[ Grossesse et TSO ]
fin de traitement méthadone

Si tu as peur et comment je te comprends, rien ne t'empêche d'appliquer la méthode de la bouteille chinoise.
Tu prends une fiole de  20 mg que tu dilues dans une quantité x de sirop.
Tu calcules la quantité de sirop obtenu pour faire les 1 mg et tu les prends tous les jours en remplaçant chaque jour la quantité retirée de sirop avec méthadone par du sirop neutre.

Au bout de 5 semaines, tu prends du sirop pratiquement pur et tu es sevrée sans avoir eu à  gamberger.

C'est la méthode qu'utilisaient les français de retour des colonies indochinoises lors du retour par bateau (5 semaines) pour décrocher de l'opium.

coucou!

c'est exactement ce que j'allais te dire: un jour sur 2 et tu espaces...

aller Melle Mtd, le plus dur est derrière toi! c'est pas une tite gélule qui va te faire peur apres ce que tu as vécu?!!! tu es une femme forte, une maman!

et puis si vraiment tu le sens pas, continue quelques temps ta métha et dans 1 semaine, 2 semaines, 1 mois, tu te sentiras peut etre prete. prend ton temps... faudrais pas tout foutre en l'air arrivée à  la fin du parcours.

je vois bien ce que c'est le manque que la came a laissé dans ta vie... mais ta petite puce elle le comblera, t'inquiète!

bon... à  quand le petit frère? lol!

coucou

tu sais naxa en ce moment c'est pas la fête pour moi.....j'essaye de faire la femme forte mais toute seul je m'écroule.....je crois que c'est pas le moment pour moi de passer a 0mg je suis trop déprimé.....soucis perso.....soucis de couple.....de fric....y as des moments ou rien ne vas et en plus pus rien a grrrr

enfin en tout cas pour la methode je pense opter pour 1jour sur deux ....mais dés que je me sentirais préte .....je veus pas tout foutre en l'air pour 1mg.....

et comme tu dis gecko si je la zappe un jour sur deux ça seras deja super

merci beaucoup sphax

Mtd, tu as raison, prend ton temps!!!

en plus, nerveusement c'est pas évident avec un bébé tout petit. mais ne t'inquiète pas ça passe vite et la petite va prendre de l'autonomie.

courage ma belle!

(de rien M!)

ah ouais, tu as commencé à  90mg?! quand meme!!! tu consommais de quelle manière?
tu as fait un sacré chemin, bravo!

moi en 2 ans je n'aurai réussi qu'à  augmenter de 10! quel progres!
pourtant durant mon année de quasi-abstinence j'aurai pu diminuer tranquille! je sentais que 60 c'était trop au bout d'un moment. je piquais du nez au volant... et puis j'ai replongé! la tete la première, retour à  la case départ! aujourd'hui mes 70 ne me suffisent pas toujours.

pourtant je suis bien sous métha... alors pourquoi j'ai toujours envie de consommer? j'essayerai bien d'autres traitements comme le baclofene par exemple. mais ils sont tellement niais au centre où je vais qu'ils ne doivent meme pas connaitre ce médoc!

Moi aussi,je connais pas le baclophene,juste de noms seulement

Mais j'ai trouvé sa sur wiki:

Le baclofène, à  l'origine commercialisé sous le nom de Liorésal®, est un dérivé aromatique halogéné de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA). C'est un myorelaxant à  point d'impact médullaire agoniste du récepteur GABAB inhibant les réflexes mono- et polysynaptiques au travers de la moelle épinière dont l'effet se concentre sur la relaxation des muscles squelettiques.

Baclofène et alcoolodépendance

Le baclofène a été testé dès le début des années 1990. Il a ensuite de nouveau été testé à  la fin des années 1990 à  de petites doses avec, comme résultat prometteur, une réduction de l'envie de boire. Ces résultats n'ont, cependant, pas été retrouvés par d'autres chercheurs.

Olivier Ameisen teste de fortes doses sur lui-même et publie sa propre expérience et sa découverte en 2004. Il appelle à  des essais cliniques concernant de fortes doses . Mais puisqu'aucun ne se prépare, il publie en octobre 2008 un livre à  destination du grand public, Le dernier verre, qui a fait réagir la Société Française d'Alcoologie  qui reste très critique sur une utilisation systématique du baclofène à  doses importantes sans essais complémentaires. Son livre est publié peu après aux États-Unis et en Grande-Bretagne, sous le titre « The End Of My Addiction », soulevant une controverse initiale identique30.

En juillet 2009, la presse fait état d'expériences non publiées par de nombreux médecins (généralistes ou hospitaliers), sur des dizaines de patients avec des résultats très encourageants. L'article parle également de nombreux témoignages individuels sous forme de forum internet. Les malades ayant suivi le protocole décrit dans le livre du docteur Ameisen décrivent, dans leurs témoignages, une notion inédite en alcoologie, celle « d'indifférence à  l'alcool » . Ils se disent capables de consommer occasionnellement un verre d'alcool sans retomber dans une consommation compulsive. Au-delà  de la quantité d'alcool consommée c'est la sensation de dépendance à  l'alcool qui semble être atténuée par le médicament. Les témoignages révèlent également que la plupart des malades alcooliques qui ont fait des cures "à  l'ancienne" en sont ressortis avec l'habitude de consommer des benzodiazépines et notamment du diazépam (Valium®) alors que celui-ci entraîne un risque de dépendance s'il est utilisé plus de quinze jours en continu. L'usage chronique de benzodiazépines (tranquillisants, somnifères) est une pratique connue pour entraîner des effets secondaires graves. Les malades alcooliques abstinents se voient très souvent prescrire des benzodiazépines de façon chronique, médicaments agissant aussi sur le GABA. Le médecin prescripteur de ces médicaments ne fait alors que répondre à  la demande du malade. Il est à  noter que l'utilisation de baclofène à  haute dose n'est pas dénuée d'effets secondaires plus ou moins importants selon les individus et la consommation, ou non, d'alcool pendant la durée du traitement.

Cette prescription pourtant très courante de benzodiazépines au long cours, comme la prescription de baclofène dans l'indication « traitement de la maladie alcoolique », restent, en France, des prescriptions hors « Autorisation de mise sur le marché », les indications ne figurant pas sur les notices de ces benzodiazépines ni du baclofène.

Pour cette raison le médecin prescripteur de baclofène ou de benzodiazépines pour une durée de plus de quelques semaines consécutives dans cette indication engage sa responsabilité pénale en cas de problèmes graves avec le traitement et notamment en cas de décès du patient. Notons cependant qu'aucun décès n'a jamais pu être imputé à  l'administration de baclofène en trente années de pratique en neurologie (y compris à  haute dose). Certains médecins ont pris cependant la décision d'engager leur responsabilité et de prescrire du baclofène à  des malades sévères.

En France, une nouvelle étude est en cours afin de tester l'indication "traitement de la maladie alcoolique" pour le baclofène. Cette étude a pour base un test clinique sur un large échantillon de patients. Elle sera réalisée à  la dose maximale de 90 mg/j (soit à  une dose inférieure que celle préconisée dans la méthode de traitement d'Ameisen). La publication de ces résultats n'est pas attendue avant 2011. Par contre, en Allemagne, à  la suite d'un cours du professeur Ameisen suivi d'un débat ouvert au public et à  la presse (19 octobre 2009),le professeur Andreas Heinz, chef du service de psychiatrie et d'addictologie de l'hôpital Charité à  Berlin (université Humboldt) a officiellement annoncé qu'il mettrait au plus tôt en place un essai clinique randomisé de baclofène, cette fois à  doses adéquates (hautes doses).

Actuellement des recherches fondamentales sont en cours dans le domaine de la neuroscience. Le matériel utilisé permet de visualiser quasiment en temps réel l'activité cérébrale des malades à  l'aide d'images en haute résolution et couleurs artificielles (les couleurs matérialisent l'activité cérébrale et son intensité dans les différentes zones concernées). Ces études ont montré que le fonctionnement neuronal des malades toxicomanes (y compris les malades alcooliques) était profondément perturbé. À l'aide de ce nouveau procédé, l'activité cérébrale du baclofène sur le craving (envie irrépressible de consommer) dû à  l'utilisation de cocaïne peut être mise en évidence.

En février 2010, paraissent les résultats d'une étude en ouvert(sans groupe placebo) menée sur des patients alcoolodépendants ayant reçu le traitement en ambulatoire. A trois mois, 88 % des patients ont totalement arrêté ou significativement diminué leur prise d'alcool et la plupart d'entre eux sont devenus indifférents à  l'alcool sans effort. Les doses de baclofène nécessaires ont été très variables d'un patient à  l'autre, allant de 15 à  300 mg/jour, avec une moyenne de 145 mg/jour. Environ deux tiers des patients ont eu besoin d'une dose supérieure à  celle autorisée de 80 mg/j. Les auteurs précisent que rien ne permettait de prévoir la dose nécessaire avant le traitement, cette dose n'ayant apparemment pas de lien avec la corpulence des patients, ni avec le sexe, même si des analyses précises n'ont pas été faites.

Dernière modification par melanie&frederic (07 février 2012 à  12:39)

ok, je vois Mtd... tu me l'avais dit mais j'avais oublié! moi aussi je consomme autant que tu consommais et de la meme manière! mais oui, je me souviens qu'on avait parlé ensemble du frisson qui nous parcoures à  la vue d'un rouleau d'alu lol!

le Baclofene, en d'autres thermes, est un médoc qui agit (je ne sais pas comment) sur le comportement addictif. il ne joue pas le role de substitution, donc ne coupe pas le manque, mais enlève l'envie de consommer.
il est à  l'essai en France pour les alcooliques... il est prescrit rarement aux tox. en fait il faut trouver un addicto qui connaisse bien le produit et qui veuille bien le prescrire.

le baclofene n'agit pas que pour les addictions de drogue ou d'alcool... en fait il agit sur les comportements style addiction au jeu, comportement boulimique, etc...

enfin voilà , je ne suis pas spécialiste mais c'est ce que j'ai compris de ce qu'on m'a expliqué lol! y'a un mec sur le forum qui en prend(pour l'alcool) (désolé j'ai zappé son nom!). et puis je connais qq1 sur un autre forum qui en prend pour arreter ses conso d'anxyolitiques, barbituriques, morphine et cie et chez qui ça a bien marché. tellement bien qu'il en est tout déboussolé lol! ça lui fait bizarre de ne plus etre poussé à  prendre des produits!

coucou un petit message pour vous dire que pour la premiére fois depuis 4ans je viens de passer 24
h sans metha et je me sens bien :) esperons que ça dure :)

alors dimanche soir je suis partit me coucher sans prendre ma metha je m'en suis rappelé plus tard dans la nuit mais j'ai eu la flemme de descendre, la nuit c'est bien passé du coup je me suis dit je vais faire un jour sur deux mais mercredi j'ai du me lever dans la nuit pour la prendre donc la j'en reprend tout les jours..........la galére j'en ai marre de c'est rendez vous tout les 15jours au docteur (qui es a 30min de route de chez moi,c'est le seul qui as dit oui pour me suivre) je voudrais tourner la page définitivement

je me demander a 1mg c'est pas plutôt psychologique??? a votre avis??
je dis ça mais malgres tout mercredi soir j'ai du prendre metha car imposible de dormir et surtt les jambes lourdes et douloureuse bon rien avoir avec le manque du debut de sevrage mais quand même...

je te souhaite vraiment d'arrivé a decrocher naxa je sens que tu es une bonne personne et que tu mérite bien d'enfin connaitre une vie sans les galéres de la came
j'avoue qu'au debut la came et tout se qui l'entour m'on bien manqué mais aujourdhui je me sens plus libre, c'est une nouvelle vie
je n'ai pas de solution miracle mais je sais que c'est possible bien sur je n'avais que 4ans de came derniére moi mais c'est l'envie de s'en sortir et surtt les moyens que tu te donne pour y arriver moi je suis partit tres loin de tout ce "beau monde" j'ai changé de numéro vendu ma voiture effacer tout mon répertoire et je me suis dit cette fois c'est finit 1moi apres je rencontrer mon homme et une nouvelle vie a commencé :) bien évidemment ça étais tres dur je n'oublierais pas cette période mais aujourdhui j'essaye de définitivement tourner la page

bsr

je suis tout a fait d'accord ce derniére mg est le garant de ma stabiliter je flippe de pas etre bien......je me laisse encore un peu de temps et quand je le sentirais je ferais sans  et puis un jour c'est sur tout ça seras derniére moi....même si je n'oublirais jamais.....

et merci pour ton mess;)

Dernière modification par mtd62 (07 mars 2012 à  21:17)

Bonjour je suis nouveau cela fait longtemps que je viens ici et je vais vous raconter mon histoire, alcoolique de 12 à  18 ans en plus d'une très grande conso de cannabis.

Puis j'ai arrèté l'alcool d'un coup mais me je me suis retouver dans un état d'ennuie et 1 mois après je découvre les taz que j consomme en grande quantité jusqu'a 22 ans plus viens le lsd et les champis pendant 2 ans et viens l'héroine, en plus d'une qualité super elle venait soit de hollande soit d'espagne je prenais 1 à  2 grammes par jour.

ensuite est arrivé la métha que j'ai consommé au marché noir tout le temps et cela pendant 5ans et j'arrivais sans problème à  récuper de quoi avoir mes 90 mg minimum par jour car mon pote ne me la fesait pas payer et lui était à  180 mg mais il prenait que 10 à  la fin mais buvez et prenez des benzos à  profusion.

Il m'ai mème arrivait de prendre 280 mg pour pouvoir piquez du zen et rien.
Mais là  ou je veus surtout intervenir c'est que cela fait plus de 6 mois que j'ai arrèté la métha et je me sens vraiment revivre, bon j'ai du seresta 50 4 par jour et de l'avlane pour dormir et je piccole un peu le week end par contre je fume toujours mais pas énorme et juste le soir.

Pour arrèter la métha j'ai donc fait de 60 à  40 je suis rester 6 mois à  40 ensuite je suis passé à  20 mg et jamais de souci pour descendre et là  cela à  duré 2 mois puis à  10 mg 2 mois aussi et à  5mg 2 mois pareil mais èspassant les prises de plus en plus et au final je trouve que cela a été assez facile je m'attendais à  bien pire, les 15 1er jours très dur mais bon gérable.

Tout cela pour dire que l'on peut arrèter la métha à  sec à  partir de 5 mg mais il faut vraiment le vouloir.

slt mtd62, sa va?

oui tjr sans métha depuis mardi dernier et pas envi d'en reprendre, pour l'instant rien à  changé physiquement, tjr ces étirements le matin et les nuits agitées, je ne dors pas plus de 4h d'affilé mais sa va, il me reste pourtant 100mg dans un tiroir mais l'envi d'en prendre ne serais ce que 1 ou 2mg pour pouvoir passé une nuit correcte ne me viens même pas à  l'esprit. psychologiquement sa va mieux, je sent une différence depuis le début de semaine, moins stressé et énervé malgré un collègue légèrement insupportable ^^

quand j'ai stoppé le traitement cela faisait 2ans et demi jours pour jours que je l'avais commencé. j'ai commencé à  consommer de l'héro à  l'age de 18ans jusqu'à  mes 24ans ou la j'étais parti en vrille dans ma tête plus pas mal de prb perso et d'argent, grosse dépression, c'est ce qui ma fait prendre conscience que j'étais tombé bien bas à  cause de cette merde. je la sniffais (fumais quelques fois), a la fin c'étais 2 à  3gr par jours, cela à  duré 2ans à  ce rythme.

j'ai commencé mon traitement à  90mg, pendant un ans je suis resté régulier et j'ai commencé à  baisser, la descente à  zéro m'à  prit 1 ans et demi. au début c'était chiant j'ai faillit même renoncé car le centre ou j'étais suivi était à  une heure de route de chez moi donc 2h aller retour pour 5min de rdv........ je voulais me faire suivre par mon médecin pour que ce soit plus proche mais il refusait car ce n'était pas le même département. ducou obligé de péter un câble dans le centre pour qu'il comprenne bien que de prendre une demi journée de travail toute les deux semaines, mon patron commençait à  en avoir marre, plus la route, enfin bref... me suis taper des aller retour pendant 6 mois.

pour le psychologique je ne pense pas car il ne faut pas oublier que notre corps à  été habitué à  cette substance pendant des années donc maintenant il faut qu'il ce r'habitue à  tourner sans métha ^^ je pense qu'au bout de 2 semaines, voir 3 max, les gènes physique vont pas mal s'estomper.

sinon, tjr rien prit depuis lundi?