Consommer responsable avec médication

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Nara non binaire
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Salut, bon résumé... j'ai été sous traitement antidépresseur il y à 2 mois. Sous escitalopram depuis 1 mois et wellbutrin ajouté pris 3 jours. Arrêt brutal suite à grossesse surprise apprise par des symptômes typiques que la grossesse.

Impossible de prendre mes médocs sans vomir, j'ai stoppé net les deux de manière brutale,  sauf que 3 jours après sans prise mes symptômes se sont empirés. Et je n'ai pas penser à une quelquonc sevrage, car pris trop peu de temps et un médecin m'a dit, qu'il était fort possible que j'aie fait un sevrage brutal de l'escitalopram, sans m'en rendre compte car je me sentais pendant 1 mois comme ivre h24, vertige, vraiment affaiblie bref des symptômes très violent... j'étais au fond du goufre, j'avais l'impression que ma vie était insupportable, mon couple a sérieusement pris cher d'ailleurs.

J'ai avorté vendredi passé dans les delais autorisés, ne pouvant ni accepter la grossesse et encore moins les symptômes puis d'autres trucs ajoutés aux choix...

Je songe reprendre ma médication, car j'ai l'impression d'avoir besoin de ces béquilles dans ma vie, pour être fonctionnelle. Le hic ?

Les fêtes arrivent,  j'avais stoppé la conso d'alcool pendant toute ma médication et grossesse. Et ici, je ne sais pas si j'attends l'après fête pour reprendre mes médocs ou si je peux,  tranquillement les reprendre dès maintenant... Mon problème c'est que j'aime boire, je sais pas m'arrêter qu'à un seul verre,  c'est vraiment mon truc l'alcool

sans être alcoolique ou me mettre en pire état je sais m'arrêter, quand j'atteins le stade qui me plait, je note quelques moments ou j'ai bu avec un mauvais mood donc malade +++,  mais ca n'arrive pas si souvent... et je maîtrise difficilement au sens social,  s'il y a de l'alcool je vais boire aux fêtes, bbq, anniversaire, soirées...

Donc est-ce que avec l'escitalopram et wellbutrin l'excès d'alcool dessus, est-il raisonnable ? Ou faut-il attendre la nouvelle année pour redémarrer la médication sereinement sans risque ?

Je ne sais pas si j'ai ma place ici, mais je prend plusieurs avis...

Merci d'avance.

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champi vert98champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour, on te donnera ici des temoignages mais pas des "consultations médicales". Mais si tu n'arrives pas à poser la question à ton médecin et à en avoir des reponses c'est que tu as une mauvaise relation avec lui. L'important est d'etablir une allaince therapeutique.

https://www.unipsed.net/wp-content/uplo … _06_13.pdf

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (19 décembre 2023 à  08:55)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Nara non binaire
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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prescripteur a écrit

Bonjour, on te donnera ici des temoignages mais pas des "consultations médicales". Mais si tu n'arrives pas à poser la question à ton médecin et à en avoir des reponses c'est que tu as une mauvaise relation avec lui. L'important est d'etablir une allaince therapeutique.

Amicalement

Mon médecin m'a abandonnée, à cause de mes symptômes de grossesse qui étaient si handicapants,  elle m'avait donné qu'un arrêt maladie de 1 semaine, qu'elle m'avait fait avec mention que la grossesse n'était pas une maladie.

Impossible pour moi de venir à son cabinet, j'étais incapable de bouger trop mal, limite j'avais l'impression que j'avais cas me rendre aux urgences mais je le faisais pas. J'avais écris un mail, disant que je souhaitais une prolongation de mon arrêt maladie... elle n'y a jamais répondu,  elle m'a abandonnée et m'a laissée en détresse.

Depuis le 22 novembre,  je n'étais plus sous arrêt maladie,  j'ai pas su me rendre au travail et j'ai été virée hier...

Je recherche un autre médecin,  mais difficile ils ne prennent plus de nouveaux patients, ceux qui me sont recommandés... je cherche en vain.

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prescripteur homme
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champi vert98champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour, oui en effet il faut trouver un medecin. Peut etre trouver un specialiste (gyneco, psychiatre) qui pourra t'orienter vers un generaliste. Par exemple les gynecos ou sage-femmes ou assistante sociale  de l'hopital ou clinique qui t'a suivi (du moins j'espere) Amicalement

Dernière modification par prescripteur (19 décembre 2023 à  09:28)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Nonono non binaire
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Hello,

Il me semble pas avoir entendu parler d'une quelconque interaction entre AD. En tout cas moi j'ai été sous fluoxetine, paroxetine, venlafaxine et y en a un autre dont j'arrive jamais à me rappeler le nom que j'ai arrêté au bout d'une semaine parce qu'il avait comme effet secondaire de me donner des déménageaisons dans tout le corps si qqn voit ce que c'est ? bref tout ça pour dire qu'on m'a fait tester pas mal d'ad et y en a aucun qui avait de mauvaises interactions avec l'alcool, fin moi j'ai bu normal sous.AD

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Nonono non binaire
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Et sinon par curiosité tu as du buperion de prescrit pour un tdah ? Si oui,ça marche bien ? Parce qu'on m'a diag récemment et on m'a foutu sous ritaline LP en phase de test (donc une semaine 10mg, une semaine 20 et de semaine 30) et bien que ça soit génial d'arriver à faire des trucs là journée et à ne plus faire de crises d'hyperphagie grâce à l'effet coupe faim plus le traitement avançait et plus les effets secondaires devenaient ingérables et se multipliaient : humeur instable, dépressive mais genre comme je m'étais pas senti depuis un épisode dépressif sévère que j'avais fait en 2019, idées suicidaires très fortes pareil comme j'en avais pas senti depuis longtemps, l'effet coupe faim a bien réveillé mon anorexie, j'ai perdu 4;kilos au bout de semaines de traitement et puis crise d'angoisse sévère au point où j'ai vécu deux délire psychotiques dont un avec bonus délire paranoïaque - je dormais chez une amie et j'étais persuadé que son coloc allait m'assassiner alors que vrmt c'est une personne adorable et safe, déréalisation vendredi dernier donc en gros je reconnaissais pas ma copaine avec qui je vis depuis 3 ans minimum et on est ensemble depuis 4 ans 1/2 puis je reconnaissais pas notre appartement non plus c'était ultra flippant mais un des pires effets secondaires c'est que.ça empire mon addiction aux stim et de base j'arrive à me sevrer seul de temps en temps sur des périodes de temps d'un mois généralement Donc même si je suis loin d'être guéri j'arrive à m'en sortir mais la ritaline me faisait penser qu'à ça, je sais si c'est le fait de.sentir que j'étais sous stim sans que ça soit assez fort mais je ne pensais et ne pense.toujours qu'aux stim alors qu'avant de commencer mon traitement je voulais plus en prendre du tout, j'avais supprimé et bloqué tous mes contacts mais j'ai réussi à en retrouver et c'est là que la ritaline m'a vraiment mis en danger. J'ai abusé plusieurs fois de la ritaline pour avoir des effets stimulant, j'ai reconsommé des stims, là j'en ai racheté fin bref je suis retombé dans mon enfer personnel. Mais encore si y avait que ça mdr. La goutte d'eau ça a été vendredi soir où les idées suicidaires étaient tellement fortes que j'ai tenté de me tuer, chose qui m'était pas arrivé depuis mon fameux épisode dépressif majeur de 2019, là je me suis dit que ce médicament allait vraiment m'achever si je continue comme ça mais en même temps mon tdah sans médoc entre mon état larvaire permanent+ les crises d'hyperphagie c'est insupportable donc je cherche désespérément des témoignages de gens avec un TDAH qui ont autre chose que la ritaline. Un gars qui avait exactement les mêmes effets secondaires que moi sous ritaline vit sans aucun de ses effets avec le concerta donc ça me redonne de l'espoir mais je cherche toutes les alternatives possibles et imaginables donc si tu as des retours sur ton traitement je suis chaud :)

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Nara non binaire
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Nonono a écrit

Et sinon par curiosité tu as du buperion de prescrit pour un tdah ? Si oui,ça marche bien ? Parce qu'on m'a diag récemment et on m'a foutu sous ritaline LP en phase de test (donc une semaine 10mg, une semaine 20 et de semaine 30) et bien que ça soit génial d'arriver à faire des trucs là journée et à ne plus faire de crises d'hyperphagie grâce à l'effet coupe faim plus le traitement avançait et plus les effets secondaires devenaient ingérables et se multipliaient : humeur instable, dépressive mais genre comme je m'étais pas senti depuis un épisode dépressif sévère que j'avais fait en 2019, idées suicidaires très fortes pareil comme j'en avais pas senti depuis longtemps, l'effet coupe faim a bien réveillé mon anorexie, j'ai perdu 4;kilos au bout de semaines de traitement et puis crise d'angoisse sévère au point où j'ai vécu deux délire psychotiques dont un avec bonus délire paranoïaque - je dormais chez une amie et j'étais persuadé que son coloc allait m'assassiner alors que vrmt c'est une personne adorable et safe, déréalisation vendredi dernier donc en gros je reconnaissais pas ma copaine avec qui je vis depuis 3 ans minimum et on est ensemble depuis 4 ans 1/2 puis je reconnaissais pas notre appartement non plus c'était ultra flippant mais un des pires effets secondaires c'est que.ça empire mon addiction aux stim et de base j'arrive à me sevrer seul de temps en temps sur des périodes de temps d'un mois généralement Donc même si je suis loin d'être guéri j'arrive à m'en sortir mais la ritaline me faisait penser qu'à ça, je sais si c'est le fait de.sentir que j'étais sous stim sans que ça soit assez fort mais je ne pensais et ne pense.toujours qu'aux stim alors qu'avant de commencer mon traitement je voulais plus en prendre du tout, j'avais supprimé et bloqué tous mes contacts mais j'ai réussi à en retrouver et c'est là que la ritaline m'a vraiment mis en danger. J'ai abusé plusieurs fois de la ritaline pour avoir des effets stimulant, j'ai reconsommé des stims, là j'en ai racheté fin bref je suis retombé dans mon enfer personnel. Mais encore si y avait que ça mdr. La goutte d'eau ça a été vendredi soir où les idées suicidaires étaient tellement fortes que j'ai tenté de me tuer, chose qui m'était pas arrivé depuis mon fameux épisode dépressif majeur de 2019, là je me suis dit que ce médicament allait vraiment m'achever si je continue comme ça mais en même temps mon tdah sans médoc entre mon état larvaire permanent+ les crises d'hyperphagie c'est insupportable donc je cherche désespérément des témoignages de gens avec un TDAH qui ont autre chose que la ritaline. Un gars qui avait exactement les mêmes effets secondaires que moi sous ritaline vit sans aucun de ses effets avec le concerta donc ça me redonne de l'espoir mais je cherche toutes les alternatives possibles et imaginables donc si tu as des retours sur ton traitement je suis chaud :)

Hello, pour répondre à ta question je ne prend le wellbutrin que pour cassé l'effet fatigue du escitalopram,  car j'en ai était au point où j'étais en état de fatigue si avancé,  j'étais comme un zombie et mon médecin quand elle me suivait encore m'a prescrit ce médoc en plus de l'escitalopram.

Je ne l'avais pris que 3 jours avant d'arrêter, donc pas su ressentir les bénéfices mais en terme d'effet j'avais une surexcitation au sens mental, j'étais plus réveillée et sur les pieds sur terre. Je baillais tellement avec seulement l'escitalopram,  c'était à m'en décrocher la mâchoire... que le wellbutrin coupait peu à peu les bâillements.

Par contre, je rencontrais des difficultés pour dormir...  chose que j'avais pas avec l'escitalopram seul lol  et j'avais une meilleure concentration je trouvais. Ah et niveau faim j'avais bien l'appétit très modérée je pouvais me passer de manger sans malaise.

Après je prenais ces deux médicaments le matin en même temps. Car mon médecin me parlait d'agir en continu la journée.

Je ne sais pas t'en dire plus ! Désolée...

Dernière modification par Nara (19 décembre 2023 à  11:05)

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Nara non binaire
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prescripteur a écrit

Bonjour, oui en effet il faut trouver un medecin. Peut etre trouver un specialiste (gyneco, psychiatre) qui pourra t'orienter vers un generaliste. Par exemple les gynecos ou sage-femmes ou assistante sociale  de l'hopital ou clinique qui t'a suivi (du moins j'espere) Amicalement

Bien entendu , ça sera fait avec le planning familial mais je ne les ai pas trouvé très rassuré,  quand j'ai parlé de mes antidépresseurs... comme un doute si j'avais vraiment besoin ou pas.

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