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- choupi
- Nouveau membre
- Inscrit le 26 May 2012
- 5 messages
Bonjour à tous !
Voilà déjà plusieurs semaines que je navigue à travers les posts et trouve un foule d'informations très intéressantes!
Cependant rien ne répond exactement à mes interrogations.
Je vous explique la situation:
Mon copain a arrêté l'héro depuis juin 2011. C'est moi qui ai insisté pour qu'il arrête parce que je le voyais sombrer vraiment et je m'inquiétais pour lui.
Pourtant je consommais aussi mais, heureusement pour moi, de manière occasionnelle (par exemple 2 semaines pendant les vacances et puis plus rien avant 1 mois.)
Nous habitions à 500 km l'un de l'autre et je l'ai fait venir dans ma ville pour arrêter. Je pensais qu'il pourrait stopper net en une semaine tout au plus.
Mais les conditions n'étaient pas vraiment réunies pour arrêter "à la dure" (on était à la rue).
Après un nuit de souffrance pour lui, on décide de chercher de la métha dans la rue. Je me dis qu'il va pouvoir arrêter très vitre grâce à la métha (genre en une semaine). En fait on achète de la métha dans la rue pendant 2 mois environ.
Bref, j'étais bien loin de la réalité....
On part chez son père qui nous hébergera pendant presque deux mois. A partir de là , il commence un traitement suivi dans un CSST. On emménage dans une ville voisine, on reprend la fac... Tout va bien quoi!
On continue à taper un peu, une fois de la came (à nouvel-An), une ou deux fois par mois du Skenan et de la Ritaline aussi.
Mais la métha en sirop le dérange. Le goût le dégoute, il a la nausée toute la journée. Parfois, il échange avec un autre UD qui a des gélules. Il prend 15 kilos en 6 mois, sa libido tombe presque à zéro. En outre baisser le traitement aussi lentement lui paraît interminable et il veut en finir le plus vite possible.
Il décide donc après 8 mois de métha d'arrêter brusquement, alors qu'il est à 70mg. Je suis contre, je sais que ca va être horrible pendant une semaine pour rien au final. Mais bon j'accepte (parce qu'il ne veut le faire qu'avec moi à ses côtés.) Ca dure 5 jours et il craque.
Mais depuis cette tentative, il n'a certes pas arrêté mais ne prend plus que 40mg!
J'estime donc que c'était quand même pas mal...
Et depuis il veut réessayer. Pensez-vous qu'il est possible d'arrêter ainsi par à -coups? Après lecture de nombreux posts, j'ai compris que c'était différent pour tous.... mais bon cela vous semble-t'il plausible?
Qu'est-ce que je pourrais faire pour que ca soit le moins pénible possible?
Il y a aussi quelque chose qui me fait peur. S'il arrive à arrêter complètement, j'ai peur qu'il reprenne de la métha pour se défoncer (vu qu'il sera sevré) et que là paf crac, il faille tout recommencer.
Et parfois aussi, j'ai peur qu'il s'ennuie avec moi (même s'il me jure le contraire.) C'est dur pour moi parce que j'ai envie de me défoncer comme je le faisait avant, mais je ne veux pas lui "donner un mauvais exemple". Ce serait pas super cool de m'exploser la tronche alors que c'est moi qui l'ai poussé à arrêter! (Même si c'est pas pareil parce que j'étais pas dedans)
bon c'est peut-être un peu confus mais ça l'est aussi dans ma tête et j'ai personne avec qui en parler
merci de m'avoir lue et merci d'avance pour vos réponses
Voilà déjà plusieurs semaines que je navigue à travers les posts et trouve un foule d'informations très intéressantes!
Cependant rien ne répond exactement à mes interrogations.
Je vous explique la situation:
Mon copain a arrêté l'héro depuis juin 2011. C'est moi qui ai insisté pour qu'il arrête parce que je le voyais sombrer vraiment et je m'inquiétais pour lui.
Pourtant je consommais aussi mais, heureusement pour moi, de manière occasionnelle (par exemple 2 semaines pendant les vacances et puis plus rien avant 1 mois.)
Nous habitions à 500 km l'un de l'autre et je l'ai fait venir dans ma ville pour arrêter. Je pensais qu'il pourrait stopper net en une semaine tout au plus.
Mais les conditions n'étaient pas vraiment réunies pour arrêter "à la dure" (on était à la rue).
Après un nuit de souffrance pour lui, on décide de chercher de la métha dans la rue. Je me dis qu'il va pouvoir arrêter très vitre grâce à la métha (genre en une semaine). En fait on achète de la métha dans la rue pendant 2 mois environ.
Bref, j'étais bien loin de la réalité....
On part chez son père qui nous hébergera pendant presque deux mois. A partir de là , il commence un traitement suivi dans un CSST. On emménage dans une ville voisine, on reprend la fac... Tout va bien quoi!
On continue à taper un peu, une fois de la came (à nouvel-An), une ou deux fois par mois du Skenan et de la Ritaline aussi.
Mais la métha en sirop le dérange. Le goût le dégoute, il a la nausée toute la journée. Parfois, il échange avec un autre UD qui a des gélules. Il prend 15 kilos en 6 mois, sa libido tombe presque à zéro. En outre baisser le traitement aussi lentement lui paraît interminable et il veut en finir le plus vite possible.
Il décide donc après 8 mois de métha d'arrêter brusquement, alors qu'il est à 70mg. Je suis contre, je sais que ca va être horrible pendant une semaine pour rien au final. Mais bon j'accepte (parce qu'il ne veut le faire qu'avec moi à ses côtés.) Ca dure 5 jours et il craque.
Mais depuis cette tentative, il n'a certes pas arrêté mais ne prend plus que 40mg!
J'estime donc que c'était quand même pas mal...
Et depuis il veut réessayer. Pensez-vous qu'il est possible d'arrêter ainsi par à -coups? Après lecture de nombreux posts, j'ai compris que c'était différent pour tous.... mais bon cela vous semble-t'il plausible?
Qu'est-ce que je pourrais faire pour que ca soit le moins pénible possible?
Il y a aussi quelque chose qui me fait peur. S'il arrive à arrêter complètement, j'ai peur qu'il reprenne de la métha pour se défoncer (vu qu'il sera sevré) et que là paf crac, il faille tout recommencer.
Et parfois aussi, j'ai peur qu'il s'ennuie avec moi (même s'il me jure le contraire.) C'est dur pour moi parce que j'ai envie de me défoncer comme je le faisait avant, mais je ne veux pas lui "donner un mauvais exemple". Ce serait pas super cool de m'exploser la tronche alors que c'est moi qui l'ai poussé à arrêter! (Même si c'est pas pareil parce que j'étais pas dedans)
bon c'est peut-être un peu confus mais ça l'est aussi dans ma tête et j'ai personne avec qui en parler
merci de m'avoir lue et merci d'avance pour vos réponses
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- spartiate
- jeune de la vieillerie
- Inscrit le 07 Apr 2012
- 578 messages
salut Choupi,
pour répondre à ta question sur le sevrage, non je ne pense pas qu'il puisse se sevrer de la métha sans aucun accompagnement médical et médicamenteux.
L'expérience qu'il vient de vivre vous induit en erreur.
Certes, il a réussi en un temps record, grace à une tentative de sevrage de faire diminuer son seuil de tolérance. Ce qui se manifeste par la diminution de la quantité de méthadone nécessaire pour supprimer le syndrome de manque.
Mais le sevrage des derniers milligrammes est bien plus dure , et bien plus long( jusqu'à deux mois pour certaines personnes....Et sansun accompagnement le risque de rechute est majeur, donc le risque de retomber dans la came est certain .... ET le risque de faire une overdose (s'il reconsomme) est important, car son corps ne sera plus capable d'encaisser les memes doses.
Il faut diminuer très très progressivement....
Demande conseil à Prescripteur.
Bon courage à tous les deux
pour répondre à ta question sur le sevrage, non je ne pense pas qu'il puisse se sevrer de la métha sans aucun accompagnement médical et médicamenteux.
L'expérience qu'il vient de vivre vous induit en erreur.
Certes, il a réussi en un temps record, grace à une tentative de sevrage de faire diminuer son seuil de tolérance. Ce qui se manifeste par la diminution de la quantité de méthadone nécessaire pour supprimer le syndrome de manque.
Mais le sevrage des derniers milligrammes est bien plus dure , et bien plus long( jusqu'à deux mois pour certaines personnes....Et sansun accompagnement le risque de rechute est majeur, donc le risque de retomber dans la came est certain .... ET le risque de faire une overdose (s'il reconsomme) est important, car son corps ne sera plus capable d'encaisser les memes doses.
Il faut diminuer très très progressivement....
Demande conseil à Prescripteur.
Bon courage à tous les deux
Dernière modification par spartiate (26 mai 2012 à 15:32)
" Si un État est gouverné par la raison, la pauvreté et la misère sont honteuses ; si ce n’est pas la raison qui gouverne, les richesses et les honneurs sont honteux. "
Confucius
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- spartiate
- jeune de la vieillerie
- Inscrit le 07 Apr 2012
- 578 messages
Salut Choupi, j'ai fouillé dans ma mémoire de poisson rouge, et j'ai retrouvé un discussion que j'ai eu avec un psy de l'hoppital Marmottan. 
Bon c'est un peu les "avangardistes" de la prise en charge des usagers de drogues, et de la théorisation sur la toxicomanie
-Meme si je reste covaincu que tout système est imparfait-
j'appelais à l'époque pour un pote qui voulait faire un sevrage métha, alors qu'il était à 80 mg de sirop en quotidien
Je me suis fait exploser..........:
" au dessus de 30 mg , c'est ABSURDE, CRUEL et SADIQUE"
c'est lui qui m'a expliqué les conséquences que cela pouvait avoir.. ...ce que je te dit dans mon premier post.
il a précisé:
" je conseille un minimun de 5 semaines d'hospitalisation", en rapport avec les difficultés , les risques et la durée du sevrage.
Pour le coup, tu ne peux pas accéder , à ce type de sevrage à l'hopital général ( 7 à 15 jours max, comme pour l'alcool)........Le recours, c'est de passer par la psychyatrie.....avec la représentation, le vécu que nous pouvons en porter......
En tous cas , ce dont je peux témoigner, c'est que les cures -longues-, qui proposent : accompagnement psy, accompagnement social, activités thérapentiques...etc etc (= diversité de "soins" et d'accompagnement ), sont bien plus efficaces que le sevrage hospitalier de quinze jours, et puis: "Tchao bye bye", c'est fini démerdez vous!!!!
j'espère ne pas trop vous faire flipper.... En tous cas interrogez les personnes du forum, beaucoup ont réussis , ou échoués de leur sevrage, cela devrait vous aiguiller.
Bon courage Kenavo
Bon c'est un peu les "avangardistes" de la prise en charge des usagers de drogues, et de la théorisation sur la toxicomanie
-Meme si je reste covaincu que tout système est imparfait-
j'appelais à l'époque pour un pote qui voulait faire un sevrage métha, alors qu'il était à 80 mg de sirop en quotidien
Je me suis fait exploser..........:
" au dessus de 30 mg , c'est ABSURDE, CRUEL et SADIQUE"
c'est lui qui m'a expliqué les conséquences que cela pouvait avoir.. ...ce que je te dit dans mon premier post.
il a précisé:
" je conseille un minimun de 5 semaines d'hospitalisation", en rapport avec les difficultés , les risques et la durée du sevrage.
Pour le coup, tu ne peux pas accéder , à ce type de sevrage à l'hopital général ( 7 à 15 jours max, comme pour l'alcool)........Le recours, c'est de passer par la psychyatrie.....avec la représentation, le vécu que nous pouvons en porter......
En tous cas , ce dont je peux témoigner, c'est que les cures -longues-, qui proposent : accompagnement psy, accompagnement social, activités thérapentiques...etc etc (= diversité de "soins" et d'accompagnement ), sont bien plus efficaces que le sevrage hospitalier de quinze jours, et puis: "Tchao bye bye", c'est fini démerdez vous!!!!
j'espère ne pas trop vous faire flipper.... En tous cas interrogez les personnes du forum, beaucoup ont réussis , ou échoués de leur sevrage, cela devrait vous aiguiller.
Bon courage Kenavo
" Si un État est gouverné par la raison, la pauvreté et la misère sont honteuses ; si ce n’est pas la raison qui gouverne, les richesses et les honneurs sont honteux. "
Confucius
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- gromit
- Banni
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- 152 messages
Salut,
Je pense que le parcours "classique" est ici le plus indiqué, diminuer de 5 ou 10 mg chaque semaine et lorsque l'on se sent prêt à passer le pas du sevrage total et que la prise de métha est sous les 10mg, on essaie (avec quelques doses de secours, au cas où). Passer de 70 mg à rien du tout est illusoire et tient du sado-masochisme. En ce qui concerne ta consommation, tu peux taper chez des amis sans qu'il en soit informé. Bonne chance à vous deux!
Salutations amicales,
Gromit
Je pense que le parcours "classique" est ici le plus indiqué, diminuer de 5 ou 10 mg chaque semaine et lorsque l'on se sent prêt à passer le pas du sevrage total et que la prise de métha est sous les 10mg, on essaie (avec quelques doses de secours, au cas où). Passer de 70 mg à rien du tout est illusoire et tient du sado-masochisme. En ce qui concerne ta consommation, tu peux taper chez des amis sans qu'il en soit informé. Bonne chance à vous deux!
Salutations amicales,
Gromit
"Je résiste à tout, sauf à la tentation." Oscar Wilde
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- prescripteur
- Modérateur
- Inscrit le 22 Feb 2008
- 11142 messages
En effet la "bonne demarche" est de baisser de 5 mg toutes les 3 semaines environ. Puis à 10 mg (ou 5) on peut faire la methode chinoise, type:
preparer 100 mg dans 100 ml (completer avec du sirop de fruit , pas de l'eau car la methadone ne se conserverait pas). Prendre 10 ml (donc 10 mg) , remplacer par 10 ml de sirop de fruit et ainsi de suite pendant 2 mois environ, voire plus. C'est une dose moyenne mais qui peut etre adaptée.
Cela c'est la demarche correcte et qui donne generalement de bons resultats.
ceci dit, il faut une VRAIE motivation, sinon il y a plusieurs risques
- ne pas y arriver, eventuellement etre des mois en "arret-rechute".
- rechuter rapidement (à l'hero ou à la Metha) avec un risque d'OD tres élevé en cas de rechute.(plus 800% de risque)
L'attitude de ton ami semble indiquer qu'il n'est pas tres clair avec sa volonté. Il en a amarre, on peut le comprendre et voudrais "tout supprimer" mais il faut qu'il se rende compte que c'est de la velleité pas forcément de la volonté. Et, est il sûr de tenir une fois sevré ??? En général pour pouvoir le dire il faut que "des choses aient changé" ( affectif, professionnel etc..).
S'il arrive à se maintenir à 40 mg, le meiux est qu'une fois stabilisé il diminue de 5 mg toutes les 3 ou 4 semaines, et qu'il discute avec le CSST pour bien evaluer sa motivation.
Qu'il se dise biern qu'un Tt Methadone est preferable à des rechutes à repetition.
Amicalement
preparer 100 mg dans 100 ml (completer avec du sirop de fruit , pas de l'eau car la methadone ne se conserverait pas). Prendre 10 ml (donc 10 mg) , remplacer par 10 ml de sirop de fruit et ainsi de suite pendant 2 mois environ, voire plus. C'est une dose moyenne mais qui peut etre adaptée.
Cela c'est la demarche correcte et qui donne generalement de bons resultats.
ceci dit, il faut une VRAIE motivation, sinon il y a plusieurs risques
- ne pas y arriver, eventuellement etre des mois en "arret-rechute".
- rechuter rapidement (à l'hero ou à la Metha) avec un risque d'OD tres élevé en cas de rechute.(plus 800% de risque)
L'attitude de ton ami semble indiquer qu'il n'est pas tres clair avec sa volonté. Il en a amarre, on peut le comprendre et voudrais "tout supprimer" mais il faut qu'il se rende compte que c'est de la velleité pas forcément de la volonté. Et, est il sûr de tenir une fois sevré ??? En général pour pouvoir le dire il faut que "des choses aient changé" ( affectif, professionnel etc..).
S'il arrive à se maintenir à 40 mg, le meiux est qu'une fois stabilisé il diminue de 5 mg toutes les 3 ou 4 semaines, et qu'il discute avec le CSST pour bien evaluer sa motivation.
Qu'il se dise biern qu'un Tt Methadone est preferable à des rechutes à repetition.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (27 mai 2012 à 10:35)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- choupi
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- Inscrit le 26 May 2012
- 5 messages
Merci de m'avoir lue et merci pour vos réponses.
Dis donc vous me faites peur avec les risques d'OD, c'est vrai que j'aurais dû y penser. J'ai d'ailleurs un ami qui est mort après avoir consommé une fois sorti de cure...
On en a parlé et il comprend que de diminuer de 10mg par semaine (ou sur plus longtemps) serait déjà une bonne chose.
Savez-vous comment obtenir des gélules à la place du sirop dans les CSST?
Si vous avez réussi à arrêter, le rôle de votre entourage vous a-t'il aidé? Qu'est-ce que vous auriez apprécié comme comportement de leur part?
Encore mille merci!!!
Dis donc vous me faites peur avec les risques d'OD, c'est vrai que j'aurais dû y penser. J'ai d'ailleurs un ami qui est mort après avoir consommé une fois sorti de cure...
On en a parlé et il comprend que de diminuer de 10mg par semaine (ou sur plus longtemps) serait déjà une bonne chose.
Savez-vous comment obtenir des gélules à la place du sirop dans les CSST?
Si vous avez réussi à arrêter, le rôle de votre entourage vous a-t'il aidé? Qu'est-ce que vous auriez apprécié comme comportement de leur part?
Encore mille merci!!!
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- prescripteur
- Modérateur
- Inscrit le 22 Feb 2008
- 11142 messages
baisser de 10 mg me parait un peu risqué. En général on baisse de 5 mg , mais s'il veut aller vite il vaut mieux baisser de 5mg tous les 15 jours.
Pour la gelule il faut en principe 1 an de sirop et etre stabilisé (et que le risque d'injection soit faible). c'est le CSST qui décide mais il peut (faut ?) demander.
Amicalement
Pour la gelule il faut en principe 1 an de sirop et etre stabilisé (et que le risque d'injection soit faible). c'est le CSST qui décide mais il peut (faut ?) demander.
Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- prescripteur
- Modérateur
- Inscrit le 22 Feb 2008
- 11142 messages
En principe oui, mais ça n'empêche pas d'essayer. c'est probalement pour cela que les precautions subsistent (cf le Krokodil, qui ne devrait pas etre injecté mais qui l'est quand même avec des consequences dramatiques)
Amicalement
PS Dans mon court exposé sur la Methode chinoise pour arreter la Metha, je parlais de completer avec du sirop. c'est evidemment du sirop de fruit (sirop d'oarange, de fraise) et non du sirop de methadone. j'ai d'ailleurs corrigé pour eviter les erreurs.
Amicalement
PS Dans mon court exposé sur la Methode chinoise pour arreter la Metha, je parlais de completer avec du sirop. c'est evidemment du sirop de fruit (sirop d'oarange, de fraise) et non du sirop de methadone. j'ai d'ailleurs corrigé pour eviter les erreurs.
Dernière modification par prescripteur (27 mai 2012 à 10:36)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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