Alcool - rétro spectif VS actuel

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ExpériMentaleFrénésie
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En effet, ce matin, par un belle journée ensoleillée, pleine de projets, dont la préparation de mes examens relativement proches, l'alcool est revenu frapper à  ma porte.
Et oui, je lui avais dit "merde" à  l'approche de mes 16 ans, après m'être rendu compte que notre relation était plutôt toxique, surtout niveau estime de soi.




Mais voilà , ce matin, le soleil m'a réveillé en me chatouillant les paupières, et je me suis éveillé. La première idée à  avoir émergé dans ma tête est : "J'ai envie de boire. Boire. Boire, jusqu'à  me noyer dans mon ego."
Ainsi, je me suis levé d'un bond et suis descendu trouvé les bouteilles de whisky a utilisation occasionnelle de mes chers parents. Le vin, qui doit s'être transformé en porto depuis son ouverture de longue date, y est également passé.
Pourtant, pas grand chose. Je fait entre 45 et 48 kg, dont ça devrais réagir vite.


Ah, je ne suis pas déçu. Ca y est. Je ressens la vague de chaleur en moi avec quelques minutes. Peut être que je transpire un peu. J'avais froid en me réveillant, mais ce n'est qu'un souvenir incertain. Tut semble incertain. Et j'en souris rien que d'y penser. Quel plaisir.

Il faut que j'appelle B. Il faut que je lui dise que je suis rentré chez mes parents pour la semaine et que je veux le voir!
Je l'ai au téléphone, je regarde les bus et je peux être là  dans une heure : parfait, je peux m'habiller, boire, et atteindre l'arrêt sans trop de stress.

Je fais un petit mélange, j’afonne. C'est pas si mauvais. J'ai toujours le sourire scotché aux lèvres. Tien, je me ferais bien un petit scotch si j'en trouve... Mais mon compte en banque me dit "merde" et puis, en montant dans le bus, je me surprend en grosse montée. Je ne marche absolument pas droit. Heureusement qu'ils ont mis des sièges pour se tenir.
Tout est flou, tout "vibre", dans ma vision, rien n'est net. Et certainement que moi non plus. Surtout vu le choix des fringues, j'ai voulu faire dans l'original, hahaha!
Ouf, enfin arrivé. j'ai cru que ça ne n’arrêterais jamais, alors qu'il n'y a que 20 minutes de trajet. Je trépigne d'impatience. Pourtant B est en retard, pas grave, je me roule une cigarette et contemple la vie active autour de moi. En ville, les gens se pressent, s'affairent. Et je reste planté la là , le sourire béat. A tirer sur ce truc comme si, à  chaque latte, je calcinais tous mes soucis.

B est là , je le vois.
A partir de ce moment, je ne calcule plus top. On est allé faire un tour en ville. Je suis un peu descendu. On est parti chercher un truc à  manger. je descend petit à  petit.
On discute, on fume. Je descend mais je passe du bon temps avec B donc ça ne fait rien.


La lune chasse le soleil et il est temps pour pour moi d'attraper mon dernier bus.
Hum, j'avais cours aujourd'hui, non? Si.
Ah, dommage. Oh c'était pas spécialement un cours intéressant à  mes yeux. J'enverrai un certificat.


Dans le transport, je ressens une grosse fatigue. Je me coucherai tôt ce soir.
J'arrive chez moi, mes parents sont en haut. j'en profite pour manger un peu de pain, histoire d'avaler quelque chose. Histoire de donner un truc plus sympa à  mon foie.
Ils ne remarquent rien. Me demandent juste pourquoi je ne suis pas retourné dans mon chez moi. Je leur dit que j'ai été malade. Ils me croient, ou font semblant, je m'en fous.
Parfait.


Le lendemain je reprendrai la route vers ma routine. Comme si de rien n'était.




Aujourd’hui

Oui, ça peut vous paraitre décalé mais cela s'est produit il y a un peu moins de deux semaines environ. Aujourd'hui, il est revenu me titiller alors que je m'apprêtais à  étudier.

Un salut à  la famille. Puis la paix. Me voilà  confronté seul avec mon ego.



Je vous écrit alors que je suis encore saoul. Et tant mieux.
C'est plus "brut", direct.
Mais j'essaye de m’appliquer à  l’écriture. Et je remercie les correcteurs orthographiques, sans quoi la compréhension de mes ressentis seraient incompréhensibles.

Je ne sais pourquoi cette substance est revenue à  mois des années après (avec un verre de vin de temps à  autres) me titiller la conscience avec ses tourments si évasifs, mai je l’apprécie sans questionnements. Mon crâne est vide et mon esprit est flou.
Je met un peu de musique, sinon j'entends des bourdonnements, plus dérangeants qu'étranges.



Vous l'aurez compris, j'ai déjà  bu.
Midi à  sonné, j'ai commencé.
16h40, ça fait un bout de temps que je picole, mais plus doucement cette fois-ci.

Le récit avec "aujourd'hui" avait été écrit au clair, il y a peu.

Je n'ai aucune idée du pourquoi j'ai eu de me saouler à  nouveau; alors que je n'aimais ni le goût ni l'effet de la substance en question. Ca me rendait trop dépressif ou en colère. Ca me faisait... heu, je ne sais plus. Mon crâne est vide. Je ne touche plus rien. Profitons-en.
Profitons-en également pour donner mon avis sur cette DROGUE.

Étonnamment, elle me met dans un état second comme le faisait les tazs. Plus que la MD, sans bruxisme. Ou alors tout de mêle un peu. Elle me rend stupide, inutile, écervelé, hyper-émotionnel,... Et put* qu'est-ce j'aime ça!
Par contre elle me rend malade, mais ça c'est rien. Ca fait partie du jeu...


Je ne saurais, après réflexion (alcoolisé), en exprimer plus sur mes ressentis.

Il n'empêche que je me questionne toujours sur le :
- Pourquoi est-il revenu après si longtemps?
- L'apprécierais-je mieux qu'avant?

Et là  question courante :
-Suis seul dans ce cas?



Je vous remercie de m'avoir lu. Je ré-éditerai peut être ce post une fois clean, s'il est trop illisible.

D'ailleurs, je qualifierais l'alcool de drogue plus forte forte niveau "déconnexion" que le cannabis (dit "drogue douce").
En sachant que je refuse le classement de catégorie des drogues "douces" ou dures", mais bien juste par grade de "déconnexion au réel". Je le mettrais juste en dessous des tazs (speed+MDMA (+ prod de coupe.......)).

Belle soirée (ou aprem?) à  vous.
Amusez-vous. Préserver votre frénésie de vivre.




.EMF



REEDIT 1 : Quelques horribles fautes d'ortho....

Dernière modification par ExpériMentaleFrénésie (14 mars 2017 à  17:05)


Si votre quotidien vous semble insipide, c'est que vous ne vous y investissez pas encore assez.

"Je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme"
-William Ernest Henley- "Invictus"

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mikykeupon
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Je peux te parler de mon expérience ayant un passé de très gros alcoolique, jusqu'à  plus de 6L par jour. Aujourd'hui je peux passer plusieurs semaines sans boire, et avoir de l'alcool devant moi sans en avoir envie.
Hier j'ai été faire des courses, je me suis dit "tiens, pourquoi pas un petit pack de bière", puis je me suis rappeler que mes finances ne sont pas trop dans le vert en ce moment, donc j'ai continuer mes courses sans y penser, et aujourd'hui je ne regratte pas. Je préfère aller me boire un demi au café histoire de ne pas être seul, et j'adore l'ambiance des bars PMU.

L'envie de l'ivresse doit te venir du fait que tu as arrêter de boire sans remplacer ce produit par autre chose. Pour ma part c'est le sport, le thé et mon investissement de militant qui l'emporte.
Au début de mon militantisme je buvais beaucoup, mais je n'étais pas fière de la qualité de mes réponse, donc j'ai commencé à  vouloir diminuer afin d'être plus efficace dans mon activité, car comme tu l'as bien dit

Elle me rend stupide, inutile, écervelé, hyper-émotionnel,...

Est-ce-que tes études te plaisent au point de te mettre dans des états qui ne te permettent pas d'être efficace ?

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ExpériMentaleFrénésie
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Tout d'abord, je te remercie de ta réponse.
Ma consommation est bien moindre que ce que la tienne ait pu être.
J'ai cru remplacer l'alcool par le cannabis, mais je ne fume pas comme je bois. Je fume plus, mais je suis bien plus "inutile" quand je bois. Fumer me permet quand même de réaliser la plupart de mes projets.
En fait après réflexion, j'avais remplacer l'alcool par les tazs. Puis je n'ai plus aimé, et puis c'est surtout un S.Séroto qui m'a bien calmé. Donc oui, au final, je ne l'ai plus vraiment remplacé.
Je dois trouvé quelque chose qui m'aide à  me construire plutôt que me détruire.


mikykeupon a écrit

L'envie de l'ivresse doit te venir du fait que tu as arrêter de boire sans remplacer ce produit par autre chose. Pour ma part c'est le sport, le thé et mon investissement de militant qui l'emporte.
Au début de mon militantisme je buvais beaucoup, mais je n'étais pas fière de la qualité de mes réponse, donc j'ai commencé à  vouloir diminuer afin d'être plus efficace dans mon activité, car comme tu l'as bien dit

Elle me rend stupide, inutile, écervelé, hyper-émotionnel,...

Est-ce-que tes études te plaisent au point de te mettre dans des états qui ne te permettent pas d'être efficace ?

Mes études me plaisent, oui. Bien qu'après six mois, comme à  mon habitude, je change subitement d'intérêt. Pour cet examen-ci, c'est de la matière que j'adore. C'est très intéressant. Ce n'est pas le sujet principal de mes études mais ce vers quoi je me dirigerais plus à  présent.

Je ne sais pas. Je crois que je suis un peu perdu, mais ça comme à  faire longtemps quand même.
Alors je me trouve des activités. Histoire d'arrêter de me questionner sur : "Mais pourquoi est-ce que je fais ce que je fais? Quel but? A quoi ça mène?". Bref, la tornade cérébrale qu'il faut éviter car il n'y a aucun réponse. Que celles qu'on se donne, et encore faut-il y croire.
Ca dépend vraiment des jours. Parfois je me réveille avec tellement d'idées que je pourrais refaire le monde, enfin, du moins le mien. Et parfois, j'ai juste envie de m'enfuir de celui qui m'entoure.




Le thé ça m'aide aussi, on se sent plus "sain". En fait, ce sont tous ces petit gestes, comme le sport (je compte m'y remettre aussi), qui font qu'on a l'impression de vivre plus sainement. Et qui nous donnent envie d'accomplir des choses, d'aller au bout et du mieux qu'on peut. Pour ressentir cette satisfaction personnelle qui nous enlève l'envie de nous auto-détruire.
Car s'auto-détruire aussi : à  quoi bon?




Quand j'ai eu mes premiers examens de l'année. Tout se passait bien. J'étais à  fond dedans. Je n'avais même pas l'impression de travailler. Puis ça s'est atténué peu à  peu.
Alors j'ai voulu me reprendre en main en me disant : petite pause-cure avec la famille, dans un coin paumé pour mieux étudier sans tentation. Une semaine, ça devrait aller.
Mais au bout de trois jours j'ai littéralement pété un plomb.

Rien ne rentrais dans mon crâne. Etre assis là  à  me faire du bourrage de crâne m'en rendu fou. Je ne restais pas en place. Quand je restais seul, je mettais la musique la plus bruyante et excitante à  fond, je dansais comme un dingue. J'avais besoin de me défouler. Mais j'avais surtout envie de me défoncer, sortir mes tripes, m’exploser la cervelle.

Normalement il devait me rester quelques AD ((Alprazolam 0,25mg) je n'ai aucun traitement, j'ai juste récupéré la boîte) dans mon sac. Il fallait que je prenne quelque chose. C'était la seule chose que je pouvais trouver pour me calmer et m'aider à  bosser.
Mais je ne les ai pas trouvés. Je ne sais pas si je les avait déjà  pris ou si j'avais fait exprès de les enlever. Je ne me souvenais plus.
Et j'ai eu beau balancer tout le contenu de mon sac et tout fouiller, rien.
Je me suis à  hurler, taper dans les murs, les meubles,... Fallait que je sorte quelque chose.

J'ai souvent eu envie de reprendre des prods plus "forts", mais je me suis toujours raisonner. Parfois je m'empêche même de sortir mais au final, je ne travaille pas plus.





Du coup, il a bien fallu que ça pète à  un moment.
D'ailleurs, hier après avoir posté, j'en ai fait une belle...
J'ai honte mais l'écrire me fera certainement mieux réaliser ma connerie.


J'ai bien évidemment continuer à  cuver la fin des bouteilles. Puis, je me suis rendu compte que mes parents rentraient sous peu, et je n'avais pas du tout envie qu'ils me voient dans cet état à  la veille de mon test.
La seule chose que j'ai trouvé à  faire est de rembarquer toutes mes affaires pour faire comme si je n'étais jamais venu. Je suis parti chez des amis sans même savoir s'ils étaient là . C'était à  une heure de route.

Première bêtise : j'ai pris le volant plein mort (c'est la première fois, j'avais toujours dit "jamais, même pas après un join!"). J'aurais pu hôter la vie de quelqu'un, heureusement j'ai rouler sans soucis.

Deuxième bêtise : J'ai embarqué toutes mes affaires, oui, mais j'ai oublié les bouteilles sur la table.
Mes parents m'ont appelés, j'ai répondu complètement saoul (à  l'arrêt). Je ne sais même plus ce que j'ai pu leur sortir comme idiotie, mais ce qui est sûr, c'est que j'ai menti, comme un abruti.




Néanmoins, mes amis étaient là  et ont pris soin de moi. Apparemment j'avais l'air encore plus plein-mort que ce que je ne pensais.

Aujourd'hui j'ai bien bossé. Ca va mieux.


Il n'empêche que c'était d'autant plus vicieux quand ça revient après quelques années...

Dernière modification par ExpériMentaleFrénésie (15 mars 2017 à  21:03)


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mikykeupon a écrit

Je peux te parler de mon expérience ayant un passé de très gros alcoolique, jusqu'à  plus de 6L par jour. Aujourd'hui je peux passer plusieurs semaines sans boire, et avoir de l'alcool devant moi sans en avoir envie.

Wow, passer de 6L à  presque rien, ou même sans envie, ça ne doit ps être rien. C'est un changement de comportement et d'habitude radical non?
Ca t'as pris longtemps pour y arriver?


mikykeupon a écrit

Hier j'ai été faire des courses, je me suis dit "tiens, pourquoi pas un petit pack de bière", puis je me suis rappeler que mes finances ne sont pas trop dans le vert en ce moment, donc j'ai continuer mes courses sans y penser, et aujourd'hui je ne regratte pas. Je préfère aller me boire un demi au café histoire de ne pas être seul, et j'adore l'ambiance des bars PMU.

L'ambiance joue aussi. Boire seul est un autre "délire".
C'est plutôt l'inverse pour moi : j'accumule l'achat de bouteilles avec de le peu que j'ai alors que mon frigo se vide.
Par contre, je ne les bois pas. Je ne sais pas, je regrette de les avoir achetées. Mais je sais qu'elle finiront par y passer. Et pour l'instant je tiens l'idée d'inviter mes amis à  dîner pour les ouvrir. Les effets seront moins forts qu'en solo mais l'ambiance sera certainement d'autant plus agréable.
Si j'y arrive, ce sera déjà  ça de gagné.



En tous cas je vais essayer de me trouver aussi des activités qui me prennent plus, et me rendent plus satisfait de moi. Sinon c'est un cercle vicieux.
Et si l'envie me reprend, j'essayerai d'en faire abstraction. Ou à  la limite avec modération.

Merci du partage de ton expérience, je vais essayé d'en tirer profit.
.EMF


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mikykeupon
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As-tu essayé d'aller consulté un médecin spécialisé pour lui parler de ton problème et peut-être mettre en place un protocole à  base de selincro (si tu ne prend pas d'opiacé) ou de baclofène ?

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ExpériMentaleFrénésie
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mikykeupon a écrit

As-tu essayé d'aller consulté un médecin spécialisé pour lui parler de ton problème et peut-être mettre en place un protocole à  base de selincro (si tu ne prend pas d'opiacé) ou de baclofène ?

Non, je n'en ai jamais parler à  personne. Je n'ai jamais pris ça comme un problème en lui-même. Je sais que j'ai parfois des pulsions irraisonnées, mais j'en ai toujours eu, alors... Je vais me renseigner.

En as-tu déjà  pris?
Si oui, que sais-tu m'en dire?
C'est un long traitement?
Y'a pas d'interactions à  déconseiller? Les médecins ou pharmaciens ne savent pas toujours bien répondre s'ils ne s'y connaissent pas un minimum en prod. D'où mon très mauvais mélange MD-AD.



Je viens aussi de lire que c'est pour les personne à  consommation avec dépendance et risque élevé. Est-ce utile même si ça ne m'est arrivé que deux fois?
Je demanderai, c'est peut être mieux.


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mikykeupon
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Personnellement non.
Mais tu en as des dizaines de discussions sur le forum. Voici celles concernant le baclophène et içi celles concernant le selincro.

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ExpériMentaleFrénésie
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Yep j'avais déjà  lu hier soir quelques topics sur le Selincro. "Beaucoup d'effets indésirables", je m'étais dit. Surtout le mot "dépression" qui revenait souvent et qui fait déjà  pas mal partie de ma vie. Mais au final, si ça peut aider... Pourquoi pas.

Je viens aussi d'aller voir un forum sur le Baclofène

http://www.baclofene.com/

et je pense qu'il pourrait régler d'autres des mes soucis. Mais j'en discuterai avec mon doc, je dois le voir semaine prochaine.



Merci en tous cas, prend-soin de toi!
.EMF

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Et les effets secondaires sont variable d'une personne à  l'autre.

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