- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
Liberté injectée
Des aiguilles percent à travers ma peau
Indescriptible, bien au-delà des mots
Je ne te dirai quelle est cette sensation
La vie n'est-elle que déception ?
Je ne vis aucun conte de fée
J'échange chaque souffle de ma vie
Contre une once de liberté
Ignorer ce que la raison me dit
Tout ce que je n'ai jamais voulu
Chaque injection me permet d'accepter mon destin
Une meilleur vie, je ne crains les lendemains
Un jeu où je me suis perdu
La liberté injectée dans mes veines
Pour ne plus sentir toutes ces peines
Dans les mystères de la vie, y plonger
Pour disparaître à jamais
La vie est saignée par la peur
Dans mes veines coulent les promesses de bonheur
Des aiguilles percent à travers ma peau
Indescriptible, bien au-delà des mots
Je ne te dirai quelle est cette sensation
La vie n'est-elle que déception ?
Je ne vis aucun conte de fée
J'échange chaque souffle de ma vie
Contre une once de liberté
Ignorer ce que la raison me dit
Tout ce que je n'ai jamais voulu
Chaque injection me permet d'accepter mon destin
Une meilleur vie, je ne crains les lendemains
Un jeu où je me suis perdu
La liberté injectée dans mes veines
Pour ne plus sentir toutes ces peines
Dans les mystères de la vie, y plonger
Pour disparaître à jamais
La vie est saignée par la peur
Dans mes veines coulent les promesses de bonheur
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- synchro
- anarchaotique
- Inscrit le 15 Apr 2009
- 1705 messages
slt juste pour dire que tu écris bien tu me l avais caché petite maligne!! 
Au plaisir de te revoir
Au plaisir de te revoir
Je ne sais pas où je vais. Oh ça, je ne l'ai jamais bien su.
Mais si jamais je le savais, je crois bien que je n'irais plus...
(La Rue Ketanou.)
Intel dual ou extrem kore
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
La mort n'est rien,
je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,
ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez,
pensez à moi,
priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte,
sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,
ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez,
pensez à moi,
priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte,
sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
Misérable et droguée
Qui n'est pas passé par là ?
Cette envie d'oublier ce qui va pas,
Moi on m'a dit, j'ai ce qu'il te faut,
Et je me suis retrouvée avec un bédo.
On commence avec le shit, la beuh,
Par la suite tu grandis, et rencontres la cocaïne,
Ah la coke, cette poudre blanche particulièrement savoureuse,
Mais toi tu la connais, sous le nom de CC.
Tu aimes te sentir léthargique et vidée,
Ce fut mon premier rail, puis mon premier shoot,
Ma première overdose, et mon premier Bad,
J'ai du pisser le sang, et j'aurai pu mourir.
Puis l'héro est arrivée,
Tel un monstre affamé,
Mon sang a giclé, mes yeux étaient dilatés,
Le coeur affolé, le visage creusé,
J'ai du planer plusieurs jours,
Cette vie misérable va-t-elle finir un jour ?
Enfin l'amour est arrivé
M'obligeant à arrêter,
Après un an à jeun,
L'amour m'a quittée,
Tellement déboussolée,
J'ai recommencé à shooter.
Tu aimais te sentir léthargique et vidée,
Ce fut mon dernier rail,et puis mon dernier shoot,
Ma dernière overdose, et alors mon premier Bad,
Je me suis relever, j'ai gagner, puis arrêter.
Vais-je continuer ?
Où bien me dire d'en finir ?
Pour la vie, serai-je une camée ?
Où allez-vous me laisser grandir ?
Vous, mes petits démons intérieurs.
Qui n'est pas passé par là ?
Cette envie d'oublier ce qui va pas,
Moi on m'a dit, j'ai ce qu'il te faut,
Et je me suis retrouvée avec un bédo.
On commence avec le shit, la beuh,
Par la suite tu grandis, et rencontres la cocaïne,
Ah la coke, cette poudre blanche particulièrement savoureuse,
Mais toi tu la connais, sous le nom de CC.
Tu aimes te sentir léthargique et vidée,
Ce fut mon premier rail, puis mon premier shoot,
Ma première overdose, et mon premier Bad,
J'ai du pisser le sang, et j'aurai pu mourir.
Puis l'héro est arrivée,
Tel un monstre affamé,
Mon sang a giclé, mes yeux étaient dilatés,
Le coeur affolé, le visage creusé,
J'ai du planer plusieurs jours,
Cette vie misérable va-t-elle finir un jour ?
Enfin l'amour est arrivé
M'obligeant à arrêter,
Après un an à jeun,
L'amour m'a quittée,
Tellement déboussolée,
J'ai recommencé à shooter.
Tu aimais te sentir léthargique et vidée,
Ce fut mon dernier rail,et puis mon dernier shoot,
Ma dernière overdose, et alors mon premier Bad,
Je me suis relever, j'ai gagner, puis arrêter.
Vais-je continuer ?
Où bien me dire d'en finir ?
Pour la vie, serai-je une camée ?
Où allez-vous me laisser grandir ?
Vous, mes petits démons intérieurs.
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Bonnie D.
- Courgette Masquée
- Inscrit le 05 Sep 2011
- 297 messages
J"avais pas encore lu ce topic, je reviendra lire le tout : tu es plutôt prolifique.
Continue, surtout si ça te fais du bien.
Bien a toi
Pleine de bonne volonté et de conneries....
[ Mais âmes sensibles, s'abstenir... Je suis un vrai serpent!
Pssss, psssss... : Je danse comme un cobra.
]Hors ligne
- joseph curwan
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 17 Sep 2011
- 78 messages
Biscott a écrit
La mort n'est rien,
je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.
Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
N'employez pas un ton différent,
ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez,
pensez à moi,
priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte,
sans une trace d'ombre.
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées,
simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
salut biscott, juste une remarque, quand tu cites un texte ou poème d'un autre auteur, il faut le mettre entre guillemets et indiquer le nom de l'auteur.
à +
joseph
"Mais l´humanité n´a que faire d´une consolation en forme de mot d´esprit : elle a besoin d´une consolation qui illumine."
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
Autant pour moi joseph.
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
La droguée
La droguée
N'a que faire de la vie
Elle s'enfonce dans le danger
Qu'a causé toutes ces nuits de folie
Sa commence par du pot
Pour ce sentir hot
Puis l'alcool
Pour que l'on s'envole
Pour l'oublie des problème
Elle en devient blème
De plus en plus malade
L'âme se ballade
Viennent les pillules
Tu veux prendre du recul
Mais les chance son nulles
Tu as perdu trop de cellule
La vie devient un trou noir
Tu sombre dans le désespoir
Pour t'en sortir
T'en reprend et devient pire
Cette droguée c'est moi
J'ai commencé ca pourquoi?
Ma vie est finie
Je n'est plus de raison d'etre ici
Tout le monde me déteste
Je ne proteste
Puisque je ne suis que le reste
La droguée
N'a que faire de la vie
Elle s'enfonce dans le danger
Qu'a causé toutes ces nuits de folie
Sa commence par du pot
Pour ce sentir hot
Puis l'alcool
Pour que l'on s'envole
Pour l'oublie des problème
Elle en devient blème
De plus en plus malade
L'âme se ballade
Viennent les pillules
Tu veux prendre du recul
Mais les chance son nulles
Tu as perdu trop de cellule
La vie devient un trou noir
Tu sombre dans le désespoir
Pour t'en sortir
T'en reprend et devient pire
Cette droguée c'est moi
J'ai commencé ca pourquoi?
Ma vie est finie
Je n'est plus de raison d'etre ici
Tout le monde me déteste
Je ne proteste
Puisque je ne suis que le reste
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
Ma vue s'est troublée
Le souffle m'a quitté
J'ai appercu la mort
C'est alors que
La vie s'est arrêtée
Adieu souffrance
Je n'ai rien à regretter
Car maintenant
C'est le bonheur!!!
Le souffle m'a quitté
J'ai appercu la mort
C'est alors que
La vie s'est arrêtée
Adieu souffrance
Je n'ai rien à regretter
Car maintenant
C'est le bonheur!!!
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Akhéane
- Fée clochette
- Inscrit le 22 Nov 2011
- 364 messages
Arf, c'est joli ce que tu écris Biscotte 
J'écris aussi (par ex deux petits textes que j'ai mis ici "Toujours le même train" et "Marre"), mais j'ai un peu de mal avec les rimes d'habitude, je trouve que ça met trop de contraintes, que ça casse un peu la spontanéité, bien que ça puisse être un bon exercice, et parfois donner un très chouette résultat!
Perso c'est ma façon de lâcher mes sentiments quelque part, j'ai toujours un petit carnet avec moi que j'emporte partout et à certaines périodes c'est du griffonnage intensif :)
Tu écris d'autres trucs que des poèmes??? nouvelles, paroles de chanson, ou autre???
J'écris aussi (par ex deux petits textes que j'ai mis ici "Toujours le même train" et "Marre"), mais j'ai un peu de mal avec les rimes d'habitude, je trouve que ça met trop de contraintes, que ça casse un peu la spontanéité, bien que ça puisse être un bon exercice, et parfois donner un très chouette résultat!
Perso c'est ma façon de lâcher mes sentiments quelque part, j'ai toujours un petit carnet avec moi que j'emporte partout et à certaines périodes c'est du griffonnage intensif :)
Tu écris d'autres trucs que des poèmes??? nouvelles, paroles de chanson, ou autre???
Dernière modification par Akhéane (08 décembre 2011 à 03:19)
Hors ligne
- Akhéane
- Fée clochette
- Inscrit le 22 Nov 2011
- 364 messages
A mon tour de faire des ptites ririmes lol... 
Insomnies
Si petite, ta main,
Dans ma paume froide,
Murmure un refrain,
A nos désirs malades.
Revenir en arrière,
Un regret, un espoir,
L'étreinte se resserre.
Et tracer dans ma chair,
Les éclats d'un miroir:
Des maux avec du verre.
Rien de l'autre côté,
Aussi vides, nos âmes.
L'horloge est remontée,
Chaque aiguille: une lame,
Indique le passé,
Aussi vide et sans âme,
Aux visages décharnés,
Nos cicatrices de larmes.
Comme des enfants perdus
Face au reflet tremblant,
A la magie déchue,
Au douloureux carcan,
De celle qu'on a aimée,
Qui nous a arraché,
Esprit, douleur et sang,
Lancés aux quatre vents.
Lorsqu'il ne reste rien,
Qu'une petite main,
Dans une paume froide,
Pour me ressusciter,
De ma passion malade.
Avoir mal et pleurer,
Surprise à désirer,
Engluée dans la brume,
Que ne déteigne encore
Cette foutue couleur brune,
Qui a sali mon corps,
Traces de poudre de lune.
Insomnies
Si petite, ta main,
Dans ma paume froide,
Murmure un refrain,
A nos désirs malades.
Revenir en arrière,
Un regret, un espoir,
L'étreinte se resserre.
Et tracer dans ma chair,
Les éclats d'un miroir:
Des maux avec du verre.
Rien de l'autre côté,
Aussi vides, nos âmes.
L'horloge est remontée,
Chaque aiguille: une lame,
Indique le passé,
Aussi vide et sans âme,
Aux visages décharnés,
Nos cicatrices de larmes.
Comme des enfants perdus
Face au reflet tremblant,
A la magie déchue,
Au douloureux carcan,
De celle qu'on a aimée,
Qui nous a arraché,
Esprit, douleur et sang,
Lancés aux quatre vents.
Lorsqu'il ne reste rien,
Qu'une petite main,
Dans une paume froide,
Pour me ressusciter,
De ma passion malade.
Avoir mal et pleurer,
Surprise à désirer,
Engluée dans la brume,
Que ne déteigne encore
Cette foutue couleur brune,
Qui a sali mon corps,
Traces de poudre de lune.
Dernière modification par Akhéane (08 décembre 2011 à 03:56)
Hors ligne
- Bicicle
- Rat de laboratoire
- Inscrit le 08 Aug 2011
- 1701 messages
Sympa les poèmes Biscott et Akheane,
Le n°66 "La mort n'est rien" est superbe.
Le n°66 "La mort n'est rien" est superbe.
"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman
Hors ligne
- Akhéane
- Fée clochette
- Inscrit le 22 Nov 2011
- 364 messages
Je pense que "la mort n'est rien" est un texte qui circule assez souvent sur le net, non?? Je sais pas de qui il est mais je l'ai déjà lu assez souvent.... sur des blogs d'ado gothiques de 15 ans en particulier ...euuuh, oui, j'étais une ado gothique à 15ans, et j'assume 
(plus ou moins )
Perso, au niveau purement stylistique, je trouve ce texte carrément nunuche^^mais le message est plein de bon sens et d'optimisme, c'est sympa
...euuuh, oui, j'étais une ado gothique à 15ans, et j'assume (plus ou moins )Perso, au niveau purement stylistique, je trouve ce texte carrément nunuche^^mais le message est plein de bon sens et d'optimisme, c'est sympa
Hors ligne
- Bicicle
- Rat de laboratoire
- Inscrit le 08 Aug 2011
- 1701 messages
Ah merde putain je pensais qu'elle l'avait écrit elle même. C'est naze alors si c'est un copié collé d'un texte bidon qu'on trouve sur les Skyblog d'ado emo suicidaires ou dans les vieilles chaines Hotmail à deux balle.
Enfin bon, à ma décharge le texte était présenté comme venant d'elle hein puisque rien n'indiquait le contraire :p
Enfin bon, à ma décharge le texte était présenté comme venant d'elle hein puisque rien n'indiquait le contraire :p
"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
En ce qui concerne le poème 66, J'ai oublié de mettre qu'il était de Henry Scott-Holland.
J'en suis desolé. Je trouve qu'il me convient bien.
Mille excuses
J'en suis desolé. Je trouve qu'il me convient bien.
Mille excuses
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
Après la douleur...
Une fois la lame posée,
Une fois que j'ai appuyé
Une fois que j'ai saigné,
Une fois que j'ai pleuré,
Je peux enfin respirer,
Arrêter de crier,
Et vivre en paix.
Me rappeler de tout le sang coulé,
Toutes les lames sont jetées,
Mais les marques ne sont pas effacées...
C'est trop tard pour revenir en arrière,
Maintenant que j'ai commencé,
Pourquoi arrêter ?
Je vais continuer,
Jusqu'à en finir pour de vrai...
Une fois la lame posée,
Une fois que j'ai appuyé
Une fois que j'ai saigné,
Une fois que j'ai pleuré,
Je peux enfin respirer,
Arrêter de crier,
Et vivre en paix.
Me rappeler de tout le sang coulé,
Toutes les lames sont jetées,
Mais les marques ne sont pas effacées...
C'est trop tard pour revenir en arrière,
Maintenant que j'ai commencé,
Pourquoi arrêter ?
Je vais continuer,
Jusqu'à en finir pour de vrai...
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- Biscott
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 26 Jun 2009
- 81 messages
Regardez-moi
Regardez-moi je suis seul dans ma chambre.
Dans le noir,je pleure...
Pourtant je n'ai que 32 ans,
Je pleure.
C'est le soir de mon anniversaire.
Je n'ai rien reçu de personne.
Je pleure de voir que personne ne tient à moi.
Des larmes coulent lentement sur mon visage
Des larmes d'une vie douloureuse,
Cette vie qui m'a détruit,
Elles ne cessent de couler...
Mais personne n'est là pour me réconforter
Personne ne m'a jamais pris dans les bras
Je n'ai jamais connu le bonheur.
Je souffre...
Pourtant, jeune j' étais si ambitieux.
J' était si mignon quand je parlait de mes rêves.
Si vous m'auriez vu...
Mais maintenant que j'ai vu mes rêves se briser,
Mes espoirs s'anéantir,
Je ne veux plus rêver.
Je sais que je ne serais jamais heureux,
Ma vie n'est faite que de larmes,
Regardez-moi je suis seul dans ma chambre.
Dans le noir, je pleure...
Pourtant je n'ai que 32 ans,
Je pleure.
Le soleil commence à se lever...
Les traces de mes larmes séchées,
Recouvrent mon visage pâle.
Je ne veut pas me lever.
En moi ne réside aucun désir,
Je ne tiens à rien dans ce monde.
Je ne veux pas voir les autres,
Je ne veux rien faire.
Je n'ai plus envie de continuer.
Mais je se lève,
Devant la seule fenêtre de ma chambre...
Regardez-moi j' étais seul dans ma chambre
Dans le noir j' ai pleuré toute la nuit...
Pourtant je n'avais que 32 ans,
Le matin...
Par le fenêtre, je me suis jeté.
Regardez-moi je suis seul dans ma chambre.
Dans le noir,je pleure...
Pourtant je n'ai que 32 ans,
Je pleure.
C'est le soir de mon anniversaire.
Je n'ai rien reçu de personne.
Je pleure de voir que personne ne tient à moi.
Des larmes coulent lentement sur mon visage
Des larmes d'une vie douloureuse,
Cette vie qui m'a détruit,
Elles ne cessent de couler...
Mais personne n'est là pour me réconforter
Personne ne m'a jamais pris dans les bras
Je n'ai jamais connu le bonheur.
Je souffre...
Pourtant, jeune j' étais si ambitieux.
J' était si mignon quand je parlait de mes rêves.
Si vous m'auriez vu...
Mais maintenant que j'ai vu mes rêves se briser,
Mes espoirs s'anéantir,
Je ne veux plus rêver.
Je sais que je ne serais jamais heureux,
Ma vie n'est faite que de larmes,
Regardez-moi je suis seul dans ma chambre.
Dans le noir, je pleure...
Pourtant je n'ai que 32 ans,
Je pleure.
Le soleil commence à se lever...
Les traces de mes larmes séchées,
Recouvrent mon visage pâle.
Je ne veut pas me lever.
En moi ne réside aucun désir,
Je ne tiens à rien dans ce monde.
Je ne veux pas voir les autres,
Je ne veux rien faire.
Je n'ai plus envie de continuer.
Mais je se lève,
Devant la seule fenêtre de ma chambre...
Regardez-moi j' étais seul dans ma chambre
Dans le noir j' ai pleuré toute la nuit...
Pourtant je n'avais que 32 ans,
Le matin...
Par le fenêtre, je me suis jeté.
La mort doit être un endroit magnifique puisque personne n'y est jamais revenue
Hors ligne
- mikykeupon
- Modérateur à la retraite
- Inscrit le 10 Mar 2009
- 9631 messages
Biscott a écrit
En ce qui concerne le poème 66, J'ai oublié de mettre qu'il était de Henry Scott-Holland.
J'en suis desolé. Je trouve qu'il me convient bien.
Mille excuses
Le respect des œuvres veut que l'on nomme les sources
Sinon pour tes poèmes, tu ne veux pas ouvrir un blog ?
Hors ligne
- George Paddock
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 05 Jun 2018
- 159 messages
Ma petite pointe brillante
je voyage celons ton désir !
Melle toi au flots
je voyage celons ton désir !
fais moi vivre entre mort et plaisir
je voyage celons ton désir !
profite de mon inconscience
je voyage celons ton désir !
je ne peux faire autrement que t'aimer
je voyage celons ton désir !
je voyage celons ton désir !
Melle toi au flots
je voyage celons ton désir !
fais moi vivre entre mort et plaisir
je voyage celons ton désir !
profite de mon inconscience
je voyage celons ton désir !
je ne peux faire autrement que t'aimer
je voyage celons ton désir !
Hors ligne
- Kroenen
- Nouveau membre
- Inscrit le 22 Oct 2018
- 23 messages
Moi aussi je veux jouer ?
Voici quelques écrits post LSD, on était deux pendant le trip :
« Souvenirs gravés d'une nuit de sérendipité,
Cette réminiscence d'enfance n'est que le fruit de deux esprits en transe.
Sans faire de mal à autrui, ils ont nommé ce qu'ils ont vu : "juste joli". »
Le vert sublime le vert.
"Rajoute un peu de rouge" disait-on, quelle que soit la nuance ou la chanson, on y voyait bouger ce gros ballon.
Monticule ou pâmoison, la focale se faisait toujours sur les lampions.
"Je veux découvrir la suite" disait l'ami.
"Je ne veux pas m'endormir trop vite" disait il aussi.
Voici quelques écrits post LSD, on était deux pendant le trip :
« Souvenirs gravés d'une nuit de sérendipité,
Cette réminiscence d'enfance n'est que le fruit de deux esprits en transe.
Sans faire de mal à autrui, ils ont nommé ce qu'ils ont vu : "juste joli". »
Le vert sublime le vert.
"Rajoute un peu de rouge" disait-on, quelle que soit la nuance ou la chanson, on y voyait bouger ce gros ballon.
Monticule ou pâmoison, la focale se faisait toujours sur les lampions.
"Je veux découvrir la suite" disait l'ami.
"Je ne veux pas m'endormir trop vite" disait il aussi.
Hors ligne
Sujets similaires dans les forums, psychowiki et QuizzZ
 |
[ Forum ] Culture - Postez vous oeuvres : peintures, dessins, poèmes, compos musicales
|
2 |
|
[ Forum ] Bouts de textes, écrits
|
8 |
Pied de page des forums
Propulsé par FluxBB
Traduction par FluxBB.fr
Psychoactif est une communauté dédiée à l'information, l'entraide, l'échange d'expériences et la construction de savoirs sur les drogues, dans une démarche de réduction des risques.
Soutenez PsychoACTIF A propos de Psychoactif | Politique de confidentialité | CGU | Contact | 
Flux RSS | Affichage Mobile
Flux RSS | Affichage Mobile
Droit d'auteur : Les textes de Psychoactif de https://www.psychoactif.org sont sous licence CC by NC SA 3.0