La réduction des risques en CSAPA

Salut Pierre,

Super joli sur le papier!

Sans rire, c'est top d'un point de vue intellectuel, mais c'est une révolution qui va demander du temps, et de gros moyens ( humains, structurels, formations...)

Et quand je lis:

"qui est déterminant pour la RDR en CSAPA, c´est l´adoption par les professionnels d´une posture qui n´est pas prescriptive d´un comportement. Les professionnels ne décident pas à  la place de l´usager, ne cherchent pas à  imposer l´abstinence. Au contraire, chacun a pour fonction de recevoir l´usager là  où il en est, y compris dans l´ambivalence de ses demandes, dans ses aménagements pour poursuivre ou non ses consommations."

je me dis que c'est encore les petites mains qui risquent de trinquer pour cette restructuration, puisque c'est " leur posture qui est déterminante" ....Pfffff  un tantinet simpliste

Par contre ,il y a un interlocuteur fondamental qui devrait -lui-clarifier sa" posture" vis à  vis de la RDR et de ses acteurs, c'est l'ARS.

Pardon: les ARS.

Il y a trop d'hétérogénéité dans leur attitude vis à  vis de la RDR. Certaines soutiennent , d'autre enfoncent pour faire bref.

En toute logique , faudrait peut etre commencer par structurer la tete avant de structurer le corps!