Demande de témoignage : Syndrome extra-pyramidal et dyskinesie

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PositivLink
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Inscrit le 06 Nov 2016
25 messages
Hello tout le monde !

Je suis nouveau sur le forum, voilà   ma présentation : https://www.psychoactif.org/forum/t2124 … .html#divx

J'aimerai quelques témoignages de gens ayant fait de la dyskinésie ou un syndrome extra-pyramidal après la prise de neuroleptiques typiques.

J'ai moi même fait cette expérience horrible il y a quelques années après avoir pris du Loxapac : trapèze tendus, tête qui part derrière avec une force monstre, mouvement incontrôlés panique, langue qui sort et lèvres bleues... ca ma conduit aux urgences et ils m'ont directement fait une injection en IM de Lepticur après deux heures d'agonie, les symptômes sont partis.

Si ca vous est arrivé j'aimerais bien savoir comment,

Amicalement,   smile
PositivLink.

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Hajn
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Inscrit le 17 Sep 2016
7 messages
Hello

Je suis sous xeroquel (neuroleptique donc) depuis quelques mois. Les premières semaines ont été très très difficiles. Malaise, vertiges, tête qui partait vers l'arrière, sensations étranges au bout des membres... c'est passé au bout de trois semaines je dirais. Désormais tout va bien, je continue le traitement et je n'ai plus aucun symptômes :)

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PositivLink
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Inscrit le 06 Nov 2016
25 messages
@Hajn : J'ai aussi du Xeroquel 300  lp mais quand je fais un extra de méthadone je le croque pour que ca me fasse une montée assez sympas ^^ mais c'est assez fatiguant si je le prend comme ca ! Mais la quétiapine est un neuroleptique atypique donc moins d'effets de ce type sur moi même pris différemment.

Dernière modification par PositivLink (06 novembre 2016 à  19:52)

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BaranDrake
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Inscrit le 18 Sep 2016
41 messages
Bonjour à  tous,

J'ai eu une seule fois le malheur de souffrir d'une dyskinésie maxillo-faciale (mâchoire, cou, langue), le surlendemain d'une dose massive de neuroleptiques (c'était en hôpital psy et on n'a pas jugé utile de m'indiquer le nom des molécules qu'on m'a contraint à  avaler), après une très longue tête dans le pâté.

Les symptômes ont commencé doucement et sont montés crescendo : d'abord la langue qui part sur le côté, puis la mâchoire, puis le cou. J'ai paniqué, mais sans retourner aux urgences, j'ai tenté de faire passer le mal à  coup de benzos et de joints, mais le seul résultat a été de me faire dormir. Le lendemain au réveil : plus rien...

Je maudis profondément le praticien qui m'a fait ingéré une dose aussi massive. Et depuis, méfiance avec les grosses doses de neuroleptiques.

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ôzailées
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Inscrit le 01 Jul 2018
6 messages
Bonjour,

il y a une dizaine d'années j'ai eu la connerie d'idée de mélanger du loxapac avec une cannette de bière... une heure plus tard, ma langue qui semble gonfler et se bloque sortie, la mâchoire inférieure qui se bloque désaxée sur un coté, intervention des pompiers qui m'ont emmené aux urgences avec une cuillère en bois dans la bouche car ma mâchoire se serrait. Il m'y a été fait une injection de lepticure qui m'a sortie de cet état horrible.
C'était extrêmement désagréable, stressant, étouffant comme expérience.

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Mauddamier
Au pays imaginaire
Inscrit le 27 Nov 2017
645 messages
Ma psy me prescrit du solian comme s’il sagissait de xanax sans jamais rien m’expliquer sur les effets secondaires. Une prise matin, midi et soir. Vers 16h je sens comme un pincement dans le bas du dos. Je sursaute comme si on me piquait dans les fesses ce qui fait rire tout le monde.

Je prends mon solian à 18h et tout empire. La langue qui gonfle, mon cou. Un bras ballant et l’autre qui part en l’air (J’ai d’ailleurs pris un bon coup dans le nez). Ça n’a plus fait rire personne quand vers 19h ma tête faisait le coup de l’exorciste. Je pensais finir par me briser la nuque. Plus possible de parler, marcher et après... respirer.

Comme si tous mes muscles se paralysaient sauf ma tête qui, toutes les 20 a 30 secondes partait violemment sur le côté.
Je ne savais pas, je ne comprenais rien. Arrivée aux urgences, bras mis en contention, on m’abandonne dans une chambre alors que je n’arrive plus à respirer.

Enfin vers 1h du matin, après analyses de sang j’ai une injection miraculeuse de lepticur.
Personne, non personne ne m’avait prévenue des effets secondaires d’un neuroleptique.

Je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie.

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Strych9
Designer Drugs
Inscrit le 26 Aug 2018
324 messages
Salut,

J'ai eu le même problème avec le Risperdal !
Je croyais que j'avais chopé parkinson tellement c’était horrible comme sensation et en effet, il y a un correcteur, le Lepticure (qui est un anti-parkinsonien d'ailleurs !) qui peut atténuer ces effets.

C'est fou de devoir prendre un médicament pour corriger l'empoisonnement du premier quand on y pense... thinking

Dernière modification par Strych9 (26 août 2018 à  02:38)


Mon meilleur client c'était Jean-Luc Delarue...

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Sufenta
Modérateur
Inscrit le 11 Apr 2015
6262 messages
Salut

Le syndrome extra pyramidal ou dyskinésie est grave et très inconfortable, il fait parti des surveillances importantes des neuroleptiques avec le syndrome malin des neuro (fièvre) et la constipation.

Le loxapac® est effectivement connu pour provoquer facilement des dyskinésies et lors de l’administration de ce ttt une surveillance étroite doit être pratiquée, en cas de signes extra pyramidaux le Lepticure® (Tropatépine) est le ttt gold standard à administrer IV (perf).

Si, bien sur il est administré rapidement et que le patient ne se retrouve pas aux urg abandonné à son sort ds un couloir a attendre plusieurs heures jusqu’à ce que ça passe finalement spontanément, malheureusement j’ai déjà entendu un témoignage ds ce sens et ça me désolé au plus haut point.

Il est aussi possible de prendre du Lepticure® en per os afin de corriger les effets secondaires ou de les prévenirs. il existe également d’autres correcteurs comme le Sulfarlem®, le Parkinane®, ect, ils ont chacun leurs indications.

Amicalement

SINTES: Analyse de produits :
https://www.psychoactif.org/sintes

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pirateVszen
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Inscrit le 08 Nov 2018
1 message
hello:) de nombreuses fois en contraintes de soins visées par la pref ou autre....bref...de nombreuses fois sous des dosages trop importants soumis a des effets de disquinesie.... des fois on m apportait un lepticur en chambre d isolement d autres fois on disait il fait semblant!!enfin pour resummer : quelle horreur de voir son systeme centrale perdre le controle totale de sa mobilitée dans la violence qu inputtent les crises de disquinesie!! ce sont parmis les plus violentes sensations que j ai jamais vecu.....bien loin des coups de matraques ou autres.........les surdosages de neuroleptiques troublent puissament la conscience et alterent les facultées physiques comme mentales..... a quand une revision profonde de la charte du patient  hospitalisé en soins contraint....a plus le bus wink

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VforN
Nouveau Psycho
Inscrit le 31 May 2017
96 messages
Je me suis fait interner en hp il y a quelque jours de cela et exactement les meme symptôme avec le meme traitements

Dernière modification par VforN (04 décembre 2018 à  21:18)


Khey du 18-25 ,de PA et fière

Issou

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aphex mine
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Inscrit le 13 Nov 2019
14 messages
j'ai eut du loxapac 3 ans et du xéroquel 300 ensuite super avec le xéroquel je me suis vraiment bien repris embauche appart,abstinence.et boum j'ai commençé a avoir des mouvement anormaux,lent,rapide,brusque d'abord a l'assoupissement en rentrant du boulot sur mon canapé.puis maintenant c'est suivant mon états de fatigue.ma psy a fait une lettre j'ai envoyé la lettre à un neuro et l'a rappelé la psy en disant que c'etaient des dyskinésies tardives et que je dois arreter le xéroquel et il m'ont dit que c'était pas la peine que je vienne en consulte,la psy quand elle a su ça la veners.donc diminution du xéroquel  dépakine(dépakote en rupture générale) et xanax 3/j des 25. et je suis a 140 de méta depuis plusieurs années plus un médoc piour la tension et un pour l'estomac.Ma psy a refait une lettre et j'ai envoyé et appelé le tout à l'hopital neuro de lyon au service des mouvement anormaux rdv septembre 2020 Puis j'ai lu que des fortes doses d'opiacés pouvaient aussi créer des mouvements anormaux.
Je me sens trop mal,ça vas que je bosse dans une entreprise adapté car j'ai une rqth,mais c'est vraiment chiants.j'ai trop du mal je dors mal au taf,j'ai le cerveau qui déménage,j'arrives pas a me concentrer,mes gestes sont de moins en moins précis.j'esperes que c'est juste des myoclonies ou dyskynésies.sinon si c'est une maladie y'en a aucune de curable donc c'est chaud patate.

Dernière modification par aphex mine (25 novembre 2019 à  23:20)

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aphex mine
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Inscrit le 13 Nov 2019
14 messages
Dernièrement,j'ai été chercher de l'info sur la dépakine car j'ai percuté qu'il y avait eut un début de scandale.a propos d'un médicament avec un nom ressemblant.oui la dépakine est responsable de malformation divers(menbres,coeur un peu tout en fait) ainsi qu'un déficit de Q.I. environ 10points chez les enfants des femmes traitées à la dépakine.Puis je suis tombé sur une vidéo du professeur even qui explique comment celà été découvert,et surtout comment celà agit sur le génome et la dangeureusité de cette molécule très éfficaces quand elle fait ce pour quoi on la prescrit ou inéfficace et très très dangeureuse.En fait celà peut agir sur tout type de céllules,c'est pas gérable en gros.mort des cellules,globule blancs et rouge,destruction du coeur,pancréatite nécrosante,hépatite foudroyantes,reins et bien souvent il dit que celà va hyper vite,les medecins n'ont plus de solution.
Normalement un prise de sang et obligatoire avant la mise sous traitement,j'en ai pas eut,comme les labos ne veulent plus me prélever(c'est sur avec moi tout le monde vient essayer y'en a pour la matinée et en générale,on me dit de repasser puis c'est du bizness alors faut que ça défile) alors c'est par les anesthésistes o l'hosto et sous éco(matos pas adapté,elles sont vraiment trop profondes,ça se termine en artérielle,mais si il m"écoute et applique ce que je leurs dis en 5mn ç'est fait.
Donc je ne veux pas se traitement avec elle m'a donné des benzo,xanax(il me semble que c'est pas gégé avec les tso)sur la boite c'est le picto 3 rouge interdit de conduire,elle me l'a pas dit.

Puis j'ai lu que ce type de symptomes pouvait etre déclenché par des fortes doses d'opiacés,alors j'en pensé diminué la métha à 140 depuis 2.5 ans et stable,j'ai une marge et baissé le séroquel un peu et voir ce qui se passe.

En plus je suis plutot en train d'entrer en phase euphorique,je dors pas,mange peu,le taf ça gère grave,je claques des thunes...bref ça vas trop bien,c'est louche.

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Cpt56
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Inscrit le 16 Aug 2020
4 messages
Debut de semaine, j'ai cherché sur ce site un topic qui parlait du loxapac... B'en j’aurai du être plus futé et chercher un peu plus longtemps... Ca fait deux jours que j'en ai pris et impossible de faire plus de 50m sans que ma cuisse se raidisse et devoir faire une pause. J'ai encore des tremblements importants. Ca peut durer encore longtemps sachant que je fait 55kg et que j'ai pris 250g?

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Spirit
WW2 Historian
Inscrit le 14 Jan 2018
303 messages
Yo!

Oh non, le Loxapac.. neutral

Je suis parti une semaine chez mes grands-parents, en Normandie, début Septembre.

Très vite à court de codéine, en panique, et à 400km de chez moi, je prend rendez-vous avec la médecin généraliste de ma tante (elle habite non loin de chez mes grands-parents).

Le rendez-vous ce passe très mal, elle me traite de toxico et m'accuse de falsifier des ordonnances pour de la codéine. Elle appelle même les urgences psychiatrique, en me décrivant comme quelqu'un d'instable et d'agité.

Finalement, en pleurs, je ressort avec une ordonnance de Loxapac. La molécule est censée ''calmer'' mon agitation...

Le soir même, je prend un cachet (25mg) et ne ressent rien de particulier.

Le lendemain, toujours le soir, vers 20h, étant en manque de codéine, je gobe de nouveau un cachet.

Deux heures plus tard, les ennuis commencent.

Ma langue était incontrôlable, complètement folle, j'avais l'impression que les muscles, les tendons, sous la langue, était proche de la rupture tellement ça tirait fort.

Au bout d'une heure et demie de calvaire, ma langue ce calme. Mais ma mâchoire prend très vite le relai.

C'était horrible. Mes os craquaient, ma mâchoire tirait tellement fort qu'elle restait bloqué certaines fois à gauche, ou certaines fois à droite...

Ma tante m'emmène aux urgences, je commence à somnoler et mon visage gonfle de partout.

Au final, après une injection de lepticur, les symptômes cessent quasi instantanément.

Je sort des urgences complètement sonné, en état de choc, ne réalisant pas que c'était enfin fini. neutral

@Cpt56: Comment ça va depuis?

Dernière modification par Spirit (21 septembre 2020 à  14:28)


''L'humanité se divise en trois catégories : ceux qui ne peuvent pas bouger, ceux qui peuvent bouger, et ceux qui bougent.''

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Mauddamier
Au pays imaginaire
Inscrit le 27 Nov 2017
645 messages
Traitement au risperdal. Je ne saurai pas donner le dosage car j’ai vite jeté tous ces trucs. 4 fois par jour, matin midi 16h et coucher.
Pendant deux semaines j’étais un vrai zombie. Je ne voulais plus me lever, plus manger.
Ça a eu un effet immédiat sur moi, ça m’a collée au lit. Mais genre sévère. Plus une seule pensée... et puisque je sortais de l’hôpital après des scarifications, j’imagine que c’était le but.

Ma psychiatre a la particularité d’avoir la main hyper lourde. Si je l’écoute, en ce.oment je suis à 50 mg de valium par jour. En réalité j’en prend 5mg au coucher ^^
Bref, je sais que c’était 5 prises et je me souviens que je me suis dis que ça n’allait pas durer lorsqu’un matin, ma cousine m’a appelée et j’ai dis : salut....
Et gros blanc... son prénom ? Non impossible de me souvenir.
C’était entrain de me détruire. Je ne sortais plus le chien, pas envie (ou incapable ?) d’aller marcher une heure.

Je trainais devant w9, somnolent, m’endormant. Pas habillée, pas de projet. En gros au moins je ne pensais plus à me faire du mal. A l’époque la psy avait demandé à mes parents si ça les effraierait que je sois schizophrène. Il s’avère que je suis asperger.
Donc c’est en utilisant différents traitements que l’on a pu enfin poser un diagnostic.

Troisième semaine, je devais sortir enfin avec des amis alors je décide de me bouger,d e me secouer. Je prends bien mon traitement évidemment mais je sors le chien. J’avais prévu de me doucher, de m’habiller en revenant. Pendant la promenade je sens quelque chose me piquer le dos. On aurait dit que quelqu’un avait des aiguilles et qu’il s’amusait. Du dos, c’est descendu aux fesses, aux cuisses.
C’était comme des pointes dans les muscles.
Je rentre chez moi, je me dis que c’est le sport, j’ai les muscles chauds.
Ça continue et quand je le raconte à mes parents ça les amuse.
Je prends mon comprimé de 16h... brillante idée.
Sous la douche je me mange un coup de poing dans le nez mais violent.
Mon bras bouge, se soulève.

Et puis c’est devenu l’exorciste, ma tête tournait. Le pire c’est que ça me coinçait les nerfs,c’était extrêmement douloureux.
Je me souviens de mon frère me tenant les bras mais ma tête, le craquement de la nuque.
Et puis les jambes c’est comme un réflexe, comme quand le docteur tape les genoux.
On a appelé une ambulance lorsque j’ai commencé à avoir tellement mal que je ne respirait plus.
Impossible de parler avec la dame du samu qui a conseillé de ne pas attendre les secours mais d’aller aux urgences.
On m’a arrachée dans la voiture. Je ne contrôlais plus rien mais surtout je ne pouvais plus respirer.
J’ai donné des coups dans le siège de mon frère, me suis ouvert la joue à force de me frapper et arraché pas mal de cheveux.

Je sais que ça a été un traumatisme pour mon frère. J’avais 20ans et lui 17. Personne ne comprenait rien.
On m’a prise tout de suite en urgences mais on ne connaissait pas le syndrome extra pyramidal. Prise de sang et je suis restée seule en chambre... pendant des heures.
J’étais sure que j’allais y rester, tout simplement car je n’inspirais plus.

L’analyse de sang revient, évidemment le doc’ voit les neuroleptiques, j’ai eu le droit à une perf’ immédiatement de lepticur et ça s’est arrêté en quelques minutes.
Mes parents sont venus me chercher dans la chambre et on a tous été d’accord pour dire : cette saloperie c’est terminé.

15h-3h30 du matin. Un enfer. Rien compris. Une peur terrible pour tous.
Et tout ça pour un medoc’
Évidemment la psy m’a refilé un anti parkysonien. Mais c’était mort pour moi. J’ai essayé. L’espace de dix jours. Incapable de parler... ma langue était constamment engourdie.
Et puis’ tout simplement je n’avais pas besoin de cettte molécule.
J’ai clairement besoin d’anxiolytiques mais pas d’un antipsychotique.
Donc ça a été stoppé.

J’y étais bien trop sensible et honnêtement je n’oublierais jamais mais alors jamais cette expérience. Autant le fait de perdre mes facultés intellectuelles’ que de terminer dans un lit avec des contentions.

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