Conjoint dépendant : De la violence psychologique à  physique

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Anonyme9499
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Bonjour

Ça fait un petit moment que j'avais envie d'écrire mais toujours cette retenue... Jusqu'à  ce qu'arrive l'inacceptable. Désolée, ça va être long à  lire mais il faut que je parle.

Mon ami est cocaïnomane. D'occasionnelle, sa consommation est devenue régulière. Il se l'injecte. Pour moi, il en est complètement dépendant. D'un caractère fort de base mais tendre et amoureux, il est devenu indifférent, insensible, irrespectueux, parano, soupçonneux, etc.

Je reste convaincue que cette merde le rend fou et influe sur son comportement, même s'il me soutient que non et refuse de voir la réalité.

Ça faisait des semaines que c'était tendu entre nous parce que je ne supporte plus son indifférence, ses reproches, ses colères, ses mots, qu'il me reproche nos galères d'argent et s'énerve après moi pour tout et n'importe quoi. Il a vite oublié ces moments où il me taxait régulièrement des sommes d'argent, où il était en galère et je faisais des courses, gérais le quotidien. Mon erreur étant de ne pas avoir dit stop car je n'avais pas encore réalisé l'ampleur de la situation. Je lui faisais trop confiance.

Je ne supporte plus ses virées nocturnes et disparitions. Je ne supporte plus qu'il ne soit gentil, câlin et plein de soit disant remords que les lendemains matins après qu'il se soit shooté. Oui, il a honte, il s'en veut. Mais après ! Quelques heures après, il redevient complètement indifférent et surtout très con. Il me critique pour tout et n'importe quoi. Avant j'étais son amour, on avait une relation épanouie. Aujourd'hui, ce n'est que de la merde. J'ai tenté de lui écrire posément, sans succès.

Je ne supporte plus de m'en prendre plein la gueule verbalement et qu'il refuse que je réplique tout comme il refuse de m'écouter. Je ne supporte plus d'entendre "fermes ta gueule, si t'es pas contente, casse toi", qu'il oscille entre dépression et aigreur, qu'il reste léthargique, ne se lave pas pendant des week-end et me reproche de ne pas me bouger le "cul" alors qu'il ne veut jamais rien faire et est tout le temps mal luné. Qu'il me rejette quand je viens lui faire un bisou ou me coller à  lui.

Lui qui était si tendre et "normal" avant. Alors que pendant ce temps, Monsieur fait l'autruche sur les réseaux sociaux et se la joue avec sa groupies de pouf d'internet qui l'adulent !

Parfois, il a un éclair de lucidité, il dit être conscient qu'il se détruit, qu'il NOUS détruit, qu'il va se soigner, qu'il m'aime vraiment et ne veut pas me perdre, même s'il comprendrait que je le quitte. Mais ça ne dure jamais bien longtemps.

Là , ça faisait une semaine que ça clashait tous les jours parce que je ne supportais plus qu'il m'en mettre plein la gueule. Et qu'aucune discussion n'est possible car il s'emporte vite, me retourne toujours la situation et REFUSE de m'écouter ou de me laisser en placer une !!

Ce week-end, il a pété les plombs. Il m'a insultée, parlée comme une merde et m'a prise pour une esclave. Il a été odieux, irrespectueux et fallait encore que je me taise, ce que je n'ai pas fait ! En une journée, il m'a fait la totale : Des appels incessants et passages éclair pour me pourrir la vie et m'en mettre plein la tête. Il m'a dit que j'étais arrogante parce que j'osais le prendre de haut. Il m'a hurlé dessus "va te faire enc*l*r", "va te faire enc*l*r" quand j'ai refusé de me plier à  ses volontés. Un vrai harcèlement moral qui m'a épuisée et donné qu'une seule envie "me tirer".

Je suis convaincue que c'est le manque qui se faisait ressentir. Résultat, je suis partie sans le prévenir chez une amie qui habite loin pendant qu'il était de sortie avec ses potes. Quand il l'a appris, les sms ont fusé, il m'a jetée comme une m*rde. Je n'ai pas répondu.

Je suis repassée le lendemain soir pour tenter un dialogue posé. Il a été odieux. Il m'a dit de me casser direct.

Je lui ai demandé de me laisser 24 heures, que je m'en irai le lendemain avec mes affaires et lui rendrai ses clés à  ce moment. Il était hors de question que j'attende son bon vouloir après pour déménager mes affaires. Refus catégorique : "Mais casses toi ! Je ne veux pas de toi ici ! C'est chez moi, t'as rien à  faire ici ! Tu récupèreras tes affaires quand je te le dirai". Il m'a dit qu'il allait me jeter dehors devant les voisins si je ne partais pas. Je lui ai demandé si je devait en arriver à  appeler les flics pour les faire venir afin que je puisse déménager tranquillement. Il m'a poussée et je suis tombée. Son regard n'était plus le même, ce n'était plus lui.

En me relevant, je lui ai dit qu'il me donne 5 minutes. Je voulais appeler mon beau-frère pour qu'il vienne avec son camion et que je déménage toutes mes affaires sur le champ. Il a fermé la fenêtre, m'a empêchée de téléphoner, m'a saisie par le cou, emmenée dans la chambre, fermé la porte et poussée sur le lit en disant "je vais te faire gueuler", "tu veux que je te casse le bras ?".

J'ai de la force et ai réussi plusieurs fois à  me dégager jusqu'à  ce qu'il m'attrape le poignet et commence à  me le retourner. Je pouvais, j'avais la force de résister à  la douleur, tellement j'avais la rage après lui. J'avais le choix à  ce moment de le laisser me péter le poignet ou lâcher les clés, j'ai lâché les clés.

Etat de choc ou crise d'angoise, j'avais du mal à  respirer, j'étais haletante, à  bout de nerfs, je pleurais de rage, de déception, de tout. J'ai commencé à  préparer toutes mes affaires en lui balançant tout ce que j'avais à  lui dire.

Il m'a demandée de me calmer, a commencé à  s'excuser, m'a dit s'en vouloir mais que je l'avais poussé à  bout, NON ! Je ne l'ai pas poussé à  bout, je lui ai tenu tête et ça, il ne le supporte pas. Je ne serai plus son exutoire ! Il m'a demandée de m'arrêter et venir m'asseoir. Je l'écoutais sans l'écouter.

Je l'ai repoussé et ai continué à  lui dire tout ce que j'avais à  dire. Que c'était sa merde qui le rendait con, qu'il avait été odieux, insultant, il n'avait plus aucun respect pour moi. Il m'avait traitée comme une esclave et refusait de voir la réalité en face. Que je lui avais pardonné beaucoup de choses, étais toujours là  à  supporter son caractère et ses conneries  et qu'il était encore là  à  me parler comme une vulgaire merde parce que j'ai osé partir après qu'il m'ait fait vivre une journée d'enfer ? Je lui ai dit que je ne le croyais plus et ne lui faisais plus confiance, que j'allais le débarrasser d'un des problèmes dans sa vie, à  savoir moi.

Bref, de là , il a nié, que ce n'était pas ce qu'il avait dit ni pensait. Mais il avait fait ça pour que je me "réveille". Il s'est excusé à  nouveau. Je lui ai répondu qu'après la violence verbale, il était violent physiquement, quelle allait être la prochaine étape ?

J'ai passé la nuit là -bas finalement. C'était compliqué pour moi de partir étant donné que mes proches étaient loin, je bossais le lendemain et il m'a retenue, c'est vrai.

Je ne peux ni accepter ni pardonner ni rester avec quelqu'un capable de vouloir me casser quelque chose parce que je lui tiens tête, parce qu'il est incapable d'admettre qui c'est lui qui a un problème, PAS LES AUTRES. Je ne veux pas devenir une femme battue.

Aujourd'hui, il fait comme si de rien n'était, ni plus ni moins. Fidèle à  lui-même. Pas de propose déplacé mais pas d'effusion. Je crois qu'il n'est pas fier de ce qu'il a fait, certes, mais il préfère faire l'autruche et m'éviter. Ce qui me mine le plus, c'est qu'il n'en a vraiment pas conscience, parce que c'est plus facile de fuir la réalité et s'en prendre aux autres. Il continue à  se voiler la face et réagit comme s'il minimisait ou faisait un déni, j'en sais rien. J'ai encore passé la soirée seule hier parce qu'il est rentré dans la nuit, parce que comme d'habitude, il dit rentrer dans tant de temps et il ne respecte pas le délai.


J'ai mal au poignet mais ça va. Mais j'ai réalisé hier soir que j'ai des bleus aux jambes et sous le bras. J'ai mis un temps avant de comprendre d'où ça venait. Puis je me suis rappelée, c'est quand il m'a empoignée et coincée sur le lit.

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Mister No
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8406 messages
Courage, il faut fuir.
Je crois que tu ne peux pas faire grand chose d'autre dans cette situation surtout qu'il n'a pas accès aux soins.
Il faut que tu contactes une association de femmes et que tu fasses constater tes blessures, pas forcément pour intenter une action en justice, mais pour te protéger. Une association va te conseiller d'aller établir un certificat médical et vraisemblablement d'établir une main courante et surtout va t'aider à  faire respecter tes droits et même peut être t'apporter une aide matérielle pour trouver une solution de logement d'urgence.
Tu peux aussi éventuellement demander à  prendre contact auprès d'un travailleur social qui saura te proposer des solutions.
En lisant ton récit, j'ai le sentiment que tu cours un danger pour ton intégrité physique et morale si tu restes plus longtemps avec ton conjoint dans ces circonstances.
Bon courage et donne nous des nouvelles ou n'hésite pas à  demander de l'aide pour trouver une asso ou de l'aide en fonction du lieu où tu résides.

Dernière modification par Mister No (07 juin 2016 à  12:03)


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zegil
terrien, t'es rien du tout
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Une seule chose à  faire : fuis !!! En plus c meme pas chez toi donc aucun regret (appelle edf et etout le toutim si t'es sur les factures) ne te laisse pas avoir par des crises et menaces de suicide (ils/elles le font presque tout/ toutes). Reprends ta vie en main et fais ce que tu veux en faire. En restant c la chute en enfer assuree. En plus, un fois que le pas "physique"est passe on ne revient jamais en arriere. Tu ne te defonce  meme pas tu n'as pas à  supporter tout ça. Ya rien à  gagner à  la fin. En plus tu as l'air de la famille qui peut t'aider, profites en. Pars et ce meme si tu dois laisser tes affaires ce n'es que du materiel.... courage et tiens nous au courant !

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Leaf
Psycho sénior
Inscrit le 31 May 2014
844 messages
Balance ce connard aux flics le plus vite possible. Cocaine ou pas cocaine, il n'a aucun droit de te traiter comme ca, et encore moins de porter la main sur toi. Il n'y a pas de retour en arrière possible, dès qu'il y a violence physique, ne le laisse pas te manipuler, s'il la fait une fois, il est capable de le refaire, et en pire.

Ne te mets pas en danger, pense à  TOI et TON bien-être avant tout, vois comment tu peux arranger TA situation pour ne pas être à  la rue, mais ne perds pas ton temps et ne risque pas ta santé psy et physique pour une cause qui est déjà  perdue.

Je suis désolé si mes mots sont durs envers ton compagnon, mais il est absolument inacceptable qu'il t'ait violentée ainsi, déjà  que sa violence verbale aurait été une raison tout à  fait valable de le quitter. Tu m'as l'air d'être une personne réfléchie, posée, et qui ne juge pas, tu mérites beaucoup mieux que d'endurer ce calvaire qui ne me semble pas prêt de se terminer si tu ne te sauves pas.

La dépendance à  une drogue quelle qu'elle soit n'est en AUCUN CAS une excuse pour la violence conjugale (ou n'importe quelle violence d'ailleurs).

Bonne chance et bon courage à  toi, vraiment.

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Tetris68
Il était une fois l'héroïne...
Inscrit le 20 Mar 2016
2384 messages
Le craving de coke le rend débile et quand il a sa dose il s excuse, c'est peut être pas le mauvais mec mais il se fait bouffer par la poudre et malheureusement ça va être dur de l'aider.
Mieux vaut partir vite le temps qu'il est a peu près normal car ça peut mal finir.

L'héro c'est fabuleux mais quand t'arrêtes faut redécorer.

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Mascarpone
Vieux clacos corse pas coulant
Inscrit le 19 Sep 2015
4222 messages

Leaf a écrit

La dépendance à  une drogue quelle qu'elle soit n'est en AUCUN CAS une excuse pour la violence conjugale (ou n'importe quelle violence d'ailleurs).

Tout à  fait!

Et je plussoie tout ce qu'ont dit mes pti camarades. FUIS!

Quoi qu'on en dise et de ce que j'ai pu constater maintes fois, la cocaine fait faire des choses que la majorité n'auraient jamais faites pour l'héroine...(voir aussi le témoignage récent à  ce sujet de Sativa67 dans un autre thread)

Sativa67 a écrit

La cocaine (et là  je ne parle pas de la feuille de coca ... c'est complètement different ) est de loin le produit le plus addictif que j'ai eu l'occasion de consommer ... j'y ai perdu plus de plumes en une seule année qu'en 17 ans d'héroïne ... j'ai Tout perdu pour cette poudre blanche ... jusqu'à  mon amour propre...

Courage!


Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!

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sud 2 france
problème traitement
Inscrit le 14 Oct 2013
2032 messages
Je n'ai pas grand chose à  rajouter à  ce qui c'est écrit au dessus; FUIS !!! Le produit n'est qu'une excuse à  son comportement. Perso moi si je suis amoureux je me fixerai pas de la coke tous les jours....Je me fixerai plutôt au sexe tu vois....Puis bon le "si t'es pas contente tu te casses" devrais te mettre la puce à  l'oreille non??? Il vaut 100 fois mieux être seule que mal accompagnée....

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Tetris68
Il était une fois l'héroïne...
Inscrit le 20 Mar 2016
2384 messages
C'est clair que quand je tapais de la C valait mieux m'éviter quand j'avais plus rien et tu t'en rends même plus compte.
L'héroïne me rendait triste en manque mais pas méchant pour un poil au contraire j'avais envi de me blottir contre ma femme comme un gosse de 5 ans.

L'héro c'est fabuleux mais quand t'arrêtes faut redécorer.

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'Nrockandrolls
Banni
Inscrit le 04 Oct 2014
449 messages
Bonjour,

Tu as déjà  accepté beaucoup et apparemment ça ne suffit pas, chaque limite franchie lui permet de continuer à  ne pas te respecter.
Prend le large c'est le mieux à  faire pour retrouver un peu de paix.

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BoilingBlood
PsychoHead
Inscrit le 02 Feb 2013
1288 messages
Après ce qu'il a fait, je pense que ça vaudrait mieux pour toi que tu ne te retrouves même plus seule avec lui : déjà , quand il a pété son câble en menaçant de te péter le bras, qui sait jusqu'ou ça serait allé si tu avais résisté ! Qu'est ce qui dit que ça n'ira pas encore plus loin quand tu lui annoncera ton départ définitif ? Sérieux, le mec qui DIT à  sa nana qu'il va lui péter le bras, je pense qu'il n'y a plus de questions à  se poser...
Le conseil de faire examiner les bleus et autres blessures me paraît complètement pertinent également, tout comme celui de prendre contact avec une association d'aide aux femmes battues, qui sauront t'apporter toute l'aide matérielle, psychologique et en matière de conseils.
Son problème lié à  la coke ne doit rien excuser, pour moi ça n'a vraiment pas grand chose à  voir. A mon avis, si il est capable de ça, il aurait certainement pu en arriver là  sans ça, ou à  cause de 1000 autres raisons. C'est un avis très personnel, je précise.
Courage en tous cas, ne te laisse pas faire, part tant qu'il est encore temps, et encore une fois, à  mon avis, il serait certainement préférable d'éviter de te retrouver seule avec lui autant que faire se peut, particulièrement quand tu lui annonceras quoi que ce soit qui pourra lui "déplaire"...
Et SURTOUT, ne te laisse pas manipuler !

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Anonyme9499
Nouveau membre
Inscrit le 07 Jun 2016
6 messages
Merci à  vous pour vos réponses et votre soutien.

Je viens de lui dire que je le quittais. Il m'a encore saoulée sur quelque chose, son comportement m'a saoulée. Et je ne peux plus, je ne supporte plus. Alors je lui ai dit que je partais. J'ai eu du mal à  rester ferme mais j'ai tenu, "ne pas craquer" me répétais-je.

Je ne sais pas s'il réalise pour l'instant, le sentiment qu'il a fait le bonhomme que rien n'atteint. Mais l'espace d'un instant, j'ai retrouvé son regard d'avant, pas longtemps.

Notre histoire est morte et je refuse d'en supporter davantage, bien que je n'ai envie que chialer et horriblement mal de tout ce gâchis. On a réussi à  discuter un peu mais il reste buté sur ses idées. Et il m'a dit qu'il fallait que j'arrête avec ma sensibilité. Non, je suis juste humaine.

Va t'il rester calme ? Va t'il péter un câble ? J'en sais rien.

C'est clair qu'à  partir du moment où il est passé à  l'acte de la violence physique, je savais déjà  que je ne pouvais PAS pardonner et laisser passer. Rester, c'est se soumettre et accepter qu'il aille plus loin. J'en ai déjà  trop accepté de toutes façons.

Ma sensibilité comme d'habitude me joue des tours, notre histoire d'avant me hante. Mais il faut que je retrouve ma force et ma dignité, il faut que je me reconstruise.

Je vais retourner chez mes proches mais je ne veux pas tout leur dire.

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Mister No
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8406 messages
C'est bien que tu trouves un soutien géostratégique avec des proches, mais donne-toi le droit aussi d'en parler avec des pros ou une personne neutre affectivement où tu peux clairement te confier et "tout dire" dans la mesure où tu as le droit d'exprimer ta souffrance dans les circonstances que tu décris.
Pas évident de tout dire à  des proches et surtout, c'est pas nécessaire.

Va t'il rester calme ? Va t'il péter un câble ? J'en sais rien.

Il faut que tu sois loin pour éventuellement repenser à  sa situation. De toute manière, ça a été dit, mais si sa conso commence à  lui donner de tels troubles et qu'il ne parvient pas à  se faire aider, ça risque uniquement de se compliquer et personne n'y peut rien, surtout pas toi.
Protège toi.

Dernière modification par Mister No (07 juin 2016 à  14:42)


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zegil
terrien, t'es rien du tout
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C clair protege toi de toutes les manieres possibles. Ta tristess passera. C toujours triste une histoire qui finit mais tu vas pouvoir refaire plein de chose que tu ne faisais plus. Par exemple : ne pas etre jugee à  tout bout de champs !

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Anonyme9499
Nouveau membre
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6 messages
Bonjour

Je me protège, même si j'accuse encore à  peine le coup. Je sais que je ne peux rien y faire et je suis désolée d'écrire des pavés. Mais ça me soulage. Mais je me sens tellement impuissante.

On a un peu discuté, je n'ai rien provoqué, le ton était calme. Il s'imagine des choses, me soupçonne de tout et n'importe quoi, j'hallucinais. Il n'a aucune mémoire, et radote sur des détails alors que l'on en avait déjà  parlé et il soutient que non. De plus, il minimise ce qui s'est passé ce week-end, pour lui, "normal" au vu de mon refus de lui donner les clés... Il nie aussi que, même s'il a un caractère de base, depuis qu'il a replongé vraiment, la coke l'a transformé.. Et pour conclure, il m'a dit qu'il soit seul ou avec moi, il est toujours en galère donc je ne lui apporte rien... Qu'il ne me doit rien... Non, juste une belle somme à  4 chiffres, les 3/4 ayant servi à  ça avant que je ne m'en rende compte... Se prendre ça dans les dents, ça calme... Il a la mémoire tellement courte, bref.

Il se détruit à  petits feux. L'impression qu'il est dans un état second permanent, qu'il n'a plus aucune émotion, plus aucune empathie, qu'il n'est plus "vivant". Il ment en permanence, passe du coq à  l'âne, va à  nouveau me tâcler verbalement puis, comme si de rien n'était, il part sur autre chose et ressort 2/3 mots doux. Il a encore réussi à  me soutirer 50 euros l'air de rien. La corde sensible, le fait qu'il soit à  sec, j'ai vu que le frigo n'était quasiment pas rempli comme quand il vivait seul et galérait, j'ai cédé. Mais voilà , j'ai tilté à  retardement quand je l'ai vu partir après mon départ dans la direction "connue" alors que je m'étais garée car j'étais au téléphone.

Et en allant récupérer des affaires ensuite, il y avait un sac ouvert dans lequel il a regroupé des steribox usagées pour les jeter. Il y en a déjà  4 visibles ! Combien de fois a t'il tapé depuis que je suis partie ? Je n'ai pas fouillé le sac pour voir s'il y en avait en dessous mais ça me tue de voir ça. Elle a pris possession de lui.

Je ne peux rien dire à  sa famille sinon ça va déclencher un cataclysme. Mais comment réussir à  vivre avec ma conscience en sachant ce qui se passe et ne disant rien ? S'il lui arrive quelque chose ? Si sa famille l'apprend, ils vont m'en vouloir à  mort de ne pas avoir réagi. Et je m'en voudrais de toutes façons même sans ça.

Il se coupe de ses amis, des gens "sains" j'ai l'impression. Surtout un de ses meilleurs amis depuis toujours qui a essayé de lui faire entendre raison, sans succès. Il l'ignore depuis. Même lui m'a dit qu'il ne le reconnaissait plus, d'autant qu'il a déjà  pu assister malgré lui à  ses pétages de câble quand il se mettait à  être con et me provoquer.

Je ne veux pas retourner avec mais comment le laisser faire en sachant qu'il risque sa santé, sa vie. Il a déjà  fait une réaction il y a quelques mois suite à  une injection.... Il s'était fait peur et c'est à  ce moment qu'il m'avait parlé de sa toxicomanie. J'étais en colère car il m'avait fait faux bond pour une occasion et il m'avait dit qu'il se ferait soigner. Sans faire la démarche, à  chaque fois que je lui en reparlais, il éludait.

Je ne juge pas, je ne connais pas mais imagine au combien c'est un cercle vicieux destructeur.

Dernière modification par Anonyme9499 (10 juin 2016 à  14:24)

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Mister No
Pussy time
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Je ne veux pas retourner avec mais comment le laisser faire en sachant qu'il risque sa santé, sa vie.

C'est pas évident si tu as le sentiment d'être spectatrice et surtout impuissante face à  la situation.
Si il n'est pas en état d'accéder à  des soins, je ne vois pas comment tu peux l'aider. Supporter avec lui ses souffrances ne l'aidera malheureusement pas. Tu ne dois pas culpabiliser d'une situation que tu n'induis pas et que tu ne peux pas maitriser.
Tout ce que tu peux faire, c'est quand il te contacte lui signifier qu'il a besoin de soins rapidement sans insister. A mon avis, il a surtout besoin d'un break de coke quitte à  demander une clinique pour se poser quelques semaines avant de mettre des choses en place pour la suite. Là  encore, tu ne peux pas le forcer et le fait de rester à  ses côtés ne va pas l'aider à  forcément aller dans ce sens. Peut-être même le contraire.

désolée d'écrire des pavés. Mais ça me soulage.

Bin tant mieux.
Je n'aime pas l'idée de le balancer, mais dans sa famille, n'y a t'il pas un frère ou une sœur qui pourrait être mis au courant... ça ne te permettrait de pas porter un secret que tu n'as pas à  assumer seule.
Après, bien entendu, faut que tu sois certaine d'avoir une oreille attentive qui saura écouter et comprendre plus qu'agir réellement, car seul ton ex peut agir. Le but n'est pas de "dénoncer" son comportement pour le mettre en porte à  faux mais qu'il puisse trouver une oreille attentive.

Dernière modification par Mister No (10 juin 2016 à  14:48)


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zegil
terrien, t'es rien du tout
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Tu n'es pas responsable. Apparemment tu as donne tout ce que tu pouvais. Ton ex (si j'ai bien compris) est adulte et responsable (meme si avec la c ça n'y parait pas) . Tu dois prendre sur toi et lutter contre ce sentiment de culpabilite qui risque de te faire flancher. Ça me ferait bien rire que sa famille t'accuse de quoi que ce soit (d fois la douleur fait dire des betises et/ ou chercher des responsables) elle est ou la sa famille ? Si tu as besoin de discuter de soutien n'hesite pas à  MP.... je m'inquiete pour toi et je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose.... tu vois nous aussi on est un peu responsable de toi....wink lache pas ! Tiens bon !

Dernière modification par zegil (10 juin 2016 à  15:21)


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zegil
terrien, t'es rien du tout
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Tu trouveras peut etre un soutien dans un groupe de parole genre sos femmes battues si tu sens que tu vas craquer et y retourner. Il va te pomper ton fric mais ça c rien car il va pomper ta sante ta jeunesse ton travail tes souvenirs ton moral tes amities ton corps. On n'a qu'une vie ne la gache pas parce que ton ex gache la sienne. Il peut demander de l'aide à  l'exterieur mais tu n'as pas à  te sacrifier pour lui. Il ne le merite pas. Et que lui dira TA famille le jour ou c toi qu'on retrouvera sur le carreau ? Pense à  tes parents à  tes proches si ça arrivait....

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patatra
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1 message
Fuis. Je n'ai pas osé fuir. Trop sensible. Trop empathique. Trop amoureuse. J'ai cru que j'allais le sauver. 14 ans plus tard, je suis usée. Je gère le quotidien avec trois enfants la plupart du temps seule entre deux sevrages ou deux retombés dans la drogue. Sauve toi. Je ne l'ai pas fait. J'ai gâché ma vie pour lui et il ne le méritait pas. Et moi non plus. Fuis. N'écoute pas les remords les pleurs. L'addiction c'est grave. Et là  le schéma de la violence est enclenché. Pense à  toi. A ton futur. A ton énergie. A tes projets personnels. Il va te manger.

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pierre
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16690 messages
Je vais peut être à  l'encontre de tout le monde mais :

Pour moi c'est toujours pareil, ce n'est pas lui qui a un problème mais le couple.
Tu ne parles pas de comment tu voulais absolument qu'il arrête,persuadée que c'est l'usage de coke qui est responsable de tout. Hors ce n'est pas vrai !

À partir du moment où il n'y a pas de place pour l'usage dans votre couple, il n'y a plus de place pour votre couple, puisque l'un veut que l'autre arrête et l'autre ne veut surtout pas arrêter...

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Mister No
Pussy time
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8406 messages

Pour moi c'est toujours pareil, ce n'est pas lui qui a un problème mais le couple.

Je me demande si tu as bien pris le temps de lire les messages, les soucis ne viennent pas de l'usage de coke, mais bel et bien de la violence physique et psychique du conjoint, de sa parano, du changement de personnalité.
Bien entendu que la conso, le produit n'est pas responsable de tout, mais dans la situation présente, prétendre que le couple a un soucis car il n'y a pas de place pour l'usage, c'est rajouter une claque dans la gueule de toutes les femmes victimes de violence.
Pas de place pour la violence... Ce n'est pas "madame" qui génère de la violence en ne laissant pas de place à  la conso dans son couple. Et quand bien même, ça ne légitime pas la violence, mais je suis certain que ce n'est pas ce que tu voulais dire.
Ici, anonyme se plaint essentiellement du changement de personnalité et des conséquences sur la vie de couple plus que du problème de dépendance ou d'addiction.
Après, le titre évoque certainement un raccourcis rapide et boiteux, j'en conviens...

Dernière modification par Mister No (13 juin 2016 à  13:12)


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zegil
terrien, t'es rien du tout
Inscrit le 24 May 2016
230 messages
Le probleme c qu'elle a failli se faire demonter la tronche surtout... il est hors de question qu'elle prenne sur elle pour reflechir sur son couple si gnanagni coke ou gnagna pas coke. Ce mec a ete violent avec elle un point c tout ! Quand c un mec alcoolique qui refait le portrait de sa femme personne ne dit à  cette femme de reflechir, que peut etre c elle qui en veut trop a l'alcool, que si il n'y a pas de place pour la conso d'alcool dans son couple, il n'y a plus de place pour le couple.... mais peut etre que tu n'a jamais vecu le regret de ne pas etre parti plus tot ou parti tout court.... quand elle aura le bras pete, des bleus partout et perdu des dents t'iras lui dire que c son couple qui a un probleme (donc elle et lui) et pas lui seulement. Pierre as tu dejà  vecu ce genre de chose ? As tu dejà  vecu avec quelqu'un qui te detruit à  petit feu et meme avec plein de place pour la conso de tout ce que tu veux ? Ya plus de place au couple ya plus de place au choix quand l'un des 2 decide d'etre le maitre à  bord ( rapport maitre à  esclave, à  chose) t'as deja croise des mecs au placard qui on essaye de mettre le feu à  leur femme parce que la conso de coke etait l'activite principale de monsieur ?... on parle pas d'une engueulade avec bris de verres et d'assiettes....

"Les promesses n 'engagent que ceux qui les ecoutent"
"Tirons un trait sur cette histoire"

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Recklinghausen
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 09 Mar 2015
6185 messages
Salut,

Un peu complexe comme situation...

Si je comprends bien, vous habitez ensemble... Chez lui ?

Il semble adulé par " des groupies " ( ou/et une en particulier ).

Jalousie ? Je ne saurais le savoir mais au final, tu décides de partir chez une amie.

En retour, il décide de mettre fin à  votre relation. Et tu reçois beaucoup de sms qui semble montrer qu'il est " à  bout de nerfs ".

Du coup, la bonne solution est forcément de te servir de SES clefs ( Une fois que le couple n'existe plus, chacun reprend ses billes, pour ceux qui n'ont pas fait de papiers notariaux... Et tu as précisé qu'il était chez lui et qu'il avait mis fin à  votre relation ), pour entrer chez lui et " calmer les tensions " ?

Tu prétends qu'il est revenu sur sa " décision de mettre fin à  votre relation " ( en plus de te supplier de rester, la cocaine ça rend tellement con ), pour finir par le quitter.

Et te demander à  qui tu pourrais bien dénoncer le fait qu'il consomme un stupéfiant ?

Vu qu'il se coupe " des gens SAINS " ? en ce moment, ou depuis qu'il se shoote de la drogue, de plus en plus ?

J'aimerais tant avoir la version des faits de ton ( ex ) conjoint(e)...


Je suis certain que ta main bleu lui serait d'une aide précieuse.

Sans jugement aucun, hein.



@  + ( ou pas ),



Reck.

PS : Je te conseille de faire récupérer tes meubles par une personne de confiance gravitant autour de votre ancien couple.
Et de passer par un garde meuble si tu souhaites laisser le moins de trace possible.
Dans le cas d'un refus, il est évidemment possible de demander le soutien des autorités.

Dernière modification par Recklinghausen (13 juin 2016 à  18:08)


L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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pierre
Web-Administrateur
Inscrit le 15 Sep 2006
16690 messages
Reck je te suis à  100%...

Je condamne la violence mais ca n'empêche qu' il y a dans les propos de Mme des paroles qui me font sauter au plafond.

Est ce que parce qu'il y a eu de la violence on a le droit de dire des horreurs ? Peut être mais je ne les cautionnerais sûrement pas !

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Mister No
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8406 messages

Je condamne la violence mais ca n'empêche qu' il y a dans les propos de Mme des paroles qui me font sauter au plafond.

Est ce que parce qu'il y a eu de la violence on a le droit de dire des horreurs ? Peut être mais je ne les cautionnerais sûrement pas !

Je suis d'accord, aucune situation aussi difficile soit-elle ne doit donner le droit de dire des horreurs.
D'ailleurs, de quelles horreurs s'agit-il ? Je suis peut-être passé à  côté pour le coup en lisant trop vite.

Dernière modification par Mister No (13 juin 2016 à  18:51)


Just say no prohibition !

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Mazette
Psycho sénior
Inscrit le 27 Feb 2016
648 messages
Oui, je n'ai pas vu d'horreur, mais comme MrNo je suis peut être passée à  côté ?

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zegil
terrien, t'es rien du tout
Inscrit le 24 May 2016
230 messages
Je viens de relire les 3 messages de Anonyme499. Je ne vois pas de quelles horreurs tu veux parler... thinking

"Les promesses n 'engagent que ceux qui les ecoutent"
"Tirons un trait sur cette histoire"

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Mazette
Psycho sénior
Inscrit le 27 Feb 2016
648 messages
Idem...

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krash
Ambre
Inscrit le 18 Mar 2016
456 messages
Je me permet une caricature, avant de me mettre la tête dans le sable:

Monsieur: Je peux lui faire toutes les merdes que je veux, elle reste accro. Génial !
Madame: Je peux pas le quitter, le pauvre... Je peux pas lui faire ça. Il à  besoin de moi.

Vu et revue...

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Tetris68
Il était une fois l'héroïne...
Inscrit le 20 Mar 2016
2384 messages
Reck a plus ou moins cités ce qu il appelle des horreurs.
En gros les clichés de la drogue habituel.
De manière générale quand on se drogue et que notre partenaire pas du tout bien souvent il passe ses journées a nous le faire comprendre avec menace de séparation si on arrête pas, que la drogue c'est de la merde d'ailleurs ils l'ont dit sur tf1.
Une sorte de violence morale quoi qui elle n'attire jamais ou rarement la sympathie.

Le mieux dans ces cas là  c'est que la personne saine d'esprit qui elle ne se drogue pas puisse jouir d'une vie qu'elle mérite et non pas de devoir supporter les états d'âme d'un cocainomane.

L'héro c'est fabuleux mais quand t'arrêtes faut redécorer.

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splinK
PsychoHead
Inscrit le 31 Oct 2014
1116 messages

Tetris68 a écrit

Reck a plus ou moins cités ce qu il appelle des horreurs.
En gros les clichés de la drogue habituel.
De manière générale quand on se drogue et que notre partenaire pas du tout bien souvent il passe ses journées a nous le faire comprendre avec menace de séparation si on arrête pas, que la drogue c'est de la merde d'ailleurs ils l'ont dit sur tf1.
Une sorte de violence morale quoi qui elle n'attire jamais ou rarement la sympathie.

Le mieux dans ces cas là  c'est que la personne saine d'esprit qui elle ne se drogue pas puisse jouir d'une vie qu'elle mérite et non pas de devoir supporter les états d'âme d'un cocainomane.

Après comment une personne qui ne consomme pas peut avoir une autre image de la drogue, quand la personne est devenue complètement décérébrée par sa conso ?
(Dans ce cas là  en plus ça crève les yeux que sa surconso de cocaine a une grosse responsabilité dans ce qui se passe dans son couple, et qu'on ne vienne pas me dire le contraire).

Dernière modification par splinK (13 juin 2016 à  20:27)

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