"Légaliser le cannabis : une vraie très mauvaise idée !"

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PSYCHOCRACK
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"Légaliser le cannabis : une vraie très mauvaise idée !" rédigé par Jean Costentin, publié par JIM

http://www.jim.fr/medecin/jimplus/e...

Légaliser le cannabis : une vraie très mauvaise idée !

Paris, le samedi 13 février 2016 – Depuis plusieurs années, l’apparente inefficacité de la stratégie prohibitionniste pour empêcher la progression de la consommation de cannabis a inspiré certains observateurs du monde politique à  préconiser une autre approche, soit une autorisation sous contrôle de cette substance. Une telle stratégie permettrait, selon eux, de mieux réglementer la distribution et la composition de ce produit et de renforcer les mesures de prévention et d’accompagnement des sujets les plus à  risque remarquent les défenseurs de cette position.

Récemment, le professeur Bertrand Dautzenberg, acteur majeur de la lutte contre le tabagisme, a défendu une proposition semblable lors du 20ème congrès de pneumologie de langue française après avoir exposé son point de vue devant la presse. Il avait bien sûr pris soin de rappeler : « Je suis contre le cannabis comme je suis contre le tabac. Il ne faudrait pas en prendre du tout ». Cette précaution oratoire n’a cependant pas empêché que de nombreuses critiques fusent contre sa proposition.

Ardent pourfendeur du cannabis, qui s’attèle à  en rappeler systématiquement les dangers, le professeur en pharmacologie Jean Costentin s’insurge sévèrement et non sans ironie contre les préconisations du professeur Dautzenberg n’hésitant pas à  affirmer que ce dernier a imaginé un stratagème pour faire régresser la consommation de tabac en ignorant la toxicité extrême du cannabis, qu’il rappelle pour sa part de manière détaillée. Il s’inscrit par ailleurs en faux contre l’idée selon laquelle une autorisation obtiendrait des résultats plus probants qu’une interdiction.

Par le professeur Jean Costentin*

Le professeur Dautzenberg vient d’imaginer, pour baisser la consommation de tabac, de lui substituer le cannabis. Souvent un chercheur réserve au congrès où il doit s’exprimer, la primeur de ses déclarations, qui pourront ultérieurement être portées à  la connaissance du public. Impatient, Mr. Dautzenberg a irrépressiblement communiqué ses cogitations à  la presse, avant de les soumettre à  la discussion des spécialistes de pneumologie réunis en congrès à  Lille. Comme il s’y attendait, la machine médiatique, si conciliante avec le cannabis, s’est enflammée. Elle vit aussitôt en lui : un « grand médecin », un « pape de la lutte anti-tabac », un « médecin réputé et reconnu », un « médecin de renom », « l’homme de science », un « éminent professeur » (on trouve tous ces propos laudatifs dans le Parisien - Aujourd’hui en France du 29 janvier 2016). Parions que s’il avait tenu des propos prohibitionnistes sur le cannabis, ils n’auraient pas été restitués, ou un entrefilet aurait rapporté qu’un obscur pneumologue avait expiré une bouffée de sottise d’un autre âge sur cette drogue. Ainsi, la déclaration du Pr. Dautzenberg, en faveur d’une légalisation du cannabis, a eu un très beau retentissement médiatique.

« Un homonyme ? »

Cette posture nous navre, et ce d’autant plus que nous avons épaulé la lutte qu’il a menée contre le tabac. Avec d’autres consœurs et confrères qui ont soutenu son action nous sommes éberlués, secoués (succutés pour parler comme les pneumologues) par ses ruades et foucades. « Ce n’est pas lui !  », « Un homonyme ? », « La presse n’a pas compris ». J’ai entendu tout cela mais, hélas, ni ses dénégations, ni ses démentis, ni ses protestations. Oui donc, Mr. Dautzenberg, pour alléger l’insupportable pression qu’exerce le tabac sur la santé de nos adolescents, a imaginé une manœuvre de diversion, visant à  transférer leur appétence tabagique sur le cannabis. Pire qu’une fausse bonne idée il s’agit d’une vraie très mauvaise idée.

Le champ des substances psychoactives trop petit pour le vaste appétit des jeunes

Les jeunes, à  la question posée à  la cantine du lycée : « poire ou fromage ? », répondent, avec ce bel appétit, apanage de leur jeune âge, « mais des poires et des fromages ! ». C’est par le tabac qu’ils apprennent à  fumer et, dans la logique toxicomaniaque du « toujours plus, toujours plus fort », ils en arrivent aux "joints" ; ajoutant au tabac de la résine de cannabis, (haschish / shit) ; alternant les cigarettes du seul tabac avec des " joints". Pour éliminer le tabac associé au shit, Mr. Dautzenberg propose qu’ils fument seulement le cannabis plante ("l’herbe", "la beuh" en verlan, la "marijuana"), en permettant sa vente libre. Mais le compte n’y est pas, car ils veulent aussi le tabac ! Rappelons à  Mr. Dautzenberg que l’adjonction de résine de cannabis au tabac, tout comme la présence naturelle de cette résine sur les fleurs et feuilles du cannabis, augmente de 200°C la température de combustion de l’élément végétal ; ce qui accroit sa décomposition thermique (pyrolyse) et génère ainsi 7 fois plus de goudrons cancérigènes que la combustion du seul tabac, et produit aussi cinq fois plus d’oxyde de carbone (CO).

Cocktail gagnant

L’association tabac-cannabis n’est pas fortuite ; le toxicomane demande aux effets stimulants de la nicotine de pallier les effets sédatifs / psycholeptiques du tétrahydrocannabinol (THC) du cannabis. Ce THC ne fait pas passer l’envie de la nicotine, tout comme la nicotine ne fait pas passer l’envie du THC. Alors qu’il est si difficile de s’affranchir d’une seule addiction, qu’elle soit à  la nicotine ou au THC, quand les deux addictions sont installées il devient impossible de s’en affranchir. Bien que la nicotine rende plus volontaire, cette volonté ne permet pas de rompre avec le tabac. Le cannabis, lui, crée une aboulie, des troubles amotivationnels qui enlèvent jusqu’au désir même de s’en affranchir.

Une dangerosité cardiovasculaire plus importante que celle liée au tabac

On dispose de moyens, certes peu efficaces, pour aider au sevrage tabagique (varénicline, cytisine, bupropion..), alors qu’on est totalement démuni face à  la dépendance cannabique.

Même pour un pneumologue, les effets du cannabis, encore plus que ceux de la nicotine, ne sauraient être cantonnés au seul appareil respiratoire, ni même au seul niveau somatique, car les conséquences cérébrales du cannabis sont nombreuses et majoritairement délétères.

Au niveau de la sphère O.R.L. et broncho-respiratoire, tabac et cannabis sont aussi dangereux l’un que l’autre.

Au plan cardio-vasculaire, le cannabis est encore plus dangereux que le tabac. Il est (devant le tabac) la troisième cause de déclenchement d’infarctus du myocarde ; il est à  l’origine d’artérites des membres inférieurs chez des sujets jeunes (le tabac est moins impatient à  déclencher ce trouble) ; il est à  l’origine d’accidents vasculaires cérébraux, chez les sujets jeunes (là  aussi le tabac est moins impatient pour frapper). Le cannabis est à  l’origine de cancers du testicule du type « germinome non séminome », cancer qui n’est pas imputé au tabac.

Ravages sur le cerveau

C’est au niveau cérébral que la comparaison est encore, et de très loin beaucoup plus défavorable au cannabis. La nicotine stimule l’éveil, l’attention, la focalisation de celle-ci sur ce qui est pertinent, elle favorise la mémorisation. Elle réduit l’endormissement au volant, elle protégerait de la maladie de Parkinson… Le THC, lui, est sédatif / psycholeptique ; il est enivrant /ébriant ; il fait mauvais ménage avec la conduite automobile, surtout associé à  l’alcool. Mi-janvier, en pleine ville, à  Rouen, un conducteur ayant bu de l’alcool et fumé du cannabis a projeté sa voiture sur un arbre ; des six jeunes occupants, quatre ont été tués et deux autres très grièvement blessés…. Le cannabis, au long cours, induit anxiété et dépression avec, pour cette dernière, en embuscade, un risque suicidaire. C’est un très grand perturbateur cognitif ; il altère gravement les capacités d’éducation et d’apprentissage, que notre société, dans la compétition internationale, doit mobiliser d’une façon redoublée.

Le THC, inondant le cerveau en pleine maturation des adolescents, peut perturber très gravement celle-ci, au point d’engendrer des troubles psychotiques. Le THC peut soit induire la schizophrénie de novo, soit la décompenser, soit l’aggraver. Il crée de plus une résistance aux traitements symptomatiques qu’on lui oppose.

Des produits autorisés guère délaissés !

Le THC est un passage commun vers d’autres toxicomanies encore plus délétères (tous les héroïnomanes sont passés par la case cannabis). Quant à  prétendre, comme l’a fait le professeur Dautzenberg, que c’est l’interdiction qui crée l’attrait, on se demande s’il avait bien présent à  l’esprit le désastre des drogues licites, avec le chiffre des alcoolo-dépendants (4 à  5 millions) et celui des dépendants du tabac (13 millions). Si l’on ne compte encore "que" 1 600 000 consommateurs réguliers de cannabis en France, c’est parce qu’il est interdit. Prétendre que l’inclination à  la transgression, assez fréquente chez les jeunes, fait de l’interdiction du cannabis la raison de son succès, amène très logiquement à  penser que sa légalisation, les incitera à  pratiquer cette transgression en s’adressant alors à  des drogues encore plus "dures".

Le très mauvais exemple du contrôle du tabac

Prétendre que la légalisation du cannabis permettrait de contrôler sa vente, en l’interdisant aux mineurs (proposition avancée par les élus écologistes pour calmer les citoyens raisonnables) incite à  rappeler que 70% des buralistes ne respectent pas l’interdiction de vente du tabac aux mineurs. Si, dans une démarche protectrice, le prix en était trop élevé, afin d’être dissuasif, ou si les produits proposés étaient trop faiblement dosés, fleuriraient aussitôt les produits de contrebande, vendus sous le manteau. On connait déjà  trop bien tout cela, et ne cédons pas à  l’invitation de réinventer l’eau tiède.

Gribouille

Le pouvoir d’accrochage du cannabis est très grand, comme en atteste son recrutement, en France, de 1 600 000 usagers réguliers, en dépit de son caractère prohibé. Constatant le recrutement énorme opéré par le tabac et par l’alcool, qui peut exclure que la légalisation du cannabis ne lui fera atteindre les niveaux de consommation de ces deux drogues licites.

Se protéger du tabac en s’abritant derrière le cannabis est une sottise, à  la Gribouille, qui plongeait dans l’eau pour se protéger de la pluie.

L’urgence est d’éradiquer le tabac en renforçant son interdiction chez les mineurs, il n’est pas de leur faciliter l’accès, « par préciput et hors part », à  une deuxième drogue encore plus nocive que le tabac.

* Professeur émérite de pharmacologie

Directeur de l’unité de neuropsychopharmacologie expérimentale associée au CNRS (1984-2008) ; directeur de l’unité de Neurobiologie clinique du CHU de Rouen (1999-2010) ;

Membre titulaire des académies nationales de Médecine et de Pharmacie ; Président du Centre National de Prévention, d’Etudes et de Recherches sur les toxicomanies (C.N.P.E.R.T., depuis 2007).

Le titre et les intertitres sont de la rédaction du JIM

ASUD attaqué dans son propre livre !
P.-S.

Échec et mat, monsieur Costentin !

Costentin écrit bien, c’est quelqu’un de très instruit, cela ne fait pas l’ombre d’un doute. J’ai trouvé trois mots dans cette lettre dont j’ignorai même l’existence. Mais bon, instruction et intelligence n’ont rien à  voir en relation : vous en avez la preuve devant les yeux ! Ensuite, Costentin est jaloux : lui qui a dû inventer une "Théorie du cannabis apocalyptique" de sorte à  bénéficier des attentions de la Presse, de sa caste médicale et des autorités, s’est fait souffler la vedette par un confrère, presque inconnu auparavant (bien moins médiatisé) ! Cela passe mal !

Il n’est pas content le Costentin, amère même ! Car cette fois-ci, le coup porté provient de sa caste même, un confrère pneumologue, professeur de surcroit. Il le prend donc comme un coup de poignard dans le dos. Et critique fort son collègue pour "raison de vanité médiatique" ! "Comment cela, toi, tu as pu me faire ceci ?" ... en quelques sortes !

Le Professeur Costentin travaille- en dehors de ses activités purement pharmacologues - pour un lobbying pharmaceutique qui vend des médicaments qui tuent ou rendent malade mais là , c’est normal, personne ne peut et ne doit redire quoi que ce soit là -dessus !

Si l’homme en est là  où il se trouve, c’est à  dire boudé (dos tourné) par nombre de ses confrères - lâché plus précisément - c’est parce qu’il est à  contrecourant des découvertes faites par de récentes recherches, toutes étrangères bien évidement. L’homme en est toujours à  agiter le drapeau de Nahas - cet imposteur scientifique avec ses thèses moyenâgeuses et faussées- ce qui le fait passer pour la même sorte d’extrémiste mais antagoniste, que nous autres activistes du cannabis.

Il se retrouve donc marginalisé par une communauté scientifique qui se passionne au sujet des promesses médicales du cannabis et des découvertes que cela occasionne. Certes, pour eux aussi il y a des dangers dans cette plante, mais l’avis général pense que ceux-ci sont bien moindres que ne l’affirme Costentin et ne concernent que les situations d’abus et le plus jeune âge qui puisse en consommer. Et ne concerne certainement pas le cadre médical de la plante.

Comme tout médicament, le cannabis comporte des risques - cependant bien moindres au niveau toxicité et réactions graves ou létales. Donc, de plus en plus de voix annonce vouloir la légalisation de cette plante au su que sa consommation et ses abus peuvent être "gérables" !

Pour finir, nous n’avons eu de cesse à  dénoncer les élucubrations anticannabiques de cet individu. L’homme et connu comme l’inventeur du cancer du testicule pour raisons cannabiques :
(Source : CIRC-Lyon)

Mais il y a quelques choses sur lesquelles je tiens à  revenir :

- "Au niveau de la sphère O.R.L. et broncho-respiratoire, tabac et cannabis sont aussi dangereux l’un que l’autre.". Ben justement, Costentin n’est que pharmacologue alors que le prof. Dautzenberg est un pneumologue de renom, spécialiste de cette branche donc, et affirme le contraire. Tout le monde l’a clairement entendu le dire dans ces différentes participations dans la Presse. Le cannabis - sans tabac - n’est pas cancérigène, avec le tabac, si !

- (Le cannabis fumé) ... " ... génère ainsi 7 fois plus de goudrons cancérigènes que la combustion du seul tabac, et produit aussi cinq fois plus d’oxyde de carbone (CO)". C’est un constat mais la prohibition française et sa branche pseudo-scientifique, n’ont jamais prouvé qu’il fût plus toxique ou cancérigène que le Tabac.

En revanche - attaquez-moi en justice, cela tombe fort bien, j’ai besoin d’argent - des recherches étasuniennes qui justement, voulaient prouver ce fait, ont conclu que non seulement ce n’était pas ce qui était remarqué, mais qu’au contraire, ceux qui fumaient (modérément il faut le préciser) du cannabis, avaient moins de cancer que ceux qui ne fumaient rien du tout. Il existe donc un principe anticancéreux des composés chimiques du cannabis, qui agit et préviens du cancer et qui contrebalance l’effet toxique des goudrons et de la fumée.

- "Au plan cardio-vasculaire, le cannabis est encore plus dangereux que le tabac. Il est (devant le tabac) la troisième cause de déclenchement d’infarctus du myocarde ; il est à  l’origine d’artérites des membres inférieurs chez des sujets jeunes (le tabac est moins impatient à  déclencher ce trouble) ; il est à  l’origine d’accidents vasculaires cérébraux, chez les sujets jeunes (là  aussi le tabac est moins impatient pour frapper)."

Rien ne prouve ses affirmations. De plus, le nombre de cas (plan mondial) ou le cannabis est "suspectés" (parce que présent dans le corps des décédés) d’avoir provoqué la mort par arrêt cardiaque se compte sur les doigts des deux mains. Idem au sujet des artérites dont on soupçonne aujourd’hui que le cannabis n’est que le vecteur d’un empoisonnement à  l’Arsenic (de la résine de cannabis extraite de plantes ayant poussés dans des sols saturés en arsenic). Quant aux accidents vasculaires cérébraux ... ce n’est pas que je veux forcément prouver que monsieur Costentin est dans l’erreur, mais qu’il m’apporte les preuves scientifiques de cette « réalité médicale ».

- "... Le cannabis est à  l’origine de cancers du testicule du type « germinome non séminome, cancer qui n’est pas imputé au tabac ..." Pour le cancer du testicule : là  encore, on ne peut pas parler de généralisation de cas : cela reste des exceptions dont l’accusation portée de la cause reste très théorique. Pour autant, le cannabis est défendu depuis si longtemps que ma mémoire défaille (sans THC) dans l’effort de ce souvenir et, force est de constater, que du cannabis "pur" - sans adultérant toxique - n’existe presque pas dans le marché noir français grâce à  l’action politique et répressive des acolytes de Costentin.

Peut-on alors suspecter des "produits de coupes" de provoquer des cancers ou d’autres maladies. Je ne suis qu’un éminent "rien du tout" au niveau des diplômes médicaux, mais il semble bien que "oui" : le problème de l’adultération des sous-produits du cannabis est bien une réalité de Santé Publique. Il manque des études à  ce niveau-là , ce qui n’empêche en rien - même au contraire lui permet - d’affirmer tout et n’importe quoi sur le sujet.

Je vous fais ici grâce du reste ... vous l’avez découvert par vous-mêmes ! L’emploi de l’expression "Ravages sur le cerveau" (d’adultes) et vide de sens comme d’arguments ... c’est pour cela qu’il y glisse un accident automobile - cas malheureux particulier !

Le tort de Costentin est de détester le cannabis au point d’en faire un "caca nerveux" quand on le contredit ! C’est qu’il a basé sa réputation sur ce "combat". Si vous lisez bien ce qu’il explique ici, alors que le prof Dautzenberg veut voir disparait le tabac des joints, Costentin rabâche ses argumentations basées sur du cannabis fumé avec du tabac et dans un cadre abusif. Il est donc "à  côté" de la plaque !

De plus, c’est une façon coutumière de faire par les chantres de la prohibition, quand il utilise des cas particuliers d’accidents (automobiles) et les intègre dans un contexte qui laisse croire à  leur généralisation.

Je crois qu’il a perdu la partie - vis à  vis de ses confrères - et ce baroud d’honneur qu’est cette énième communication prohibitionniste, vient de lui enfoncer définitivement la tête dans la rubrique "médiocrité".

Échec et mat, monsieur Costentin, c’est pour vous et vos complices, le début de la fin !

Le cannabis est-il innocent de tout alors ? Bien sûr que non : cela reste une drogue avec des possibilités d’abus qui ne sont pas aussi dramatiques que le hurle Costentin, mais qui peuvent avoir leur lot d’inconvénients dans le cadre de consommations immodérées. Mais cette situation sera mieux maitrisée dans un cadre légal et contrôlé que dans la clandestinité, c’est d’une évidence !

Jean-Louis Bouvarel, éminent casse-nouilles de prohibitionnistes délirants !

Costentin cannaNické !

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Dernière modification par PSYCHOCRACK (14 février 2016 à  09:55)

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