Des
sevrages d'
héro, j'en ai vécu un paquet avant l'arrivée des
TSO. Dans ces temps lointains, ma femme et moi, nous avions en horreur cette intense fatigue/molesse qui accompagne le manque. Comme nous avions de potes médecins, en plus de la
codéine pour amortir, on prenait les "coupes-faim" à la mode (Fringanor et Dinintel) pour avoir un peu d'énergie.
Alors, oui, sur le moment même cela soulageait un peu quelques heures, mais la contre partie de cet usage était que la
descente des effets nous laissait plus bas que sans cette prise.
Au bout de 5/6
sevrages, j'ai stoppé cet ajout de stimulants à cause de l'atterrissage. Je n'ose imaginer ce que cela peut donner avec un stimulant tel que la
méthamphétamine qui est très nettement plus puissante que ces molécules de la famille "amphétamines" à durée d'action courte qu'étaient ces
coupe-faims.
A mon humble avis, oublies ta
methamphétamine le temps que le gros du
sevrage n'est pas passé. J'ai goûté et consommé de la
meth depuis ces lointaines années et j'ai pu constater le bordel psychique et physique de la
descente que je n'aimerai pas ajouter à un manque opiacé, bonjour le fond de l'océan !!!
Amicalement
Fil
Dernière modification par filousky (10 octobre 2020 à 09:43)