Ave !
Alors voilà, j’ai pris 120 mg de
MD une fois l’année dernière (ma première fois) et ça s’est super bien passé. Les effets de traîne ont duré super longtemps, j’ai eu à peine deux heures de vague down en guise de
descente et une heure de vague envie en guise de
craving. Le panard.
Il y a quelque semaines, j’ai pris un demi
taz un vendredi soir : quand les effets ont commencé à descendre au bout de 4 heures j’ai été écrasée par la tristesse et j’ai déprimé un peu toute la journée du lendemain. Comme je suis conne, j’ai repris un demi
taz le samedi soir. Même déroulement, sauf que là ça a été une angoisse carabinée et j’ai passé le lendemain roulée en boule à l’infirmerie du festoche.
Du coup ma question est : pourquoi !
Je vois deux facteurs possibles :
1) le produit lui-même : la première fois c’était de la
md en poudre et la seconde un
taz. J’ai toujours cru que le
taz c’était forcément de la
md+autre chose, de préférence un
amphet, de préférence du
speed, mais on m’a dit que c’était du bullshit. Du coup mystère.
Comme différence dans l’expérience entre les deux : A) la deuxième fois mon débit de parole était accéléré, B) à chaque fois j’ai pris la même chose qu’un mec avec qui j’ai fait des choses que les bonnes mœurs réprouvent et la première fois il ne bandait pas, la deuxième oui. Quant à moi, la première fois extinction du désir sexuel à la montée, après c’était juste sensuel, et la deuxième fois préservation du désir sexuel. D’où mon opinion que le deuxième prod différait du premier.
2) le set and setting
-chimique : la première fois il n’y avait aucune interaction (je ne fume rien et je bois pratiquement pas) alors que la seconde j’avais pris de la
coke le jeudi soir donc la veille, et j’ai pris une gélule de 5 HTP la journée entre les deux
taz. Je sais pas si ça intervient. Et j’ai fait des câlins peau nue contre peau nue à de gens sous
LSD, mais pas tant que ça donc ça doit rester marginal comme effet.
-autre : la première fois j’étais avec un pote et des potes à lui dans un appart pendant l’année scolaire donc environnement
safe et pas d’excès particuliers avant. La seconde j’avais cinq jours de montage et cinq jours de
festival dans les pieds avec 40 degrés la journée, 3-4 heures de sommeil par nuit et une machine à laver émotionnelle constante.
En rentrant j’en ai parlé à des gens qui m’ont dit que ça devait être du
speed dans le
taz et que ça fait des
descentes dégueulasses. Quid ?
Du coup, c’était quoi le problème ? Le
taz ? A partir de maintenant je me dis :
md oui,
taz non ? La première fois j’ai eu de la chance ? Ou bien j’avais juste trop tiré sur la corde physiquement et mentalement la deuxième fois ?
Dernière modification par Surprise (08 août 2019 à 18:52)