[ Arrêt & Sevrage ]
Mes débuts au CSAPA et perturbation au tramadol

Salut tout le monde !

Je fais un petit passage rapide pour vous raconter un peu ou j'en suis, ça aide pas mal, et pour vous demander quelques conseils comme je le fais toujours !

J'ai enfin pris la décision de pousser la porte du CSAPA de ma ville, j'ai vu la psy, l'infirmiere, et le doc. Mettre des mots sur mon problème et en parler librement, sur le coup, m'a apporté une décharge d'endorphines, c'etait assez particulier héhé.
Enfin bon, j'suis quand même sorti relativement déçu de mon rdv avec le medecin, pour deux raisons : La première, j'sais pas pourquoi, mais j'ai un peu minimisé l'effet depressif que cet arret forcé a eu sur moi. C'est con, mais du coup il a jugé inutile de me mettre sous traitement pour le moment, il veut "voir comment j'avance sans".

Bah du coup j'avance en piquant la codéine là ou j'la trouve, et en topant tous les produits qui pourraient m'apporter un soulagement. Zolpidem (qui m'a explosé, plus jamais je prends ce truc), skenan, et autres.
Mais rien qui me plaisait vraiment, j'me débrouillais comme je pouvais en consommant ma codé à l'occasion, au compte goutte.

Puis j'me suis explosé le doigt et le pied dans un accident de travail, hop case urgence, et hop deux boites d'Ixprim pour la douleur. Je connaissais pas le tramadol hors LP, et malheureusement j'ai bien apprécié cet effet, qui gomme le manque de codéine et apporte des effets psychologiques semblables, pour moi en tout cas !
J'en prenais deux ou trois par jour, et en plus de soulager ma douleur, ça m'donnait un petit boost buzz bien sympa.

Autant dire que j'en reste a des doses médicales ou quasi-médicales, et que cela suffit, d'ou mes questions :

1 - Selon vous, est-il possible de demander à mon addicto une prescription de tramadol dans le but de réduire le manque et ensuite de l'arreter petit à petit vu que j'en prends beaucoup moins et que cela me soulage ?

2 - J'ai encore l'ordonnance pour l'ixprim, en soit elle n'a pas été tamponnée mais scannée, et il y'a écrit à l'imprimante un nom que je connais pas, a propos d'un traitement que je connais pas. Donc une erreur de la pharmacie je pense. Pensez vous que je puisse soit aller en rechoper avec sans souci (ou est ce trop risqué ?) ou sinon, est-il possible d'emmener l'ordonnance, de dire que j'ai eu le produit mais que soit il passe pas et que j'veux autre chose pour mes douleurs sans revoir le medecin, soit lui demander d'avancer une autre boite ?


Merci d'avance !

Hors ligne

 

#2 
avatar
Recklinghausen homme
Adhérent PsychoACTIF
07 octobre 2017 à  18:36
Salut,

Il sera bien de dire au toubib du CSAPA les écarts de conduite de ton sevrage de codéine, si je puis m'exprimer ainsi... JE pense qu'il devrait prendre une toute autre décision quand au " on patiente pour le moment " quand il apprendra ta consommation ( vu qu'il semble penser que tu ne consommes plus d'opiacés ).

J'aurais tendance à penser que si dame codéine était ta maîtresse attitrée que le Dicodin en tant que TSO devrait bien te réussir.

Sinon, en ce qui concerne ton ordonnance, la trafiquer est très risqué du point de vue de la Justice. Il est inutile de chercher les problèmes alors qu'il suffit de retourner voir le toubib et lui dire que les douleurs reviennent, plutôt que de vouloir les soulager d'une façon illégale ( exercice illégal de la médecine, Faux et usage de faux, et j'en passe ).
Il devrait faire une nouvelle ordonnance et peut-être pousser un peu les investigations ( rien n'empêche de travailler, il faut juste prévenir l'employeur du jour et de l'heure du rendez-vous pour pouvoir s'y rendre si c'est un jour travaillé ).

Je te présente toutes mes félicitations pour avoir eu le courage de passer la porte du CSAPA. C'est une décision que tu ne regretteras pas et qui te seras d'une grande utilité pour ton futur.

@ +


Reck.

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

Hors ligne

 

Bonsoir Reck' !

Merci de ta réponse !

J'ai un peu l'impression d'être tombé sur un con, pas méchant, mais un con. Disons qu'il me parlait que de méthadone pour la TSO, mais à l'instant ou je lui ai dit que je n'avais pas eu de manque physique mais que le manque psychologique me pourrissait la vie, il a rétro-pédalé, me disant que j'avais déja fait une grosse partie du travail (3 semaines sobre, avec très léger craving au codoliprane en desous de mes dosages habituels parce que pas le choix en terme de disponibilité de codé).

Le problème c'est surtout que j'ai minimisé ma detresse psychologique parce qu'il m'a insidieusement fait culpabiliser en mode "Oui mais c'est le manque c'est normal nana, les problèmes que vous avez ne sont pas si graves, y'a bien pire dans la vie etc". Au final son seul conseil c'est de continuer à rien prendre (mdr connard) et à noter tous les jours sur un petit carnet ce que je ressens pour voir les progrés que je fait.
Ce qui serait une démarche cool et productive j'en suis convaincu mais AVEC un traitement, notamment de la codéine pour que je puisse continuer mon sevrage dégressif que j'avais entamé quelques mois avant ce putain d’arrêté (M'a d'ailleurs étonné qu'il me propose pas de le poursuivre avec le soutien du CSAPA).

Là au final, je me vois juste couler de plus en plus ou stagner dans cet enfer qu'est devenu mon quotidien, je supporte plus la sobriété, plus rien n'a de saveur, les gens m'emmerdent, mon père ne m'aide pas du tout (ma famille est pas au courant) en me critiquant constamment, enfin vous voyez le genre quoi.

Bref, je lui dirais au prochain rdv et puis si sa seule réponse c'est "O BA ON VA CONTINUEY VOU FETE D BÖ PROGRAY" ou Xanax et compagnie j'me casse et j'irais chopper du Tramadol dans la rue.


Pour l'ordonnance, pas question de la trafiquer j'en suis pas encore là aha, mais simplement d'exploiter l'erreur de la pharmacie lors du "tamponnage" de l'ordonnance, puisque la seule trace que j'ai sur l'ordo (je mettrais une photo à l'occasion) c'est le nom d'une personne inconnue, avec une date qui correspond pas, et un traitement qui ne correspond pas, alors que l'ordo est bien la mienne avec mon nom et celui du doc en haut..


Bref, désolé d'avoir été long et vulgaire, mais en ce moment y'a un peu tout qui me tombe sur la tronche et j'ai l'impression d'être tellement seul et impuissant face au maelstrom que j'en viens à me demander si eclater ma boite de tramadol qui me serre à palier le manque serait pas plus efficace en un seul coup.. Ca m'a quand même soulagé d'en parler ici, merci, et si y'a le moindre souci avec mon post faites le moi savoir les modos !

Bonne soirée, courage à toutes et tous

Hors ligne

 

mindwindow a écrit

Pour l'ordonnance, pas question de la trafiquer j'en suis pas encore là aha, mais simplement d'exploiter l'erreur de la pharmacie lors du "tamponnage" de l'ordonnance, puisque la seule trace que j'ai sur l'ordo (je mettrais une photo à l'occasion) c'est le nom d'une personne inconnue, avec une date qui correspond pas, et un traitement qui ne correspond pas, alors que l'ordo est bien la mienne avec mon nom et celui du doc en haut..

Je pense pas qu'un pharmacien te delivrera des medocs avec une delivrance imprimé sur l"ordo, tu as peu de chances. Il risque de te dire que le produit a deja été delivré.

Essai, demande a ton medecin si tu veux du tramadol, tu as des chances d'en avoir, moi j'y arrive!

Hors ligne

 

Ouaip, même si l'écriture ne fait pas état de mon nom ou du produit aha ? Dommage, le manque me fait espérer n'importe comment

Oui, j'pense que je vais pas y couper, mais je prefererais sincèrement que mon addicto accepte de me passer en TSO, la sobriété ça m'gave et je sais que je vais toujours chercher à me défoncer du moment que j'aurais des cachetons sous le nez, d'autant que j'ai du tramadol, du klipal, et même quelques boites d'Oxyconorm à la maison (j'sais pas comment il est arrivé là ce dernier mais bon, je refuse d'y toucher, mais j'me connais..)

D'autres conseils ?

Hors ligne

 

Up les amigos, j'aimerais vraiment avoir quelques réactions / conseils, notamment par rapport à mon addicto et mon rapport au Tramadol ainsi que la demande d'un tso codéine qu'on gererait ensemble avec le csapa pour terminer ce que j'ai commencé avant la mise sous ordo, à savoir réduire pour arreter sans galere


Merci d'avance :)

Hors ligne

 

#7 
MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
10 octobre 2017 à  23:52
Salut

Je te répondrai vendredi car je vais voir l addicto pour la 1 ere fois et lui demander une prescription de codeine.

On verra ce que ça va donner. ..

Bises Mia

Hors ligne

 

Bonjour,

Il y pas mal de personne qui posent des questions sur l'alternative au TSO du type buprénorphine ou autre et j'ai l'impression qu'on est peu à bénéficier d'un sevrage dégressif.

Je pense Mind quand dans tes derniers messages tu parles de ça quand tu évoques un TSO avec de la codéine ou du tramadol. En fait c'est un sevrage dégressif que tu voudrais tenter.

Il faut que tu sois franc avec l'addicto car si tu ne parles pas de tes craquages il ne va pas t'aider. Or aller en CSAPA tout en faisant du nomadisme médical à côté n'est pas une solution.

Oui, il y a bien des addictos qui acceptent de faire des sevrages dégressifs à la codéine. J'en fais un et j'ai bien une prescription de codoliprane (le médoc que je prends) tous les 15 jours.

Il est vrai que le sevrage dégressif n'est pas adapté à toutes les situations et même si tu lui dis tout tu n'as pas la certitude qu'il acceptera. Ensuite, il faut accepter l'idée d'une prise régulière et d'une réduction de temps en temps. Normalement, l'addicto doit te laisser libre du tempo de réduction. Pour ce qui me concerne, c'était au début tous les 12 à 13 jours mais le dernier retrait je l'ai fait il y a 28 jours car j'ai buté sur ma 1ère vrai grosse difficulté physique, un manque qui reste plus doux que dans un sevrage brut mais plus intense et surtout plus long qu'avant.

Un dernier mot, il ne faut pas trop idéaliser le sevrage dégressif car si on continu bien à prendre de la codéine, son effet est de plus en plus ridicule, on éprouve un manque physique temporaire répété à chaque retrait à partir d'un certain point (pour moi une fois arrivée à la moitié de la conso initiale) et enfin, je crains que pour les personnes souffrant d'une dépendance psy très puissante, ce soit un calvaire.

En effet, si je supporte bien les 10 jours d'impatiences dans les jambes et d'insomnies en plus des 5 jours de douleurs modérées dans le squelette, c'est parce que je n'éprouve plus d'envie de prendre de la codéine. La dépendance psy a disparu quand l'addicto m'a prescrit un antidépresseur après avoir diagnostiqué chez moi un trouble anxieux. Si j'avais encore envie d'en prendre et de rebondir en cas de difficulté, je crois que je ne supporterai pas le sevrage dégressif, surtout dans la phase actuelle qui est proche de la fin.

Un tout dernier mot, si tu n'as pas eu un bon rapport avec l'addicto, il ne faut pas hésiter à changer de centre si tu es dans une région où c'est possible. J'ai eu la chance de tomber sur une addicto en qui j'ai toute confiance et qui m'a libérée de mes angoisses et franchement, ça n'a pas de prix !

Bon courage à toi et aussi à Miaou.

Hors ligne

 

#9 
avatar
Mascarpone homme
Vieux clacos corse pas coulant
11 octobre 2017 à  11:22
Pour tout ce qui a été dit sur le sevrage psy je suis d'accord, c'est aussi pourquoi je ne cesse de répéter que le plus difficile et le plus important dans un sevrage dégressif, c'est les phases de stabilisation. Mais, si tu ressens tant que ça les symptômes physiques du manque (impatiences,douleurs etc) c'est que tu descends trop vite ou de trop à la fois...Normalement, quand c'est fait au bon rythme tu ne dois rien, ou quasi rien ressentir physiquement...Arrivé au 2 derniers comprimés, là, ça devient plus dur, ok, mais avant ça, normalement, le but n'est pas de te rallonger des symptômes de manque physique pendant des semaines ou des mois, car, à mon humble avis, si c'est ça, autant faire un sevrage sec, je ne vois pas vraiment l'interet d'en chier durant des mois...D'autant que si c'est ça, le risque de rechute ou d'échec devient aussi grand (sinon plus)qu'avec un sevrage sec...Avis perso

Autre chose, la codéine n'étant pas active 24h, je pense que ce qui peut aussi jouer sur ces symptômes de manque, c'est d'arriver non seulement, à diminuer, mais aussi, à bien répartir ses prises dans la journée...Ainsi si tu prenais 12 le matin et 12 le soir, il faut maintenir ces 2 prises/jour même quand tu diminues, et effectivement la vraie difficulté arrive quand tu en es à devoir couper des cachets pour ne pas diminuer trop d'un coup...

Dernière modification par Mascarpone (11 octobre 2017 à  11:28)


Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils lais

Hors ligne

 

Merci Mascarpone, tu es de très bon conseil et ce que tu dis rejoins mes interrogations actuelles.

Je crois en effet que mon mode de prise doit être en partie responsable de la durée du manque car j'ai toujours pris le codoliprane le soir au coucher en 1 seule prise. Mes angoisses s'exprimaient surtout la nuit et il s'avère que la codéine le jour me rend trop confuse, d'où ce mode de prise.

Je crois aussi avoir développé une dépendance physique considérable du fait de la durée de mon addiction et de la quantité, certes stable, mais énorme gobée (24 comprimés tous les soirs pendant près de 10 ans). En passant de 24 à 13, je n'ai jamais eu de manque physique qui est apparu à 12. D'abord très très léger, il s'est accru surtout en passant de 7 à 6 où j'en suis depuis 28 jours car j'ai un peu buggé (toute seule je réduisais en moyenne d'un par mois et avec l'addicto j'ai fait une moyenne de 13 jours sans pression au résultat car je n'ai pas d'objectif).

En passant à 6, j'ai eu 5 jours de douleurs dans le squelette modérées (comme une fièvre à 39/40), 10 jours d'impatiences nocturnes dans les jambes (décharges électriques désagréables) et d'insomnies consécutives jusque vers 5 heures du matin. Malheureusement, les manifestations ont continué après pendant encore 10 jours mais de façon très résiduelle et ponctuelle, par exemple 1 heure d'impatience un soir, un peu d'insomnie, l'impression que je suis rouillée pendant quelques heures un autre jour...

J'ai beaucoup réfléchi et je vais en parler à l'addicto dans quelques jours pour qu'on envisage une adaptation du protocole. On a déjà parlé de plusieurs alternatives. Je ne suis plus opposée par principe au TSO mais c'est une solution dont l'addicto ne me parle plus, je vais lui demander pourquoi.

Arrêter brutalement en prenant du valium, on en a parlé mais à 6 comprimés c'est encore trop. Je travaille et je souffre d'une colopathie donc entre la confusion mentale à cause de l'anxiolytique et les intestins en folie, je préfère éviter pour l'instant. Une aide ponctuelle avec un peu de valium le soir quand je suis dans les jours les plus durs, pourquoi pas, je suis prête à envisager la solution après y avoir été opposée. J'ai aussi pensé à prendre un peu de valium tous les soirs mais en contrepartie réduire plus vite la codéine pour arrêter tout quand je serai à 2 ou 3. Je n'en ai jamais pris, mais développer une addiction secondaire n'est plus une hantise pour moi.

Bref, si je dois faire une conclusion, le sevrage dégressif est quand même un parcours tout à fait efficace et s'il présente une difficulté, elle a été toute petite à partir de la moitié du chemin et elle devenue modérée à 1/4 de la prise initiale. Réviser le protocole dans le dernier quart du chemin, ce n'est finalement pas la mer à boire et ne remet pas en cause l'utilité de ce qui a été fait.

Hors ligne

 

#11 
Effrati homme
Nouveau membre
12 octobre 2017 à  23:13
Faites attention au valium, c'est très puissant et ça peut vous transformer en zombie.

Hors ligne

 

#12 
MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
17 octobre 2017 à  15:50
Bonjour

Moi j'ai eu du paderyl par l'addicto du csapa.

Donc si on joue cartes sur table y a moyen d avoir de bonnes surprises

Bises Mia

Hors ligne

 

#13 
avatar
Snx homme
Chat Sushi
17 octobre 2017 à  16:45
Plop'

Pour un sevrage dégressif à la codéine le Padéryl ou le Tussipax seraient clairement la meilleure solution, rapport au paracétamol.
Je ne sais pas comment certains médecins arrivent à prescrire du Codoliprane pour un sevrage dégressif.
Comme si il y avait également addiction au paracétamol... roll

En tout cas à ta place (c'est d'ailleurs ce que je vais faire) je demanderai directement à mon addicto le TSO Dicodin.
Ce TSO a la réputation d'être assez proche de la codéine, en plus puissant.
Il suffit de te mettre dans la tête que si tu reçois un "non" catégorique, il te suffit d'aller voir un autre addicto.

Perso j'attendrai pas le prochain RDV si il me sortait un "on continue sans rien pour voir" lol

Bon courage !

Hors ligne

 

#14 
MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
17 octobre 2017 à  16:47
J'avoue j'ai la chance de metaboliser très bien la codeine.
Donc j'ai 6 cps/ jour.

Mais l addicto m'a envoyé direct dans la pharmacie qui bosse avec eux. Donc pas de question. Le pharmacien m'a demandé si je voulais qu'il conserve de côté les boîtes ou si je voulais qu'il me les donne toutes. Vraiment dans l'objectif de m'aider à ne pas dépasser les doses prescrites.

Les addicto de csapa ont une certaine liberte dans leurs prescriptions. Faut il qu'ils soient compréhensifs et attentifs.
Et faut jouer cartes sur table! Essayer de jouer l honnêteté

Bon courage

Bises Mia

Hors ligne

 

Remonter
Pour répondre à cette discussion, vous devez vous inscrire

Sujets similaires dans les forums, psychowiki et QuizzZ

14
Prescription codéine en csapa possible ? 
[Dernier message : 14 octobre 2017 par MIAOU44]

142
[ Arrêt & Sevrage ]
Sevrage Codéine et questions CSAPA 
[Dernier message : 04 juin 2018 par Luci0le]

23
Réclamer un tso qui se rapproche de la codéine au CSAPA 
[Dernier message : 10 octobre 2017 par kokie301]



[ QuizzZ ]
Risquez vous une overdose d'opiacé ? (heroine, morphine, methadone)
19139 personnes ont déja passé ce quizzz !

[ QuizzZ ]
Testez vos connaissances sur les overdoses d'opiacés
19152 personnes ont déja passé ce quizzz !

Psychoactif
Psychoactif est une communauté dédiée à l'information, l'entraide, l'échange d'expériences et la construction de savoirs sur les drogues, dans une démarche de réduction des risques.


logo Don Soutenez PsychoACTIF

Droit d'auteur : les textes de Psychoactif de https://www.psychoactif.org sont sous licence CC by NC SA 3.0 sauf mention contraire.


Affichage Bureau - A propos de Psychoactif - Politique de confidentialité - CGU - Contact - Propulsé par FluxBB - flux rss Flux RSS