La nouvelle peut prêter à sourire mais elle est bien réelle.
Pourtant je boss à Paris, mais je ne me sent pas extasié (NDLR.)Un rapport très officiel livré par le Conseil Supérieur de la Recherche Scientifique rend compte d’une réalité surprenante qui révèle un mode de vie plutôt festif à Paris.
L’air de la capitale présente en effet pas moins de cinq drogues en état de suspension parmi lesquelles des
amphétamines, du
cannabis et de la
cocaïne. Cette étude, qui a été effectuée suite au récent pic de pollution, a cependant été réalisée dans des endroits spécifiques et n’est donc pas représentative de l’air global de la ville.
“Cela prouve que les parisiens passent du bon temps, peut-être un peu trop, malgré un contexte social difficile” a réagi Anne Hidalgo, maire de Paris, sur l’antenne de Jean-Jacques Bourdin ce matin.
Les résultats révèlent plus particulièrement la présence de
MDMA dans une quantité de 548 pico-grammes par mètre cube d’air. Cette proportion, imperceptible par l’être humain, équivaut à celle de certains métaux lourds comme le cadmium, fréquent dans les atmosphères contaminées.
Suite à des comportements suspects voire bizarres relevés dans toute la ville depuis cette annonce, les scientifiques ont également certifié dans un communiqué que même en vivant un millier d’années, on ne pourrait pas consommer l’équivalent d’une dose de
MDMA en respirant cet air.
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