Salut
Mon avis est d'en parler avec le groupe de patients.
N'argumente qu'en parlant de ton ressenti et comment cela t'affecte. par respect et empathie ils vont changer leurs comportements pour s'adapter à toi.
En cas d'échec , personnes irrespectueuses et sans empathie, parle avec les responsables dont le cadre de santé (qui gère les employés : médecins, infirmiers, aide soignants, éducateurs etc).
Pour l'instant tu n'es pas encore prêt pour avoir la tentation sous le nez.
Mais à la fin de ta cure, il faudra te mettre à l'éppreuve car le monde extérieur le fera aussi.
C'est bien ça le problème des cures: c'est chouette d'avoir un havre de sobriété (en théorie - dans la pratique il y a des communes isolés où il y a moins de drogues que des cures) mais si les patients ne se mettent pas à l'eppreuve avec les tentations extérieurs ils rechutent quasiment immédiatement. D'où le faible taux de réussite des cures. Et leur raréfaction. Vu que la médecine est une science et qu'une pratique sans résultats intéressant (ex: homéopathie, psychanalyse pour les psychotiques, cures) finit par être de moins en moins financé puis disparaît du public (pour se réfugier dans le privée).
Dernière modification par Rick (01 août 2021 à 00:20)