« Codéine, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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<ref name="tramadol">[http://www.psychoactif.fr/psychowiki/index.php?title=Usage,_abus_et_addiction_%C3%A0_la_cod%C3%A9ine_et_au_tramadol]</ref>
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{{Citation|seba59|http://www.psychoactif.fr/forum/t6602-p1-bonjour-je-cherche-des-conseils-suis-accros-codeine.html#p106424|Moi j'habite le Nord de la France et je peux te confirmer qu'en Belgique les structures de soins aux UD sont bien plus cool et complètes qu'en France.
{{Citation|Mia|http://www.psychoactif.fr/forum/t6198-p1-Gerer-manque-Codeine.html#p101635|Ca y est le manque commence à vraiment se faire sentir. j'angoisse que la nuit commence à tomber. J'ai bu deux verres de vin pour essayer de réchauffer mon corps et pour compenser l'angoisse nocturne. C'est grave de boire un peu d'alcool en sevrage? Est-il vrai que fumer du bédot empire les choses? J'ai envie de prendre mon 2ème prazépam de la journée...;et va falloir que j'avalle mon 1er Seroplex. Le sport pour mes jambes me semble impossible, j'ai trop mal. un bain chaud?(c'est mauvais pour la circulation non?) Pff là je me sens énervée et fatiguée et puis c'est que le début j'aimerais avoir du soutient ou des conseils. }}
Maintenant, l'addiction à la codéine est quelquechose qui, dans l'esprit des médecins, n'existe pas sauf si on est un marginal complet... Ce qui est l'inverse de la réalité, puisque la plupart du temps les personnes accros à la codéine sont bien insérées socialement, professionellement et familialement, il te faudra donc peut-être insister un peu auprès du médecin pour avoir un traitement de substitution. Parce qu'au régime que tu nous décris, les hautes doses de paracétamol et d'ibuprofen vont finir par t'envoyer à l'hôpital tôt ou tard (et je ne dis pas ça pour te faire peur ou faire du catastophisme, vraiment).
De plus, comme tu présentes la chose, tu n'as aucun problème pour arrêter ta conso de codéine, c'est "vivre sans conso de codéine" qui te pose un problème, peut-être qu'un traitement de substitution combiné avec un psy qui comprenne ton problème et avec qui le courant passe bien pourrait être une réponse à ton problème...}}
 
{{Citation|mam221209|http://www.psychoactif.fr/forum/t6602-p1-bonjour-je-cherche-des-conseils-suis-accros-codeine.html|Bonjour, C'est en surfant sur internet pour essayer de trouver une solution pour me passer de codéine que je suis "tombée" sur votre forum.
J'ai souffert de migraines durant de nombreuses années. Les crises duraient jusqu'à 72 H. Je pensais alors que tout s'arrangerait par la suite même si mes crises n'étaient soulagées par aucun médicament.
Mais, depuis longtemps, lesdites migraines se sont, selon les médecins, transformées en "céphalées de tension". J'ai eu recours à divers traitements jusqu'au jour, où l'on m'a prescrit du KLIPAL CODEINE. Là, je revivais... Je dois dire que, contrrairement à ce que je lis, ici et là, si mes maux de tête étaient intenses et récalcitrants et étaient soulagés par la prise de codéine, je n'avais pas les autres effets décrits (impression d'être sur un petit nuage, envie de dormir etc...). Voilà deux ans, j'ai accepté d'être hospitalisée pour sevrage de codéine car les médecins me disaient que c'était la prise de codéine qui amenait la crise suivante. Je suis restée 1 mois 1/2 en clinique. Mais, malgré divers traitements, les douleurs ne s'estompaient pas. Ce fut long et, à la fin de mon hospitalisation, on découvrit un traitement qui fonctionnait bien sur moi. Je suis donc sortie avec des maux de tête supportables (je devais prendre alors du Dafalgan). Malheureusement, quelques jours après mon retour à la maison, j'ai eu des effets secondaires tels qu'il a fallu arrêter immédiatement le Zyprexia.
Et j'ai lutté tant que j'ai pu en me contentant de paracétamol. Je dois préciser que, depuis plus de 4 ans, j'ai l'un de mes enfants qui est gravement malade et son état se dégrade. Au quotidien, je souffre terriblement. Et, pour arriver à tenir bon, à vaquer à mes occupations (j'en ai beaucoup), l'on m'a prescrit du DAFALGAN CODEINE. Donc retour à la case départ et sans que cela me soulage vraiment. Mais, au moins, je peux "faire semblant". Contrairement à tous les témoignages, je n'ai jamais ressenti de bien être, d'impression de détente avec la codéine. Mais mon fils a besoin que je sois forte. Je me réveille chaque matin, ou plutôt dans le courant de la nuit car je dors très peu et mal, avec de fortes céphalées qui ne cèdent souvent que dans la soirée. Je suis suivie par un psychiatre qui me prescrit depuis longtemps du LAROXYL 25 (1 le soir mais j'en ai eu jusqu'à 3) pour tenter de calmer les douleurs + un anxiolytique. Rien y fait. Je sais que je suis stressée, incapable de lâcher prise (je pleure peu, ne crie jamais, etc...). Ma vie est un enfer mais je ne sais comment me débarrasser de ces douleurs. Ma vie n'a pas été un long fleuve tranquille, loin s'en faut. Mais avec la maladie de mon enfant, je pense mener le plus dur "combat" qu'il m'ait été donné... J'aurais souhaité savoir comment je pourrais me débarrasser à la fois de mes céphalées et de ce "poison" qu'est la codéine.}}


== Références==
== Références==
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