentré et lucide, généreux et curieux.
Qui m'aura permi de donner la meilleure version de moi même à mon entourage et m'ouvrir avec pertinence à des personnes nouvelles qui me donnaient sur le plan ambition et sens de la vie l'impression de faire les bons choix .

Putain j'ai été heureuse, dans chacune de mes cellules, jusqu'à exploser et irradier chaque jour, a apprécier dormir comme jamais pour pouvoir me réveiller avec hâte et le coeur emballé par l'idée de continuer !!! Mettre en place des projets, étapes après étapes avec amour et précision sans contourner les difficultés!


Mais je me suis cassée la gueule en juillet 2021, j'ai fait une seule putain d'erreur de calcul dans mon plan qui je savais devait être hyper solide avec le contexte qui me laissait pas bcp de marge.

J'ai laché mon appart récemment acquis pour retourné chz mes parents suite à l'arrêt de mon service civique.
J'ai niqué mon principe n*1 : ne pas rentrer chez mes parents tant que mon père n'était pas guéri du cancer. Continuer à construire ma base sans interragir avec eux et continuer à devenir libre. M'épanouir pour mieux leur en faire part
J'ai cru que l'arrêt de rentrée d'argent = plus d'appart. Pire erreur.
j'avais large de côté pour encore 6 mois, j'avais grave de projets en parallèle pour rebondir.
Mais j'étais en burn out et j'ai cru me faciliter la vie putain, je voulais partir en vacances sans organisation et j'ai tout décousu. Alors que je pouvais faire les deux financièrement, garder l'appart, partir quelques jours ailleurs et revenir dedans mais nan il a fallu que j'efface MA base construite avec MA sueur pour profiter de 2 putains de semaines en Espagne.

Après ça j'ai perdu insidieusement chacun de mes récents mais incroyables acquis de conscience pour devenir une copie pâle de la personne perdue que j'étais avant, sauf qu'avant je ne me mentais pas à moi même je m'ignorais, la c'est différent je ne retrouve plus le courage et la moindre once d'enjeu.

Ca s'est fait lentement et à la fois physiquement et mentalement, je ne dormais plus, je ne mangeais plus , je survivais dans ma rage, et quand j'en avais je brulais encore de vie!
Ca me rassurait de sentir encore en moi de la colère de la tristesse, d'accéder encore à mes souvenirs avec les émotions associées, mon raisonnement encore entier!
je me suis vue mourir intérieurement à petit feu, sans jamais écouter la partie de moi qui savait ce qu'il fallait faire pour rattraper le tir, (jusqu'à ce qu'un jour elle se taise et laisse place à des sentiments et des pensées embarrassantes et connes)
j'avais peur, j'étais comme dans un long état de choc, en train de réinsérer un corps trop petit, un état d'esprit familier du passé qui ne pouvait plus être utilisé car il comportait tous les codes naïfs que j'avais dépassé !!

Comment est ce possible de faire un retour en arrière aussi pourri?
Avoir perdu le grand amour en plein milieu de l'été, par pur auto sabotage sans motif, la réalisation professionnelle et permettre à ma famille d'évoluer par la même occasion?

J'ai toujours était un grand point d'interrogation instable du collège à mes 22 ans, je suis plus que le point de celui ci désormais, je n'arrive même plus à concevoir d'espoir, la matière qui fait qu'on créer en croyant un minimum avec sincérité même à de petits actes .

J'ai 23 piges comme toi il me semble et c'est comme si mon inconscient était mort, mon âme n'a pas d'odeur, je n'ai même pas pris la décision de me suicider quand j'en parlais avec des flammes dans les yeux et le coeur clairvoyant.

Aujourd'hui je sais que je n'y arriverais pas, car j'ai choisi ou plutôt le fait de n'avoir pas choisi m'a fait prendre la pire voie: je vis sans vivre, mon cerveau est une lavette essoré, je suis polie comme on m'a appris et tout va bien dans le meilleur des mondes mais je sais bien que j'ai perdu tout ce qui faisait de moi une personne un minimum consistante.

J'ai passé un mois dans ma chambre a éteindre ma conscience dans le noir en pensant mourir en ralentissant mon rythme cardiaque, mais je ne suis pas une fourmi. J'ai pas les couilles de m'envoyer une trop grosse dose d'héro plus des médocs toute seule.. Parce que je ne veux pas crever seule, je veux être sure de crever surtout.
Et puis j'ai un nouveau job, pour rassurer l'entourage, un taff qui me demande juste d'être... polie et opérationnelle physiquement. Bien qu'on pourrait l'exercer avec plus de coeur. Que faire? Je suis un robot, j'espère que toi tu as des nuances, des sincérités dans ton coeur. Les mots m'énervent...Et la matière de ma pensée me frustre...

"Où sont passés mes principes?! Ils se sont envolés, pire j’ai l’impression qu’ils n’ont jamais existés!!"
C'est cette phrase qui m'a faite me dire qu'il fallait peut-être que je te réponde car je ne sais pas comment c possible, mais je ressens aussi ça et j'ai l'impression de ne plus exister à mes propres yeux, je me suis autodiscréditer.

Après, il doit y avoir des nuances certaines entre ton ressenti et ma com préhension/assimilation et j'en suis déjà attristée d'avance (pas apporter la réponse déclic). J'ai essayé plusieurs drogues rien ne me fera ravoir la logique de ma vie d'avant (ayahuasca maybe ??uuh)


C'est très long, porte toi au mieux !! je ne sais pas si mon message est utile,je me dis juste sait on jamais![/quote]
Salut!
Tu as bien fais de poster!

Je dois dire que ça fait bizarre, presque flipper car en te lisant, il y a certains passages ou j’ai vraiment l’impression de me lire moi-même!

C’est surprenant car c’est la première fois que quelqu’un a l’air de comprendre ce que j’essaie d’exprimer.

Honnêtement je comprends également très bien chacune des lignes que tu as écris, fut également un temps ou j’étais plein d’espoirs et persuadé d’avoir trouvé une raison de me lever le matin mais ce n’était qu’illusion.

Désormais comme toi j’ai trouvé un emploi qui rassure mon entourage mais en réalité je n’ai jamais été aussi bas psychologiquement.

Au final on nous traiterait d'égoïste si on se laissait divaguer totalement je me trompe? Je ne pense pas..

Ton histoire me touche beaucoup, tu as l’air d’avoir vécu beaucoup de choses.

Je pense que le fait que tu sois encore là avec tout ton passé prouve que tu es quelqu’un de fort!

Tu as dis  « J’ai l’impression de ne plus exister. » C’est tellement juste.

Tu crois qu’un jour les anciens « nous » referons surface?

Tu crois qu’un jour on recommencera à exister?!

Cette question laisserait présager une once d’espoir mais pas sûr!

Prends soin de toi!
Peace. …

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[quote=Anonyme2553]Coucou Speedy,

Merci pour ton post ! Y'a jamais de mal à vider son sac !

Suis passé par là aussi ! mais Je vois le verre à moitié plein !
Ce qui va suivre, c'est mon avis (en tant qu'UD & spectre bipolaire), libre a toi/à ceux qui lisent de critiquer, commenter, comme tout avis, il est forcément incomplet !

Mon petit doigt me dit que ça fait longtemps que tu as commencé d'apprendre à vivre avec la "maladie" (la drogue comme auto-médication ? béquille très utile !)
Tu sais sûrement depuis longtemps que t'es différent, que ta conso est différente.

Attention, warning, avec ces histoires de diag tardif : c'est très utile car ça informe et ça soulage ; MAIS AUSSI ça "condamne" et ça vient expliquer a posteriori tout ce qu'on laisse parfois s'effilocher (la conso, l'humeur, les relations...). Tentation du "c'est comme ça" & de la révélation (se méfier de l'effet révélation qui vient providentiellement d'une autorité en blouse blanche et qui verrouille ta vie pour les 50 ans à venir !)

La "maladie" est une entité nosographique psychiatrique, pas une identité ; en revanche, tes symptômes t'appartiennent en tant qu'individu libre (à ce titre, tu en sais autant que le psychiatre, tu sais comment tu fonctionnes; tu ne vas pas attendre qu'il te dise comment vivre !!). Et visiblement, tu les gères ! "Il n'y a pas de solutions", selon le psychiatre ! Mais tu en as toi, des solutions, t'es plus malin que lui : les substances, les passages à l'acte qui font soupape, le "toucher le fond" qui permet de s'assurer que la réalité est bien tangible et accueillante (les insécurités !!). L'individu est plastique & inventif : nos mises en danger ressemblent souvent à des déclarations d'envie de vivre !!!

L'homme "malade" selon le DSM et la manie du diag pathologique qui immobilise (je n'ose pas dire pétrifie) transforme l'individu en "patient" (car il attend sûrement que les poules aient des dents !!). Patienter (en souffrant), quel programme !!

Sans même le remarquer, tu t'es adapté, tu t'es inventé, tu t'es auto médicamenté. Et au-delà de ça, tu as sûrement des "refuges" à toi. C'est le génie de l'être humain : déjouer son destin et les discours établis.

Le diagnostic renseigne sur les causes étiologiques, jamais sur l'à-venir & ce qui peut se passer. Aucun psychiatre, ni aucun livre ne nous aide à savoir ce qui peut se produire. Sinon on croirait la Bible sur parole ! Nul n'est prophète !

Le fait de suivre un traitement médicamenteux peut tout à fait aider sur le plan gestion de l'humeur et tu devrais peut-être reconsidérer ton choix de n'en suivre aucun...mais ça ça me regarde pas.

Quand au fait de te "torturer l'esprit quand les actes dépassent ta conscience", aucun médicament n'y pourra jamais rien, dieu merci sinon on vivrait dans Matrix !! (sauf des sédatifs qui n'ont pas d'intérêt dans ce cas).

L'homme vient au monde prématuré, et nu comme un vers. La seule richesse qui lui est propre et dont il jouit à vie, c'est le langage. Le corps et l'esprit sont comme des tissus qui réagissent sous l'effet du langage. Rien de magique dans tout ça : débrouiller les nœuds de sa vie (et à 20 ans ça en fait des années !), parvenir à se dire, à toucher un bout de vérité, à se rétablir dans un langage plus familier, plus accueillant. Se frotter à ce langage hérité d'abord de nos parents (ou autres !), qui s'imprime en nous avec ses marques d'affection, ses chagrins, ses blessures cachées : même notre prénom & notre nom ne dépendent pas de nous. Même ça on ne le choisit pas, alors c'est pas pour encore être rangé dans une catégorie psy rigide !

La psychiatrie, ce n'est pas la chirurgie. la chir ça soigne avec des solutions techniques, des recettes. Les chir sont des bouchers surdiplômés, c'est tout (les rebouteurs à l'époque !) .

La psychiatrie, c'est autre chose ! Chaque individu devant sa souffrance est une nouvelle page blanche...d'où l'art, les livres, les passions, les amis. Vivre, c'est une tentative renouvelée à chaque génération de se dire "à sa manière".

Bref, j'arrête de divaguer.

Le psychiatre est une autorité médicale avec du bon et du mauvais (restons nuancé). Mais la seule autorité sur ta vie, le seul autorisé, le seul auteur de toi-même, c'est toi; pas la maladie, ni le docteur (je ne dis pas médecin, car le psychiatre ne guérit pas). En ce sens, il n'y a pas de "maladie", cette maladie, c'est toi-même, ce qui te constitue, ce qui fait partie de toi. Il n'y a pas d'ennemi en toi, pas de maladie autonome qui prend le dessus. La maladie, c'est un mot car il fallait bien ranger un peu le réel, classer les "patients" en ayant l'air scientifique et essayer de nommer car on n'en sait pas plus. Au XVe siècle, on associait les mécanismes du psychisme à "la bile noire", une invention loufoque et sans fondement qui a permis de nommer ce qu'on ne connaissait pas vraiment; un nom ça range, ça catégorise, et ça rassure ! Et ça a très bien marché cette histoire de bile noire pendant plusieurs siècles : l'homme a horreur du vide théorique, mieux vaut inventer un nom plutôt que savoir que y'a rien, L'INCONNU (La Terre a longtemps été plate hein !).

En ce sens, il n'y a pas vraiment de malade, il n'y a pas de soignant/soigné. Il n'y a que des individus qui sont ce qu'ils sont. Et aucun diplôme n'y peut rien, le seul bout de connaissance sur toi (car y'a pas de connaissance absolue), c'est toi qui l'a.

Bien sûr, la "maladie" est là, sa gestion au quotidien, ce qu'on subit, les hauts et les bas. ça c'est bien visible, je ne le conteste pas. Je ne mets pas en doute entièrement le savoir médical & psychiatrique (y'a pas de savoir absolu après tout) ; je pointe quelques contradictions dans la psychiatrie en tant que discipline et sa pratique ainsi que des lacunes en termes de communication du savoir psychiatrique qui ont des conséquences importantes sur le développement des individus qui sont un jour ou un autre de leur vie confrontés à un parcours de soin psy (quel qu'il soit, HP ou consultation).

Je pense à tous ces enfants/ados : que faire d'un diagnostic de schizo, bipolarité, border à 18/19 ans... ? Je n'ai jamais été d'accord avec Rimbaud d'ailleurs : 18/19/20 ans sont des âges bien ingrats et il en faut de la force pour gérer d'un côté un quotidien quand manquent inévitablement les mots pour comprendre/dire & de l'autre laisser les portes ouvertes de sa vie. Putain à 18 ans, on n'a pas envie d'être "malade", et d'entendre ce jargon psy qui veut pas dire grand chose d'ailleurs !

Peut être un conseil : ce qui peut être utile dans ton cas, c'est une psychothérapie suivie. Un vrai moment de parole qui te permette d'éclaircir ces actes que tu sembles subir, de démêler quelques nœuds, de vider ton sac (tiens on y revient, comme au début du post !). Quand on parle, on finit par trouver (une voie, un refuge, une orientation...), et ça tombe bien car "trouver" en Français médiéval, avait aussi le sens du mot "inventer"...

Je suis concerné par la bipolarité et ces temps de parole m'ont bien aidé à titre perso. J'ai aussi touché le fond parfois, j'avais l'impression que y'avait zéro pilote à bord, que certaines de mes actions me dépassaient. Certaines choses ont changé, d'autres non, y'a pas de miracle. La parole ne guérit pas (sinon le philtre d'amour et Harry Potter seraient vrais !), elle apaise, elle fait des liens, elle redit, elle recrée. Cette parole que je m'autorise sur moi-même deux fois par semaine en thérapie, c'est voyage le plus utile que j'ai jamais entrepris !!

*quel pavé, c'est un sujet qui m'emporte !*

Je te souhaite de tenir bon face aux obstacles que tu rencontres et d'aller mieux !

Amicalement[/quote]
Salut Jérimadeth, merci beaucoup d'avoir pris le temps de me répondre et pour ton superbe point de vue!

Effectivement je me reconnais très bien dans ce que tu as écris mais je vois que tu as déjà fais plus de chemin que moi et cela me réconforte de voir que certains arrivent à gérer malgré tout.

Je penserai fort à ce que tu as écris quand les temps seront durs et je suis persuadé que cela m'aidera! Un grand merci. …

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[quote=Figuration]Salut, merci pour ton témoignage.

Si je peux demander, comment se passe la thérapie?

Je pense également entamer quelque chose.

Bon courage et plein de force pour la suite, il doit être possible d'apprivoiser ses démons, au moins un peu :)[/quote]
Salut Figuration,
alors je n'ai actuellement pas de thérapie car je n'en n'ai pas les moyens j'ai juste eu suffisamment de moyens pour me faire diagnostiquer.

Néanmoins le rendez-vous m'a tout de même fait beaucoup de bien.

Je te souhaite bien du courage et réussite si tu entreprends une thérapie! ;-)

 » Le blog de Oùestmonbonheur » About last nuit

Salut!
Et bien je pense que tu fais bien de te laisser respirer si ta consommation est comme tu dis “non dangereuse”!
Nous sommes tous différents à ce sujet certains vivront bien le fait de consommer 4g par semaine alors que d’autre se prendront la tête pour 1g par mois.
Je suis également du genre à m’inquiéter énormément au sujet de ma consommation mais les rares fois où j’ai pu lacher prise qu’est-ce que c’était bon!!!:punk3:
Mais je pense que tu devrais tout de même rester prudente, le point de non-retour n’est jamais très loin!:salut:
Peace

 » Le blog de speedygonzalez » Le grand frisson

[quote=anonyme784532]Je compatis, j'ai commencé depuis pas très longtemps les psychédéliques et parmi les raison et les autosuggestion il y a celle de vivre des expériences qui sortent de l'ordinaire, de s'évader de la routine si ennuyante à mes yeux ! et je peux dire que j'y suis parvenu avec succès grâce au LSD et qui plus je recherchais une substance qui me permettrait de m'évader en prenant le moins de risque quant à la santé physique et au pouvoir addictif de la  substance et le LSD était le produit tout trouver, toxicité modéré et addiction quasi impossible (tout du moins physiquement...)

Je comprends que tes envie de brûler la vie par par les deux bouts mais avec l'âge on fini par s'assagir, je suis un petit peu plus âgée que toi (30ans) et je n'aspire pas à une vie à cent à l'heure mais dans le fond je n'ai jamais vraiment souhaité vivre une vie à cent à l'heure, disons que j'ai un tempérament pépère, ça aide à rester tranquille mais je peux comprendre que tu aspire à une vie trépidante. 

je peux comprendre que tu sois perdu entre le marteau et l'enclume. Entre la raison qui te tiraille et l'ivresse de la jeunesse mais qui dit vie rangée ne veut pas nécessairement dire vie ennuyante à en mourir. ça dépend ce qu'on en fait. Perso je ne dirais pas non à une vie rangé professionnellement, j'en ai raz le bol de galérer, je ne dirais pas non à une petite vie pépère, loin de la précarité et du stress que cela engendre, le métro boulot dodo me conviendrait pas si mal et en prime un peu de L ou de tryptamine de temps à autre pour égayer le tout et ce serait parfait :D

C'est sûr que pour le moment la covid ne facilite pas les choses en matière de consommation ! La morosité ambiante peut pousser à consommer plus que de raison. C'est un peu le piège qu'il faut tenter d'éviter en ces temps troublés[/quote]
Salut! @supermario64

Tu l'as si bien dis, la routine est quelque chose qui me fera toujours peur, ton témoignage est très intéressant, peut-être devrais-je également me tourner vers les psychédéliques mais je crois que je pourrai le faire une fois ma consommation de stimulant arrêté depuis un certain temps.
J'ai essayé à plusieurs reprises différents psychédéliques "4aco-dmt, LSD, "2-cb" mais aucune de ces expériences n'a été concluante pour moi, au contraire certaines ont même été traumatisante je dois dire. :gerbe:
J'ai pourtant toujours respecté les dosages et le set and setting.
J'en avais conclu que les psychédéliques n'étaient pas faits pour moi mais peut-être que lorsque j'aurai 30 ans et stabilisé ma vie cela pourrait devenir un plaisir comme dans ton cas.

Ah je te comprends si bien lorsque tu dis que tu en as marre de galérer.
C'est tout ce que je te souhaite pour le futur, ne t'en fais pas tu m'as l'air d'avoir les pieds sur terre alors il n'y a pas de raisons que tu ne trouves pas la stabilité!
Profite bien de tes futurs expériences psychédéliques et merci d'avoir pris le temps de me répondre!;) …

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