sevrage cannabis et symptômes physiques

Je pense que cette limite on ne peut pas la poser franchement

D'un certain point de vue, ton état psychique / psychologique c'est un certain équilibre de neuro-transnmetteurs etc. et de cet angle le psychologique est physiologique


J'imagine qu'on peut trouver des différences dans la nature (fine) des mécanismes impliqués, et qu'ensuite la distinction est avant tout une grille d'analyse qui sert les besoins médicaux

Après tout même sans parler de substance, on peut perdre l'appétit après un traumatisme,et on parle d'ailleurs de manifestations psychosomatiques après tout

Et puis il y a toujours un tas de trucs qui rentrent en compte dans un état donné dans lequel on se sent (même un état de manque)

Je suis un gros consommateur, et pour ma part ce que je remarque à l'arrêt comme symptômes que je classerais intuitivement comme "physiques" c'est le manque d'appétit et une certaine sensation de nausée (bien différente de celle d'une gastro, d'une cuite, d'une indigestion ou d'un coup de soleil, difficile à décrire)

Mais c'est vrai que par rapport à l'autre sevrage que j'ai pu expérimenté, celui avec le cannabis est dans mon cas bien moins qualifiable, c'est une sensation beaucoup plus confuse et sur laquelle j'ai du mal à mettre le doigt

Quand je me sentais nettement malade avec le tramadol par exemple

Je pense que ça reste une distinction assez artificielle

Hello,
Pour le sevrage cannabis je n’ai aucun symptôme psychologique,  pas d’énervement ou d’irritabilité
Par contre je transpire énormément la nuit, à mouiller entièrement les draps
Impossible d’avaler de la nourriture ou de trouver le sommeil
Des cauchemars quand je finis par dormir
Et une grosse diarrhée, de la nausée , parfois des vomissements

linec13 a écrit

Hello,
Pour le sevrage cannabis je n’ai aucun symptôme psychologique,  pas d’énervement ou d’irritabilité
Par contre je transpire énormément la nuit, à mouiller entièrement les draps
Impossible d’avaler de la nourriture ou de trouver le sommeil
Des cauchemars quand je finis par dormir
Et une grosse diarrhée, de la nausée , parfois des vomissements

Globalement les symptômes c'est pareil pour moi sur le moment +

Mister No a écrit

Quand je parle de terreur, j'évoque ma vie sans cannabis. Seulement quelques heures.
Avec l'habitude, je tiens 72 heures sans symptômes, mais au delà, c'est l'enfer.
Je n'exagère pas, mon vocabulaire est significatif de mon ressenti.
Jah bless me et pourtant je suis athée.

ça pour moi c'est plutot au niveau de l'appréhension de l'avant sevrage. Il y a 2 ans j'etais incapable de m'imaginer ne pas fumer une apres midi et j'ai arreté 1 an et demi.
Apres on est tous different, mzis moi le cannabis c sentimental j'y suis tres attaché, alors ca rend la substance plus difficile à bannir que les autres

Pareil que la femme de Mister No, gros consommateur, je n'ai pas de signe de manque si j'arrête et c'est très psychologique, comme sous entendu dans la discussion car en analysant profondément le phénomène, je n'ai aucune manifestation psy ou physique  si j'ai une réserve suffisante pour reprendre quand je veux.

Mister No a écrit

Quand je parle de terreur, j'évoque ma vie sans cannabis. Seulement quelques heures.

Par contre, comme Mister No, un de mes sujets de cauchemars est que je n'en ai plus à disposition ......

J'ai eu une discussion avec un autre modérateur du forum avec lequel nous partageons ce besoin équilibrant du cannabis sur nous et il me disait qu'en cas d'arrêt, il garde sur lui de quoi en rouler un et que le fait de pouvoir toucher un petit pochon calmerait certains usagers de suite d'un signe de manque .....

Amicalement

Fil

filousky a écrit

Pareil que la femme de Mister No, gros consommateur, je n'ai pas de signe de manque si j'arrête et c'est très psychologique, comme sous entendu dans la discussion car en analysant profondément le phénomène, je n'ai aucune manifestation psy ou physique  si j'ai une réserve suffisante pour reprendre quand je veux.

Mister No a écrit

Quand je parle de terreur, j'évoque ma vie sans cannabis. Seulement quelques heures.

Par contre, comme Mister No, un de mes sujets de cauchemars est que je n'en ai plus à disposition ......

J'ai eu une discussion avec un autre modérateur du forum avec lequel nous partageons ce besoin équilibrant du cannabis sur nous et il me disait qu'en cas d'arrêt, il garde sur lui de quoi en rouler un et que le fait de pouvoir toucher un petit pochon calmerait certains usagers de suite d'un signe de manque .....

Amicalement

Fil

Bonjour.
Les quelques fois où j'ai arrêté j'en avais sous la main. C'est beaucoup moins angoissant. J'ai de grosse réserve comparé à ma petite conso car tjrs peur de manquer. J'ai arrêté les cigarettes aussi en ayant un paquet avec moi en permanence.
Amicalement.