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#1 
nessacherry femme
Nouveau membre France
22 mars 2021 à  22:42
Bonjour,
J'ai choisi le thème des stupéfiants pour mon oral de brevet. Le problème est que je ne suis pas la personne la plus savante a ce sujet. J'aimerais savoir si il y a des choses qu'il faudrait que je mette absolument, ou même des idées de questions que le jury pourrait me poser. J'ai fait le choix de me concentrer principalement sur les subtances les plus connues du "grand public" (cocaïne, héroine, ecstasy et métamphétamines) Merci.

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#2 
Loloxoxo homme
Nouveau membre France
22 mars 2021 à  23:27
D'après moi, tu pourrais remplacer l'une des substances que tu as citées par le cannabis, puisque c'est le stupéfiant le plus consommé en France à ce jour, ça serait donc, je pense, plus logique de parler du phénomène qui est le plus répandu.
Sinon, bon courage à toi pour ton oral.

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#3 
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Stelli femme
Modératrice - Dinosaure de PA France
23 mars 2021 à  02:02
La méthamphétamine est assez peu consommée en France (il existe des exceptions, mais ce sont à 90% des personnes qui achètent sur le darknet, il n’y a quasiment pas de marché pour la meth en métropole en tout cas).
Ça serait effectivement plus cohérent de la remplacer par le cannabis, qui lui est très couramment consommé.

On ne peut pas te faire un exposé sur ces produits, d’ailleurs c’est le travail que tu dois faire justement wink
Par contre tu peux commencer par lire le PsychoWiki dont je te mets le lien ci dessous concernant le cannabis, l’héroïne, la cocaïne, et la MDMA (exta).

https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages

https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages

https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages

https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages


Sinon je ne sais pas si tu as lu la charte du forum, mais pour des raisons évidentes, les mineurs ne sont pas autorisés à créer un compte.
Par contre tu peux lire, effectuer des recherches en utilisant la petite loupe verte en haut à droite de la page. Je te conseille encore une fois de te tourner vers le PsychoWiki, tu y trouveras des infos de base sur les différents produits pour ton oral, et aussi des infos sur les risques associés à leur consommation, et comment les réduire le plus possible, si on décide de consommer. Ça s’appelle la RdR(Réduction des Risques). C’est une notion qui rentre dans la politique de santé publique du gouvernement, et elle est promue par différentes entités gouvernementales, médicales, scientifiques, par les CAARUD (Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des risques pour Usagers de Drogues), les CSAPA (Centre de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie) et les associations de consommateurs comme Psychoactif. Je te laisse découvrir le site et le forum, mais je dois t’informer que tu vas être banni, parce que tu es mineur, comme je t’ai expliqué.

Bonne chance pour ton oral.

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#4 
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Akaion homme
Apprenti Chaman France
23 mars 2021 à  03:24
Salut

A partir de la page 36 ce document pourrait éventuellement t'intéresser :
m-zioi-djessica-these-d-exercice-2018.pdf

Si tu as le temps de le lire c'est assez bien structuré. Comme les camarades l'ont souligné, il vaut mieux se cantonner à des substances qui concernent beaucoup de monde et laisser de côté celles qui sont plus rarement consommées.

Bon courage pour ton sujet !

PS : petite information complémentaire, le terme de "drogue" n'est pas défini sur le plan légal (les jeux vidéos, le sucre, etc. et énormément de choses sont des drogues) mais celui de stupéfiant a une signification qui suggère l'interdiction.

"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)

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Bonjour, attention en parlant des stupéfiants car il est 'encore) interdit de les présenter sous un jour favorable.

https://www.ehess.fr/fr/journ%C3%A9es-d … ble-%C2%BB

la def de stupefiant

https://fr.wikipedia.org/wiki/Stup%C3%A9fiant

Je crois qu'il est surtout important de modifier le regard qu'on porte sur eux et je t'ai mis ci dessous 2 references venant de deux anciennes premieres ministres (Nouvelle zélande et Suiss) sur ce sujet.

https://www.grea.ch/sites/default/files … omplet.pdf


Avec  cette  volonté  de  ne  vouloir perdre personne en chemin, en particulier les marginaux?

Ce  qu’on  fait  un  peu  actuellement  c’est  croire  qu’on  peut  créer  une  société sans drogue en tirant au canon contre des moineaux.
On se trompe de combat  en ne suivant  pas  l’argent  des  grands  trafiquants dans des banques si réputées, en ne mettant pas davantage l’accent sur  la  corruption,  en  ne  se  donnant  pas tous les moyens d’être efficace.
En  fait  je  tiendrai  les  mêmes  pro-pos  en  ce  qui  concerne  les  drogues  légales  et  illégales.  Une  consommation raisonnable, raisonnée, contrôlée est possible.
Pour la majorité des gens elles ne représentent de risques ni pour eux ni pour les autres.

Et  puis  il  y  a  ceux  pour  qui  cette  consommation  signifie  perte  d’équilibre,  dépendances,  avec  les  conséquences  que  l’on  sait  sur  leur  vie  familiale,  sociale  et  professionnelle.  Dans  ce  cas  il  faut  pouvoir  les  aider. Le discours absolutiste qui prévaut  depuis  un  demi-siècle  est  voué  à  l’échec.  Il  stigmatise  ceux  qui  ont besoin d’aide et n’en reçoivent pas.

Et que l’aide soit apportée en respectant leur dignité?

Peut-être  vous  souvenez-vous,  dans  les    années    70    de    la    BD  « L’AN 011 de  GéBé  ».Il me reste en mémoire un  dessin  où  l’on  voyait des ouvriers qui venaient se laver les   mains   après leur  travail  à  un lavabo. Le commentaire disait : « Je ne sais   pas   si   vous avez   remarqué, mais  les  miroirs dans  ces  cabinets d’eau   sont   tou-jours placés    trop  haut    pour    que  les   ouvriers   ne puissent s’y voir ».
La révolution consiste déjà à faire en sorte que les gens voient leur propre visage et qu’ils puissent en être fiers. C’est  même  le  premier  pas  de  toute  démarche thérapeutique.

Souvenez-vous  aussi  du  très  beau  livre    d’Annie    Mino   «  J’accuse  les mensonges    qui    tuent    les    drogués ». Elle avait fait tout un cheminement  pour  dire  à  quel  point  était légitime  la  demande  des  personnes  en  besoin  d’aide  et  combien  il  était  nécessaire de la prendre au sérieux.
Ce   n’est   pas   aux   médecins   d’imposer quoi que ce soit, ce n’est pas à la société   de   le   faire.   C’est   aux patients de  dire : «Voilà  ce  que  j’ai envie   d’atteindre. Toi,     médecin,  thérapeute,  assistant social, es-tu    capable    de   m’aider  à  le  réaliser.  Si  oui  faisons  un  contrat.  Je fais l’effort, mais vous le  faites  aussi  avec   moi  ».   
Le   but   que  nous  nous sommes  fixés  est  celui que  l’on    va   réaliser    ensemble.


Je viens de mettre en ligne un livre important sur ce sujet avec les stimulants (j'ai traduit plusieurs extraits).

https://www.psychoactif.org/forum/2020/ … .html#divx

Un extrait de l'introduction par Mme Helen Clark, Présidente de la Global Commission on Drugs Politics et ancienne première ministre de Nouvelle Zélande.


Dans un premier temps, nous devons mettre fin à la criminalisation des personnes qui consomment des drogues. La décriminalisation est en cours dans de plus en plus de pays à travers le monde - et a été approuvée sans ambiguïté par 30 entités des Nations Unies dans leur Position commune des Nations Unies sur la drogue de 2019 approuvée par le Conseil des chefs de secrétariat du Secrétaire général. Pourtant, si la décriminalisation est un catalyseur essentiel de toute réponse significative en matière de santé et de décarcération, elle a peu d'impact sur les marchés de drogues illicites.
L'application punitive de lois injustes est inefficace et contraire à la justice sociale. Nous devons fonder notre réflexion sur la réalité que l’usage de drogues est déjà répandu dans la société. Que cela nous plaise ou non, la consommation de drogue est une réalité qui doit être gérée de manière responsable. Nous ne pouvons pas souhaiter la suppression des drogues - mais nous pouvons les rendre plus sûrs ainsi que leurs modes d’utilisation.
Cela, à son tour, nécessite d'accepter que réglementer légalement les marchés d'accès des adultes pour les drogues actuellement illégales est le seul moyen d'atténuer les dommages causés par le marché illégal. Nous ne pouvons pas choisir si nous vivons dans une société avec ou sans drogues, mais nous avons le choix de savoir si et comment le marché est contrôlé. Au fur et à mesure que le consensus grandit sur l’échec de la «guerre contre la drogue», il en va de même pour la nécessité d’une exploration franche des alternatives. Nous avons tous la responsabilité de réfléchir à ce qui pourrait remplacer le statu quo, et nous devons réfléchir à la manière dont cela s'applique à toutes les drogues. Une exploration significative de la régulation des médicaments stimulants est un élément clé de ce processus.

Dans ce modèle, le critère pour prescrire et délivrer des molécules n'est donc pas d'opposer les "bonnes" aux mauvaises" molécules mais d'orienter la consommation vers un usage le moins dangereux possible  pour l'usager, mais aussi pour son entourage et la société. C'est la Réduction des Risques (et des Méfaits diront les quebecois) dans son sens élargi (voir derniere citation).
Personnellement , bien que médecin et donc élevé dans la vision que cite Biscuit, je souhaite qu'on évolue vers le vraie RdR.
Pour les opiacés la cible serait de favoriser les usages plus "safe" (injection bien encadrée si necessaire mais, si possible favoriser les usages non injectés, produit de qualité pharmaceutique, information, naloxone etc..). Mais pour le choix des produits, même si la Methadone et la Buprenorphine sont proposés en premier choix, preferer une consommation autre (Skenan par exemple) plutot que le retour à la conso illégale et non sécurisée.

Amicalement


La RdR

IL N'Y A AUCUNE DÉFINITION UNIVERSELLEMENT ACCEPTÉE DE LA «RÉDUCTION DES RISQUES», BIEN QUE le principe clé soit la réduction des méfaits associés à la consommation de drogues.
Harm Reduction International (HRI) définit le terme comme suit:

    La réduction des méfaits fait référence aux politiques, programmes et pratiques qui visent à minimiser les impacts sanitaires, sociaux et juridiques négatifs associés à la consommation de drogues, aux politiques en matière de drogues et aux lois sur les drogues. La réduction des méfaits est fondée sur la justice et les droits de l'homme - elle se concentre sur des changements positifs et sur le travail avec les personnes sans jugement, coercition, discrimination ou exigeant qu'elles arrêtent de consommer de la drogue comme condition préalable au soutien. 1

Comme évoqué dans cette définition, le concept de réduction des méfaits inclut souvent utilement la prise en compte des facteurs structurels du dommage. Cela inclut les facteurs économiques et sociaux, mais peut également inclure de manière significative les préjudices subis par la politique et la loi, tels que les effets de la criminalisation de la consommation de drogues et de l'application de la loi correspondante. Les «préjudices» peuvent également aller au-delà des méfaits pour la santé subis par la consommation de drogues pour inclure les «préjudices sociaux ou économiques tels que la criminalité d’acquisition, la corruption, la sur-incarcération, la violence, la stigmatisation, la marginalisation ou le harcèlement». Les documents de politique des Nations Unies mettent également en évidence ce contexte plus large, faisant référence plus récemment aux «lois et politiques de soutien» comme l’un des «catalyseurs essentiels» d’une réponse politique efficace de réduction des risques. 4 Notamment, la Position commune des Nations Unies sur les drogues de 2019 plaide fermement en faveur de la dépénalisation des consommateurs de drogues. Cependant, les positions des Nations Unies, tout en reconnaissant les méfaits de l'interdiction, ne soutiennent pas encore la disponibilité des médicaments légalement réglementée au-delà de la prescription médicale dans un contexte de traitement.


La réduction des méfaits des stimulants comprend des interventions visant une utilisation à faible risque dans les contextes sociaux (voir par exemple le chapitre 3 sur la MDMA), ainsi que des interventions distinctes ciblant une utilisation à haut risque, notamment le tabagisme et l'injection - qui sont au centre de ce chapitre.
Comme discuté dans les chapitres précédents, ce livre ne propose pas de modèle de vente au détail pour les stimulants classés comme niveau de risque 3, y compris: les amphétamines fumables ou injectées; cocaïne injectée ou crack fumé / base de pâtes / basuco; et d'autres stimulants fumés ou injectés à haut risque.
Au lieu de cela, nous proposons un modèle de réduction des méfaits sans commerce de détail, qui serait enraciné dans les principes et les exemples décrits dans ce chapitre.
Cela reflète le fait que, même avec des efforts visant à encourager des modèles de consommation de stimulants à faible risque (y compris en rendant disponibles des produits à faible risque sur un marché strictement réglementé), de nombreuses personnes choisiront toujours de fumer ou de s'injecter des drogues stimulantes. Comme indiqué dans la section sur le crack, ces personnes ne devraient pas être criminalisées. Au lieu de cela, il devrait y avoir une réponse concertée axée sur la santé publique, associée à un soutien social approprié. Il est essentiel de s'attaquer aux conditions sociales qui sous-tendent l'utilisation la plus problématique des stimulants pour réduire les comportements à haut risque à long terme, mais la réponse immédiate doit être fondée sur la réduction des méfaits, afin de mieux protéger le droit à la santé des personnes qui utilisent des stimulants.

  L'accent historique des efforts de réduction des méfaits a été sur l'injection d'opioïdes, en particulier dans le contexte de la riposte au VIH. Cette focalisation sur les personnes qui s'injectent des drogues a eu tendance à marginaliser les problèmes de tabagisme et de reniflement de drogues plus couramment associés aux stimulants. Compte tenu de la forte augmentation des niveaux d'utilisation de stimulants à haut risque et des méfaits associés ces dernières années, cette situation est intenable. Il est urgent de se concentrer davantage sur la recherche sur la réduction des méfaits et les ressources sur les questions liées aux stimulants. Cet appel intervient notamment à un moment où le financement de la réduction des risques va plus généralement dans la mauvaise direction, sous la menace d'une combinaison de facteurs tels que l'austérité, le retrait des donateurs et l'évolution des priorités politiques.

Dernière modification par prescripteur (23 mars 2021 à  07:47)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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#6 
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Akaion homme
Apprenti Chaman France
23 mars 2021 à  08:42
Salut Prescripteur,

Mon addictologue tient le discours suivant :

Les jeunes seraient-ils plus nombreux à consommer en cas de dépénalisation ?

Je pense qu'ils seraient vraiment plus nombreux à consommer. En outre, la loi reste une barrière pour pas mal d'ados. Il y a des jeunes qui fument en groupe, avec des amis, en soirée, mais ne vont pas chez le dealer eux-mêmes. Pour eux, la transgression s'arrête à la consommation. Si on légalise, plus rien ne pourra les freiner.

https://www.ladepeche.fr/article/2016/0 … -ados.html

Pis encore, selon Hélène Donnadieu-Rigole, une consommation régulière de cannabis altère les fonctions cognitives et augmente les risques de développer un cancer plus tard. "En tant que médecin, on ne peut pas être pour." Si la spécialiste reconnaît que beaucoup de consommateurs ne présentent aucune difficulté, il est, selon elle, difficile de faire des exceptions : "Nous, nous avons une idée des personnes vulnérables mais les consommateurs ne savent pas s’ils le sont. L’adolescence en soi est un facteur de vulnérabilité."

http://www.chanvre-info.ch/info/fr/Cann … s-par.html


Elle est sur des positions très rivées (le Dr Donnadieu-Rigole) et ne veut rien entendre d'autre que la répression.

Comme quoi les désaccords ne risquent pas de se terminer.

"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)

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Pis encore, selon Hélène Donnadieu-Rigole, une consommation régulière de cannabis altère les fonctions cognitives et augmente les risques de développer un cancer plus tard. "En tant que médecin, on ne peut pas être pour." Si la spécialiste reconnaît que beaucoup de consommateurs ne présentent aucune difficulté, il est, selon elle, difficile de faire des exceptions : "Nous, nous avons une idée des personnes vulnérables mais les consommateurs ne savent pas s’ils le sont. L’adolescence en soi est un facteur de vulnérabilité."

J'espère qu'elle milite aussi pour une interdiction totale de consommation de l'alcool et du tabac parce que ce qu'elle dit s'applique aussi bien à ces deux produits, avec un impact societal actuel considérablement plus élevé.

Amicalement


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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#8 
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Akaion homme
Apprenti Chaman France
23 mars 2021 à  08:57
Eh bien quand je lui ai demandé de choisir le pire en terme de santé entre boire de l'alcool ou prendre une trace de kétamine elle m'a répondu "je ne peux pas vous répondre". Pas très médical comme discours et pourtant c'est elle qui dirige le service d'addictologie.

"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)

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Eh bien quand je lui ai demandé de choisir le pire en terme de santé entre boire de l'alcool ou prendre une trace de kétamine elle m'a répondu "je ne peux pas vous répondre". Pas très médical comme discours et pourtant c'est elle qui dirige le service d'addictologie.

Personnellement ça ne me choque pas. L'impact étant lié, selon le classique triangle, au produit, à la personne et à l'environnement, il me parait logique de dire que la seule mention du produit ne suffit pas à determiner l'atteinte à la santé.
Amicalement


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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#10 
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Akaion homme
Apprenti Chaman France
23 mars 2021 à  09:26
Mais si je me souviens bien les études sur la kétamine en tant qu'antidépresseur sont assez prometteuses. L'alcool est tout de même plus toxique et plus addictogène. Quand je vois les services d'addictologie, un nombre de patients alcooliques représente la majorité des hospitalisations. Un psychologue de l'unité des toxicodépendances me disait que l'addiction aux RC (3-mmc et 4f-mph) est une exception.

"Tout est poison et rien n'est poison, seule la dose fait le poison" (Paracelse)

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Bonjour, oui mais l'alcool est consommé sans problème par au moins 70% des adultes.
Donc j'en reviens au triangle. Chaque consommation est "unique".
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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#12 
stephg045 homme
Nouveau membre
16 juillet 2021 à  18:04

Akaion a écrit

Eh bien quand je lui ai demandé de choisir le pire en terme de santé entre boire de l'alcool ou prendre une trace de kétamine elle m'a répondu "je ne peux pas vous répondre". Pas très médical comme discours et pourtant c'est elle qui dirige le service d'addictologie.

Enfin concernant la diffusion, je pourrai mettre à disposition le mémoire que je rédigerai (rendu prévu fin septembre).

Dernière modification par prescripteur (16 juillet 2021 à  19:05)

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