Salut,
C'est malheureusement un peu plus compliqué que celà... Sans compter que les autorités viennent d'être munis de nouveaux appareils en vue de pratiquer de la détection de conduite " après avoir consommé un stupéfiant " ( et non pas sous l'effet d'un stupéfiant, la nuance est énorme ).
Plusieurs personnes se sont faites décélées positives le lendemain alors qu'elle n'avait pas consomme depuis la veille au soir.
Et pour ce qui est de la prise de décision d'un dépistage...
Les autorités n'ont nullement besoin de justifier leur choix ( enfin si, il suffit d'affirmer que la personne semblait sous influence et comme ils gardent leur droit à l'erreur... Aucun soucis ne peut leur arriver si la " victime " est négative aux différent tests. ) pour décider de te faire passer un test de dépistage de consommation de stupéfiant.
À partir du moment où l'usager est positif à un stupéfiant non prescrit par un professionnel de santé,
Il s'expose à des sanctions et il est dans l'obligation de vivre avec une épée de Damocles au dessus de sa tête.
En devenant conducteur, pour être sur de ne pas avoir de problèmes, il faut ( pour commencer
)ne pas être positif à un stupéfiant ou au dessus du taux en vigueur en ce qui concerne l'
alcool, et ce, même si tu n'es plus sous effets
psychotrope d'un stupéfiant que tu aurais pu consommer bien avant de prendre le volant.
Malheureusement, pour le moment, arrêter de consommer est bien la seule solution pour etre sur de conduire sans risque de se faire contrôler...
C'est pour ce motif que nous préférerions que des tests d'aptitude soient mis en place plutôt que des prélèvements arbitraires qui ne sont que des contrôles aléatoires de l'usager et n'ont que peu de rapports avec la sécurité routière.
Bon courage pour les examens,
Reck.