#1
- Ask111
Nouveau Psycho - 21 octobre 2017 à 09:39
Un ami s'injecte de la c depuis 6 mois. De 0.5 à 1.5g, début toutes les 2 semaine, une grosse phase presque tt les jrs puis pause de 1 mois. Durant ce mois sobre il a ressenti des manque presque physique et mental avec la genre d'odeur quand on a un flash. Qui durait quelques dizaines de secondes. Et une envie tres forte... mais qu'après 2 ou 3 semaines d’arrêt. Es que selon vous il es fortement dépendant, cb de tps cela va durer? Les manque physique sont-il mental?
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#2
- Petit conton
Petit coton
- 21 octobre 2017 à 11:04
Salut
Alors avec la cocaïne il n'y a pas de manque physique comme avec les opiacés
Par contre le craving qui est une envie de consommé peut être assez fort chez certain individus suivant le mode de consommation, le nombre de prise quotidienne et le temps des sessions
L'environnement joue lui aussi un rôle dans les conduite addictive, le mieux pour lui serai qu'il sois dans un endroit calme ou il se sent bien
Tu peux toi aussi le soutenir et le félicité d'être parvenu à arrêté depuis ce temps donné, ça pourrai le motivé davantage
Si il a arrêtait depuis 2 ou 3 semaines c'est déjà bien, qu'il continu ainsi si il est motivé
Si il ressent de la nervosité, irritabilité voir de la dépression il peut aller voir son généraliste qui pourrait lui prescrire un anxiolitique pour l'aider le temps des effets secondaire du à l'arrêt de la cocaïne
Dans mon cas j'ai pris de la coke en sniff sur une période de 2 ans en arrêtant plusieurs fois, j'avais parfois des craving assez dure et d'autre fois la cocaïne ne m'intéressais carrément plus
Parfois quand je n'en prennais plus je me sentais irritable selon mon environnement, j'ai déjà eu des douleur dans la mâchoire à l'arrêt, c'est le seul manque physique que j'ai pu noté
Il faut garde à l'esprit que la cocaïne est assez sournoise comme drogue d'une pare de sont craving et ses descente parfois difficile à gérer . La rechute quand à elle fait parti du processus de guérison
Si il échoue tu ne dois pas mettre la faute sur lui mais l'encourager davantage et le remercie d'avoir au moins essayé
Il m'a fallut bien 6 mois pour être certain de ne plus consommer . Quand j'arrêtais quelque semaines c'etait reparti, le maximum à été de 2 mois sans cocaïne et je faisais des session de une journée puis 1 mois sans et ainsi de suite jusqu'à arrêté complètement
Le fait de faire une petite session chaque moi n'est pas dramatique si on maîtrise ça conso et qu'on respecte la rdr à la lettre
Il dois ce trouvait des activités génératrice de plaisir pour évité d'y pensait trop souvent en tout cas le sport m'y a très bien aidé
Alors avec la cocaïne il n'y a pas de manque physique comme avec les opiacés
Par contre le craving qui est une envie de consommé peut être assez fort chez certain individus suivant le mode de consommation, le nombre de prise quotidienne et le temps des sessions
L'environnement joue lui aussi un rôle dans les conduite addictive, le mieux pour lui serai qu'il sois dans un endroit calme ou il se sent bien
Tu peux toi aussi le soutenir et le félicité d'être parvenu à arrêté depuis ce temps donné, ça pourrai le motivé davantage
Si il a arrêtait depuis 2 ou 3 semaines c'est déjà bien, qu'il continu ainsi si il est motivé
Si il ressent de la nervosité, irritabilité voir de la dépression il peut aller voir son généraliste qui pourrait lui prescrire un anxiolitique pour l'aider le temps des effets secondaire du à l'arrêt de la cocaïne
Dans mon cas j'ai pris de la coke en sniff sur une période de 2 ans en arrêtant plusieurs fois, j'avais parfois des craving assez dure et d'autre fois la cocaïne ne m'intéressais carrément plus
Parfois quand je n'en prennais plus je me sentais irritable selon mon environnement, j'ai déjà eu des douleur dans la mâchoire à l'arrêt, c'est le seul manque physique que j'ai pu noté
Il faut garde à l'esprit que la cocaïne est assez sournoise comme drogue d'une pare de sont craving et ses descente parfois difficile à gérer . La rechute quand à elle fait parti du processus de guérison
Si il échoue tu ne dois pas mettre la faute sur lui mais l'encourager davantage et le remercie d'avoir au moins essayé
Il m'a fallut bien 6 mois pour être certain de ne plus consommer . Quand j'arrêtais quelque semaines c'etait reparti, le maximum à été de 2 mois sans cocaïne et je faisais des session de une journée puis 1 mois sans et ainsi de suite jusqu'à arrêté complètement
Le fait de faire une petite session chaque moi n'est pas dramatique si on maîtrise ça conso et qu'on respecte la rdr à la lettre
Il dois ce trouvait des activités génératrice de plaisir pour évité d'y pensait trop souvent en tout cas le sport m'y a très bien aidé
Dernière modification par Petit conton (21 octobre 2017 à 11:11)
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#3
- pierre
Web-Administrateur - 21 octobre 2017 à 11:52
Il y a une dépendance physique (physiologique) avec la cocaine, sauf qu’elle est complètement différente qu’avec les opiacés.
Souvent après l’arret d’années de coke, il faut que les usagers prennent des antidépresseurs et autre médoc sinon ils petent les plombs. C’est ça le manque de coke.
Souvent après l’arret d’années de coke, il faut que les usagers prennent des antidépresseurs et autre médoc sinon ils petent les plombs. C’est ça le manque de coke.
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#4
- Initiativedharman
Nouveau Psycho - 21 octobre 2017 à 14:32
La cocaïne peut engendrer un manque physique. Et puis, même si tout le monde est d'accord pour dire que le manque psychologique est monstrueux - peut-être même que la coke est la drogue la plus addictive si l'on voit ça du côté " craving " - il y a parfois des effets physiques pas anodins.
Je me suis souvent retrouvé, après une journée, une nuit ou plus de conso, dans un état physique de mal-être général et pas que dans la tête, je tremblais comme un fou et j'avais le coeur qui s'emballait et ce, après plusieurs heures sans consommer.
Et que dire des insomnies qui peuvent durer longtemps après un arrêt conséquent.
Comme le dit très justement Pierre, le manque est physiologique, surtout au niveau du cerveau qui est complètement altéré et modifié par la coke, donc on peut parler de manque physique je pense.
Je me suis souvent retrouvé, après une journée, une nuit ou plus de conso, dans un état physique de mal-être général et pas que dans la tête, je tremblais comme un fou et j'avais le coeur qui s'emballait et ce, après plusieurs heures sans consommer.
Et que dire des insomnies qui peuvent durer longtemps après un arrêt conséquent.
Comme le dit très justement Pierre, le manque est physiologique, surtout au niveau du cerveau qui est complètement altéré et modifié par la coke, donc on peut parler de manque physique je pense.
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#5
- Mascarpone
Vieux clacos corse pas coulant - 21 octobre 2017 à 14:58
Je pense surtout que le danger à dire que le manque de coke est "seulement" psychologique risquerait d'amener certains à penser qu'avec de la volonté 
(cette grande magicienne), on s'en sort les doigts dans le nez, alors que c'est loin, trés loin d'être aussi facile..
Perso, j'aurais plutôt tendance à penser, que, déjà en ce qui concerne les opiacés (qui eux, provoquent bien un putain de manque physique reconnu par tous) le manque psychologique est le 1er a influencer le ressenti des symptômes physiques (en effet, un accro à la morphine qui n'a soigné que ses douleurs, une fois la maladie guérie et les douleurs disparues, aura 10000 fois moins de mal à décrocher qu'un toxicomane aux mêmes doses depuis aussi longtemps...).
Par déduction, il ne faut donc pas négliger du tout la puissance du mal être et des angoisses (avec tout le cortège des maux physiques qu'elles entrainent, palpitations,insomnies, attaques de panique etc) provoquées par le manque psychologique...Et avec la coke, le manque psycho (le craving) est énorme, peut être même plus encore qu'avec les opiacés...Donc, l'un dans l'autre, pour certains, une addiction à la cc n'a pas grand chose à envier d'une addiction aux opis et lycée de Versailles
(cette grande magicienne), on s'en sort les doigts dans le nez, alors que c'est loin, trés loin d'être aussi facile..Perso, j'aurais plutôt tendance à penser, que, déjà en ce qui concerne les opiacés (qui eux, provoquent bien un putain de manque physique reconnu par tous) le manque psychologique est le 1er a influencer le ressenti des symptômes physiques (en effet, un accro à la morphine qui n'a soigné que ses douleurs, une fois la maladie guérie et les douleurs disparues, aura 10000 fois moins de mal à décrocher qu'un toxicomane aux mêmes doses depuis aussi longtemps...).
Par déduction, il ne faut donc pas négliger du tout la puissance du mal être et des angoisses (avec tout le cortège des maux physiques qu'elles entrainent, palpitations,insomnies, attaques de panique etc) provoquées par le manque psychologique...Et avec la coke, le manque psycho (le craving) est énorme, peut être même plus encore qu'avec les opiacés...Donc, l'un dans l'autre, pour certains, une addiction à la cc n'a pas grand chose à envier d'une addiction aux opis et lycée de Versailles
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils lais
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Le manque n'est pas vraiment physique à proprement parler. Enfin du moins pour moi après plusieurs années à 1g/jour j'en ai pas ressenti.
Juste une immense fatigue et une demotivation extrême pendant plusieurs semaines suite au sevrage.
Par contre psychologiquement ça a été hard. J'en ai rêvé (pour de vrai) j'y ai pensé à chaque minute pendant des mois.
Et même encore après plusieurs années sans y avoir touché y'a des moments je me tape un craving de 15mn comme ça, gratos.
Donc pour moi physiquement ça l'a fait, psychologiquement j'en ai chié velu....
Juste une immense fatigue et une demotivation extrême pendant plusieurs semaines suite au sevrage.
Par contre psychologiquement ça a été hard. J'en ai rêvé (pour de vrai) j'y ai pensé à chaque minute pendant des mois.
Et même encore après plusieurs années sans y avoir touché y'a des moments je me tape un craving de 15mn comme ça, gratos.
Donc pour moi physiquement ça l'a fait, psychologiquement j'en ai chié velu....
240 g de chocolat noir cassé en morceau.
60 g de beurre.
6 œufs jaunes et blancs séparés.
60 g de sucre et une pincée de sel.
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#7
- Petit conton
Petit coton - 21 octobre 2017 à 16:06
He ben j'aurai appris des choses !
Pour moi ça a été facile comparé à d'autre avec mes 500mg maxi sur une journée
Pour moi ça a été facile comparé à d'autre avec mes 500mg maxi sur une journée
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Sinon Ask111 aux vues de tous tes autres posts, ton fameux ami en question, c'est toi non ?
240 g de chocolat noir cassé en morceau.
60 g de beurre.
6 œufs jaunes et blancs séparés.
60 g de sucre et une pincée de sel.
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#9
- Ask111
Nouveau Psycho - 23 octobre 2017 à 00:02
Son médecin lui avais parlé d'un médoc qu'on pouvais prendre quand grosse monté d'envi pour ce calmé, savez vous de quoi il s'agit? il aurait des possibilités d'avoir de la c mais veux stop. Mais a tjrs des monté d’envie et sait que sur plusieurs mois il risque de rechuté donc ce medoc pourait être bien non?
Dernière modification par Ask111 (23 octobre 2017 à 08:22)
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#10
- Ask111
Nouveau Psycho - 23 octobre 2017 à 00:18
.
Dernière modification par Ask111 (24 octobre 2017 à 20:31)
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#11
- snooz
Nouveau Psycho - 27 octobre 2017 à 02:22
yoshinabis a écrit
Sinon Ask111 aux vues de tous tes autres posts, ton fameux ami en question, c'est toi non ?
C'est vrai que ça fait un peu "c'est pas pour moi c'est pour un ami", c'est pas méchant, au contraire, tu es totalement anonyme, si c'est réellement toi peut être qui te trouve en difficulté, viens en parler et parle ouvertement, personne ne te jugera au contraire, il vaut mieux voir le forum comme un soutien :) Au pire si tu n'es pas à l'aise en public passes en mp,, auprès de moi ou autre !
Si c'est vraiment un ami, toutes mes excuses mais peut être que mon message servira à un autre 
Portes toi bien !
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#12
- MoiMel21
Nouveau Psycho - 28 octobre 2017 à 00:53
Je rejoins mes comparses consommateurs de coke, il peut y avoir un manque physique.
Selon si tj sniff, fumé ou injecte je pense que le mal ressenti ne doit pas être tt à fait le même
Pour moi injectrice, c'est maux de ventre et dérèglement de mes intestins... plus une grande fatigue, lassitude, culpabilité et envie de re consommer...
Après quelques jours tout redeviens doucement normal.
Moins de maux physique, moins de fatigue ressentie et retour de mon énergie
Après certaines coke m'ont mis mal des jours durant, elles n'ont pas toutes le même ratio montee, flash/craving, descente
Les benzos peuvent aider, quand je peut j'achète un peu de beuh avec ma coke. Ça calme la descente
Selon si tj sniff, fumé ou injecte je pense que le mal ressenti ne doit pas être tt à fait le même
Pour moi injectrice, c'est maux de ventre et dérèglement de mes intestins... plus une grande fatigue, lassitude, culpabilité et envie de re consommer...
Après quelques jours tout redeviens doucement normal.
Moins de maux physique, moins de fatigue ressentie et retour de mon énergie
Après certaines coke m'ont mis mal des jours durant, elles n'ont pas toutes le même ratio montee, flash/craving, descente
Les benzos peuvent aider, quand je peut j'achète un peu de beuh avec ma coke. Ça calme la descente
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