Besoin d'aide sevrage xanax zopiclone

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AlienMaster homme
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Bonjour,

Voilà j'explique le contexte, après des années à gérer un trouble anxieux généraliser (un syndrome douloureux régional complexe) avec du cannabis médicinale absorber sous forme d'infusion dans du lait),vaporiser, fumer, space cake), je me retrouve en rade (j'étais autonome) et supporte t'en bien que mal l'absence de thc qui était utilisé pour supporter ce TAG (et insomnie lié au stress) je trouve la bien mauvaise idée d'aller consulter un psy dans un établissement spécialiser.

Première consultation, première prescription de seroplex (ad) doser à 5MG puis 10MG (deux semaines après) puis 20MG (pareil deux semaine après)

On peut dire que j'avais la forme surtout que je n'étais pas dépressif à la base mais bien anxieux.

Selon le psy j'étais devenu trop bavard donc il en déduis que je souffre d'un trouble bipolaire

et me prescrit tout un tas de molécules qui m'ont conduits de léthargie la plus totale (perte de plaisir, prise de poids,affaiblissement musculaire... surtout le visage avec des yeux gonflé des cernes horrible)

Les molécule prescrite ont été dans l'ordre, lithium (pas supporté plus d'une prise), xeroquel (dosage variable de 50mg à 300mg pour finir à 25mg)

Sans effets positif sur l'anxiété qui à la base est le vrais problème

Ce psy change de département donc je switch sur une autre pour peu de temps à cause de ses dépassement d'honoraire

Celle-ci met en doute le diagnostique de bipo des la première scéance mais me prescrit malgrer tout du zyprexa en remplacement du xeroquel, je me retrouve dans un état second speed irritable, j'ai pleins de vertige (comme pendant une prise de space cake) à tout au long de la journée ce qui me percute c'est un jours ou j'ai faillie me jetter dans un ravin merci la barrière.

Donc je prends la décision de changer de psy par ce qu'elle semblait pommer

Je me retrouve avec une autre psy qui me switch sur du risperdal faiblement doser, les mois passent et je tombe dans une énorme dépression à ne plus bouger du canapé, plus de reflexion, plus d'idée, plus de plaisir la vie devient quelque chose d'inerte.

Bref pour combler ceci on ajoute un peu de lamotrigine (qui me rend insomniaque), un peu de seroplex (qui à la base me déclenche des soits disant crise de manie)...

Et on enlève le risperdal pour revenir sur le xeroquel faiblement doser, je me plains d'être toujours sédater et elle propose toujours d'augmenter ceci ou cela.

Ma famille s'en mêlent et me font prendre conscience que toute cette chimiothérapie me détruit

plus de sommeil, de libido, d'envie de vivre (avec idée noire),un corps détruit (j'étais musclé bien sec)...

150MG xeroquel
100mg lamotrigine
150mg lyrica
Melatoline 6.5mg

Je rechange de psy pour quelqu'un de vraiment réputé dans ma région malheureusement remplacer, le premier remplacent est quelqu'un de vraiment antipathique avec qui quand même j'amorce un sevrage brutale de toute les molécules.

Le sevrage est terrible chaud-froid, battement irrégulier (60bpm à 120bpm sans mouvement), anxiété énorme, diarrhée bileuse, mal de dents... pendant des semaines

je converse juste 50mg de xeroquel pour le sommeil et switch sur 0.5mg de xanax et 7.5mg immovane.

Le remplacent change et me remet 250mg de lyrica pour le tag et des douleurs neuropathiques lié à un syndrome douloureux régional complexe de type 2 (d'ailleurs le cannabis est très bien pour ça)

celui-ci se permet de mettre en doute le diagnostique initiale sachant que les autres psy n'ont jamais chercher à comprendre, une fois dans le tiroir vous êtes comme un piège à rat sachant que les consultations dure en moyenne 15minutes et que vos doutes ou paroles sont constamment remise en question par les psy

(ils vous font bien comprendre que ce sont eux qui ont raisons et moi le patient n'a qu'un droit fermer sa gueule ce qui de tout façons est le cas vu les effets secondaires comme la sédation trop fatiguer pour parler...)

Voilà le topo je suis venu chercher de l'aide dans la médecine psy et je me retrouve dans un état pitoyable en deux ans, je me reconnais plus moi qui à la base était quelqu'un de costaud je suis dans un état de colère vis à vis de la médecine qui condamne l'usage de cannabis thérapeutique mais détruit les gens avec leurs saloperies.

Je souhaite donc amorcer un sevrage du xanax et du zopiclone que je prends depuis un peu plus d'un mois.

J'ai pris rendez vous dans un csapa pour réduire sans risque car j'ai lu beaucoup de topic sur divers forum et la démarche ne semble pas évidente

j'ai été accueillie par une psychologue vraiment sympathique mais le rendez-vous avec le médecin addicto n'est pas possible avant mi-avril

Je ne veux pas r'ajouter un mois de plus dans cette addiction aux benzo

Le point positif c'est que je ne ressent aucun plaisir au xanax ni au zopiclone que je vois comme des 
intérrupteur pour dormir

J'ai morfle quand même depuis le mois de décembre et veux réduire la souffrance car que ça soit sur le plan physique ou psychique ça à été vraiment difficile.

D'après vous comment procéder, j'ai à ma disposition de la melatoline 6.5mg et 5mg sublingual (usa)

Pour finir cette expérience j'ai vraiment vécu ça comme un traumatisme, déjà le fait qu'on vous annonce en deux trois séance que vous avez une maladie incurable et la prise en charge ou vraiment vous êtes infantilisé et devenez comme un mec en manque (car le manque des neuroleptiques ou les brain zap des ad sont des choses terrible)

Je n'ai jamais été à l'aise hormis avec le dernier psy qui est vraiment sympathique et comprends ma détresse lié aux traitements que je ne supporte pas.

Mon corps dis stop, surtout mon foie

Je dois trouver un autre moyen de lutter contre mon trouble anxieux généraliser et maintenant phobie sociale car à rester à bader chez soit pendant des mois et des mois vous finissez même par angoisser d'aller à l'extérieur de votre domicile sans oublie la torture de l'insomnie.


Méditation

Reflexiologie faciale

Sport

TCC au csapa

Les drogues prescrites peuvent vous détruire faites gaf sur qui vous tombez.

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AlienMaster homme
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Bon le csapa ne veut pas de moi et me renvoi vers mon psy...

Je prends le xanax et l'immovane depuis le 8 février soit 36 jours

Je vais couper le xanax en deux soit 0.25 et voire comment ça se passe, le point positif c'est que je n'éprouve aucun mais aucun plaisir, aucune amélioration si ce n'est l'envie de dormir après 30 minutes de la prise.

On verra bien je me donne une semaine à 0.25 puis plus rien après on se chargera de l'immovane.

Mon Sommeil n'a jamais été au top malgré la prise 6 à 4 heures de sommeil continue.

Le point positif c'est que j'ai passer le cap du sevrage du xeroquel qui côté sommeil est une torture mentale.

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filousky homme
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Ça fout les jetons ton périple dan sle mode des psychiatres. C'est terrifiant de faire confiance à ces personnes qui, lorsqu'elles sont honnêtes, avouent que leurs diagnostics sont très vagues et que les produits chimiques qu'ils utilisent sur leurs patients les effraient carrément.

Tu ne devrais pas rencontrer de problème de sevrage après 36 jours d'utilisation de Xanax 0,5mg. Les casser en deux est une bonne méthode et pareil pour l'Immovane. La durée d'usage est courte et n'est pas suffisante pour démarrer une accoutumance et une dépendance réelle.

Le seul "ennui" qui puisse apparaître serait le retour de l'insomnie si tu y est sujet.

Perso, pendant très longtemps, j'ai pris du Xanax 0,5 le soir pour bien dormir. Après 8 ans de ce régime, j'ai décidé de diminuer nettement.
Je suis passé du xanax (demie vie très courte) au valium (demie vie très longe) et ai obtenu le même résultat en passant au dosage équivalent divisé par 3, soit 3 mg de diazepan. Nickel ! 
Ma pathologie principale  est similaire à la tienne : trouble anxieux généralisé + Hépatite C (fini après 35 ans) + pharmaco-dépendance 100 mg de méthadone).

Le soir, maintenant, je prends 5 mg de mélatonine vers 23 heures + 3 mg de diazepan et dors sans état d'âme entre 7 et huit bonnes heures.
Mais je suis prudent et ne suis jamais en rade de mon meilleur allié de santé !

Amicalement

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AlienMaster homme
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Ce qui me fait le plus flipper c'est les effets du sevrage, mon corps à pris chers pendant des semaines depuis le début de l'année 2018 avec tous ses multiples sevrages.

Heureusement que j'ai du lyrica sinon je sais pas dans quel état je serais niveau anxiété.

Tu pense que je dois diminuer les deux en même temps ?

Mon sommeil est coupé en deux je m'endors vers 23H réveille systématique à 2 - 3 heures puis je me rendors jusqu'à 6 - 7 heures.

De toute façons je dois affronter cette période si je veux revenir à un état "normale", selon mon psy actuel ça sert à rien de lutter j'ai toujours été anxieux c'est quelque chose de chronique.

L'insomnie est lié a l'anxiété selon divers avis, il faut vraiment que je retrouve des méthodes plus naturel que de perdurer dans un bras de fer chimique qui n'a pas de limite (accoutumance, augmentation du traitement), j'ai fais une séance de réflexiologie faciale ça m'a bien détendu sur le coup d'après le praticien et un autre magnétiseur que j'avais consulté mon problème sont du à mon foie qui à toujours été fragile.

Au début je croyais pas trop à ce genre de pratique mais ça m'a fait un bien fout, j'étais comme recharger mentalement.

Dernière modification par AlienMaster (16 mars 2018 à  14:24)

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filousky homme
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AlienMaster a écrit

Tu pense que je dois diminuer les deux en même temps ?

Mon sommeil est coupé en deux je m'endors vers 23H réveille systématique à 2 - 3 heures puis je me rendors jusqu'à 6 - 7 heures.

Au début je croyais pas trop à ce genre de pratique mais ça m'a fait un bien fout, j'étais comme recharger mentalement.

Je ne pense rien ! Je pense mais pas au point de te donner des conseils d'ordre médicaux.

Je t'ai décrit ce qui a bien marché pour moi avec le xanax.

L'Immovane, je n'en ai pris que deux ou trois fois et ne supporte pas l'arrière goût qui reste en bouche le lendemain. ET en réalité je ne consomme qu'un demi Donormyl (en vente libre) parfois mais pas tous les jours.
Je suis de mauvais conseil pour l'immovane.

Ton seul ou notre seul problème restant est l'anxiété. Et tu as raison, il existe tout un tas de pratiques qui permettent de réduire l'anxiété à une sorte d'épiphénomène désagréable qui indique quelque chose à rectifier.

Dans ton cas, je m'occuperai de l'un après l'autre, pas les deux en même temps.

"L'arrêt du traitement par la zopiclone est rarement associé à un syndrome de sevrage quand la durée du traitement est limitée à 4 semaines"issu du mode d'emploi de l'Immovane

Bien à toi

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AlienMaster homme
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Bon j'ai giclé l'immovane cette nuit, je l'ai remplacé par de la mélatoline 6.5mg et j'ai passer une bonne nuit 0H-4H 4H30-9H00.

Je vais discuter avec le psy pour le xanax, j'ai pas envie d'être en chien encore une fois.

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AlienMaster homme
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Pas d'effets de sevrage pour l'immovane (ouf), j'ai arrêter le xanax 0.5 depuis hier pas de problème pour le moment.

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AlienMaster homme
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J'ai ressentie aucun état de sevrage, ouf ouf ouf ^^

Finalement j'ai galérer deux trois jours avec un sommeil de merde puis maintenant je dors encore mieux qu'avec les médicaments.

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filousky homme
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Super !
Tu as respecté les dosages thérapeutiques et le temps de traitement avec lesquels il n'y a aucun syndrome de sevrage. Parfait ! Bonne continuation à toi.

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Lilas24 femme
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Ton histoire est flippante,

J'ai un trouble anxieux généralisé qui a été diagnostiqué il y a 5 mois lorsque je me suis rendue en addictologie pour un sevrage de la codéine dont j'étais dépendante à cause d'angoisses dévorantes.

L'addicto a été rapide à diagnostiquer ce TAG et la seule chose qu'elle m'a prescrite c'est un AD, de la venlafaxyne qui a réduit mes angoisses rapidement jusqu'à me donner l'impression de ne plus en avoir en en prenant 150MG.

Elle m'a dit de prendre le TAG un peu comme une maladie chronique dans un 1er temps, c'est à dire à traiter avec un AD le temps de réduire le niveau des angoisses, de se stabiliser. Après savoir exactement d'où vient ce TAG, je crois que la médecine n'est pas encore au fait de cela. Ce qui est vrai c'est que j'ai toujours été anxieuse. Est ce que l'AD va guérir ce TAG, j'ai tendance à penser que non et maintenant que mon sevrage dégressif de la codéine est terminé, j'ai envie de m'atteler à ce TAG car il n'est pas question de prendre un AD à vie si je le peux.

J'ai rencontré un psychologue spécialisé dans l'anxiété au CSAPA. Le 1er rendez-vous a été fructueux car j'ai compris que certains mécanismes chez moi étaient anxieux sans que je ne m'en rende compte. Il me propose des thérapies cognitives et comportementales pour m'aider et j'en suis enchantée car je ne veux pas plus de médocs.

Il m'a remis un long questionnaire et en le lisant j'ai été troublée de voir que si quelques questions ne me correspondent pas du tout (par exemple le sentiment d'injustice), d'autres sont piles dans mon anxiété: les peurs anticipatrices et le cerveau qui carbure en boucles récursives à chaque instant de ma vie, sauf quand je suis concentrée (sur mon travail par exemple).

Je fais de l'insomnie comme toi ou pour être plus précise, j'ai un retard d'endormissement. Je ne la vie pas comme un drame car depuis que je prends l'AD je suis zen. Je me mets sur mon canapé, je regarde la télé et je finis par m'endormir. Pour que je ne m'endorme plus à 6 heures du matin, j'ai mis mon réveil de plus en plus tôt. Ca a tiré sec pendant un temps mais peu à peu je dors mieux, pas dans mon lit mais mieux.

Je refuse les somnifères mais je prends encore 10 mg de valium le soir (je l'ai pris à la fin de mon sevrage et l'addicto ne veut pas qu'on l'arrête tant que je ne dors pas encore trop bien. Il ne me fait pas dormir mais me détends le soir et ne me plombe pas le jour). Je n'ai pas d'appétence pour ce produit et son sevrage ne me fait pas peur (ce n'est pas ce que je pensais il y a un mois mais l'addicto m'a un peu remonté les bretelles et comme j'ai confiance, je m'auto persuade que ce n'est pas un problème).

J'ai peur de dormir dans mon lit car il est associé à la codéine que je ne prenais que le soir. J'ai donc encore une belle angoisse à savoir la peur d'avoir envie de codéine, alors que je n'en ai pas. Voilà un bel exemple de peur anticipatrice. Je crains quelque chose qui n'existe pas pour l'instant car l'envie de codeine a disparu avec mes grosses angoisses.

Quant à trop parler, je fais ça aussi, c'est chez moi une manifestation du stress ou du bonheur (chacun a son avis parmi mes proches, ma mère dit que je suis excitée parfois mais c'est vrai qu'après 10 ans sous codéine, on pète le feu une fois sevré).

Je veux arrêter de penser en boucle, d'analyser, auto analyser mon fonctionnement et ma situation. Dans ce monologue intérieur, je ne me plains pas, je cherche à me comprendre pour ne plus replonger dans la dépendance. Maintenant que je vais mieux, je trouve ça égoïste mais je ne peux pas contrôler ces pensées. Mon but est donc de cesser de penser en boucle pour faire mon analyse personnelle et si je ne peux pas changer ma nature qui consiste à analyser en permanence, j'aimerai bien que de temps en temps cela soit à autre chose que moi.

Voilà, je trouve ton histoire assez effarante et si je l'avais lue il y a 5 mois, j'aurai paniqué. S'il y a de très mauvais psy, il y en a aussi des bons et moi je trouve que mon addicto a changé ma vie et je lui en suis reconnaissante.

Ce que je sais c'est qu'il est parfois compliqué de diagnostiquer un TAG qui peut ressembler un peu à la dépression ou à la bipolarité (de très loin quand même).

Bon courage et j'espère que ton anxiété va être enfin bien traitée sans que tu sois transformé en zombie comme par le passé.

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