[ Effets secondaires ]
Rappel sur la toxicité hépatique du paracetamol.
Publié par prescripteur,
14330 vues, 11 réponses
#1
- prescripteur
Modérateur - 22 août 2018 à 08:47
Une campagne va etre lancée pour rappeler les effets toxiques du paracetamol
https://www.20minutes.fr/sante/2323687- … nsommation
Bien entendu les forumers de PA en sont bien conscients.
Amicalement
https://www.20minutes.fr/sante/2323687- … nsommation
Bien entendu les forumers de PA en sont bien conscients.
Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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#2
- franck32
Nouveau membre - 22 août 2018 à 09:33
Merci du lien.
On ne parle jamais assez de ce médicament qui peut détruire le foie. Notamment chez les addos qui font un appel au secours sous forme d'une TS au paracétamol en croyant que c'est assez inoffensif et qui s’abîment gravement le foie et parfois y laissent la vie.
On ne parle jamais assez de ce médicament qui peut détruire le foie. Notamment chez les addos qui font un appel au secours sous forme d'une TS au paracétamol en croyant que c'est assez inoffensif et qui s’abîment gravement le foie et parfois y laissent la vie.
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#3
- Lilas24
Bavarde
- 23 août 2018 à 12:26
En effet, merci de ce lien qui me fait rétrospectivement froid dans le dos, même si j'ai su pendant toute ma dépendance au codoliprane que j'aurai pu m'intoxiquer ou me tuer tous les jours avec ce que je prenais.
J'ai eu l'immense chance de n'avoir qu'une petite anomalie qui a d'ailleurs disparu depuis que j'ai fini mon sevrage mais ça n'a rien de glorieux.
Maintenant, j'en suis au point que je ne peux plus prendre de paracétamol du tout, c'est un peu fou car il n'est pas addictif. J'ai eu 2 fois de la fièvre (2 fois 3 jours à 38,5 à 38,9) à cause de 2 grosses crèves successives et je n'ai pas été capable de prendre de paracétamol car j'étais figée par la peur.
Comme je ne peux prendre ni ibuprofène (allergie) ni aspirine (pas assez de plaquettes), je suis comme une cruche à me dire que je peux payer mes années de surdose massive de paracétamol en prenant juste un cachet de 500mg.
Ma réaction à ton post me fait penser que je dois en parler à mon addicto que je vois la semaine prochaine pour creuser cette question du risque de reprendre du paracétamol de temps en temps quand on en a gobé des quantités folles pendant des années.
Merci beaucoup.
J'ai eu l'immense chance de n'avoir qu'une petite anomalie qui a d'ailleurs disparu depuis que j'ai fini mon sevrage mais ça n'a rien de glorieux.
Maintenant, j'en suis au point que je ne peux plus prendre de paracétamol du tout, c'est un peu fou car il n'est pas addictif. J'ai eu 2 fois de la fièvre (2 fois 3 jours à 38,5 à 38,9) à cause de 2 grosses crèves successives et je n'ai pas été capable de prendre de paracétamol car j'étais figée par la peur.
Comme je ne peux prendre ni ibuprofène (allergie) ni aspirine (pas assez de plaquettes), je suis comme une cruche à me dire que je peux payer mes années de surdose massive de paracétamol en prenant juste un cachet de 500mg.
Ma réaction à ton post me fait penser que je dois en parler à mon addicto que je vois la semaine prochaine pour creuser cette question du risque de reprendre du paracétamol de temps en temps quand on en a gobé des quantités folles pendant des années.
Merci beaucoup.
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#4
- prescripteur
Modérateur - 23 août 2018 à 13:09
Ma réaction à ton post me fait penser que je dois en parler à mon addicto que je vois la semaine prochaine pour creuser cette question du risque de reprendre du paracétamol de temps en temps quand on en a gobé des quantités folles pendant des années.
A priori les 3 causes reconnues de "sur-sensibilité" à l'hépato toxicité du paracetamol sont la consommation d'alcool, le jeûne (et la maigreur) et l'insuffisance hepatique chronique (voir ref en fin de post). Des examens sanguins peuvent dire si ton foie a été atteint, ce qui imposerait la prudence. Mais apparemment ce n'est pas le cas
J'ai eu l'immense chance de n'avoir qu'une petite anomalie qui a d'ailleurs disparu depuis que j'ai fini mon sevrage mais ça n'a rien de glorieux.
Donc a priori tu devrais pouvoir reprendre des doses normales de paracetamol, de preference < 3G/j voire moins. Mais, en effet, parles en à ton addicto.
https://www.sciencedirect.com/science/a … 781730255X
Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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#5
- Lilas24
Bavarde - 24 août 2018 à 11:23
Merci beaucoup de ta réponse qui m'éclaire grandement,
Je ne bois pas d'alcool, je suis un chouia dodue et je n'ai pas d'insuffisance hépatique chronique ce qui peut expliquer que je sois passée entre les gouttes malgré 10 ans de dépendance à raison de 24 codoliprane pris d'un coup le soir en me couchant.
Mes analyses n'ont jamais inquiété personne, même quand elles dépassaient la norme (un tiers au dessus). J'ai fait une écho du foie, en dehors du fait qu'il n'est pas tout à fait à sa place (trop haut), il est normal.
Quand j'y pense rétrospectivement je me dis que la puissance des angoisses qui m'ont conduit à ça m'avait fait perdre pied au point de ne plus réagir face à ce danger mortel, alors que même qu'au plus fort de mon TAG (dont j'ignorais l'existence il y a encore 1 an, je pensais que je perdais la boule et que la codéine me retenait comme une perche pour un funambule), je n'ai jamais eu de pensée suicidaire.
Je vais en parler à mon addicto, pour vérifier que je peux bien prendre un peu de paracétamol en cas de fièvre et je crois que je vais aussi évoquer cette question avec le psychologue qui me suit au CSAPA car j'ai rétrospectivement beaucoup de mal à admettre non pas ma dépendance, ça je sais pourquoi c'est arrivé, mais cette mise en danger à cause du paracétamol alors que je le savais parfaitement.
Ce site fait vraiment du bien, même si nous n'y cherchons pas tous la même chose. Encore merci
Je ne bois pas d'alcool, je suis un chouia dodue et je n'ai pas d'insuffisance hépatique chronique ce qui peut expliquer que je sois passée entre les gouttes malgré 10 ans de dépendance à raison de 24 codoliprane pris d'un coup le soir en me couchant.
Mes analyses n'ont jamais inquiété personne, même quand elles dépassaient la norme (un tiers au dessus). J'ai fait une écho du foie, en dehors du fait qu'il n'est pas tout à fait à sa place (trop haut), il est normal.
Quand j'y pense rétrospectivement je me dis que la puissance des angoisses qui m'ont conduit à ça m'avait fait perdre pied au point de ne plus réagir face à ce danger mortel, alors que même qu'au plus fort de mon TAG (dont j'ignorais l'existence il y a encore 1 an, je pensais que je perdais la boule et que la codéine me retenait comme une perche pour un funambule), je n'ai jamais eu de pensée suicidaire.
Je vais en parler à mon addicto, pour vérifier que je peux bien prendre un peu de paracétamol en cas de fièvre et je crois que je vais aussi évoquer cette question avec le psychologue qui me suit au CSAPA car j'ai rétrospectivement beaucoup de mal à admettre non pas ma dépendance, ça je sais pourquoi c'est arrivé, mais cette mise en danger à cause du paracétamol alors que je le savais parfaitement.
Ce site fait vraiment du bien, même si nous n'y cherchons pas tous la même chose. Encore merci
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#6
- Lecoq
Psycho junior - 24 août 2018 à 12:31
Bonjour et très bon sujet,
J'ai pu arrêter à temps le paracétamol grâce au cannabis.
Le paracétamol m'a obligé de faire du riz mon aliment presque exclusif pendant 6 mois et j'ai attendu quelques années avant de pouvoir manger un oeuf.
J'ai pu arrêter à temps le paracétamol grâce au cannabis.
Le paracétamol m'a obligé de faire du riz mon aliment presque exclusif pendant 6 mois et j'ai attendu quelques années avant de pouvoir manger un oeuf.
Dernière modification par Lecoq (24 août 2018 à 12:35)
La vérité est l'interprétation par l'esprit de la réalité. Par définition, elle est subjective et éphémère.
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#7
- Lilas24
Bavarde - 27 août 2018 à 09:53
Bonjour,
C'est intéressant ce que tu dis Lecoq car j'avais une anomalie hépatique mineure pendant ma dépendance et tout un tas d'aliments que je ne supportais plus mais moi j'avais attribué cela aux intestins (la codéine c'est moche pour les intestins à long terme).
Par exemple, je ne pouvais plus manger d'oeufs surtout au plat, c'était comme un poison pour moi. Idem pour le boeuf. Je ne supportais plus les fritures, tout ce qui était ultra hyper gras, les aliments industriels transformés gras et/ou ultra sucrés.
Pour ma généraliste c'était bien car à par les oeufs et le boeuf, le reste c'est de la merde mais je n'aurai jamais attribué cela au foie, plutôt aux intestins. Je vais lui demander à ma prochaine visite.
Par exemple, je sais que les agrumes, c'est bien les intestins mais il est possible que même avec une petite anomalie, mon foie ait tellement carburé pour absorber ce fichu paracétamol pendant des années qu'il hurlait quand je tentais de lui fourguer un truc difficile à assimiler.
Maintenant, 8 mois après la fin de mon sevrage, je vois que certains aliments passent mieux. Je peux manger une omelette, mais quand j'ai voulu tenter les oeufs coques de la ferme cet été, j'ai fini pliée en deux de douleurs.
Merci de l'info, j'ai demandé à ma généraliste de refaire des analyses mais elle estimait que mon anomalie au foie n'était pas suffisante par le passé. Je vais lui parler des aliments pour bien différencier ce qui est dur pour le foie et pour les intestins car si cela va mieux, ce n'est quand même pas encore top.
C'est intéressant ce que tu dis Lecoq car j'avais une anomalie hépatique mineure pendant ma dépendance et tout un tas d'aliments que je ne supportais plus mais moi j'avais attribué cela aux intestins (la codéine c'est moche pour les intestins à long terme).
Par exemple, je ne pouvais plus manger d'oeufs surtout au plat, c'était comme un poison pour moi. Idem pour le boeuf. Je ne supportais plus les fritures, tout ce qui était ultra hyper gras, les aliments industriels transformés gras et/ou ultra sucrés.
Pour ma généraliste c'était bien car à par les oeufs et le boeuf, le reste c'est de la merde mais je n'aurai jamais attribué cela au foie, plutôt aux intestins. Je vais lui demander à ma prochaine visite.
Par exemple, je sais que les agrumes, c'est bien les intestins mais il est possible que même avec une petite anomalie, mon foie ait tellement carburé pour absorber ce fichu paracétamol pendant des années qu'il hurlait quand je tentais de lui fourguer un truc difficile à assimiler.
Maintenant, 8 mois après la fin de mon sevrage, je vois que certains aliments passent mieux. Je peux manger une omelette, mais quand j'ai voulu tenter les oeufs coques de la ferme cet été, j'ai fini pliée en deux de douleurs.
Merci de l'info, j'ai demandé à ma généraliste de refaire des analyses mais elle estimait que mon anomalie au foie n'était pas suffisante par le passé. Je vais lui parler des aliments pour bien différencier ce qui est dur pour le foie et pour les intestins car si cela va mieux, ce n'est quand même pas encore top.
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#8
- Anonyme1756
Invité - 27 août 2018 à 10:13
Puisque vous déviez sur les aliments qui ne passent pas. J'en ai une poignée qui ne passent pas et j'ignore pourquoi (je n'ai pas d'antécédents d'intoxication au paracétamol mais à l'alcool). Ces aliments sont le foie gras, je ne supporte qu'une petite tranche voire une demi-tranche par repas, et les figues fraîches non-épluchées du commerce (j'ai tendance à en manger un gros paquet d'un coup quand j'en achète). Cela me déclenche des maux de ventre diffus environ 2h après le repas, un certain malaise/fatigue alourdissant, qui se dissipe en quelques heures. Si quelqu'un a une idée de la cause...
#9
- Lilas24
Bavarde - 30 août 2018 à 15:57
Bon, puisqu'on est partis sur une grande déviation, je continue, car j'ai vu mon addicto hier et lorsque je lui ait dit que j'avais deux épisodes de fièvre à 39 en 2 mois sur 3 jours consécutifs sans être capable de prendre du paracétamol pour la faire baisser (je ne peux rien prendre d'autre).
Elle m'a demandée si j'avais peur que cela me ramène à la codéine mais quand je lui ait dit qu'en fait c'était pour mon foie, elle m'a dit que j'avais un foie en pleine forme et qu'il n'y avait aucune raison de ne pas prendre de paracétamol à dose thérapeutique.
Ok, j'ai bien vu que j'avais l'air cruche mais même si mes analyses étaient normales, j'ai 1O ans de codoliprane derrière moi à raison de 24 cachets pris tous les soirs en me couchant, je pensais que même en forme, mon foie risquait d'imploser, ce n'est pas le cas.
Si cela peut servir à d'autres angoissés, tant mieux.
Pour ce qui est des aliments, j'ai compris que ça n'avait rien à voir avec le foie pour moi mais avec l'estomac, les intestins, des allergies ou intolérances alimentaires.
Estomac et intestins ont morflé avec 10 ans de codéine et paradoxalement pas le foie avec le paracétamol. Après 9 mois sans codéine, je ne prends plus d'oméprazole pour l'estomac et je digère mieux certains aliments mais pas tout (ça n'a rien à voir avec la codéine mais elle aggravait mes problèmes d'intestins).
Pour ILE, l'alcool et le paracétamol à forte dose sont mauvais pour le foie donc c'est pareil.
Quant à l'origine de tes soucis avec le foie gras, mystère ça peut être les intestins, la vésicule, une intolérance au canard, à l'oie ou un souci avec ce qui est bien gras. Ca n'a pas l'air trop handicapant quand même
Je m'arrête là car le topic sur les problèmes hépatiques liés au paracétamol est sérieux et voilà ce qu'il est devenu !!
Elle m'a demandée si j'avais peur que cela me ramène à la codéine mais quand je lui ait dit qu'en fait c'était pour mon foie, elle m'a dit que j'avais un foie en pleine forme et qu'il n'y avait aucune raison de ne pas prendre de paracétamol à dose thérapeutique.
Ok, j'ai bien vu que j'avais l'air cruche mais même si mes analyses étaient normales, j'ai 1O ans de codoliprane derrière moi à raison de 24 cachets pris tous les soirs en me couchant, je pensais que même en forme, mon foie risquait d'imploser, ce n'est pas le cas.
Si cela peut servir à d'autres angoissés, tant mieux.
Pour ce qui est des aliments, j'ai compris que ça n'avait rien à voir avec le foie pour moi mais avec l'estomac, les intestins, des allergies ou intolérances alimentaires.
Estomac et intestins ont morflé avec 10 ans de codéine et paradoxalement pas le foie avec le paracétamol. Après 9 mois sans codéine, je ne prends plus d'oméprazole pour l'estomac et je digère mieux certains aliments mais pas tout (ça n'a rien à voir avec la codéine mais elle aggravait mes problèmes d'intestins).
Pour ILE, l'alcool et le paracétamol à forte dose sont mauvais pour le foie donc c'est pareil.
Quant à l'origine de tes soucis avec le foie gras, mystère ça peut être les intestins, la vésicule, une intolérance au canard, à l'oie ou un souci avec ce qui est bien gras. Ca n'a pas l'air trop handicapant quand même
Je m'arrête là car le topic sur les problèmes hépatiques liés au paracétamol est sérieux et voilà ce qu'il est devenu !!
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#10
- TheG68
Swiss Xpert - 30 août 2018 à 16:15
24 cachets de codoliprane chaque soir ???
Pendant combien de temps ?
Pas 10 ans quand même... si ?
Je serais choqué si ça se révélait être le cas ^^
Pendant combien de temps ?
Pas 10 ans quand même... si ?
Je serais choqué si ça se révélait être le cas ^^
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#11
- Lilas24
Bavarde - 03 septembre 2018 à 11:44
OUi, 24 codoliprane tous les soirs en me couchant pendant 10 ans.
Je n'en suis pas fière, je sais que j'aurai pu me tuer 1.000 fois. C'était pour calmer une anxiété extrême mais maintenant c'est du passé, j'ai fait un sevrage dégressif seule puis en CSAPA et je suis soignée pour un trouble anxieux généralisé diagnostiqué par mon addicto.
J'ai eu une chance inouïe de ne pas bousiller mon foie. J'avais une petite anomalie sanguine mais rien de particulier à l'échographie. Maintenant, je n'ai plus rien, les analyses sont normales.
Après, je n'ai n'ai jamais bu d'alcool mais bon, j'ai quand même eu de la chance d'avoir un foie en béton armé.
C'est à cause de cette prise massive que j'ai si peur de prendre du paracétamol aujourd'hui pour de la fièvre mais l'addicto m'a rassurée donc si j'ai de nouveau 39, je prendrai 500mg de paracétamol.
Je n'en suis pas fière, je sais que j'aurai pu me tuer 1.000 fois. C'était pour calmer une anxiété extrême mais maintenant c'est du passé, j'ai fait un sevrage dégressif seule puis en CSAPA et je suis soignée pour un trouble anxieux généralisé diagnostiqué par mon addicto.
J'ai eu une chance inouïe de ne pas bousiller mon foie. J'avais une petite anomalie sanguine mais rien de particulier à l'échographie. Maintenant, je n'ai plus rien, les analyses sont normales.
Après, je n'ai n'ai jamais bu d'alcool mais bon, j'ai quand même eu de la chance d'avoir un foie en béton armé.
C'est à cause de cette prise massive que j'ai si peur de prendre du paracétamol aujourd'hui pour de la fièvre mais l'addicto m'a rassurée donc si j'ai de nouveau 39, je prendrai 500mg de paracétamol.
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#12
- Anonyme1756
Invité - 04 septembre 2018 à 18:56
Lilas24 a écrit
Pour ILE, l'alcool et le paracétamol à forte dose sont mauvais pour le foie donc c'est pareil.
Quant à l'origine de tes soucis avec le foie gras, mystère ça peut être les intestins, la vésicule, une intolérance au canard, à l'oie ou un souci avec ce qui est bien gras. Ca n'a pas l'air trop handicapant quand même
Je m'arrête là car le topic sur les problèmes hépatiques liés au paracétamol est sérieux et voilà ce qu'il est devenu !!
Oui, je sais bien pour l'alcool. Pour le foie gras et les figues les conséquences en sont anecdotiques, ils entrent exceptionnellement dans mon régime alimentaire, mais ça m'intrigue car j'en ignore les causes. Dans le passé certains ananas m'avaient fait la même chose.
Quant à moi dans le doute j'évite également le paracétamol et tous les antalgiques/ analgésiques, et je verrai bien le jour où une douleur sera insupportable et non passagère comment la traiter.
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